Ou trouver prostitu es clermont ferrand

Bonjour les auvergnats, h34 célibataire, j'ai découvert le puy de dôme cet été en vacances et j'ai trouvé le département fabuleux, j'ai crèche sur orcines et j'ai pu faire du parapente et découvrir plusieurs endroits a côté du puy de dôme.
Cela fait quelques années que je visite les régions de France pour me trouver un endroit où vivre paisiblement.
Je suis natif du nord de la France.
Je bosse en tant que technicien électro ménager, et je fais de laccordeon avec des amis.
J'aimerais me trouver un chouette endroit proche de Clermont Ferrand pour le taff, et plutôt vers le nord de Clermont.
Je ne connais pas trop les villes par là bas malheureusement, si vous connaissez je suis preneur de tout type d'information.
Merci

Google a annoncé une mise à jour majeure de son moteur de recherche : l'intégration de réponses générées par l'IA. Cette nouveauté, appelée "AI overviews", sera déployée cette semaine aux États-Unis et s'étendra bientôt à d'autres pays. Cette innovation vise à offrir des résumés succincts des informations trouvées sur le web, directement en haut des résultats de recherche.

Qu'est-ce que les "AI overviews" ?
 Les "AI overviews" sont des résumés générés par l'IA qui apparaissent en tête des résultats de recherche. Ces résumés sont créés par la technologie Gemini de Google et incluent des liens vers les sources d'information. Cela permet aux utilisateurs de trouver rapidement des réponses à leurs questions sans avoir à parcourir plusieurs sites web. 
 
Pourquoi ce changement ?
 Google fait face à une concurrence croissante de la part d'autres moteurs de recherche alimentés par l'IA, comme Perplexity, et des rumeurs selon lesquelles OpenAI développe son propre outil de recherche. De plus, des fonctionnalités de recherche par chat IA sont déjà disponibles sur des plateformes comme Facebook, Instagram et WhatsApp. Ces alternatives sont souvent préférées pour leur interface plus épurée. 
 
Impact sur les utilisateurs et les créateurs de contenu
 Pour les utilisateurs, cette mise à jour signifie une recherche plus rapide et plus efficace. Tu pourras poser des questions complexes et obtenir des réponses détaillées en une seule fois. Par exemple, tu pourras demander à Google de diagnostiquer un appareil électroménager en panne en le filmant avec ton smartphone. 
 Cependant, les créateurs de contenu et les petits éditeurs sont inquiets. Ils craignent que les utilisateurs ne cliquent plus sur leurs sites web pour obtenir des informations, ce qui pourrait réduire leur trafic. Selon le cabinet d'études Gartner, le trafic des moteurs de recherche sur le web pourrait chuter de 25 % d'ici 2026 en raison de l'utilisation accrue des robots d'IA. 
 
Les avantages des "AI overviews"
 
 
Recherche plus rapide et efficace
 
Réponses détaillées et précises
 
Liens vers les sources d'information
 
Possibilité de poser des questions complexes
 
 
Le projet Astra de Google
 En parallèle, Google travaille sur le projet Astra, qui vise à créer des assistants numériques pour aider à accomplir diverses tâches. Ces assistants seront intégrés dans des produits Google comme l'application Gemini ou l'Assistant. L'objectif est de fournir un agent d'intelligence artificielle universel qui soit vraiment utile dans la vie quotidienne. 
 Par exemple, tu pourrais avoir un assistant expert à tes côtés via ton téléphone ou des dispositifs innovants comme des lunettes intelligentes. Ces assistants seront capables de reconnaître l'environnement via la caméra d'un smartphone et de fournir des conseils pratiques. 
 
La concurrence dans le domaine de l'IA
 Google n'est pas seul dans cette course à l'IA. OpenAI a récemment publié une version améliorée de son logiciel, GPT-4o, qui peut générer du contenu et comprendre des commandes vocales, textuelles ou visuelles. Cette technologie est capable de faire des blagues, d'écrire des chansons et d'aider à résoudre des problèmes complexes. 
 Apple est également en train de conclure un accord avec OpenAI pour utiliser les capacités de ChatGPT sur l'iPhone. Cet accord pourrait être annoncé lors d'un événement en Californie le mois prochain, avec une possible mise à jour de Siri, l'assistant numérique d'Apple. 
 
Conclusion
 En résumé, l'intégration de réponses générées par l'IA dans le moteur de recherche IA Google représente une avancée majeure. Elle promet de rendre la recherche en ligne plus rapide et plus efficace, tout en posant des défis pour les créateurs de contenu. Le projet Astra et la concurrence avec des entreprises comme OpenAI montrent que le domaine de l'IA est en pleine effervescence, avec de nombreuses innovations à venir. 
 

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TW : maltraitance (?)
J'ai actuellement 22 ans. Quand j'ai commencé les études sup' et que j'ai dû vivre sans mes parents pour la première fois, ça a été une horreur. J'ai sombré dans une spirale de désespoir où je ne faisais que broyer du noir, et j'en suis arrivée à certains extrêmes que je n'aurai jamais pensé atteindre. Ce qui a été particulièrement difficile, c'est que je ne comprenais pas pourquoi j'allais aussi mal. Je n'avais apparemment aucune raison de ressentir ce mal-être et ce désespoir, et ça me desolait encore plus, je me dégoûtais de moi-même, parce-que tout allait bien : des études qui me plaisaient, des amis, des parents qui m'aimaient et qui payer mes études et mon logement. Au bout d'un an, complètement à bout et à cause de comportements destructeurs, je suis rentrée chez mes parents d'où j'ai continué mes études malgré les trajets (5h par jour), parce-que incapable de vivre seule. J'ai fini par avoir ma licence, et je me suis inscrite dans un master pas loin de chez mes parents, pour ne pas avoir à m'éloigner d'eux.
Avec le temps, et en restant avec ma famille (et les rendez-vous psy), je me suis requinquée. Mais je sentais que quelque chose s'était cassé au fond, qu'il y avait quelque chose qui m'avait marqué pendant mon enfance et que je refusais de m'avouer. Pour le contexte, j'ai vécu une situation un peu traumatique quand j'étais au lycée, que mon cerveau a rapidement effacé. Mais tout m'est revenu en tête de manière aléatoire lors de ma deuxième année d'étude, alors que je ne me souvenais de rien. Et juste avant que les souvenirs ne remontent, j'avais cette impression qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas. C'était la même impression que j'avais quand je repensais à ce désespoir et à cette noirceure de ma première année d'étude.
J'ai vu une psychologue à la fin de ma première année, pendant 1 ou 2 mois (j'ai été obligée par mon médecin de famille, qui m'a dit que c'était ça ou l'hôpital psychiatrique). Je suis assez frileuse des médecins et mes parents étant assez psychobes, j'ai rapidement abandonné quand j'ai vu que j'allais un tout petit peu mieux. Mais le temps a passé et j'ai ressenti le besoin de retourner voir cette psy au début de cette année scolaire, avec une plus grande maturité, et surtout, l'envie d'aller vraiment bien. Parce-que je ressentais toujours ce vide et ce questionnement de "mais qu'est ce qui ne va pas chez moi bordel ?".
Alors avant le premier rendez-vous, j'ai écrit sur une feuille tout ce qui s'est "mal passé" dans la vie, depuis ma naissance. Et je lui ai donné. Pour le contexte, mon père biologique est parti 2 mois après ma naissance, ne s'est pas présenté au tribunal pour avoir ma garde, a complètement effacé ma mère et moi de sa vie, pour revenir avec des messages flippants 18 ans après ; dès que je me sentais pas bien, je me disais que c'était à cause de ça, la peur de l'abandon, etc. Ma mère a passé une partie de mon adolescence à l'hôpital ; ma grand-mère, qui m'a pratiquement élevée, est décédée peu avant mes études sup'. Pour moi, ces raisons étaient les raisons principales de mon bien-être. Mais quand je suis retournée chez la psy pour le deuxième rendez-vous, elle m'a dit ces mots : "Je pense que les professeurs du collège aurait dû appeler les services sociaux pour maltraitance. Ce n'est plus le cas aujourd'hui, mais vous avez de la maltraitance." Et ça, c'était en novembre, et je n'arrive toujours pas à le digérer. Pourtant, ça semble vrai, mais en même temps, je n'arrive pas à me dire que j'ai été maltraitée. Quelque chose me dit que ce n'est pas vrai et me hurle que mes parents sont gentils et que la psy est méchante.
J'ai l'impression que c'est le genre d'histoire qu'on lit chez les autres, et que je trouvais un peu exagérées. J'arrive pas à me dire que c'est moi qui ait vécu ça.
Que toute ma personnalité vienne de cette maltraitance. Que tous mes défauts viennent de là, que toutes mes réactions sont des mécaniques de défense. Je pense que c'est le point final de mon histoire. Je n'arrive pas à concevoir que je ne suis que le produit de la maltraitance de mes parents. J'ai l'impression de n'être personne d'autre que des fêlures et des blessures et de la douleur. Comme si je n'avais aucune personnalité propre, et que tout ce que je pensais aimer, n'étaient en fait que des techniques élaborées quand j'étais jeune pour échapper à un quotidien compliqué. J'ai l'impression d'avoir la maturité d'une adolescente qui n'arrive pas à vivre sans papa et maman. Et je n'arrive pas à partir de chez eux - savoir qu'ils risquent de couper les ponts avec moi est trop difficile à envisager.
J'ai encore besoin de m'exprimer, mais la suite ne sera que ce mes parents m'ont fait, de mon enfance, ce qui peut faire partie de la maltraitance et expliquer qui je suis aujourd'hui. Ce n'est peut-être pas le plus intéressant à lire.

