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La recherche d'alternatives efficaces à l'Ozempic pour la perte de poids a conduit à l'examen d'options naturelles en vente libre. Dans cet article, nous explorons ces alternatives et passons en revue les meilleures options disponibles pour aider à atteindre les objectifs de perte de poids de manière sûre et naturelle.
PhenQ est un complément alimentaire qui propose une approche complète de la gestion du poids. Contrairement aux médicaments sur ordonnance.
L'évaluation des alternatives naturelles
Ozempic est souvent prescrit pour aider à la perte de poids, mais pour ceux qui préfèrent éviter les médicaments sur ordonnance, les alternatives naturelles sont une option attrayante. Nous passons en revue différentes options pour déterminer celles qui offrent les meilleurs résultats pour la perte de poids.
Les avantages des alternatives naturelles
Les alternatives naturelles à l'Ozempic peuvent offrir une gamme d'avantages pour la perte de poids et la santé globale. De la régulation de l'appétit à l'augmentation du métabolisme, ces options peuvent aider à favoriser une perte de poids saine et durable sans les effets secondaires potentiellement indésirables des médicaments sur ordonnance.
Les options disponibles sur le marché
Nous passons en revue différentes alternatives naturelles à l'Ozempic, notamment les suppléments à base de plantes, les brûleurs de graisse naturels et les produits à base d'ingrédients naturels. Chaque option est examinée en détail pour fournir une vue d'ensemble complète des choix disponibles.
PhenQ est un complément alimentaire qui propose une approche complète de la gestion du poids. Contrairement aux médicaments sur ordonnance.
Fazit
En conclusion, il existe de nombreuses alternatives naturelles en vente libre à l'Ozempic pour ceux qui cherchent des options de perte de poids plus naturelles. Il est cependant important de consulter un professionnel de la santé avant de commencer tout nouveau régime ou programme de supplémentation pour s'assurer qu'il est approprié pour vos besoins individuels. En faisant des choix éclairés et en adoptant une approche holistique de la perte de poids, il est possible d'atteindre vos objectifs de manière sûre et efficace.

Je suis face à une situation et je ne sais pas quoi en penser, j’aimerais donc avoir votre avis.
Ma meilleure amie fête ses 30 ans le week-end prochain. Nous sommes amies depuis 4 ans et demi, et nous avons vécu 2 ans ensemble. Nous avons traversé énormément de choses, positives comme négatives ensemble, et avons eu à une époque une relation fusionnelle. Toutes ces choses nous ont même fait considérer que nous sommes comme des sœurs. Depuis quelques mois, nous évoluons un peu différemment et notre relation est en dents de scie. Je ne doute toutefois pas de notre amour réciproque l’une pour l’autre.
Notre gros point d’ombre en ce moment concerne donc son anniversaire. Il est organisé par son copain et une de ses amies, elle a simplement fixé les grandes lignes (ce qu’elle souhaitait pour ce moment et la liste d’invités). C’est sur la liste d’invités que le problème se trouve, et plus précisément sur le meilleur ami de son copain.
J’ai rencontré ce meilleur ami il y a un peu plus d’un an et demi. Nous nous sommes tout de suite très bien entendus et nous avons passé plusieurs moments tous les quatre. Après quelques temps, nous nous sommes rendus compte que nos parcours et notre mode de pensée étaient identiques. Nous nous sommes beaucoup confiés l’un à l’autre, et je lui ai rapidement confié qu’à plusieurs reprises, des amis de longue date m’avait confié leurs sentiments pour moi, chose qui m’avait fait énormément de mal (rupture de confiance, exclusion du groupe d’amis, sentiment de trahison). Je pense que vous commencez à voir les choses venir. En mars 2023, je traversais un moment pas facile, et j’ai passé un week-end chez lui (il habitait dans une grande autre ville que la mienne). Nous avons passé un très bon week-end, au cours duquel nous avons pris certaines substances (ça a aussi son importance). Tout s’est très bien passé, et j’ai pu repartir avec un meilleur moral. Quelques semaines plus tard, nous avons passé une soirée à 4, au cours de laquelle il m’a donné une lettre. Dans cette lettre, il me disait que j’avais changé sa vie, que j’étais une belle personne et qu’il avait des sentiments pour moi, mais que notre relation dépendait de moi et qu’il acceptait de rester mon ami. J’ai à ce moment discuté avec ma meilleure amie, qui m’a avoué qu’elle et son copain était au courant depuis plusieurs semaines, et qu’ils lui avaient tout deux déconseillé de me le dire, en raison de mes « antécédents ». J’ai donc voulu couper court à cette relation, et l’ai appelé une dernière fois pour lui donner ma vision des choses. Quelques jours plus tard, il m’a envoyé une lettre de 46 pages en PDF. En accord avec ma meilleure amie, elle devait lire la lettre et me dire si c’était ok pour moi de la lire. Sa réponse a été de m’ordonner de le bloquer ; elle a ajouté que la situation était dangereuse pour moi, car cela relevait selon elle de la psychiatrie (elle est passionnée depuis toujours par les sciences humaines, ce n’est donc pas une simple formulation de phrase) et qu’il faisait une sorte de crise psychotique avec moi au milieu. Je l’ai donc bloqué et n’ai plus jamais eu de contact avec lui. Depuis ce jour, les seuls retours que j’ai eu ont été qu’il ne s’était pas fait suivre et qu’il sortait plusieurs fois par semaine pour prendre des substances.
Nous arrivons donc à fin avril : nous avons passé la journée ensemble avec ma meilleure amie, son frère et son copain. Ils sortaient le soir et je n’en avais pas envie, nous avons convenu qu’après une petite sieste, nous nous rejoindrions chez ma meilleure amie pour que je fasse le before avec eux. À 21h, elle m’envoie un message pour me dire qu’elle avait proposé au meilleur ami de son copain de se joindre à eux, et m’a demandé si ça me convenais. Je lui ai alors repondu que non. Sa réponse a été de me dire qu’il fallait que je verbalise si je souhaitais ou non être en contact avec lui, et le cas échéant dans quels paramètres, car il était sur sa liste d’invités pour son anniversaire (j’ai appris ensuite qu’à ce moment, il avait déjà confirmé sa présence). 3 jours plus tard, son copain a créé un groupe Whatsapp avec tous les invités de l’anniversaire, nous deux compris.
Depuis début mai, je fais énormément d’anxiété pour cette raison. En effet, je me sens réellement en danger en m’imaginant qu’il puisse être près de moi, surtout que cet événement se déroule à 1h de chez moi (j’aurais donc du dormir sur place). De plus, je me sens extrêmement blessée que ma meilleure amie me place face au pied du mur à deux reprises, et car je considère que je n’ai pour choix que d’accepter sa présence ou ne pas venir, ce que je considère ne pas être un véritable choix. Je suis très blessée pour trois raisons : parce que je trouve facile et égoïste de ne pas tenir compte de ce qu’il s’est passé l’année dernière et de m’imposer cette présence sans discussion au préalable, mais aussi parce que nous avons toutes les deux une valeur profonde commune qu’est la justice, nous détestons toutes les deux les situations d’injustice (et ici, je considère injuste de ne pas pouvoir être présente alors que c’est lui qui a provoqué cette situation et c’est elle qui me place au pied du mur), et enfin parce que moi, je ne l’aurais jamais placée dans une telle situation.
Après longue réflexion, je lui ai envoyé un très long message pour lui donner en détail mon point de vue et l’informer que je ne viendrais pas à son anniversaire.
J’ai discuté de cette situation avec son copain, qui n’est pas d’accord avec moi : selon lui, son meilleur ami a beaucoup changé (il n’abuse plus des substances, il a retrouvé une vie plus équilibrée), il considère donc que la situation n’est pas dangereuse pour moi. Selon lui également, ma meilleure amie n’avait pas de choix à faire, car il s’agit de son anniversaire et que les situations qui lui sont externes ne la concernent pas.
Je comprends bien sûr son point de vue, mais je ne le partage pas. J’aimerais donc avoir le votre : suis-je le trou de balle de ne pas aller à son anniversaire et de réagir comme ça ?