• les cris incessants. Et les coups aussi.
• quand j'étais petite (genre maternelle/début primaire), que je pleurais, mes parents me maintenait la tête sous le jet de la douche, avec de l'eau glacée.
• j'avais peur de monter dans la voiture avec ma mère parce-qu'elle en profitait pour faire des détours de plus en plus longs, pour me hurler dessus pendant que je pleurais, elle roulait vite et n'importe comment, menaçait parfois de sortir de la route pour avoir un accident et qu'on meure toutes les deux.
• elle m'a déposée sur le bord de la route et est partie en voiture, me laissant seule au bord d'un champ. Je devais avoir 8 ans et je ne savais pas où j'étais. Heureusement, elle est revenue me chercher.
• les insultes et humiliations.
• quand j'étais en primaire, je n'avais pas beaucoup d'amis et j'en étais triste. Ma mère me disait toujours "c'est de ta faute, tu n'es pas assez gentille, tu es trop grosse, arrête de pleurer".
• au collège, je suis allée voir mes parents pour leur dire que je me sentais vraiment pas bien (idées noires). Les yeux rivés sur la télé, ils m'ont dit "c'est de ta faute, prend sur toi."
• j'étais bonne élève. J'adorais l'école même si j'avais pas d'amis. Je pouvais lire, dessiner, la maîtresse était gentille avec moi. Elle me félicitait quand je faisais un bon travail. Il n'y avait personne pour me crier dessus ou me frapper.
• très tôt (mes premières souvenirs de ça remontent à la grande section), j'ai commencé à m'inventer des histoires dans ma tête. J'étais amie avec des gens incroyables qui avaient des super-pouvoirs, ils m'aimaient, on partait vivre des aventures. Au début, c'était avant de dormir. Mais plus le temps avançait, plus c'était tout le temps : avant de dormir, en voiture, à table, quand je ne faisais rien de particulier. Pour combler un vide ou pour ne plus entendre mes parents crier.
• pareil, j'ai commencé à lire très tôt. Et je lisqis très vite. J'avalais des tonnes de livres que je ne comprenais même pas. L'idée était de me maintenir occupée, trop occupée pour penser, et je m'imaginais ailleurs. C'était pareil avec le dessin. Je n'ai jamais arrêté de dessiner, toujours pour m'évader. J'ai voulu en faire mon métier, parce-que j'adorais dessiner, depuis ma 6eme je passe 12 heures par jours à dessiner dès que je le pouvais. Mais maintenant que je sais que ça vient de là, je n'arrive pas à me le réapproprier.
• ma mère m'a toujours interdit de cuisiner, de faire le ménage, les tâches ménagères, parce-que j'étais "trop nulle". Avec le recul, j'ai l'impression que c'est plus une technique de manipulation, puisqu'une fois que j'habitais seule, j'avais absolument tout le temps besoin d'elle pour faire quoi que ce soit.
• mes parents ne me font aucun compliment. Ils me rabaissent et m'ont toujours rabaissée. Puis ils me hurlent dessus parce-que je n'ai pas confiance en moi. Et ils me hurlent dessus parce-que je les fais se sentir comme des parents horribles.
• mon beau-père a défoncé la porte de ma chambre à la hache parce-que je ne voulais pas lui parler. Il y a toujours un trou dans ma porte, recouvert de deux planches de bois fines.
• a 12 ans, j'ai fugué. Ma mère me répétait tellement que j'étais horrible, méchante, vilaine, que je devrais trouver une famille qui voudrait bien de moi. Elle me l'a dit tellement de fois qu'au bout d'un moment, je l'ai crue. Et je suis partie pour rejoindre mes grands-parents. Évidement quand les policiers m'ont récupéré, je n'ai rien dit de tout ça.
• ma mère m'a toujours répété que les gens ne m'aimaient pas. Que j'étais tellement horrible que seule ma famille serait capable de m'aimer - et encore. Que les gens faisaient semblant de m.apprécier. Qu'ils parlaient tous dans mon dos. Que j'étais détestable, et méchante, et égoïste. A un tel point que quand des copains de collège/lycée me disait que j'étais gentille, je rigolais et je leur disais que ce n'était pas vrai.
• ma mère a forcé ma cousine, que je considérais comme une de mes amies les plus proches quand j'avais 14 ans, à dire que si elle parlait avec moi, c'est parce-que que je lui parlais, qu'au fond elle m'aimait pas trop, et que je la saoulais. Avec mon regard actuel, je me rend compte que ma cousine, encore plus jeune que moi, était gênée, et que ma mère lui mettait ses mots dans sa bouche. Mais malgré tout, la relation d'amitié qui existait entre nous n'est plus possible aujourd'hui.
• à chaque fois que j'avais des amis, ma mère trouvait toujours un moyen pour me montrer que je n'étais pas faite pour être ami avec, pour mériter cette personne, que la personne parlait dans mon dos et me détestait.
• ma mère nous a enfermé une après-midi entière dans une salle de la maison avec mon frère et ma soeur parce-que des bonbons avaient été mangés sans sa permission et qu'elle ne trouvait pas qui c'était. On n'avait pas d'autre choix que de la laisser nous crier dessus, assis sur une chaise. Elle nous poussait à nous dénoncer entre nouw. J'ai fini par avouer parce-que mon frère et ma soeur pleuraient que ça faisait 3h qu'on était là sans rien faire que de nous faire crier dessus. Je n'avais pas pris ces bonbons mais je me suis fait tapée et elle ne m'a pas parlé pendant quelques temps après.
• ma mère nous a monté les uns contre les autres avec mes frères et ma soeur. Aujourd'hui, on a aucun relation entre nous, si ce n'est de la dénonciation et de la colère. Mes frères sont les parfaits soldats de ma mère et ma soeur a juste envie de se casser et s'en fout de tout le monde. Je suis la plus grande et je n'ai même pas envie d'essayer de réparer tout ça.

Je pense que je pourrais encore continuer mais je vais m'arrêter là. Merci à ce sub de m'avoir permis de m'exprimer.

Salut à tous
Voilà je suis un H27 ans et j'étais vraiment amoureux de ma collègue et amie de travail de F36 et j'ai savoir comment passer à autre chose.
Je sais que l'on va me dire que c'est de ma faute car no zob in job mais je n'y peux rien si des sentiments sincères se sont développées avec le temps.
Cependant elle m'avait déjà rejeté par le passé car je cite "moi aussi je t'aime énormément mais tu es trop jeune pour moi et ça me bloque, je suis désolée " mais voilà
Quelque jour après mon anniversaire, je lui ai proposé de l'on ce fait une petite soirée rien que tout les deux comment chaque année et que l'on avait prévu de faire pour aussi fêter mon nouvelle appartement mais survient le drame dont je n'arrive pas à me relever. Elle m'avait d'abord refusé car elle avait une autre truc de prévu ( jusque là rien de grave, je lui propose un autre jour). Puis elle me dit qu'elle n'a plus du tout envie que l'on ce voit en dehors, que je l'appelle et que je dois la considérer comme une simple collègue de travail et non plus comme la personne qui était ma confidente.
Abattu, je decide de changer de secteur pour la croisé le moins car ca me rendez malade qu'elle ne veuille plus me parler ni rien ( elle m'avait bloqué de partout suite a ça) et j'ai vécu les pires mois de ma vie en mars avril. Je me suis retrouvé seul , isolé sans personne à qui me confié, personne qui voulait me voir ( je parle très très peu avec ma vie , c'était la seule avec qui je parlais) et j'avais perdu ma chienne après 10 ans a la considérer comme ma fille. J'étais et je suis toujours au fond du trou
Mais voilà, mon directeur décide de me remettre dans mon ancien secteur (je détestait mon nouveau secteur car j'étais littéralement solo a travaillé et avec ce qui c'était passé, je commençais à avoir des idées noires) et j'en profite pour discuter avec elle.
Elle me dit que de son côté et à souffert bien plus que moi et que si elle à fait ça c'était surtout pour mon bien car elle sentait que je me forcer a lui parler.
Et la quelques heures plus tard, un gars qui était la depuis 6 mois dans la boîte arrive et l'embrasse, j'apprends qu'ils sont ensemble depuis peu. J'étais abattu littéralement, il était plus jeune que moi, genre 22 / 23 ans. Je savais qu'elle le trouvais très beau, mais elle me disait "t'inquiètes pas il est bien trop jeune".
Me dire que pendant deux mois j'ai énormément souffert pendant que elle , elle vivait ça meilleure vie c'était de trop pour moi, elle avait menti sur tout depuis des années et arrive pas a mon défère.
Ça fait une semaine que j'ai plus aucune envie de profiter de la "vie". Je passe mes journées à dormir ( je viens de me réveiller à 21 heure car j'en fais des cauchemars) et j'arrive pas à passer à autre chose jusqu'à en faire des cauchemars de tout ça et me rendre malade.
Vous pouvez vous moqué de moi, je sais que c'est d'un ridicule et que d'autres "opportunités" ce présenteront a l'avenir mais ça fait bien trop longtemps que j'attends et que je pensais vraiment que c'était elle la perle rare.
J'ai pas l'envie de changer de secteur ou même de démissionner de mon travail (ça paye bien et je sais que c'est une galère pour trouver du taf après) mais si des personnes, que je sois homme ou femme, qui on été dans la même situation que moi on des conseils, j'ai pas d'amis à qui me confier ( j'ai genre 2 contact sur mon téléphone) j'ai pas de famille qui pourrait me soutenir, quand j'ai perdu ma chienne, je me suis vraiment retrouvé seul et ça , c'est la goutte de trouve.
Alors s'il vous plaît, j'ai vraiment besoin d'aide et de conseil. Merci a vous toutes et tous d'avance.

Mes chèr·es Cul-citoyens,
Suite à un recrudescence de post pour de l'aide à la recherche de partenaires, nous avons décidé d'un commun accord avec nous même de durcir la règle 11. Jusqu'ici elle servait surtout à éliminer les post type "M29, Bordeaux, viens DM", et les posts pour trouver des communautés étaient triés en fonction du post. Mais suite à de nombreux post pour de l'aide à la recherche de partenaires, nous constatons un accroissement de la recrudescence, par conséquent les post pour trouver une communauté ou un partenaire ne seront plus validés.
tl;dr: Si t'arrive pas a trouver de partenaire pour faire de l'uro déguisé en lapin dans l’Ardèche, essaie dans la Drôme.

La personne qui choisit Barde le fait pour plusieurs raisons. Appelons "la personne qui choisit Barde" B.
B admire la classe des magiciens et méprise la classe des guerriers. Mais maitriser la magie, ce n'est pas toujours évident. C'est une trop grosse responsabilité pour B bien évidemment. En ce qui concerne guerrier, ce genre de gesticulations brutales n'est pas assez sophistiqué pour B. B pourra trouver une certaine élégance pour la classe de prêtre, mais cette dernière manquera de souplesse au niveau de ses choix moraux.
Il faudrait quelque chose de plus permissif au niveau des convictions, histoire de pouvoir s'adapter à plus de situations, et profiter du plus de bénéfices.
B choisit donc le Barde.
Non content de ne pouvoir être tenu responsable pour toute défaillance dans les arts profanes, il pourra être vu comme supérieur en terme de bravoure au guerrier. Il aura fait son maximum lors des combats, en étant le David (david vs goliath pour ceux qu'on la ref)
Se dédiant à l'expertise en arts aussi délicieux qu'inutiles comme la musique, en plus il peut vous soigner et vous rendre plus forts (pas beaucoup, mais quand même ? le geste ? soyez reconnaissants plz)
Alors, finalement, les bardes ? Manipulateurs Pervers Narcissiques ou Gros Branleurs Effrayés Par es Responsabilités ?

Hello, tout le monde, un petit post pour vous demander votre avis sur les contradictions ( en débat oral ou littéraire)
Un exemple puis je développe.
Il y a quelques années, un ami ivre m'a dit " Tu es de gauche et moi de droite nos idées sont presque radicalement différentes et c'est ça qui compte, en opposant nos idées, en les confrontant on en obtiendra le meilleur. "
( j'ai améliorer son vocabulaire qui contenant à ce moment très peu de mot )
Qu'en pensez vous ?
Personnellement cette phrase anodine à un peu changer ma manière de voir le monde , j'étais très jeune et ce soir là j'ai compris qu'un avis contradictoire n'est pas forcément négatif, a partir du moment ou on reste honnête intellectuellement, on peux débattre de presque tout. ( hormis pour ma part des questions relatives aux droits humains, je ne tolère pas les intolérants, ironiques non ? )
En revanche depuis que je sais réfléchir et penser, j'ai toujours trouvé horriblement difficile d'échanger avec un ou des inconnus si nos avis s'oppose, ça ce braque facilement et au final, il est très compliqué d'échanger dans le calme, même quand on le veut. Pour finir je vais parler des réseaux sociaux, Oui je sais que c'est un peu la foire à la saucisse mais la base d'un réseau social est justement l'échange et le développement des idées, évidemment que les propos n'engagent que ceux qui les tiennent mais je trouve qu'on a totalement manqué le coche et que, ces outils auraient vraiment pu nous tirer dans le bon sens.
Qu'en pensez vous ?
Je tiens aussi à dire que tout ce débat repose sur l'honnêteté intellectuelle, on ne peux pas dire par exemple " opposer un platiste aux éléments factuels indiquant que la terre est Ronde est productif" en revanche je pense qu'il est important que le platiste revendique son idée, comme ça on pourra trouver la source de son erreur et la corriger.
Merci pour vos retour, et même si ce post ne concerne pas vraiment littéralement la philosophie, je pense qu'il est quand même en grande partie philosophiques,
Après tout les grands philosophes c'est des clashs et des échanges constant c'est de la confrontations dont jailli la lumière !

Bonjour. Mon propriétaire désire vendre son immeuble à des futures acheteurs qui seront habitant des lieux. Pour m'inviter à partir, il m'offre un montant d'argent interessant. Je pensais déjà chercher ailleurs alors je suis tanté d'accepter l'offre cependant la confiance ne règne pas et pour pouvoir me payer, le propriétaire doit vendre ce qui implique que je sois d'accord de cesser le bail.
Il veut me faire signer un document (fait à la main, rien d'officiel ou professionnel) pour ma cessation de bail. Si l'on signe que la cessation de bail est conditionnelle à la réception du montant es-ce que je suis protégé?
Si tout le monde y gagne, tant mieux. Je veux juste éviter de me faire expulser et me trouver sans recours et sans le sous.
Merci et bonne journée!

Je me trouve actuellement au texas et j'ai jouer c’est dernier jour a mon jeu les sims 4 (jeu que j'ai craquer en étant en france il y a de ça plusieur années) La wifi a été couper il y’a quelques jour, ont nous a expliqué que cela venait des sims 4 mais personne n’est capable de nous dire si c’est à cause du jeux les sims 4 en lui même (sachant que il est craquer et fonctionne sans wifi) ou alors si c'est a cause des téléchargement des cc Car quelques jours avant j’avais télécharger des cc Peut-être que ce sont les site de téléchargement qui ne sont pas légal ici mais je n’est reçu aucun avertissement lors des téléchargements J’ai essayé de me renseigner sur internet pour en savoir un peut plus sur les règles ici mais je n’est rien trouver C’est peut-être spécifique au Texas ? Es que quelqu’un pourrais m’aider à ressouder ou non le problème du moins m’expliquer car impossible de comprendre Es que si j’utilise un VPN cela pourrais fonctionner et ne pas poser de problème avec la wifi ? Es que je peux utiliser mon jeux malgré tout sans la wifi et sans problème ? Je suis un peux perdu si quelqu’un en sais un peu plus ça m’aiderais vraiment car pour le moment je n’ose pas relancer mon jeux car les opérateur de la wifi nous expliquer que si le problème resurgissait la wifi serais complètement coupé du foyer Merci d’avance

Je me trouve actuellement au texas et j'ai jouer c’est dernier jour a mon jeu les sims 4 (jeu que j'ai craquer en étant en france il y a de ça plusieur années) La wifi a été couper il y’a quelques jour, ont nous a expliqué que cela venait des sims 4 mais personne n’est capable de nous dire si c’est à cause du jeux les sims 4 en lui même (sachant que il est craquer et fonctionne sans wifi) ou alors si c'est a cause des téléchargement des cc Car quelques jours avant j’avais télécharger des cc Peut-être que ce sont les site de téléchargement qui ne sont pas légal ici mais je n’est reçu aucun avertissement lors des téléchargements J’ai essayé de me renseigner sur internet pour en savoir un peut plus sur les règles ici mais je n’est rien trouver C’est peut-être spécifique au Texas ? Es que quelqu’un pourrais m’aider à ressouder ou non le problème du moins m’expliquer car impossible de comprendre Es que si j’utilise un VPN cela pourrais fonctionner et ne pas poser de problème avec la wifi ? Es que je peux utiliser mon jeux malgré tout sans la wifi et sans problème ? Je suis un peux perdu si quelqu’un en sais un peu plus ça m’aiderais vraiment car pour le moment je n’ose pas relancer mon jeux car les opérateur de la wifi nous expliquer que si le problème resurgissait la wifi serais complètement coupé du foyer Merci d’avance

Bonjour tout le monde !
Petite question à laquelle je n’arrive pas à répondre à moi toute seule. Merci à celleux qui m’aideront à discuter le sujet !
D’un côté, on trouve des personnalités qui s’attèlent à analyser cette partie de la population d’un point de vue socio-politique: à l’effigie de Salomé Saqué et notamment son livre « Sois jeune et tais-toi ». À l’effigie d’un double discours médiatique quant à l’écologie (les jeunes ne s’impliquent pas assez / les jeunes sont inquiets pour leur avenir). À l’effigie du gouvernement (Gab Attal 👋) et de certains media qui pensent aussi trouver dans la jeunesse une certaine essence. Bien qu’il soit vrai que seul•es peu de sociologues en fassent le coeur de leurs travaux. Et d’un autre côté, cela fait plusieurs fois que j’entends critiquer cette approche: parler de la « jeunesse » ne voudrait rien dire, ce n’est pas une catégorie homogène, cela revient à invisibiliser d’autres problématiques telles que celles des classes sociales, etc.
Je n’arrive pas à me laisser convaincre par ces arguments. D’abord, ils m’ont semblé pertinents puisqu’effectivement, « la jeunesse » est une catégorie très floue et diverse. On ne sait pas très bien quand ça commence et quand ça s’arrête. Un•e jeune de 17 ans dont les parents sont médecins et grandissant dans une famille bordelaise pavillonnaire n’a probablement pas les mêmes conceptions que le•a jeune de 17 ans grandissant dans un petit appart du 93 ou que le•a jeune MNA ou le•a jeune rural, etc (sans passer en revue et en détail tous les profils auxquels on pourrait penser).
Ceci dit, que les limites d’une catégorie soient confuses et que le sujet qu’elles entourent soit hétérogène, il me semble que c’est le propre de chaque catégorie que l’on construit (sociologiquement parlant, pour un cadre d’analyse). C’est pareil quand on parle du genre: à première vue on ne parle pas des classes sociales, mais c’est pas pour autant qu’on les invisibilise. On en parlera plus tard, parce que là aussi, « les femmes » ou « les hommes » c’est pas homogène. Ça fait longtemps qu’on déconstruit les idées naturalisantes autour du genre: là aussi, en vérité on sait pas trop ni où ça commence ni où ça s’arrête. Et on peut le dire dans l’autre sens: parler des classes sociales, ce n’est pas parler des genres. Mais rien n’empêche d’imbriquer les deux catégories, par exemple pour montrer les spécificités féminines de la pauvreté. Et dans ce cas-là, on définit bien le cadre: on définit ce qu’on entend par « féminin » et par « pauvreté », pour créer un cadre d’analyse et méthodologique problématisé.
Alors j’en reviens à ma question: pourquoi ne pourrait-on pas penser la jeunesse comme une catégorie d’analyse pertinente sans invisibiliser les autres problématiques (c’est-à-dire exactement comme on le fait déjà avec le genre, les classes sociales, et encore bien d’autres catégories) ?

Bonjour tout le monde !
Petite question à laquelle je n’arrive pas à répondre à moi toute seule. Merci à celleux qui m’aideront à discuter le sujet !
D’un côté, on trouve des personnalités qui s’attèlent à analyser cette partie de la population d’un point de vue socio-politique: à l’effigie de Salomé Saqué et notamment son livre « Sois jeune et tais-toi ». À l’effigie d’un double discours médiatique quant à l’écologie (les jeunes ne s’impliquent pas assez / les jeunes sont inquiets pour leur avenir). À l’effigie du gouvernement (Gab Attal 👋) et de certains media qui pensent aussi trouver dans la jeunesse une certaine essence. Bien qu’il soit vrai que seul•es peu de sociologues en fassent le coeur de leurs travaux. Et d’un autre côté, cela fait plusieurs fois que j’entends critiquer cette approche: parler de la « jeunesse » ne voudrait rien dire, ce n’est pas une catégorie homogène, cela revient à invisibiliser d’autres problématiques telles que celles des classes sociales, etc.
Je n’arrive pas à me laisser convaincre par ces arguments. D’abord, ils m’ont semblé pertinents puisqu’effectivement, « la jeunesse » est une catégorie très floue et diverse. On ne sait pas très bien quand ça commence et quand ça s’arrête. Un•e jeune de 17 ans dont les parents sont médecins et grandissant dans une famille bordelaise pavillonnaire n’a probablement pas les mêmes conceptions que le•a jeune de 17 ans grandissant dans un petit appart du 93 ou que le•a jeune MNA ou le•a jeune rural, etc (sans passer en revue et en détail tous les profils auxquels on pourrait penser).
Ceci dit, que les limites d’une catégorie soient confuses et que le sujet qu’elles entourent soit hétérogène, il me semble que c’est le propre de chaque catégorie que l’on construit (sociologiquement parlant, pour construire un cadre d’analyse). C’est pareil quand on parle du genre: à première vue on ne parle pas des classes sociales, mais c’est pas pour autant qu’on les invisibilise. On en parlera plus tard, parce que là aussi, « les femmes » ou « les hommes » c’est pas homogène. Ça fait longtemps qu’on déconstruit les idées naturalisantes autour du genre: là aussi, en vérité on sait pas trop ni où ça commence ni où ça s’arrête. Et on peut le dire dans l’autre sens: parler des classes sociales, ce n’est pas parler des genres. Mais rien n’empêche d’imbriquer les deux catégories, par exemple pour montrer les spécificités féminines de la pauvreté. Et dans ce cas-là, on définit bien le cadre: on définit ce qu’on entend par « féminin » et par « pauvreté », pour créer un cadre d’analyse et méthodologique problématisé.
Alors j’en reviens à ma question: pourquoi ne pourrait-on pas penser la jeunesse comme une catégorie d’analyse pertinente sans invisibiliser les autres problématiques (c’est-à-dire exactement comme on le fait déjà avec le genre, les classes sociales, et encore bien d’autres catégories) ?