• Le silence étouffe la chambre de Lo2, chaque bruit, même léger, lui semble résonner dans les murs, alimentant sa paranoïa. Son esprit ne trouve pas de paix, hanté par les chuchotements étranges de la toile et l'atmosphère lourde de la pièce.
• Un bruit de clé tournant dans la serrure interrompt ses pensées et lui fait monter une vague de peur. La porte s'ouvre lentement, révélant le médecin de famille. Lo2 déteste ses visites, les redoutant toujours.
• Le médecin entre sans un mot, portant une expression neutre sur son visage. Il fait signe à Lo2 de s'approcher de lui, mais elle hésite, sentant sa tension monter. Il lui ordonne de s'asseoir, puis enfile des gants de latex, dont le claquement sec résonne dans la pièce.
• Le médecin commence alors son auscultation, ses mains glissant sur la peau de Lo2 avec une froideur clinique. Lo2 se sent mal à l'aise, sa respiration devenant irrégulière. Le médecin se penche, observant attentivement ses yeux, son souffle chaud se mêlant à l'angoisse de Lo2.
• C'est alors que le murmure de la toile se fait entendre, plus distinct qu'auparavant. "Aide-moi", chuchote la voix sinistre, résonnant dans l'esprit de Lo2.
• Lo2 sursaute violemment, interrompant l'auscultation du médecin. Son cœur s'emballe, ses yeux écarquillés d'horreur alors qu'elle se recule brusquement.
• Le médecin, agacé par cette réaction, tourne son regard vers la toile, son expression devenant sombre. Il regarde ensuite Lo2, ses sourcils froncés, donnant à son visage un air de menace dissimulée.
• Lo2 se réfugie précipitamment sous les couvertures de son lit, tentant d'échapper à la terreur que la voix de la toile a déclenchée en elle. Le médecin reste un moment, observant la scène, puis se lève lentement.
• Avant de quitter la pièce, il pose un livre de Simon Singh sur la table à côté du lit. Son geste semble lourd de signification, mais Lo2 est trop effrayée pour s'en préoccuper.
• Le médecin s'en va sans un mot, laissant Lo2 tremblante et confuse, cachée sous les couvertures. Sa peur ne diminue pas, car elle craint ce que la nuit lui réserve et ce que le murmure de la toile pourrait encore révéler.

Bonjour à tous !
Je me permets de poster pour chercher conseil suite à une situation compliquée sur un plan juridique qui mets ma santé physique et psychologique en danger. Je suis un citoyen français de 30 ans résidant en France, cadre dans une sociologie sur Paris qui paye ses impôts. (d'ailleurs ça à encore augmenté, les assassins ⁾
Pour faire simple, je souffre depuis désormais 10 ans environs de "douleurs thoraciques intercostales" extrêmement douloureuse dont la cause est... Toujours en cours de diagnostics par le corps médical...
Je prends un traitement sur ordonnance de Tramadol à forte dose pour les douleurs depuis le très longtemps mais ce n'est qu'un palliatifs et parfois cela ne suffit pas.
Dans le camps des bonnes nouvelles ces derniers temps, on a peut-être un diagnostic cohérent et j'ai un. Rendez-vous chez une spécialiste gastroenterologe à la fin de ce mois !
Côté mauvaise nouvelles les crises depuis quelques temps ont empiré aux point où parfois je ne peux plus manger pendant plusieurs jours.
Les médicaments aident à faire passer la douleurs mais la on atteint un stade ou je ne peux parfois même plus prendre mes comprimés car la douleurs et si vive qu'elle me fait les rendre aussitôt.
Je peux malheureusement pas prendre de produis plus puissant car au vu des dosages et du caractère chronique de ma douleur, je présenterai un trop grosse risque d'overdose et de dépendance xe qui n'est déjà pas simple avec le Tramadol.
Comme souvent ses derniers temps inéluctablement mon poids est en chute libre avec une descente historique à 60kg pour 1m85 à la dernière pesait.
Une autre molécule m'apportent un soulagement est le THC contenue notamment dans le cannabis ou le CBD. Les vertus études et les vertus thérapeutiques sont nombreuses et en l'occurrence dans mon cas elle permet une vasodilatation des muscles interecostaux et m'apaise grandement lorsque les antidouleurs sont in efficaces. De plus l'aspect développeur d'appétit me permet de manger un peu et d'avoir un peu de répit, de reprendre des couleurs et d'éviter de vomir mon traitement.
Le CBD ne convient pas à mes douleurs car contient un taux de THC inférieure à 0.2% en général, la où le cannabis lui contient plutôt 15%.
Mon médecin traitant m'a conseillé et approuvé ma démarche thérapeutique même si elle est malheureusement hors du cadre et en va de ma santé.
Désormais même le cbd que je fume parfois ne peux plus être fumé en journée si l'on conduit car uke micro trace infime restera dans la salive lors d'un test de police même si le tôt et ridiculement bas et qu'il ne peux induire un état d'altération psychique ou une perte de réflexe quelconques
Je n'en peux plus de devoir payé des impôts qui vont subventionné des mecs qui vont m'empêcher de littéralement fumer pour pour rester en vie en bonne santé sans mourir de douleur. Je n'en peux plus physiquement et moralement aussi, de devoir me cacher avoir peur d'être arrêter avec une consommation, de payer une amende ou d'aller en prison.
Que puis-je faire pour légalement obtenir du cannabis et faire modifier ces lois liberticides ?
Sachant que j'ai déjà fais les classiques médecins et structures gouvernementales sans aucun succès et sans jamais évidement qu'il ne me soit proposer de me soigner de d'une autre manière légal qui est aussi efficace et sans alternative en l'occurrence pour les types de douleurs intercostal que je subis.
Je vous pris sincèrement de croire que je n'essaie pas de trouver une faille dans le système ou troller pour fumer des bedos , je fume depuis quelques années de manière thérapeutique du cannabis et récréatives en l'utilisant comme une béquille, la ça devient vitale.
Que puis-je faire ?
Désolé pour le pavé. Et les fautes, il est tard.
Ps: physiquement, je vous épargne la totalité des détails sordide de la douleurs mais c'est des sales moments à passer.
Pps: la vie de ouam, c'est pas pour faire le mec particulièrement douillet mais juste imaginé vous à ma table pendant votre week-end de trois jours... Incapable d'avaler un quignon pain avant mardi ...
Merci pour vos potentiels réponses

EDIT :
Merci à TOUS pour vos réponses ! Vraiment 🥺
J'ai appelé la mutuelle ce matin qui m'a dit qu'elle ne pouvait rien faire pour moi et qu'il fallait que je dépose plainte, appel qui a servi à rien et me renvoie vers l'opticien.
Je rappelle l'opticien et là je tombe sur le propriétaire qui était méchant durant toute la durée de l'appel et qui m'indique qu'un devis a été signé tout en étant vraiment odieux, il m'envoie le devis par mail et surprise : ce n'est absolument pas ma signature. Donc au moment de lui signaler que c'est du faux et que j'ai fait du Droit (je suis Licencié), Monsieur change complètement de ton et m'annule la prise en charge directement alors qu'au début de l'appel il n'était pas du tout comme ça. J'attends que tout se règle avec ma mutuelle à présent. Je vous avoue ne pas vouloir que d'autres personnes soient piégées comme je l'ai été et je suis sur ne pas être le premier. Que faire dans ce cas mis à part déposer plainte ? Je n'ai pas envie de passer par la police mais je souhaite quand même faire quelque chose. Merci beaucoup !

J'ai eu une nouvelle ordonnance pour changement de verres optiques, je suis passé chez un opticien juste pour savoir combien ma mutuelle prenait en charge, l'opticien passe ma carte vitale et me demande de revenir pour avoir la réponse. À mon retour chez lui, il me dit que les verres ont été commandés et qu'il faut juste choisir la monture or je n'ai jamais accepté cela! Je n'ai jamais vu ni signé un devis de sa part. L'opticien l'a fait sans mon accord et la transaction apparait sur ma mutuelle (qui a couvert 500€), l'opticien refuse d'annuler la commande. Que dois-je faire dans ce cas? Merci !

Pas envie de voir mon médecin traitant qui va me rediriger vers un kiné et refuser de m'envoyer vers un spécialiste.
Je souhaiterais voir un chirurgien spécialisé dans le pied/cheville (de ma poche) et que celui-ci me fasse faire une IRM et éventuellement faire une chirurgie si celui-ci pense que c'est nécessaire.
Est-ce que je vais me faire jeter ou alors ils acceptent des patients sans ordonnance ?