Salut, Après un master en informatique, j'ai signé un CDI chez une ESN même si de base je m'étais dit que je voulais les éviter, mais bon, c'était le plus simple et rapide pour moi et sur le moment le chômage ne me permettait pas de payer toutes mes facture et je devais prendre sur mes économies.
Depuis le début, les missions qui me sont trouvées sont ennuyantes aux possible et je me dis qu'il serait peut être plus judicieux de mettre fin à ma période d'essai pour trouver quelque chose de plus intéressant et passionnant voir pourquoi pas essayer de me mettre en autoentrepreneur.
Mais la question que je me pose actuellement est si j'ai le droit de retourner au chômage en sachant que j'ai fêter mon 3ème mois dans cette ESN et qu'ils n'ont pas prévu de mettre fin à ma période d'essai.
D'après mes recherches, je crois qu'après 2 mois dans l'entreprise, il ne m'est plus possible de demander la fin de mon contrat et de retoucher le chômage, mais je me vois mal continuer avec eux donc es qu'il est déjà trop tard pour moi ou je peux encore peut être faire quelque chose pour récupérer mon chômage ?

Je me trouve actuellement au texas et j'ai jouer c’est dernier jour a mon jeu les sims 4 (jeu que j'ai craquer en étant en france il y a de ça plusieur années) La wifi a été couper il y’a quelques jour, ont nous a expliqué que cela venait des sims 4 mais personne n’est capable de nous dire si c’est à cause du jeux les sims 4 en lui même (sachant que il est craquer et fonctionne sans wifi) ou alors si c'est a cause des téléchargement des cc Car quelques jours avant j’avais télécharger des cc Peut-être que ce sont les site de téléchargement qui ne sont pas légal ici mais je n’est reçu aucun avertissement lors des téléchargements J’ai essayé de me renseigner sur internet pour en savoir un peut plus sur les règles ici mais je n’est rien trouver C’est peut-être spécifique au Texas ? Es que quelqu’un pourrais m’aider à ressouder ou non le problème du moins m’expliquer car impossible de comprendre Es que si j’utilise un VPN cela pourrais fonctionner et ne pas poser de problème avec la wifi ? Es que je peux utiliser mon jeux malgré tout sans la wifi et sans problème ? Je suis un peux perdu si quelqu’un en sais un peu plus ça m’aiderais vraiment car pour le moment je n’ose pas relancer mon jeux car les opérateur de la wifi nous expliquer que si le problème resurgissait la wifi serais complètement coupé du foyer Merci d’avance

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Hey Reddit,
On m'a conseillé ce sub, et effectivement ça me ferait sûrement du bien de parler un peu.
Ça va être long et... Complexe. Je ne pense pas que beaucoup vont me lire et encore moins me répondre, j'ai juste besoin d'extérioriser.
J'ai (24F) l'impression de faire de mon mieux et que ce n'est jamais assez bien.
J'aimerais commencé mon récit en remontant un peu en arrière (juste d'une dizaine d'années) quand j'avais 13 ans.
À l'époque, mon père était marié à une femme qui ne pouvait pas me saquer et me le faisait sentir à chaque fois qu'il n'était pas là. Pourtant, je l'aimais énormément à l'époque, elle m'effrayait, me faisait des remarques dégradantes disant que je ressemblais à un singe parce que j'avais un peu de pilosité, ou me sortant des phrases comme "t'as pas de tête, t'auras des jambes" ou "ça va, t'es pas handicapée non plus" (ironique quand on connait la suite). Elle me faisait faire la grosse majorité des tâches ménagères (repassage, pliage, aspirateur, litières, vaisselles, rangement de la maison etc...) et je devais m'occuper de ma petite sœur quotidiennement quand mon père travaillait pour qu'elle puisse fumer ou se faire les ongles devant la télé.
À l'époque, je ne voyais pas le problème, les rares fois où j'ai tenté d'en parler à mon père il m'a intimidée pour que je me taise. J'en avais aussi parlé à un psychologue, disant que je ne trouvais pas normal qu'on me laisse faire du repassage de draps seule (à l'epoque j'avais 10 ans) la psy a rapporté en déformant quelques peu mes propos à mon père, celui-ci m'a foutu la trouille dans la voiture après la séance, fermant l'habitacle à clé avant de se pencher vers moi en sifflant entre ses dents "je ne veux plus jamais t'entendre dire du mal de ta belle-mère" j'en ai donc conclu que c'était moi le problème.
À mon anniversaire de mes 13 ans, j'ai commencé à me sentir mal. J'étais fatiguée depuis plusieurs jours, j'avais mal aux doigts, mal à la tête... Ma belle-mère m'a maquillée ce jour-là parce que "je devenais grande", alors il fallait que je fasse un effort pour être présentable et chaleureuse toute la journée. On m'a offert mon premier ordinateur portable mais j'étais tellement fatiguée que je n'ai pas réussi à montrer ma joie. Je suis partie dormir, encore maquillée vers 14h, j'ai été réveillée par ma belle-mère après le départ de mes grands-parents pour entendre que j'étais vraiment une petite ingrate de préférer faire la sieste que de passer du temps avec ma famille. J'étais trop KO pour me défendre.
Durant les 3 mois qui ont suivi, mon état physique s'est lourdement dégradé. J'ai perdu 18 kilos, j'étais dans un brouillard permanent, je faisais de l'œdème aux chevilles, aux poignets, je devenais aveugle par moment. Certains jours, mes mains étaient si enflées que je n'arrivais pas à tenir un stylo. Tenir le rythme au collège était un cauchemar. Mes amis s'inquiétaient pour moi, mais dès que je rentrais à la maison, c'était de nouveau moi le problème.
"tu vas encore secher les cours aujourd'hui ? Tu te rends compte que ça me fait passer pour un mauvais parent ?", "oui bah t'es fatiguée, ça s'appelle l'adolescence, tout le monde passe par là, fais un effort un peu", "Si t'es fatiguée c'est que tu te couches trop tard", "tu te sens mal ? Bah t'as qu'à arrêter de dormir dans la même pièce que ton téléphone"
Mon beau-père a commencé à être rude avec moi, pensant que je faisais exprès pour louper l'école. Ma mère oscillait entre s'inquiéter et me secouer, pensant que je déprimais pour une broutille d'ado et du côté de mon père, j'étais une grande actrice...
J'ai fini par passer un mois complet allongée dans le canapé, paralysée des bras, incapable de me nourrir seule ou de me lever.
Le pire je pense, ce sont tous ces médecins qui ont conforté mes parents dans l'idée que je simulais. 7 médecins vu en 3 mois, les 6 premiers m'ont dit grippe ou crise d'ado. Je faisais 40 de fièvre, j'avais les lèvres bleu mais on ne me croyait toujours pas. Je me plaignais de douleur dans la poitrine, on m'a répondu que j'étais trop jeune pour être cardiaque (merci docteur) il a fallu que je tombe sur une jeune remplaçante pour qu'elle m'écoute et décèle de l'eau dans mes poumons.
Les examens ont mis du temps à revenir et en attendant, les medecins avaient décrété que j'avais eu la mononucléose et que c'était passé, alors on m'a renvoyé à l'école. J'ai tenu 2 jours, le troisième j'ai refait 40 de fièvre et je n'arrivais plus à tenir assise, encore moins debout.
J'ai finalement été prise en charge à l'hopital après presque 4 mois de calvaire. J'avais la peau sur les os, mal partout, je pensais que j'allais mourir. On m'a diagnostiqué d'un lupus.
J'étais soulagée, persuadée qu'on allait me soigner. C'est incurable.
Les medecins m'ont démolie moralement. Ils m'ont dit que je ne suivrai jamais d'études, que je passerai ma vie à faire des allers-retours à l'hôpital, que je prendrai des médicaments toute ma vie, que ce sera quasiment impossible pour moi d'avoir des enfants, pire encore que je serai sûrement transplantée d'ici mes 18 ans et que j'avais assez peu de chances de dépasser les 20.
Je n'ai même pas pleuré. Je suis restée en état de choc sur mon lit d'hôpital, à entendre ma mère sangloter.
Je me souviens, ce jour-là, m'être traînée jusqu'à la salle de bain de l'hôpital et avoir été choquée par mon reflet. Ce visage creusé, les cernes violets, les lèvres bleutées, les bleus sur tout mon corps causé par les examens médicaux et nombreuses prises de sang... C'était le visage de la mort juxtaposé sur le corps d'une enfant.
La nouvelle de ma maladie a lourdement impacté la santé mentale déjà fragile de ma mère. Elle avait besoin de trouver l'origine et la resolution de mon problème, le terme incurable était trop douloureux pour elle.
Moi, je ne voulais pas en parler. J'espérais chaque matin me réveiller et reconnaître mon corps. Je me sentais d'abord minuscule dans mon lit, puis les traitements m'ont fait gonfler comme un ballon, perdre mes cheveux... J'avais du retard à rattraper à l'école et je me sentais dévisagée par ma classe sans savoir comment expliquer ces changements drastiques et rapides. En quelques mois, on est passé de "sac d'os" "tu fais peur" "eh Mercredi Addams" à "kung fu panda" "grosse vache" et j'en passe et des meilleurs. Je n'y faisais pas trop attention, c'était déjà suffisamment difficile de rattraper 3 mois de cours sans en plus donner de l'énergie à des gamins sans cervelle.
Ma mère a commencé à me harceler quotidiennement pour que je suive des thérapies "para-médicale" globalement je devais me lever une heure plus tôt tous les matins alors que j'étais déjà exténuée pour avaler de l'aloe vera, de la curcumine et de l'argent colloïdal. Puis elle me faisait gober tout un tas de compléments alimentaires. Avec mes traitements c'était 0 sucre, 0 sel et même comme ça je devais faire attention à tout ce que je mangeais.
Mon père à l'inverse pensait que c'était bon, j'étais sous traitement, j'allais mieux, c'était passé. Donc j'ai passé Noël avec lui à les regarder manger du foi gras, du saucisson et du saumon pendant que j'avais du pain sans sel. Et mon père de me dire que je pouvais bien faire comme tout le monde, même si c'était les directives des médecins.
Bref, je me suis sentie très seule à l'époque. J'avais cru mourir à l'hôpital et personne à part ma famille n'est venu me voir. À partir de là, j'ai développé une solide peur de la solitude. J'ai passé mon adolescence à me plier en quatre pour garder quelqu'un dans ma vie, quelqu'un qui se soucierait assez de moi pour me tenir la main si un jour je me retrouvais de nouveau clouée à ce lit blanc.
J'ai attiré les pires raclures de l'humanité, infidèles, toxicomanes, violents... J'avais l'impression de ne rien valoir parce que j'avais l'étiquette "malade" collée sur la figure. Je prenais les miettes d'attention comme des trésors, j'avais besoin de contact, que quelqu'un me garde dans ses bras, tout mon corps me faisait mal.
Quelques années plus tard, j'ai 16 ans et je suis au lycée. Je vis une rupture amoureuse difficile avec quelqu'un qui a été très abusif avec moi, me faisant même culpabiliser d'être malade pour s'en servir pour me quitter (parce que "tu comprends, si tu meurs ce sera beaucoup trop difficile à vivre pour moi, alors je préfère qu'on soit juste amis" après presque un an ensemble)
Je me sentais comme un déchet. À la maison j'avais une seconde petite sœur et mon père a divorcé après un an de grosse ambiance pourrie à la maison. J'étais soulagée de ne plus voir son ex femme, surtout que nos derniers échanges étaient par messages facebook et qu'elle menaçait de me frapper.
De toute façon, ce n'était pas une bonne année de base. La maison de ma mère a brûlé, ma grand mere maternelle est décédée, suivie une semaine plus tard par mon arrière grand mère maternelle, j'ai fait une sciatique, mon pere a divorcé et on était rendu qu'au mois de mai.
Bref, mon père a fait une profonde dépression. Les premières semaines, il était à cran non stop. Un moment, ma dernière sœur, 18 mois à l'époque, s'est mise à pleurer à table, notre père lui a hurlé dessus qu'il allait la piler contre un mur, puis il a fait un trou dans la porte des toilettes en mettant un coup de poing dedans.
C'est moi qui l'ai sorti dehors et à partir de là je me suis occupée de mes sœurs comme si j'étais leur maman. Mon père s'est noyé sous les médocs et la beuh, il était au mieux apathique et fonctionnait sur pilotage automatique. Je me levais la nuit pour les biberons et les couches, je faisais les repas, les courses, je préparais mes sœurs pour l'école, assurais les douches, les lectures avant de dormir, le rangement de la maison... Mon père faisait taxi et présence.
Un soir, je suis rentrée tard après être aller au cinéma avec un ami, j'ai trouvé ma sœur de 7 ans sur le canapé, mangeant un sandwich. J'ai demandé à mon père pourquoi elle était debout, elle avait école le lendemain. Il était assit à côté d'elle à la fenêtre, pétard à la main : "elle avait faim". À la télé, il y avait une émission déconseillé au moins de 10 ans.
Quelques jours plus tard, la même sœur a eu une gastro en pleine nuit, mon père a été réveillé par le bruit, s'est levé 5 secondes pour me voir ramasser du vomi sur la moquette, puis il est reparti dormir. J'ai passé une nuit blanche à gérer la grande qui vomissait et la petite qui refusait de dormir. Le lendemain, il m'a réveillée tôt pour que je les garde parce qu'elles n'étaient pas en état d'aller en cours. J'étais malade moi aussi, le visage enflé par l'œdème, avec pas mal de fièvre. J'avais une montagne de linge, de vaisselles à faire, le salon était en bordel, il n'avait même pas rangé son petit déjeuner.
Entre mon état, les pleurs des deux petites, la détresse de mon père et l'état de la maison j'avais envie de mourir. Mais mes sœurs étaient perturbées par le divorce alors j'ai serré les dents pour sourire. Même si la moitié de mon visage était figé par l'œdème.
Mon état s'est vite détérioré. Et comme la première fois, personne ne m'a écoutée (sauf ma mère). Les médecins me disaient que mes résultats étaient normaux, augmentaient mes doses et basta. J'ai commencé à dormir de plus en plus, jusqu'à 18h par jour à la fin. J'avais mal dans la poitrine, je vomissais tous les jours, je ne pouvais plus lever mes bras et j'ai perdu presque la moitié de mon poids.
Entre temps, mon père s'était remis en ménage avec une ex d'avant sa femme qui avait deux filles de son côté. Il allait mieux, et commençait à me reprocher d'aller mal. "tu ne joues même plus avec les filles, tu es une mauvaise grande sœur". Le matin il me laissait une liste de corvées à faire, et le soir me disait qu'il était déçu de moi parce que j'en avais fait aucune.
Je n'arrivais plus à bouger. Même aller aux toilettes étaient devenu un cauchemar, mes urines étaient rouge, j'avais besoin d'aide pour boire de l'eau tellement j'étais faible... J'ai été hospitalisée une première fois. Les médecins ont dit que j'étais anorexique, m'ont fait des transfusions et m'ont renvoyé chez moi. Je n'allais pas mieux.
6 mois plus tard, ma mère insiste aux urgences pour que je vois quelqu'un. La médecin, mal lunée, appelle directement mon père pour dire que c'est dans ma tête et qu'il faut que je vois un psy. Mon père m'a emmenée consulter pendant un mois, j'arrivais plus à respirer. Le psy a fini par dire que j'avais besoin d'une ambulance, que ce n'était pas psychosomatique.
Ma mère m'a renvoyé aux urgences après qu'un ami soit venu me voir. Il a passé l'aprèm avec moi et s'est rendu compte que je ne parvenais plus à rester consciente plus de 15 minutes. Il est aller voir ma mère et lui a dit cash "ta fille est en train de mourir"
Elle m'a donc ramenée aux urgences, on est tombé sur un pneumologue cette fois qui m'a fait des tests. Il s'avère que j'avais développé une pericardite de stade 4/5, une pleurésie de stade 4/5 et que, par dessus tout ça, je faisais une belle pneumonie. Le plus drôle dans tout ça ? On m'a renvoyé chez moi. Ce médecin n'avait apparemment pas l'autorité pour me faire hospitaliser. Je suis donc rentrée chez moi avec un traitement par intraveineuse d'une semaine avant de devoir revenir.
J'en ai profité pour passer mon code, je n'allais plus au lycée alors j'avais l'impression d'être inutile à rester coincée dans mon lit.
Mes médecins ont admis être "peut-être passé à côté de quelque chose" et ont déclaré que j'étais en état de danger de mort imminent, mais je n'avais plus confiance en eux. J'ai changé d'hôpital et le temps d'être prise en charge, j'ai dû attendre 2 mois chez moi, sans médocs, sans médecins...
Bref, une fois hospitalisée, le lendemain j'ai fait une hemorragie interne au niveau des poumons et j'ai passé 2 mois en réanimation. J'ai dû subir une chimiothérapie et une nouvelle corticotherapie... Re prise de poids, re perte des cheveux...
Je retourne au lycée, j'ai été absente un an et demi. Au vu de mon niveau académique, le lycée accepte de m'admettre en terminale, je n'ai donc qu'un an de retard, mais je n'aurais jamais fait de première.
J'ai passé cette année-là à travailler dur. J'ai passé le bac en une fois (épreuves de première et de terminal en même temps) en même temps j'ai passé le permis, le BAFA et je travaillais le soir à Domino's. Je voulais mettre de l'argent de côté pour l'université. Sur mon temps libre, j'allais à la salle de sport.
Chez mon père c'était des remarques hebdomadaires sur mon poids, disant que je devais faire attention, que je devrais y aller mollo sur les pizzas, que je pesais presque aussi lourd que lui et que c'est pas féminin et blablabla... Et chez ma mère c'était des prises de tête permanentes sur mes traitements et ce que je ne faisais pas assez bien selon elle pour limiter les dégâts sur mon corps (comme manger anti inflammatoire alors que je mange au self).
J'ai obtenu mon bac et une place en licence dans une fac privée. Je suis partie vivre à 2h de route. J'étais persuadée d'avoir la paix, j'étais fière de moi. J'ai eu 18 ans, puis 20, et j'ai toujours mes organes d'origine.
J'ai doublé ma première année de fac, j'avais des traitements mensuels et expérimentaux toute l'année et j'étais trop mal pour suivre. Mon père m'a juste dit que j'aurais pu mieux faire. Ça m'a blessée.
La première année j'ai développé un syndrome de Raynaud, je ne supporte plus le froid. Mon corps n'arrive pas à suivre au niveau de la circulation sanguine et je fais de la tachycardie, je fatigue et j'ai les extrémités raides et douloureuses.
La seconde, on m'a diagnostiqué d'un syndrome de sjogren, ce sont apparemment des comorbidités courrantes avec un lupus. Je suis donc devenu extrêmement photosensible, je fais des tâches comme un genre d'allergie au soleil, et je ne vois rien quand il fait trop jour.
J'ai ensuite eu des douleurs au ventre pendant près de 3 ans. Personne ne savait d'où ça venait.
Chez mon père, ma nouvelle belle-mère a commencé à me faire des réflexions à chaque fois que je venais leur rendre visite. Globalement, c'était à base de "et tu crois que c'est comme ça que tu vas réussir ta licence ?" "t'as que ça à foutre ? Tu ferais pas mieux de bosser tes cours ?" dès que je lisais, faisais du crochet ou discutais avec mon père. Il n'a jamais rien dit.
J'ai obtenu ma licence et je me suis écroulée physiquement. J'avais travaillé chaque été pour tenir le cap financièrement et mon père devait normalement me verser une pension le temps de mes études.
J'ai de nouveau perdu mes cheveux, refait une très grosse anémie... Sauf que cette fois-ci, j'ai un compagnon qui m'écoute. Il m'a encouragée à insister auprès des médecins. On a découvert une endométriose de stade 4 avec atteintes multiples. J'avais 23 ans.
Combiné au lupus, les chances d'une grossesse dans quelques années devenaient infimes. Alors, sur avis des médecins on a commencé une PMA. J'ai subi 2 chirurgies dans l'année en plus de la FIV. On m'a retiré une partie de mes intestins, trop endommagée par la maladie.
J'espérais vraiment le soutien de ma famille dans cette épreuve, je n'ai eu que du jugement. On attendait de moi que je fasse comme tout le monde en plein traitement pma, avec une santé de merde et des douleurs constantes depuis des années.
Aussi j'ai quand même dû participer aux fêtes familiales du côté paternel, et on m'a reproché d'être "pas assez souriante" et de "tirer une tronche de 6 pieds de long" alors que j'avais mal et que j'étais exténuée. Et lorsque j'ai annoncé que je ne viendrai pas à Noël, ne pouvant pas faire de la route après ma chirurgie, mon père m'a démonté la tronche.
Il m'a dit tellement d'horreurs que je ne pourrai même pas toutes les mettre ici. Selon lui, je vis au travers de ma maladie, je me victimise, je suis une déception, je vais finir seule, j'ai passé un an et demi "le cul entre deux chaises" parce que je n'ai pas été prise en Master et que j'étais trop mal pour bosser à côté des chirurgies. Je suis puérile, trop sensible et rancunière pour avoir voulu des distances après que ma grand-mère m'ai envoyé chier à mon anniversaire...
J'ai coupé les ponts, il a cessé de m'aider et c'est tant mieux puisque ça faisait des années qu'il n'attendait que ça. Je vais mieux alors j'ai repris à travailler en intérim mais depuis une semaine je travaille dans une usine et demain on fait la seconde fiv.
Normalement, en septembre je reprend un master, j'ai tout fait pour être prise cette fois, j'ai meme un stage et une lettre de recommandation. Si tout fonctionne je serai donc maman étudiante et malade. Si ça échoue j'aurais juste une fois de plus les effets secondaires à digérer...
Dire que je suis fatiguée est un euphémisme, j'ai commencé un suivi psy l'année dernière. Après des tests, je serai TSA et souffre d'une dépression qu'apparemment je gère plutôt bien.
Au quotidien mon cœur saigne. Je vois mes amies tomber enceinte sans soucis et je les envie. Je vois mes collègues tenir à l'usine avec le sourire alors que chaque journée me casse en deux. Je me sens seule. Vraiment seule. J'ai l'impression que personne ne peut comprendre parce que je ne vis pas quelque chose de normal.
Mes sœurs me manquent. Ma mère est vraiment proche de la psychose depuis que je suis en étude et parle quasi non stop de complots, ma famille paternelle me voit comme une ingrate odieuse... Et moi j'ai mal.
J'ai mal d'avoir ce corps cassé. De me regarder 11 ans après dans la glace et de ne toujours pas me reconnaître. J'ai mal d'encaisser sans arrêt les médocs, les piqûres, les examens, les prises de sang, le gaslight des médecins, de ma famille... Marre d'entendre "tu pourrais faire un effort" quand chaque journée est un effort...
Je voudrais juste un moment de répit, un peu de chance au milieu de tout ça. J'ai vraiment l'impression à force d'avoir un karma négatif et de devoir m'acharner pour obtenir ce que tout le monde semble vivre sans soucis.
J'ai mal au ventre à chaque fois que je vois un bébé, j'ai peur que ça ne se concrétise jamais... J'ai aussi peur que ça fonctionne et que je ne sois pas à la hauteur.
Pour ne pas rester inutile j'avais commencé un MBA en ligne au cas où je ne serai pas reprise à la fac. J'ai dû mettre de côté pour retourner bosser et maintenant, même certains de mes amis me disent que je fais n'importe quoi.
J'ai fait un dossier mdph, le deuxième, le premier on m'a refusé l'aah, celui-ci j'attends la réponse depuis 8 mois. Je n'ai droit à aucune aide et j'aide à rembourser la voiture de mon compagnon. Donc pour le moment je sers les dents, je ne sais pas si je pourrai pendant le traitement fiv... C'était très violents physiquement l'année dernière.
Bref, j'avais besoin de parler.