Résumé ChatGPT pour les flemmards :
« Le post relate un voyage en Thaïlande où mon conjoint et moi avons décidé de rendre visite à sa meilleure amie. Dès notre arrivée, son amie a adopté une attitude froide et désagréable envers moi, ce qui a créé des tensions tout au long du séjour. Malgré mes efforts pour apaiser la situation, son comportement n'a pas changé, ce qui m'a amené à décider de ne plus la revoir à l'avenir. Bien que mon conjoint soit déçu, il ne m'a pas pleinement soutenue. Je me questionne maintenant sur le bien-fondé de ma décision. »
Sinon voilà mon histoire :
Salut,
Je vais essayer d’être bref mais c’est pas évident.
Je suis en couple depuis longue date (H/H) et j’ai toujours eu un soucis avec la meilleure amie de mon mec. Rien de méchant jusque là, mais disons que le courant a du mal à passer.
Cette amie vit en Thaïlande depuis peu, et avec mon copain, comme on voulait se faire un premier grand voyage, on s’est dit que c’était une bonne idée de lui rendre visite.
Donc on a prévu 20 jours, sur ces 20 jours on avait prévu à la base 5 jours chez elle et sa copine (F/F), puis 3 jours au retour, tout cela à Bangkok. Entre les deux, on fait le tour du Sud, des îles etc… mais seulement mon mec et moi. Je précise qu’on est ensemble depuis 13 ans. Et sa meilleure amie l’est depuis un peu plus longtemps que moi.
Donc à présent nous y sommes, je vous écrit depuis notre première île en visite, (c’est vraiment le paradis).
Breeeef, ça c’est seulement l’intro mais je vais essayer de faire court. Le voyage s’est très bien passé et nous sommes arrivé à bon port. J’étais très content d’être ici, malgré toutes les appréhensions (l’avions, galérer avec la langue, les transports, les bagages etc…), mais en soit tout s’est bien passé.
Nous sommes arrivés vers 14h et son amie devait nous rejoindre vers 15/16h. Il était convenu qu’elle nous rejoigne dans un coffee shop (😎) a littéralement 2 minutes de chez elle à pieds.
J’en profite pendant ce laps de temps pour appeler mes parents et mon frère pour partager ma joie. Mon conjoint lui est assez fatigué et pas aussi joyeux à ce moment. Le temps passe et mon conjoint me signifie qu’il faut partir, que son amie est dans le métro. Il insiste un peu avec colère, donc je finis par raccrocher, mais cela m’agace tout de même un peu donc je lui dis.
De loin, on voit son amie arriver, qui elle aussi a l’air fatigué et au bout de sa vie. Je m’attendais à ce que tous le monde soit content, sauf que l’accueil est plutôt « froid ». Sans attendre, on arrive chez elle, mais est particulièrement désagréable avec moi. Comme elle m’ordonne de retirer les chaussures, mais vraiment comme si on parlait à un chien. Il est même pas 18h et nous dit de nous coucher (ce qui était prévu mais je n’étais pas fatigué). À ce moment, mon copain dit qu’il souhaite prendre une looongue douche et qu’il en a pour 45 minutes. J’en profite pour dire à son amie « ça te dit maintenant qu’on a déposé les bagages, on redescend boire une bière au coffee shop? », en essayant d’être agréable. Elle accepte de manière nonchalante mais accepte quand même.
Sa copine à elle devait aussi nous rejoindre. On convient donc de tous se rejoindre là bas. Tout va bien donc.
Pour faire simple, l’amie de mon copain a juste été assez désagréable avec moi et est resté sur son téléphone tout ce temps. Quand je lui posais des questions, elle me répondait à peine, et ne s’intéressait pas à moi. Mon humeur redescend donc mais je prend sur moi.
Sa copine arrive et m’accueille aussi un peu bizarrement mais rien de particulier. En gros elles n’ont pas l’air contentes de me voir, cela se voir clairement. Mon copain nous rejoint après la douche, et voit qu’il y a quelque chose. Son amie part elle se doucher et j’en parle à mon mec. Il aimerait lui parler mais je luis dis que c’est pas le bon moment. Passons la soirée où elle est toujours désagréable avec moi et le matin suivant quasiment tout autant.
Voilà je vais résumer la fin, donc le soir même, j’étais très en colère et j’explique à mon copain que c’est hors de question que je passe tout mon séjour ainsi. J’étais initialement très heureux et elle a été simplement très désagréable avec moi, à me faire comprendre que ma présence dérangeait.
Mon copain désapprouve mais je lui explique que cela représente plus de un tiers du séjour. Je prend sur moi mais accepte de rester mais seulement 4 jours avant les îles.
Les 2/3 jours d’après, cela va et vient, parfois elle « essaye » d’être sympa, parfois elle redevient désagréable. Les activités qu’elles nous font faire sont vraiment chouettes, mais son comportement me gâche tout. Elle me manque de respect sans raisons.
Au bout du 3 jours, j’explique à mon mec que c’est confirmé pour ma part, je ne remettrai plus les pieds chez elles. Cela fait de grandes histoires mais je ne peux pas accepter qu’on me gâche un tel voyage, et surtout je ne veux pas les déranger. Et c’est clairement le cas à priori (attitude passive-agressive).
Forcément mon mec est déçu mais ne me soutien pas énormément. Selon lui je ne fais pas d’efforts. Donc là on est au 4 jours, on est sur une île paradisiaque avec mon chéri, malgré les précédentes tensions, ca va. J’ai réservé un hôtel pour le retour, et j’ai décidé de ne plus voir son amie, de tirer une croix définitive dessus. Bien entendu je n’interdis pas mon conjoint de la revoir, mais pour moi c’est niet.
STB ?

Bonjour, je suis dans une situation assez complexe mais je vois presque une issue!
Il y a deux ans, la préfecture d’une certaine ville ne m’a pas contactée pour me remettre ma carte de séjour, résultat: je suis désormais sans papier sans que ce soit ma faute.
J’ai fait un référé liberté et je l’ai gagné haut la main, la juge a ordonné à la préfecture de me fournir les papiers nécessaires pour travailler, silence radio de la part de la préfecture: je n’ai pas pu travailler malgré l’ordonnance du tribunal.
N’ayant pas les moyens de redébourser 1500€ sur un autre référé de la même nature qui aboutirait au même résultat, j’ai préféré me former, et je suis en ce moment à la recherche d’emploi, et presque sûre que j’ai trouvé une boîte qui serait prête à m’embaucher, quitte à m’aider (légèrement) dans mes démarches administratives.
Ma question est donc la suivante: est-ce que l’obtention d’une promesse d’embauche peut déboucher sur la régularisation (prompte) de ma situation?
Je suis prête à vous fournir plus d’infos si nécessaire donc n’hésitez pas! Et merci d’avance

Bonjour,
Merci d'avance pour avoir pris le temps de me lire. Je vais essayer d'expliquer ce qui s'est passé dans l'ordre chronologique :

• Je me suis garé sur un trottoir, prévoyant de déplacer ma voiture dans 10 minutes, mais j'ai oublié. Je m'en suis rendu compte le lendemain et j'ai déplacé ma voiture.
• J'ai reçu deux contraventions pour stationnement très gênant, que je ne conteste pas, mais deux fois pour la même infraction sans que la voiture n'ait bougé entre-temps. Je n'ai pas beaucoup de moyens pour prouver cela, sauf peut-être les clichés des verbalisateurs.
• J'ai payé la première contravention et contesté la deuxième.
• J'ai reçu un courrier de l'OMP, défavorable à mon recours, avec la mention "vous recevrez une ordonnance pénale".
• J'ai envoyé une lettre recommandée à l'OMP où j'ai réitéré ma contestation avec plus de détails et d’arguments.

Trois mois plus tard, je n'ai pas reçu de réponse ni d'ordonnance pénale.
J'ai envie d'être irréprochable vis-à-vis de l’administration. Que dois-je faire ?

• Dois-je attendre ? Jusqu'à quand ?
• Dois-je relancer l'OMP ?
• En ligne, le statut de l'amende indique "Votre demande a été transmise à l’Officier du Ministère Public du Tribunal de Police de Niort qui statuera." Dois-je payer l'amende majorée de 375 € et passer à autre chose ?

Merci pour votre temps.

Voilà, en 2022 je suis entrée dans un centre pour me réadapter à la vie sociale. J'ai été diagnostiqué bipolaire, borderline avec des anxiety sévère en 2018 dans une autre clinique psychiatrique.
Dans ce centre, dès le premier jours le psychiatre m'a enlevé mes 15 mg de valium parce qu'il n'aime pas ce médicament. J'ai passé une nuit horrible et j'ai dû le supplier le lendemain pour qu'il me redonne mes valium (ce qu'il a fait en étant pas du tout content)
J'ai aussi un tca. Je suis boulimique et là bas on avait des activités à faire comme dans ce cas là faire les courses et à manger. Je suis tombée dans une phase anorexie où je ne mangeait rien, on devait faire les courses j'avais envie de vomir et quand je leurs ai dit elles ont préfère me pousser à me faire cuisiner alors que j'aurais pu faire la vaisselle mais non. Pour elle me faire cuisiner m'aurait aidé à manger alors que toutes les 5 minutes je sortais pour ne pas vomir. Une des animatrice m'a dit qu'elle allait en parler et au final personne ne m'a aider la dessus.
Jai subit du harcèlement et de l'attouchement sexuel par un autre patient. Je suis allée me plaindre trois fois. Une fois envers des infirmières qui m'ont dit qu'ils allaient le virer si il recommençait (il a recommencer) donc ensuite je suis allée voir la directrice de l'établissement qui l'a envoyé chez le psychiatre qui lui a demander de faire une lettre d'excuse envers moi mais que je n'ai jamais vu de mes yeux, je ne l'ai jamais lus, promettant qu'il allait arrêter de fumer des joints et de me harceler sous peine d'être virer (il a recommencer) et ensuite je suis directement allée voir ce psychiatre qui a encore une fois dit qu'il allait être virer si il recommençait (il a recommencer) et au final par la suite en sachant que personne ne faisait rien en tant que professionnel, j'ai juste supporter ses frottement contre moi, toute les fois ou il me suivait et me courrais après, toute les fois où ils s'approchait de moi avec un sourire effrayant, toute les fois où il restait devant ma porte en rigolant et toute les fois où il a essayé de s'excuser pour me re toucher après.
Ensuite en étant bipolaire, dans un endroit où je me sentais pas du tout à l'abri j'ai eu une journée de phase très haute où je me mettais en danger et je n'étais pas supervisé, le soir même avec d'autres patient on à voulu aller au burger King et j'ai eu tout d'un coup une crise d'angoisse très sévère que je n'avais jamais eu avant. J'avais des spasmes et du mal à parler. J'en ai toute suite parlé à des infirmières qui mont donné un valium (sans que ça ne fasse effet). Ça à duré plus de 4 jours avant que je demande le soir si je pouvais dormir avec la personne avec qui je sortait là bas. Les infirmière m'ont dit non et je leurs ai donc demandé si je pouvais au moin avoir une personne en qui j'avais confiance dans ma chambre (j'étais en chambre double mais l'autre lit était libre) et l'infirmière s'est énervé en disant que j'avais signé le papier en arrivant et que dormir avec quelqu'un c'était non alors que je voulais juste ne pas être seule. Donc je suis parti en disant "et si j'ai envie de me tuer vous aller parler du réglement aussi ?"
/!\ trigger s'il vous plaît ne lisez pas cette partie c'est assez difficile même pour moi de l'écrire. Je suis allée dans ma chambre, j'ai pris un rasoir espérant m'ouvrir la gorge, au final j'avais juste des coupures vu que j'arrivais pas à faire ce que je voulais faire (toujours avec mon anxiété et mes spasmes) quand une infirmière est arrivé pour essayer de m'enlever le rasoir des mains en appelant une autre infirmières pour l'aider, l'une d'entre elle m'a dit "c'est pas la peine de faire ça juste parce qu'on t'a dit non. Arrête de faire des caprices tu ne dormira pas avec "lui" (sans dire le nom du garçon) alors que je leurs répétait que je voulais juste ne pas être seule et que j'avais juste besoin d'une personne en qui j'avais confiance. Entre temps j'avais appelé le samu après l'aide d'une ancienne amie a moi qui m'avais conseillé de les appeler apres un face time snapchat avec elle, je ne voulais pas qu'ils sachent où j'étais en sachant qu'ils allaient appeler les infirmières, au final il l'a su (c'est à cause du samu que les infirmières sont venus sinon j'aurais pu continuer à couper ma gorge sans les voirs venir) j'ai vu "le garçon" arrivé, moi avec les spasmes et la gorge en sang, l'une des infirmières parlait avec le samu, je leurs demandais de me laisser aller aux urgences pour au moin être sûre d'avoir une vraie aide et un soin correcte dans la nuit en sachant qu'elles ne faisaient des rondes que quand elles le voulaient et quand l'une des infirmières m'a redonner le téléphone pour que le samu "m'aide" la personne du samu m'a dit "écoute prénom moi ce que je sens c'est que tu fais juste un gros caprice". J'ai raccrocher j'ai demandé à tous le monde de me laisser tranquille, et j'ai très peut dormi. A 5 heures j'étais réveillé, l'infirmière s'est moqué en disant "bah alors ? Pourquoi t'es debout à cette heure-ci ?" J'ai demandé à qu'elle heure je pouvais voir le psychiatre. Elle m'a dit l'heure et à l'heure arrivé je suis allée le voir.
Il est passé devant la pièce où j'attendais, en disant mon prénom pour que j'entre dans son bureau. Il ne m'a pas regardé UNE seule fois et m'a juste sorti "à quoi tu joues ?" J'ai essayé de lui expliquer comment je me sentais. Épuisée, dégoûtée à cause de l'activité cuisine alors que je suis en période où je ne mangeait rien et surtout ma crise d'anxiété et les spasmes que j'avais juste devant lui. Il m'a dit "ben on va t'hospitalisé" je ne savais pas qu'il me parlait du centre où j'étais (puis je ne voulais pas rester dans un endroit pareil) mais j'ai dit "je suis désolée, j'ai juste besoins d'aide pas d'une hospitalisation" et il m'a juste dit "ben tu prepares tes affaires et tu pars". Je suis sorti de son bureau en pleur en me demandant si j'avais fait quelque chose de mal alors que je voulais juste de l'aide. J'ai jamais eu ce genre de crise d'anxiété aussi sévère que ça et maintenant je panique au moindre gros bruit ou au moindre gros movement, les courses est les centre commerciaux sont un cauchemars pour moi. Mon tca est pire qu'avant mais c'est même pas fini.
J'ai du appeler ma mère du coup pour qu'elle vienne me chercher au bout de deux heures elle est arrivée, je suis partie, ma mère était furieuse de comment ils m'avaient traiter. Quand on est rentrés chez nous j'ai appelé mon médecin traitant (que j'adore, il est vraiment à l'écoute et qui m'a aidé à me calmer et à avoir moin de spasmes) il m'a fait une ordonnance et c'est là où je me suis rendu compte que le centre où j'étais avant ne m'avait pas rendue ma carte vitale ce qui a rendue ma mère encore plus folle de rage. Elle m'a demandé de partir dans ma chambre parce qu'elle les as appelé, sauf que j'ai tout entendu "on vous confie nos enfants et nos proche et je retrouve ma fille avec la gorge coupé de partout et avec un comportement qu'elle n'a jamais eu. Elle est dans un état pitoyable je ne l'ai jamais vu comme ça". Ils ont dit que j'étais une menteuse et qu'ils avaient tout fait pour que je sois bien.
J'ai moi-même appelé le psychiatre pour essayer de lui faire comprendre que sa réaction n'a pas été correcte voici juste la discussion que j'ai eu
Moi : docotor xxxxxx c'est mon nom et prénom écoutez je voulais juste vous parler-
Lui : non j'ai pas le temps (il a raccroché)
Ça date de 2022 et depuis mes anxiété sont beaucoup sévère qu'avant. Mes périodes hautes et basses sont pires qu'avant. Je voulais savoir si je pouvais porter plainte en 2024 pour ce qu'ils m'ont fait.
Je suis désolée pour la longueur du commentaire...

Bonjour
J'ai déjà mentionné ici que nous avions porté plainte contre mon père, pour des faits graves. Sans entrer dans les détails, notre avocate nous envoie aujourd'hui une ordonnance d'expertise psychologique ordonnée par la juge.
Le problème est que sur cette ordonnance, les parties civiles sont notées comme domiciliées au cabinet de l'avocate, à Paris ; la juge a donc nommé un expert qui se trouve également à Paris, ce qui est logique. Sauf que notre domicile réel n'est pas à Paris, mais à plus de 400 km de là.
Certains experts acceptent-ils une audition en visio-conférence ? Dans le cas contraire, pouvons-nous demander un expert plus proche de notre domicile, ou allons-nous devoir faire 800 km aller-retour pour nous rendre chez l'expert ?
(Oui, nous avons posé la question à l'avocate, mais en attendant sa réponse je me tourne vers la sagesse collective de ce sub)
Merci d'avance pour vos réponses (et j'espère avoir choisi le bon flair)

Je lutte contre le reflux biliaire après avoir subi une ablation de la vésicule biliaire et j'ai une inflammation importante de l'estomac. Je sais qu'en France, on peut acheter du sucralfate sans ordonnance, malheureusement, il a été retiré chez nous. J'ai trouvé un site appelé MonCoinSanté, une pharmacie en ligne, et j'aimerais commander ce sucralfate sur ce site avec livraison en Pologne. Est-ce que ce site est sécurisé ? Je ne sais pas à qui demander.

Salutations !
Long story short mon copain s'est déboîté l'épaule il y a deux mois et le moindre mouvement lui fait un mal de chien. Après plusieurs passages à l'hosto et chez des généralistes, il a enfin consulté un chirurgien orthopédique qui lui a fait une ordonnance pour un arthroscanner, et lui a dit que le centre de radiologie le rappeleraient prochainement pour poser un rendez-vous, faire une imagerie pour envoyer les résultats au chir qui pourra savoir quoi faire à ce moment là. Ca fait deux semaines et le centre ne l'a jamais rappelé, quand c'est lui qui appelle ça décroche zéro. Aujourd'hui je l'ai aidé en appelant un autre hôpital qui cette fois a décroché, ils m'ont dit "on vous rappelle cet après-midi", ils ont rappelé pour nous mettre en attente et raccrocher sans rien dire. Puis on a rappelé et là ils ont carrément raccroché au pif quand on leur a expliqué la situation et que ça faisait déjà deux semaines qu'on cherchait. On a pas de moyen de locomotion et on est trop fauchés pour prendre des transports pour aller dans une autre ville, on a que ces deux hôpitaux là. On sait plus quoi faire, la situation devient invivable... en plus son arrêt de travail finit lundi prochain et on comptait sur ce rdv radio pour le renouveler.
Vous avez déjà vécu une situation pareille ? Vous avez des conseils ? Se faire soigner est devenu si compliqué et jvous avoue qu'un bras en moins c'est TRES handicapant
Merci d'avance !