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C'est la première fois que j'utilise cette appli, je vais l'utiliser pour parler de moi et parler de mes problèmes car je n'ai personne à qui en parler. Je sais même pas si le but de reddit c'est ça mais je vais le faire de même car ici je connais personne et ça tombe bien je veux rester anonyme. Je vais bientôt avoir 22 ans et mes problèmes ont commencé depuis ma rentrée au collège. Au niveau amitié je n'ai jamais eu de chance. J'avais un groupe "d'amies" au collège qui m'ont traité comme une merde à cette période là. On était 5 filles dans le groupe, dans ce nombre impair j'étais seule et toujours seule tandis, quand elles faisaient des sorties j'étais jamais invité et quand je les demandais pourquoi elles agissaient comme si j'existe pas elles ont dit que j'abuse. Une d'entre elle avait eu des propos islamophobes envers moi et l'autre s'est moqué de mon corps à 3 reprises. Je les pardonnerais jamais, elles m'ont toujours traité comme une conne, lorsque j'ai parlé de mes tentatives elles m'ont dit de ne pas rajouter une couche car elles ont d'autres problèmes. Au lycée j'ai quitté ce groupe et je les ai bloqué du jour au lendemain sans donner la raison ni de nouvelle, après tout elles vont même pas essayer de me retenir ni de savoir le pourquoi du comment. Les années passent et j'ai eu une seule amie qui a eu à peu près ce problème, on partageait les mêmes passions, les mêmes délires tous ce passé bien jusqu'à cette année. Elle s'éloigne de moi après avoir trouver une groupe d'amie, elle trouve toujours des excuses pour pas rester avec moi ou ne réponds plus à mes messages ou d'une manière froide. Je sais pas si on m'a.jete un sort mais c'est réussit car je me retrouve sans amie et les hommes n'en parlons même pas. J'ai jamais eu à mes grands 21 ans une relation amoureuse, des crush par ci par là mais ça s'arrêtait à là, pas de date, pas d'engagement, pas de couple. Je vais pas décrire comment je suis mais j'ai l'impression qu'on m'approche pas de moi car je veux une relation où ça se termine en mariage. Et ça très peu sont intéressé. J'ai jamais fait une liste de type de mec que je voulais. Car j'ai appris que le physique c'est attirant mais c'est pas ça qui va tenir votre relation. Donc je suis pas difficile au niveau des mecs...Mais je dois être maudite pour attirer personne. J'ai l'impression que je vais mourir sans même connaître ce sentiment d'être aimer, juste le sentiment qu'un garçon pense à moi avant de dormir me donne des larmes aux yeux. Imagine juste un garçon pense à toi, à ton parfum, à la façon dont tu as rigolé. Juste quelqu'un qui t'aime comme tu es et accepte tes défauts dont tu n'es pas obligé de sur jouer devant lui. En regardant mes parents je n'ai jamais connu le véritable amour. L'amour de tes parents est un sujet différent et dure à interpréter. Malgré tous vous êtes liés mais mon dieu qu'est-ce qu'ils peuvent etre blessant parfois. Avoir un père la mais absent quand tu as des problèmes et une mère.... Une mère qui depuis ton jeune âge te compare avec un tel. J'en ai marre de cette mentalité, depuis mes 12 ans je suis comparée h24 avec ma cousine qui a 1 ans plus que moi. Elle compare mes notes, la façon dont je m'habille, dont je parle, dont je mange, dont j'agis, dont je respire A cause d'elle je déteste ma cousine qui bien évitement est une fille exemplaire bien sur. 5eme année de médecine, belle, intelligente, mâture tout vraiment tout Et puis t'as moi quoi une fille qui respire quoi Je fais des crises d'angoisses quand je croise ma cousine et reste le moins longtemps possible avec elle. Car elle agit aussi comme une peste à toujours me regarder de haut comme si j'ai fait quelque chose de grave....
C'est bien de vivre seule mais si seulement cela reste un choix et non une obligation depuis des années je me sens seule et je n'arrive pas à m'engager de faire quoi que ce soit..... Aidez moi je veux retourner à mon enfance juste vivre une journée dans le passé. Je veux recommencer ma vie, j'arrive pas à avancer dans ma vie ça devient fatiguant
J'ai l'impression d'avoir 5 ans, mais vivre dans un environnement toxic avec des gens qui te poussaient vers le bas montre à quel point tu as du mal à exprimer tes ressentis et sentiments. Rien qu'en relisant ma façon d'exprimer montre à quel point c'est pathétique. Je m'exprime comme une fille de 5 ans et agis comme telle. Je m'excuse, je vais disparaître sur ce réseau, ça m'a fait du bien juste d'en parler comme ça sans jugement. J'ai encore pleins de trucs à raconter mais restons anonyme c'est mieux sûrement