Appelons-le M.
J'ai rencontré M il y a ~4 mois. Nous étions sexfriends pendant un peu près 1 mois et demi avant de se mettre beaucoup trop précipitemment en couple courant Décembre. Je l'aimais beaucoup car il dégageait quelque chose de très calme et très rassurant... à la base.
Personellement, je ne me sentais pas de me mettre en relation exclusive. Donc le soir où M m'a déclaré ses sentiments et sa volonté d'essayer une relation sérieuse avec moi, je lui ai expliqué ceci : c'était très tôt, j'en étais consciente même à ce moment là, donc si il voulait tester quelque chose avec moi, c'était soit une relation ouverte, soit rien. Sortant lui-même d'une relation ouverte, il m'a dit qu'il n'y voyait aucun problème. Et c'est comme ça que notre catastrophique relation à commencé.
La première chose qui m'a mise la puce à l'oreille, c'était les photos. M gardait les nudes de ses exs et de ses anciennes aventures. Même avec leur accord, je trouvais ça un peu étrange. Mais au fur et à mesure, ce n'était plus juste étrange mais malsain à mes yeux, car il entretenait des relations très malsaines avec chacunes d'entres elles. Il évoquait les souvenirs avec elles constamment, tellement que mêmes nos amis communs n'en pouvait plus, et il passait son temps à les critiquer.
Le pire, c'était sa dernière ex, avec qui il était resté 3 ans. Il parlait tout le temps de comment elle avait abusé de lui mais disait aussi vouloir la recontacter, lui écrire une lettre manuscrite. Un jour, j'ai appris qu'il l'avait harcelé par mails en lui exigeant des excuses, en l'insultant... et ça des mois après leur rupture, à tel point qu'elle a dût le bloquer de partout et lui supplier de voir un psy, comme toutes les autres filles qu'il avait fréquenté d'ailleurs... Et le fait qu'il ne m'en avait jamais parlé, et semblait presque énervé que je l'apprenne, je l'avais vécu non seulement comme une sorte de trahison, mais aussi comme très mauvais signe.
D'ailleurs, il arrivait très souvent qu'il me reproche constamment de lui mentir ou de lui cacher des choses (par exemple quand je racontais une anecdote qu'il n'avait pas entendu auparavant et s'offusquait alors que c'était, à quasi chaque fois dérisoire) et que lors de conflits, il m'ordonne de lui faire des excuses en me répétant sans cesse que j'avais trop d'ego.
Je crois que l'évènement qui m'a le plus affecté, c'était la veille de Noël. On avait officialisé les choses le 22, cela faisait donc deux jours qu'on sortait ensemble "officiellement". M portait quand il était plus jeune un collier de baptême qu'il avait cassé. Sachant qu'il lui tenait fortement à coeur, j'avais proposé de la réparer en la montrant à mon père, qui avait rafistolé bcp de mes bijoux. Je rentre donc chez ma famille, et le 24, après le repas familial, on s'appelle et je lui annonce que j'ai montré le collier à mon père. M s'est soudainement offusqué et m'a accusé de lui avoir volé. C'en est suivi une conversation longue et fatiguante où il m'accusait d'avoir trop d'ego pour me rendre compte de mon erreur, jusqu'à hors de nulle part, me répéter que j'allais l'abandonner.
J'étais tellement prise de cours par son comportement hystérique et ses incriminations, lui qui était tellement posé et agréable habituellement, que j'en ai fais une crise de panique et ait très mal vécu mon Noël...
Pourtant, j'ai passé l'éponge. Je me suis dit que c'était le stress de se remettre dans une nouvelle relation après la fin d'une relation de 3 ans.
Mais ça a continué pendant les 3 mois suivants, et ça a été encore pire la première (et seule, pour des raisons évidentes) fois que je lui ai demandé de vouloir essayer avec quelqu'un d'autre. C'était pendant une période où ça allait mieux, donc je ne me sentais pas mal à l'aise de demander et il a initialement accepté, il avait même l'air très enthousiaste (car la personne concernée était un ami en commun) ...pour me le reprocher constamment une semaine après le fait, alors que pendant ce temps-là, il se tapait mon colocataire sans me prévenir au préalable, tout en continuant de me dire en pleurant au téléphone "J'y arriverais pas, je veux pas te partager, moi!" et m'avait même avoué plusieurs fois, pendant plusieurs soirées, que si je n'avais pas été là, il serait probablement sorti avec lui plutôt que moi, et que la seule raison pour laquelle il m'avait choisi, c'est parce que j'étais une femme et qu'il préfère les femmes.
A force, je me suis rendue compte que c'était soit de la manipulation délibérée, soit il avait réellement un problème de jugement. J'ai fini par émettre l'hypothèse d'un trouble psychotique puisqu'il en avait la prédisposition génétique, mais je ne suis pas professionnelle.
J'ai arrêté de voir M. Je ne répondais plus à ses messages, ni à ses appels, même s'il m'harcelait en me suppliant qu'on se revoit, qu'il allait changer, puis en m'accusant de le laisser tomber et que ça "déclenchait son trauma d'abandon". Je ne supportais plus de m'en prendre plein la tronche constamment, et j'étais clairement épuisée mentalement.
Finalement, j'ai accepté de recommencer à lui parler s'il entrait en clinique, pour son bien, comme pour le mien, comme pour toutes les personnes qui le fréquentent.
Ca fait maintenant 2 semaines qu'il est entré et que je n'ai plus de nouvelles du tout. Je ne sais pas s'il y est resté pendant ces 2 semaines, s'il est resté qu'une journée, etc... et pendant ces 2 semaines, je n'ai pas arrêté de me demander si j'étais le TB de l'avoir "laissé tombé" alors que je savais à quel point il allait mal, si à force de me répéter sans cesse que j'étais quelqu'un d'horrible, que j'ai fini par le croire, ou qu'il y a quelque chose que j'ai manqué...

Désolée pour ce long post, mais je suis à la fois révoltée, choquée et honteuse... J'espère que je ne suis pas hors sujet dans cette communauté Bonjour tout le monde, je viens vous demander conseil suite à une histoire qui encore, me parait invraisemblable et où je suis un peu dans le déni.
L'autre jour, en parlant avec mon père, nous en venons à parler de la sécurité sociale, il me dit qu'il se fait rembourser ses visites chez le médecin sur son compte bancaire, moi je lui dis que non, que je n'ai jamais eu un seul remboursement. Il est choqué de ma réponse et me dit que ce n'est pas normal, mais je lui réponds que j'ai déjà vérifié et que récemment encore sur le site d'ameli, il est bien indiqué que j'ai payé 20 et quelques euros pour une consultation qui aurait normalement dû coûter 70 euros environ. Qu'en gros, je ne suis pas remboursée car, je paye le prix "sécu" directement, que je n'avance pas l'argent. Et on en vient à parler du prix de la consultation chez le médecin généraliste et là je lui dis que j'ai toujours payé 25 euros. J'apprends que normalement je devrais payer environs 7 euros mais j'étais persuadée depuis toujours que 25 euros c'était déjà le prix "sécu" et que normalement le médecin coûtait beaucoup plus cher. Pourtant j'ai déjà tout vérifié, le rib fourni est bien le bon.
J'appelle la sécu et au téléphone la dame m'explique bien que ça dépend, parfois on avance l'argent est on est remboursé, des fois on paye le prix sans avance d'argent et que c'est le médecin qui est remboursé. Elle m'assure que c'est le cas pour moi, que j'ai toujours payé le bon prix sans avancer de frais et que c'est la sécu qui rembourse le médecin. Je lui demande alors pourquoi je paye 25 euros la consultation chez mon médecin traitant. Je lui donne la date d'une consultation en exemple, et elle s'absente pour vérifier et me répond que mon médecin a déclaré que j'ai bien payé sans avance (donc que je payais 7 euros) mais ça n'a jamais été le cas ! Et qu'en plus de ça mon médecin se faisait rembourser 18 euros par la sécu chaque fois. Voilà 3 ans que je la vois et j'ai toujours payé 25 euros. La dame au téléphone, visiblement très contente de faire son travail, commence à s'impatienter quand je lui redemande d'expliquer, car sous le choc de ce que je viens d'entendre, et devient limite agressive en disant que j'ai bien payé 7 euros à chaque fois. Pendant l'appel je lis mes relevés sur le site et il y a bien marqué qu'elle se faisait rembourser 18 euros comme si j'avais payé 7 euros ! Je lui dis "Mais elle est à la retraite (depuis décembre dernier) maintenant, comment je fais, c'est trop tard ?" elle me répond "Bah oui" sans chercher à m'aider, elle me laisse, indifférente, et on termine l'appel.
Je suis sous le choc et j'ai du mal à réaliser, je suis allée vérifier les dépenses sur mon compte, je ne suis pas folle, j'ai toujours payé 25 euros... Et si je comprends bien, comme si de rien n'était, mon médecin déclarait à la sécurité sociale que j'avais payé le prix sécu. J'ai du mal à y croire, je me demande si je n'ai pas mal compris l'appel. Mais si c'est vraiment réel, maintenant beaucoup de ses comportements font sens : Me faire des ordonnances de 3 mois renouvelable une fois au lieu d'une durée de 6 mois (c'est ma pharmacienne qui m'a dit que c'était curieux de me faire si court) surement pour m'obliger à revenir plus souvent. Me dire de la garder comme médecin car je n'en trouverais pas d'autres après avoir déménagé en banlieue, car "les médecins ont trop de patients, il n'y a plus de place". Me donner son numéro personnel pour que je puisse la contacter à tout moment pour un renseignement si besoin mais en réalité ne jamais me répondre pour que je prenne rdv juste pour une question alors que je n'avais pas besoin d'un rdv et que je me portais bien et qu'elle me disait "oui j'ai vu vos messages". Mais le pire, c'est qu'elle ne m'avait pas déclaré comme étant mon médecin traitant pendant 2 ans sans me le dire et quand elle m'envoyait voir un spécialiste elle ne me faisait pas de "mot" à destination de son confrère (car "vous êtes grande vous allez expliquer toute seule votre problème) et j'ai aussi appris que c'est donc, comme si je n'avais pas suivi le parcours de soin et que j'étais donc mal remboursée...
Je suis en colère et je m'en veux aussi... Mais comment j'aurais pu savoir ? Je suis partie très tôt de chez mes parents, même pas majeure et j'ai appris sur le tas la vie d'adulte et j'ai encore beaucoup de choses à apprendre. On ne m'a jamais expliqué ce genre de choses. J'ai vu ce médecin quasiment une dizaine de fois, je vous laisse faire le calcul de l'argent qu'elle m'a pris, tout en se faisant rembourser comme si de rien n'était. En plus je n'ai pas payé en CB à chaque fois donc pas tout le temps de preuves. Je pense qu'elle a profité de ma situation, en savant que j'étais jeune et étudiante loin de chez mes parents.
Je ne sais pas quoi faire, est-ce qu'on peut me confirmer que cette arnaque est possible ? Que ce n'est pas un énorme quiproquo ? Je préfère passer pour une idiote à la limite. Et que faire ? Elle est partie à la retraite, je n'ai pas l'argent pour payer un avocat. Le jour même j'étais très en colère, j'ai contacté l'ordre des médecins qui m'a redirigé vers un numéro que je voulais appeler mais maintenant je me sens pleine de honte et j'ai peur de me lancer dans des démarches sans même comprendre totalement comment le système de santé marche. Et surtout de mettre fait avoir si facilement. Et je suis triste de voir que même les personnes qui sont censées nous soigner sont malhonnêtes. Merci d'avoir lu jusqu'au bout, et maintenant que faire ?