Dans les rues bruyantes et mouvementées de New York, Henry se faufile habilement entre les passants pressés, son sac à dos battant contre son dos. À seulement dix-sept ans, il a déjà appris à naviguer dans ce labyrinthe urbain avec une aisance qui surprendrait même les habitants les plus aguerris de la ville.
Sa silhouette élancée et son regard vif dissimulent un passé marqué par la tragédie. Orphelin depuis son plus jeune âge, Henry a été élevé par son oncle Dominic, un homme au charisme imposant qui règne en maître sur les rues sombres de la ville. Pour Henry, Dominic est bien plus qu'un simple oncle ; il est son mentor, son protecteur et, d'une certaine manière, son seul lien avec le monde extérieur.
Les souvenirs de son enfance sont flous, comme des fragments épars d'un puzzle dont il ne parvient pas à reconstituer l'image complète. Il se rappelle vaguement les rires de ses parents, les après-midi passés à jouer dans le parc et les histoires qu'on lui racontait avant de s'endormir. Mais tout cela semble appartenir à une autre vie, à un autre Henry qui n'existe plus.
Maintenant, ses journées sont remplies de secrets, de mensonges et de dangers constants. En surface, il mène une existence en apparence normale : il fréquente le lycée, fait ses devoirs et essaie de passer inaperçu. Mais dès que la nuit tombe, il se transforme en quelqu'un d'autre, quelqu'un de plus sombre et de plus insaisissable.
Les rues de New York sont son terrain de jeu, son royaume secret où il se sent le plus vivant. Les néons criards, les graffitis délavés et le bruit assourdissant de la circulation font partie intégrante de son univers, comme une symphonie chaotique qui résonne à travers ses veines.
Et au milieu de tout cela, Henry se tient droit, prêt à affronter tout ce que la ville peut lui réserver. Car dans ce monde où la survie est une question de force et d'instinct, il sait qu'il doit rester vigilant, toujours sur ses gardes, prêt à défendre ce qui compte le plus pour lui.
Malgré les défis constants de sa vie quotidienne, Henry s'efforce de maintenir un équilibre précaire entre son rôle de lycéen et son engagement dans le gang dirigé par son oncle Dominic. Chaque jour, il jongle habilement entre ces deux mondes opposés, naviguant entre les salles de classe stériles et les ruelles sombres de la ville.
Au lycée, il adopte un masque d'indifférence, dissimulant habilement les tourments qui tourbillonnent sous la surface. Assis au fond de la salle, il écoute distraitement les cours, son esprit toujours en alerte, prêt à anticiper le moindre danger. Ses camarades de classe le voient comme un élève discret, presque invisible, mais ceux qui le sous-estiment le font à leurs risques et périls.
Pendant les pauses entre les cours, Henry se glisse discrètement hors de l'enceinte de l'école, rejoignant secrètement les rangs de son oncle dans les rues de la ville. Là, il retrouve ses complices du gang, des hommes et des femmes dont les visages sont marqués par la dureté de la vie dans les quartiers les plus déshérités de New York.
Sous le regard vigilant de Dominic, Henry participe à des activités clandestines, des missions périlleuses qui testent sa loyauté et son courage. Il sait que chaque acte qu'il commet au nom du gang le rapproche un peu plus de l'approbation de son oncle, de la reconnaissance qu'il recherche désespérément.
Mais malgré son dévouement envers le gang, une partie de lui reste toujours en retrait, une voix intérieure qui chuchote des doutes et des remords. Il se demande parfois s'il aurait pu mener une vie différente, s'il aurait pu suivre ses propres rêves plutôt que ceux de son oncle. Mais à chaque fois, il chasse ces pensées de son esprit, se rappelant le poids des responsabilités qui reposent sur ses épaules.
Pour Henry, jongler entre sa vie de lycéen et son implication dans le gang est un acte d'équilibre constant, un jeu dangereux dont il ne peut pas se permettre de perdre la maîtrise. Car dans ce monde impitoyable où les faibles périssent et seuls les plus forts survivent, il sait qu'il n'y a pas de place pour l'erreur.
Le réveil matinal sonne comme un rappel brutal de la réalité pour Henry. Il ouvre les yeux avec résignation, s'éveillant à une nouvelle journée qui s'étend devant lui comme un chemin déjà tracé. Se levant de son lit, il se prépare machinalement, enfilant son uniforme scolaire avec une habitude acquise au fil des ans.
Dans la cuisine étroite de l'appartement modeste qu'il partage avec son oncle, Henry avale rapidement un petit-déjeuner hâtif, ses pensées déjà tournées vers la journée qui l'attend. Il échange quelques mots polis avec Dominic, qui est déjà plongé dans les pages du journal du matin, avant de se diriger vers la porte d'entrée.
La rue grouille déjà d'activité lorsque Henry émerge dans la lumière du jour naissant. Les klaxons stridents, les éclats de voix et le bruit sourd des pas résonnent dans l'air chargé d'électricité. Il se fraye un chemin à travers la marée humaine, son regard fixé sur l'horizon lointain, où les tours imposantes de la ville se dressent fièrement contre le ciel.
Arrivé devant les portes du lycée, Henry se fond dans la masse des élèves pressés, se fondant dans l'anonymat de la foule. Il se faufile habilement dans les couloirs bondés, évitant les regards curieux qui pourraient trahir son secret le plus précieux.
En classe, il prend place à son bureau habituel, son cahier et son stylo déjà prêts à l'action. Il écoute distraitement les enseignants débiter leur leçon du jour, son esprit vagabondant vers des horizons plus lointains.
Pendant la pause déjeuner, Henry se retire dans un coin isolé du campus, son sac à dos posé à côté de lui. Avec précaution, il sort une vieille guitare acoustique qu'il a cachée dans son casier, ses doigts caressant doucement les cordes usées.
Sous le voile de l'anonymat, Henry laisse libre cours à sa passion secrète, la musique. Les mélodies douces et mélancoliques qu'il tire de son instrument résonnent dans l'air, un écho lointain de l'âme tourmentée qui sommeille en lui.
Mais même dans ces moments fugaces de liberté, Henry sait qu'il ne peut pas baisser sa garde. Il reste vigilant, conscient des dangers qui guettent dans l'ombre, prêt à reprendre sa place dans le monde sombre et brutal qui l'attend au-delà des murs du lycée.
Ainsi va la vie pour Henry, un équilibre fragile entre deux mondes qui ne semblent jamais se rejoindre. Et tandis qu'il cache son talent musical derrière un masque d'indifférence, il se demande si un jour il pourra révéler sa véritable nature au monde qui l'entoure.
Dans les ombres de la ville, Henry gravite autour de son oncle Dominic, un homme dont le nom est prononcé avec respect et crainte dans les cercles clandestins de New York. Dominic est bien plus qu'un simple membre de sa famille pour Henry ; il est son mentor, son protecteur et, d'une certaine manière, sa seule véritable figure paternelle.
Depuis son plus jeune âge, Henry a été élevé sous l'aile protectrice de Dominic, dont l'influence s'étend comme une toile d'araignée sur les quartiers les plus sombres de la ville. Dominic l'a pris sous son aile après la mort tragique de ses parents, lui offrant un refuge au sein du gang qu'il dirige d'une main de fer.
Mais derrière le masque d'autorité et de respectabilité qu'il arbore en public, Dominic dissimule un côté sombre et impitoyable. Les rumeurs qui circulent sur ses activités illégales et ses connexions avec le monde interlope de la ville sont nombreuses, mais personne n'ose les défier ouvertement.
Pour Henry, Dominic est à la fois une source d'admiration et de confusion. Il admire la force et la détermination de son oncle, son aptitude à naviguer dans les eaux troubles du monde criminel avec une aisance déconcertante. Mais en même temps, il se demande jusqu'où Dominic est prêt à aller pour protéger ses intérêts, jusqu'où il est prêt à sacrifier pour maintenir son emprise sur la ville.
Leurs interactions sont souvent empreintes de tension et de non-dits, chacun cachant ses véritables motivations derrière un masque d'indifférence feinte. Henry sait qu'il doit rester sur ses gardes en présence de Dominic, que chaque geste, chaque parole est scrutée avec une attention impitoyable.
Et pourtant, malgré les conflits et les désaccords qui les opposent parfois, il y a toujours un lien indéfectible qui unit Henry à son oncle. Une loyauté profonde et inébranlable qui transcende les frontières du sang et du crime, un lien qui les lie pour le meilleur et pour le pire.
Dans les rues de New York, Henry et Dominic se frayeront un chemin à travers les embûches et les dangers qui les attendent, leurs destins entrelacés dans une danse dangereuse où la moindre erreur pourrait être fatale. Et tandis que les ombres de la nuit enveloppent la ville, ils continueront à avancer, unis par un lien qui ne peut être brisé.
Alors que le soleil décline à l'horizon, éclairant les gratte-ciels de New York d'une lueur dorée, Henry pénètre dans l'enceinte du lycée pour une journée de plus dans sa routine bien établie. Mais aujourd'hui, quelque chose est différent. Quelque chose dans l'air électrique de la ville annonce un changement imminent, un bouleversement dans la vie ordinaire de Henry.
À travers la foule grouillante d'élèves pressés, une silhouette se distingue, rayonnante de grâce et de beauté. C'est Lisa, nouvelle venue dans l'école, dont la présence attire immédiatement les regards curieux et les chuchotements admiratifs.
Henry la remarque instantanément, captivé par la grâce naturelle qui émane d'elle, par la lueur d'intelligence dans ses yeux sombres. Il la suit des yeux, incapable de détacher son regard de cette étrangère qui semble apporter un souffle de fraîcheur dans l'atmosphère étouffante du lycée.
À mesure que Lisa se fraye un chemin à travers la foule, elle croise le regard de Henry, et pendant un bref instant, leurs yeux se rencontrent dans une étincelle fugace de reconnaissance. Henry sent son cœur s'emballer dans sa poitrine, un frisson d'excitation lui parcourant l'échine.
Mais avant qu'il ait eu le temps de réagir, Lisa disparaît dans la masse des élèves, emportant avec elle une part de mystère et d'intrigue. Henry reste là, immobile, son esprit tourmenté par les pensées tumultueuses qui affluent en lui.
Qui est cette fille mystérieuse qui a capturé son attention de manière si irrésistible ? Quel est son lien avec lui, avec son monde secret de dangers et d'intrigues ? Et surtout, que va-t-il se passer maintenant qu'elle est entrée dans sa vie, menaçant de tout bouleverser sur son passage ?
Les jours qui suivent l'arrivée de Lisa à l'école sont empreints d'une tension palpable pour Henry. À chaque instant, il guette un nouveau regard, un sourire fugace, la moindre indication de son intérêt pour lui. Mais Lisa semble insaisissable, un mystère enveloppé de secrets que Henry brûle de percer.