Edit : Merci à tous pour vos messages, j'ai rappelé la sécu et je suis enfin tombée sur quelqu'un de compétent qui m'a bien certifié qu'il y avait un problème, le médecin a bien déclaré que je payais 7€ pour se faire rembourser le tiers payant, alors que je payais 26,50. Il faut que je constitue un dossier de preuves qui sera analysé par le service fraude. Et je pourrais par la suite porter plainte. Merci.
Désolée pour ce long post, mais je suis à la fois révoltée, choquée et honteuse... Bonjour tout le monde, je viens vous demander conseil suite à une histoire qui encore, me parait invraisemblable et où je suis un peu dans le déni.
L'autre jour, en parlant avec mon père, nous en venons à parler de la sécurité sociale, il me dit qu'il se fait rembourser ses visites chez le médecin sur son compte bancaire, moi je lui dis que non, que je n'ai jamais eu un seul remboursement. Il est choqué de ma réponse et me dit que ce n'est pas normal, mais je lui réponds que j'ai déjà vérifié et que récemment encore sur le site d'ameli, il est bien indiqué que j'ai payé 20 et quelques euros pour une consultation qui aurait normalement dû coûter 70 euros environ. Qu'en gros, je ne suis pas remboursée car, je paye le prix "sécu" directement, que je n'avance pas l'argent. Et on en vient à parler du prix de la consultation chez le médecin généraliste et là je lui dis que j'ai toujours payé 25 euros. J'apprends que normalement je devrais payer environs 7 euros mais j'étais persuadée depuis toujours que 25 euros c'était déjà le prix "sécu" et que normalement le médecin coûtait beaucoup plus cher. Pourtant j'ai déjà tout vérifié, le rib fourni est bien le bon.
J'appelle la sécu et au téléphone la dame m'explique bien que ça dépend, parfois on avance l'argent est on est remboursé, des fois on paye le prix sans avance d'argent et que c'est le médecin qui est remboursé. Elle m'assure que c'est le cas pour moi, que j'ai toujours payé le bon prix sans avancer de frais et que c'est la sécu qui rembourse le médecin. Je lui demande alors pourquoi je paye 25 euros la consultation chez mon médecin traitant. Je lui donne la date d'une consultation en exemple, et elle s'absente pour vérifier et me répond que mon médecin a déclaré que j'ai bien payé sans avance (donc que je payais 7 euros) mais ça n'a jamais été le cas ! Et qu'en plus de ça mon médecin se faisait rembourser 18 euros par la sécu chaque fois. Voilà 3 ans que je la vois et j'ai toujours payé 25 euros. La dame au téléphone, visiblement très contente de faire son travail, commence à s'impatienter quand je lui redemande d'expliquer, car sous le choc de ce que je viens d'entendre, et devient limite agressive en disant que j'ai bien payé 7 euros à chaque fois. Pendant l'appel je lis mes relevés sur le site et il y a bien marqué qu'elle se faisait rembourser 18 euros comme si j'avais payé 7 euros ! Je lui dis "Mais elle est à la retraite (depuis décembre dernier) maintenant, comment je fais, c'est trop tard ?" elle me répond "Bah oui" sans chercher à m'aider, elle me laisse, indifférente, et on termine l'appel.
Je suis sous le choc et j'ai du mal à réaliser, je suis allée vérifier les dépenses sur mon compte, je ne suis pas folle, j'ai toujours payé 25 euros... Et si je comprends bien, comme si de rien n'était, mon médecin déclarait à la sécurité sociale que j'avais payé le prix sécu. J'ai du mal à y croire, je me demande si je n'ai pas mal compris l'appel. Mais si c'est vraiment réel, maintenant beaucoup de ses comportements font sens : Me faire des ordonnances de 3 mois renouvelable une fois au lieu d'une durée de 6 mois (c'est ma pharmacienne qui m'a dit que c'était curieux de me faire si court) surement pour m'obliger à revenir plus souvent. Me dire de la garder comme médecin car je n'en trouverais pas d'autres après avoir déménagé en banlieue, car "les médecins ont trop de patients, il n'y a plus de place". Me donner son numéro personnel pour que je puisse la contacter à tout moment pour un renseignement si besoin mais en réalité ne jamais me répondre pour que je prenne rdv juste pour une question alors que je n'avais pas besoin d'un rdv et que je me portais bien et qu'elle me disait "oui j'ai vu vos messages". Mais le pire, c'est qu'elle ne m'avait pas déclaré comme étant mon médecin traitant pendant 2 ans sans me le dire et quand elle m'envoyait voir un spécialiste elle ne me faisait pas de "mot" à destination de son confrère (car "vous êtes grande vous allez expliquer toute seule votre problème) et j'ai aussi appris que c'est donc, comme si je n'avais pas suivi le parcours de soin et que j'étais donc mal remboursée...
Je suis en colère et je m'en veux aussi... Mais comment j'aurais pu savoir ? Je suis partie très tôt de chez mes parents, même pas majeure et j'ai appris sur le tas la vie d'adulte et j'ai encore beaucoup de choses à apprendre. On ne m'a jamais expliqué ce genre de choses. J'ai vu ce médecin quasiment une dizaine de fois, je vous laisse faire le calcul de l'argent qu'elle m'a pris, tout en se faisant rembourser comme si de rien n'était. En plus je n'ai pas payé en CB à chaque fois donc pas tout le temps de preuves. Je pense qu'elle a profité de ma situation, en savant que j'étais jeune et étudiante loin de chez mes parents.
Je ne sais pas quoi faire, est-ce qu'on peut me confirmer que cette arnaque est possible ? Que ce n'est pas un énorme quiproquo ? Je préfère passer pour une idiote à la limite. Et que faire ? Elle est partie à la retraite, je n'ai pas l'argent pour payer un avocat. Le jour même j'étais très en colère, j'ai contacté l'ordre des médecins qui m'a redirigé vers un numéro que je voulais appeler mais maintenant je me sens pleine de honte et j'ai peur de me lancer dans des démarches sans même comprendre totalement comment le système de santé marche. Et surtout de mettre fait avoir si facilement. Et je suis triste de voir que même les personnes qui sont censées nous soigner sont malhonnêtes. Merci d'avoir lu jusqu'au bout, et maintenant que faire ?
Edit : Elle était bien conventionnée secteur 1 sans dépassement d'honoraires...

Désolée pour ce long post, mais je suis à la fois révoltée, choquée et honteuse... Bonjour tout le monde, je viens vous demander conseil suite à une histoire qui encore, me parait invraisemblable et où je suis un peu dans le déni.
L'autre jour, en parlant avec mon père, nous en venons à parler de la sécurité sociale, il me dit qu'il se fait rembourser ses visites chez le médecin sur son compte bancaire, moi je lui dis que non, que je n'ai jamais eu un seul remboursement. Il est choqué de ma réponse et me dit que ce n'est pas normal, mais je lui réponds que j'ai déjà vérifié et que récemment encore sur le site d'ameli, il est bien indiqué que j'ai payé 20 et quelques euros pour une consultation qui aurait normalement dû coûter 70 euros environ. Qu'en gros, je ne suis pas remboursée car, je paye le prix "sécu" directement, que je n'avance pas l'argent. Et on en vient à parler du prix de la consultation chez le médecin généraliste et là je lui dis que j'ai toujours payé 25 euros. J'apprends que normalement je devrais payer environs 7 euros mais j'étais persuadée depuis toujours que 25 euros c'était déjà le prix "sécu" et que normalement le médecin coûtait beaucoup plus cher. Pourtant j'ai déjà tout vérifié, le rib fourni est bien le bon.
J'appelle la sécu et au téléphone la dame m'explique bien que ça dépend, parfois on avance l'argent est on est remboursé, des fois on paye le prix sans avance d'argent et que c'est le médecin qui est remboursé. Elle m'assure que c'est le cas pour moi, que j'ai toujours payé le bon prix sans avancer de frais et que c'est la sécu qui rembourse le médecin. Je lui demande alors pourquoi je paye 25 euros la consultation chez mon médecin traitant. Je lui donne la date d'une consultation en exemple, et elle s'absente pour vérifier et me répond que mon médecin a déclaré que j'ai bien payé sans avance (donc que je payais 7 euros) mais ça n'a jamais été le cas ! Et qu'en plus de ça mon médecin se faisait rembourser 18 euros par la sécu chaque fois. Voilà 3 ans que je la vois et j'ai toujours payé 25 euros. La dame au téléphone, visiblement très contente de faire son travail, commence à s'impatienter quand je lui redemande d'expliquer, car sous le choc de ce que je viens d'entendre, et devient limite agressive en disant que j'ai bien payé 7 euros à chaque fois. Pendant l'appel je lis mes relevés sur le site et il y a bien marqué qu'elle se faisait rembourser 18 euros comme si j'avais payé 7 euros ! Je lui dis "Mais elle est à la retraite (depuis décembre dernier) maintenant, comment je fais, c'est trop tard ?" elle me répond "Bah oui" sans chercher à m'aider, elle me laisse, indifférente, et on termine l'appel.
Je suis sous le choc et j'ai du mal à réaliser, je suis allée vérifier les dépenses sur mon compte, je ne suis pas folle, j'ai toujours payé 25 euros... Et si je comprends bien, comme si de rien n'était, mon médecin déclarait à la sécurité sociale que j'avais payé le prix sécu. J'ai du mal à y croire, je me demande si je n'ai pas mal compris l'appel. Mais si c'est vraiment réel, maintenant beaucoup de ses comportements font sens : Me faire des ordonnances de 3 mois renouvelable une fois au lieu d'une durée de 6 mois (c'est ma pharmacienne qui m'a dit que c'était curieux de me faire si court) surement pour m'obliger à revenir plus souvent. Me dire de la garder comme médecin car je n'en trouverais pas d'autres après avoir déménagé en banlieue, car "les médecins ont trop de patients, il n'y a plus de place". Me donner son numéro personnel pour que je puisse la contacter à tout moment pour un renseignement si besoin mais en réalité ne jamais me répondre pour que je prenne rdv juste pour une question alors que je n'avais pas besoin d'un rdv et que je me portais bien et qu'elle me disait "oui j'ai vu vos messages". Mais le pire, c'est qu'elle ne m'avait pas déclaré comme étant mon médecin traitant pendant 2 ans sans me le dire et quand elle m'envoyait voir un spécialiste elle ne me faisait pas de "mot" à destination de son confrère (car "vous êtes grande vous allez expliquer toute seule votre problème) et j'ai aussi appris que c'est donc, comme si je n'avais pas suivi le parcours de soin et que j'étais donc mal remboursée...
Je suis en colère et je m'en veux aussi... Mais comment j'aurais pu savoir ? Je suis partie très tôt de chez mes parents, même pas majeure et j'ai appris sur le tas la vie d'adulte et j'ai encore beaucoup de choses à apprendre. On ne m'a jamais expliqué ce genre de choses. J'ai vu ce médecin quasiment une dizaine de fois, je vous laisse faire le calcul de l'argent qu'elle m'a pris, tout en se faisant rembourser comme si de rien n'était. En plus je n'ai pas payé en CB à chaque fois donc pas tout le temps de preuves. Je pense qu'elle a profité de ma situation, en savant que j'étais jeune et étudiante loin de chez mes parents.
Je ne sais pas quoi faire, est-ce qu'on peut me confirmer que cette arnaque est possible ? Que ce n'est pas un énorme quiproquo ? Je préfère passer pour une idiote à la limite. Et que faire ? Elle est partie à la retraite, je n'ai pas l'argent pour payer un avocat. Le jour même j'étais très en colère, j'ai contacté l'ordre des médecins qui m'a redirigé vers un numéro que je voulais appeler mais maintenant je me sens pleine de honte et j'ai peur de me lancer dans des démarches sans même comprendre totalement comment le système de santé marche. Et surtout de mettre fait avoir si facilement. Et je suis triste de voir que même les personnes qui sont censées nous soigner sont malhonnêtes. Merci d'avoir lu jusqu'au bout, et maintenant que faire ?

Over the last ~3 years our area has been having an issue with a known pill mill provider, we will call Mr. Frank. Mr. Frank is a Nurse Practitioner (with a degree from the online for-profit university) who has a felony conviction for 3rd degree assault that was plead down from child abuse charge in which he nearly killed his four month old daughter. Here's a lovely excerpt the judge wrote in his subsequent divorce proceedings:
See the [REDACTED] Complaint, which provides that the treating physician’s medical assessment concluded that the reported fall did not account for severity of the child’s injury, which resulted in a subdural hematoma and cerebral edema which required the child to undergo a craniotomy.
Since his conviction, no reasonable employer will hire him- as a result he was forced to start his own practice where he began charging $400 cash for oxycodone prescriptions, for which I still have a picture of from his website before he changed it. Mr. Frank began to try and bully us in Feb 2022 after my manager and I refused to fill a prescription of oxycodone 15mg for one of his "patients". He called back and asked to speak to another manager, and then faxed us some bogus liability workup that he clearly has sent to other pharmacies before us. I began to do research and learned all of the above, as well as his surescripts eprescribing had sent prescriptions for promethazine syrup (no codeine) and sildeanfil (viagra) for fictitious patients. About this same time, surescripts sent out an email stating they inactivated his SPI to investigate suspicious or fraudulent activity. (He would later state that he requested this himself as his account was hacked). I partially believe this, but it was probably done by his employee or a patient as I'm pretty sure all Electronically prescribed controlled substances (ECPS) software suites require 2 factor authentication. I talked to other pharmacists in the area and concluded that we all felt the same way that this operation was suspicious at the least, and most likely illegal. We found other reasons based on old opiate prescribing guidelines from 2018 to refuse to dispense (based on him giving everyone more than 50mMeq daily). Those guidelines were revamped shortly after I was sued in 2022 and that particular part is no longer relevant. Another nearby pharmacist also stated Mr. Frank was having a personal bodyguard pick up prescriptions for his 'patients'. I also discovered that a person who had a prior conviction for obtaining a controlled substance by fraud or deceit and attempted to pass a fake prescription for a different provider two years earlier at our pharmacy was getting oxycodone from him- (fun fact, he was confronted about this 'patient' and still is seeing them).
​
In March 2022 he sent another prescription for oxycodone for a different patient that we refused to dispense for the same reasons as before. On about March 9 or 10, he called to bully us into filling it, and I confronted him that I didn't feel comfortable dispensing oxycodone for a cash only clinic. He started saying I was making false accusations about his practice. Getting upset about being repeatedly called a liar, I told him we knew that he was a pill mill, and that he is a felon, and asked if he informed the board of that as is required. He responded with "yes I've been through this with them; I've reported dozens of pharmacists like you to the board of pharmacy-" "...well I reported you to the DEA, the Board of Nursing, and the local police department, hopefully it goes better for you than it did for this other pill mill provider or your child abuse charges". He responded with "Don't you ever fucking talk about me or my kid[s] again". I said "Did you just threaten me? I think we're done here" and hung up. I immediately notified my pharmacy manager (who was on the same page as I was) and my pharmacy supervisor. I was as transparent as possible with the whole series of events. He filed corporate complaints against me with [FORMER EMPLOYER] and with the board of pharmacy. When he requested a call back from the supervisor, Chris (pharmacist supervisor) stated he was threatening to sue us for defamation, but to not worry about it and just let my manager handle him in the future. By this point my manager and I had to speak with a BOP investigator, who said they were more than familiar with Mr. Frank and other pharmacists were dealing with similar issues. I had communicated with an assistant general counsel for [FORMER EMPLOYER] about my statement for the board of pharmacy, and the events as I recalled them (late March/ early April). at 6pm on Thursday, April 14th, 2022 my wife was served a summons and complaint at our home that I was being sued by Mr. Frank for defamation and tortious interference. I notified my supervisor immediately, and faxed the summons and complaint to the company's assistant general counsel as I was subsequently instructed. I told them I had intended to use the company counsel to tender my defense and that they would reach out to me. In a text message exchange with my brother, who is a patent attorney, he suggested I not use the company's counsel because they would throw me under the bus if it was convenient for them. I did not listen. On Tuesday, after my shift had ended I was walked back to the store director's office, sat in front of an HR supervisor I've never met, the director, Chris. They asked what I said to Mr. Frank was accurate from the complaint i submitted to the board of nursing. I said it was, then I was told "we have to part ways, at least for now..." and terminated. TWO BUSINESS DAYS after I was served.
The summons and complaint were full of incredible inaccuracies, grammatical errors, spelling errors, and lies. Plaintiff stated he was not a felon, and that I was defaming him by telling other pharmacists that he was. IT IS CLEARLY EVIDENT FROM THE PUBLICLY AVAILABLE DATABASES HE PLEAD GUILTY TO A FELONY CHARGE. I found a private attorney who specializes in litigation who is well qualified and trust to the tune of $350/hr, which is actually a good rate for his level of experience and below average rate in this market. I applied for unemployment and went on a job hunting spree. I ended up 6 weeks later signing with [Big Chain Pharmacy] for a large signing bonus to fill my 'Warchest' after not being able to find any offers outside of retail pharmacy. My unemployment was contested by [FORMER EMPLOYER], and later declined by a judge when I appealed it. The store director argued he was the only one with the power to terminate me and he was uninformed of my conversation with Mr. Frank. Had I been better prepared, I believe I would have won as I believe his claim to be a flagrant lie: any time someone makes a corporate complaint it goes straight to the store director's email inbox.
Back at my new job, I spoke with other pharmacists in the company and relayed my experience and many were familiar with Mr. Frank. Apparently he went into a store to harass pharmacy staff for refusing to fill his prescriptions. After coordinating with a few others, we submitted a request to have a narcotic prescriber block against him within the company. After 2 weeks, we were notified that he would no longer be able to have controlled substance prescriptions dispensed by our company. A 60 day grace period would be given and mail would be sent to him and his 'patients' so they could make other arrangements. In the fall, I was interviewed over zoom with the state AG office with respect to my complaint, and after being in contact with a few local DEA Drug Diversion Task Force agents. The DEA agents stated their supervisor has a mantra of not taking action against providers/professionals until after their respective board hands down disciplinary action. A little later, I was notified the Board of Pharmacy complaint filed against me was dismissed.
I went through discovery and was deposed and after a little over a year, they withdrew their case with prejudice. The reason: plaintiff says I was defaming him by saying he was going over 50mMeq daily for all his patients. We said we would need patient information to confirm or deny that, and would need a protective order, to which his attorney agreed. Plaintiff refused to provide that information, citing HIPAA. We went to the judge and got an order to compel, which the judge agreed with. The deadline passed, and they did not provide the information (likely knowing it would immediately get handed over to the state AG's office). We went back to the judge who stated if they did not comply the court would look upon motions for sanctions and attorney's fees favorably. They continued to not comply, to which his attorney only said "i know, I'm sorry". They withdrew the case with prejudice before we were able to depose him. However, we were able to subpoena the county records in which he pleaded guilty to a felony and the board of pharmacy complaints he filed against other pharmacists and pharmacies (there were 15 in all by this time, some of which predated my involvement).
After this, I had to deal with getting my now $75,000 in legal fees back from [FORMER EMPLOYER]. Their attorneys were giddy that [FORMER EMPLOYER] was going to send their general counsel on a plane to be present for mediation. Because of this, my brother spent $2500 on a round trip flight to be present at mediation, because "this is what I'm good at". The Sunday before mediation we learned that general counsel wouldn't be there. In fact, nobody would other than their lawyers, and they had one of their attorneys who then had him available by phone. For some backstory, their VP of legal affairs and general counsel was THE FORMER CEO'S SON, who was given that position that usually requires a decade plus of experience at the age of like 32... My brother was pissed, he couldn't comp his ticket because he was co-counsel strictly to be in the fold and have privileged conversations. On top of that, they only offered 10k initially, and wouldn't agree to more than 15k after 5 hours. My brother said "this is insane, and I can't even go talk or yell at the guy because he isn't here". After 5 months of dealing with them and the mediator essentially telling them they were assured to lose, they agreed to settle for what was about 73% of my legal costs (about 25 days before our scheduled trial block would begin). There is no gag or confidentiality agreement in place, only mutual releases. Since then, nothing has happened to Frank with respect to the state AG's office, or the justice department. However, I did hear recently from a friend that [OTHER BIG CHAIN PHARMACY] is now refusing to dispense controlled substances for him. My former employer (sans my old store) continues to fill oxycodone for him, and I have been told the supervisor essentially tells pharmacists not to start trouble with him.
January 2024 update, Since then Frank's felony conviction has been reduced to a misdemeanor after completing a probationary period as a part of his initial plea deal. I recently learned that [FORMER EMPLOYER] now refuses to fill his oxycodone scripts after I settled with them.
I just wanted to let everyone know, never trust your employer. Public or Private, big or small, they won't hesitate to throw you under the bus if you become an inconvenience. Even if you have a decade of dedicated work, through the pandemic, on site covid testing, vaccine clinics that start at 3am, covering a last minute illness, personally delivering medications to notoriously unsafe neighborhoods in the dead of night, even being one of the few pharmacist trained to do nasopharyngeal swabs, and do so outside in -20F weather. They will discard you. And if you stand up for yourself, go public, or become a whistleblower, you'll become unhirable. This is why nobody does the right thing anymore.

Poste longue
Je suis étrangère en France (jeune, salarié, diplômée d'une Master MEEF (enseignant)) et je ne sais plus quoi faire niveau juridique.
J'ai demandé un premier titre de séjour au mois de novembre, pis un deuxième, un APS (attestation prolongation de séjour) en finissant pas un 3e demande car j'ai été victime de violences par mon ex et donc la dernière j'ai demandé avec pour motif de Vie privée familiale avec une ordonnance de protection.
Cela va faire bientôt 6 mois que j'attends d'avoir une situation régulière en France et ça va faire 6 ans que je vis ici.
Pour la première fois cette année j'ai été sans poste et sans salaire pendant deux mois car je n'avais pas de récépissé... Je risque d'avoir la même situation encore dans 1,5 mois si le renouvellement de la récépissé ne prenne pas aussi 4 mois comme la dernière fois (et car un putain de collegue avait un contact au prefecture)
Comment puis-je faire pour savoir si je vais être être dans la galère?
J'ai déposé ma demande à la préfecture et aussi sur le site du gouvernement ET d'ici 2 mois je serai de nouveau sans salaire car mon poste ne fais pas de contrat de travail sans ma nouvelle carte (actuellement je me fais payé par mon micro entreprise).
Des conseils/avis? :( J'ai déjà payé 1900€ de frais d'avocat depuis septembre 2023 pour aucun conseil bénéfique en vrai à part mon ordonnance de protection.
Merci d'avance

Bonsoir, Je cherche à me « soigner » car j’ai atteint mon max sans aide. J’ai déjà été « diagnostiqué » à mes 5-6 ans mais j’ai aucun documents le prouvant. Mes parents ayant refusé l’aide dont je devais bénéficier.
J’ai pris rendez vous chez mon généraliste et un rendez vous chez un psychiatre 1 semaine aprés.
Il y a autre chose que je devrais faire,demander ?
Mon médecin traitant est d’accord sur mon TDAH également.
J’ai pris rendez-vous chez un psychiatre dans une ville assez éloigné de mon domicile je devrais me rendre tout les mois pour avoir une ordonnance ou avoir dés consultation suivie ?
Il y a un traitement spécifique pour les TDAH spectre hyperactif +++ ?
J’attend pas un truc miracle mais si sa peux être une aide pour équilibré mes « troubles »
J’en ai marre d’être une générateur nucléaire puis ensuite d’être exterminer pendant des semaines Par contre moralement j’ai pas de soucis
Merci