Dans les couloirs du lycée, ils se croisent parfois, leurs regards se croisant dans une étreinte silencieuse où les mots semblent superflus. Henry sent le poids de son regard sur lui, une pression invisible qui le pousse à chercher des réponses dans les profondeurs de ses propres émotions.
Il se surprend à penser à elle à des moments improbables, dans les moments de silence solitaire où ses pensées vagabondent vers des horizons inconnus. Il imagine leurs conversations futures, leurs rires partagés, leurs secrets murmurés à l'ombre de la nuit.
Mais en même temps, une voix d'alarme retentit dans son esprit, le mettant en garde contre les dangers d'une relation avec une fille comme Lisa. Il se rappelle les avertissements répétés de son oncle Dominic, laissant entendre que les liens avec le monde extérieur sont des chaînes qui le retiendront à jamais prisonnier.
Pourtant, malgré ses réserves, Henry ne peut s'empêcher de ressentir une attraction magnétique envers Lisa, une force irrésistible qui le pousse à s'approcher d'elle davantage. Il se demande ce qu'elle pense de lui, si elle ressent la même connexion puissante qui brûle en lui.
Et tandis que les jours passent, Henry se trouve de plus en plus obsédé par l'idée de Lisa, par la possibilité d'un avenir où ils pourraient être ensemble malgré les obstacles qui se dressent sur leur chemin. Mais pour l'instant, il sait qu'il doit rester sur ses gardes, prêt à affronter les défis qui l'attendent dans les ténèbres de la nuit new-yorkaise.
Un après-midi ensoleillé, alors que les élèves se précipitent hors de l'école pour profiter des derniers rayons de soleil, Henry se retrouve soudainement face à Lisa. Elle l'attend près des grilles de l'établissement, son regard intense semblant sonder les profondeurs de son âme.
Le cœur de Henry s'emballe à sa vue, un mélange d'anticipation et d'appréhension le saisissant au creux de l'estomac. Il se demande ce qui a poussé Lisa à venir le trouver, quelles vérités elle pourrait découvrir sur lui, sur sa vie secrète cachée derrière un voile de mensonges.
"Lisa", dit-il d'une voix hésitante, tentant de dissimuler les tourments intérieurs qui le tourmentent. "Que fais-tu ici ?"
Lisa le fixe avec un mélange de détermination et de curiosité, ses yeux scrutant son visage comme s'ils cherchaient des réponses à des questions non posées. "Henry", répond-elle finalement, sa voix résonnant clairement dans l'air chargé de tension entre eux. "J'ai quelque chose à te demander."
Henry sent son pouls s'accélérer, son esprit tourbillonnant de spéculations sur ce que Lisa pourrait savoir, sur ce qu'elle pourrait révéler à propos de sa véritable identité. Il se prépare mentalement à affronter la vérité, quelle qu'elle soit, sachant qu'il ne peut plus cacher ses secrets indéfiniment.
"Quoi donc ?", demande-t-il finalement, son ton aussi neutre que possible malgré les émotions qui grondent en lui.
Lisa le fixe droit dans les yeux, son regard ne vacillant pas sous le poids de son regard intense. "Je sais qui tu es, Henry", déclare-t-elle d'une voix calme mais ferme. "Je sais ce que tu fais en dehors de l'école, dans les rues sombres de la ville."
Le cœur de Henry se serre à ses paroles, une boule de nervosité se formant dans sa gorge. Il se demande comment Lisa a découvert son secret, comment elle a percé à jour la façade soigneusement construite qu'il a érigée autour de lui.
"Que veux-tu dire ?", demande-t-il, essayant désespérément de garder son sang-froid malgré les émotions tumultueuses qui le submergent.
Lisa lui lance un regard perçant, ses yeux reflétant une détermination sans faille. "Je veux dire que je sais tout, Henry", déclare-t-elle. "Je sais qui tu es vraiment, et je veux des réponses."
Après sa rencontre tendue avec Lisa, Henry se sent submergé par un tourbillon d'émotions confuses. Il a besoin de se confier, de partager le poids de ses secrets avec quelqu'un en qui il a confiance. Et il sait exactement vers qui se tourner : son ami le plus proche, Tony.
Trouvant un moment de répit dans l'agitation du lycée, Henry cherche Tony parmi la foule d'élèves qui se précipitent dans les couloirs. Il repère finalement son ami, adossé contre un casier, une expression de concentration sur son visage alors qu'il pianote sur son téléphone.
"Tony", appelle Henry en s'approchant, un mélange de soulagement et de nervosité dans sa voix.
Tony relève la tête à l'appel de son nom, un sourire chaleureux illuminant son visage lorsqu'il voit Henry s'approcher. "Hey mec, qu'est-ce qui se passe ?" demande-t-il, détournant son attention de son téléphone pour se concentrer sur son ami.
Henry inspire profondément, rassemblant ses pensées avant de plonger dans le récit de sa rencontre avec Lisa et des révélations qu'elle lui a faites. Il parle de son double jeu, de sa vie secrète dans les rues de la ville, de la tension croissante entre lui et son oncle Dominic.
Tony l'écoute attentivement, son expression passant de la surprise à la préoccupation alors qu'il absorbe les détails de l'histoire de Henry. Une fois que Henry a fini de parler, un silence tendu s'installe entre eux, chacun absorbé par les implications de ce qu'il vient d'entendre.
"Fichtre, mec", finit par dire Tony, rompant le silence avec un soupir. "Je ne savais pas que les choses étaient devenues si compliquées pour toi."
Henry hoche la tête, reconnaissant la compréhension silencieuse dans le regard de son ami. "Oui, c'est un sacré imbroglio", admet-il. "Mais ce n'est pas tout. Il y a quelque chose d'autre que je dois te dire."
Tony l'encourage à continuer, ses yeux fixés sur Henry avec une attention soutenue. Et alors, Henry se lance, partageant son plus grand secret, celui qu'il a gardé caché au fond de lui pendant si longtemps : son amour pour la musique, son rêve de devenir musicien malgré les obstacles qui se dressent sur son chemin.
Il parle de sa passion pour la guitare, de ses mélodies qui hantent ses pensées jour et nuit, de son désir brûlant de partager sa musique avec le monde. Et à mesure qu'il parle, il sent le poids de ses secrets se dissiper, remplacé par un sentiment de libération et de soulagement.
Tony écoute silencieusement, un sourire d'encouragement étirant ses lèvres alors qu'il prend la mesure du courage de son ami. "Henry, tu es incroyable", dit-il finalement, sa voix empreinte d'admiration. "Je suis là pour toi, quoi qu'il arrive. Et si la musique te rend heureux, alors tu dois la poursuivre, peu importe ce que les autres disent."
Les mots de Tony résonnent dans l'âme de Henry, lui donnant la force et la détermination dont il a besoin pour affronter les défis à venir. Avec son ami à ses côtés, il sait qu'il peut surmonter n'importe quel obstacle et réaliser ses rêves les plus profonds, même dans les rues sombres de New York.
Après sa conversation avec Tony, Henry est retourné à ses préoccupations habituelles, essayant de jongler entre sa vie au lycée et ses activités avec le gang. Cependant, son esprit reste hanté par la confrontation avec Lisa et les révélations qu'elle lui a faites.
Un jour, alors qu'il se dirige vers sa prochaine classe, Henry sent soudainement la présence de Lisa derrière lui. Il se retourne pour la trouver là, les bras croisés et un regard déterminé sur son visage.
"Henry", commence Lisa d'une voix ferme mais contrôlée. "Nous devons parler."
Henry sent une boule de nervosité se former dans son estomac alors qu'il se prépare mentalement à affronter une autre conversation difficile avec Lisa. Il sait que cette fois, il ne peut pas se cacher derrière des mensonges ou des excuses évasives. Il doit faire face à la vérité, quelle qu'elle soit.
"Je t'écoute", répond-il finalement, essayant de garder son ton aussi neutre que possible malgré les tourments intérieurs qui le tourmentent.
Lisa le fixe avec intensité, ses yeux cherchant les siens comme pour percer le voile de secrets qui l'entoure. "Je sais ce que tu fais en dehors de l'école, Henry", déclare-t-elle sans détour. "Je sais que tu es impliqué avec le gang de ton oncle."
Les paroles de Lisa frappent Henry comme un coup de poing dans le ventre, le coupant au plus profond de son être. Il se sent exposé, vulnérable, comme si tous ses secrets les plus sombres étaient soudainement mis à nu devant elle.
"Comment... comment as-tu découvert ?" bafouille-t-il, luttant pour trouver ses mots dans le tourbillon d'émotions qui le submerge.
Lisa lui lance un regard scrutateur, son expression ne montrant aucun signe de faiblesse. "Ce n'est pas important", répond-elle fermement. "Ce qui importe, c'est que tu me dises la vérité maintenant. Pourquoi es-tu impliqué avec ce gang ? Qu'est-ce que tu fais réellement dans les rues de la ville, loin des regards indiscrets de tes camarades de classe ?"
Henry sent son cœur battre la chamade dans sa poitrine alors qu'il lutte pour trouver une réponse à la question de Lisa. Il sait qu'il ne peut plus cacher la vérité, qu'il doit lui dire tout ce qu'il sait sur ses activités avec le gang, peu importe les conséquences qui pourraient en découler.
Pris au piège entre le désir de protéger ses secrets et le besoin de dire la vérité à Lisa, Henry se sent comme un funambule sur le fil tendu de ses propres émotions. Il sait qu'il doit faire un choix, que le moment est venu de révéler la vérité à celle qui a percé le voile de ses mensonges.
"Lisa", commence-t-il d'une voix hésitante, sa gorge serrée par l'anxiété qui l'envahit. "Tu as raison. Je suis impliqué avec le gang de mon oncle, et... et il y a des choses que tu dois savoir."
Les mots sortent de la bouche de Henry avec une lenteur douloureuse, chaque syllabe pesant comme du plomb sur sa conscience tourmentée. Il se force à regarder Lisa droit dans les yeux, cherchant dans son regard la compassion et la compréhension qu'il craint de ne pas trouver.
Lisa l'écoute attentivement, son expression oscillant entre la surprise et la préoccupation alors qu'elle absorbe les révélations de Henry. Elle ne dit rien, attendant patiemment qu'il poursuive, prête à entendre tout ce qu'il a à dire.
"Il y a des choses que je n'ai jamais osé partager avec personne", poursuit Henry, sa voix tremblant légèrement sous le poids de ses confessions. "Des choses sur ma famille, sur mon passé, sur les choix que j'ai dû faire pour survivre dans ce monde impitoyable."
Il raconte à Lisa l'histoire de ses parents, de leur mort tragique lorsque lui-même n'était qu'un enfant, et de la façon dont son oncle Dominic l'a pris sous son aile et l'a élevé comme son propre fils. Il parle de sa vie au sein du gang, des dangers et des dilemmes moraux auxquels il est confronté chaque jour.
"Je sais que ce que je fais est loin d'être parfait", admet-il enfin, une lueur de vulnérabilité dans ses yeux. "Mais je fais de mon mieux pour survivre, pour protéger ceux que j'aime, même si cela signifie devoir faire des choses que je regrette."
Lisa reste silencieuse pendant un moment, absorbant les mots de Henry avec une gravité solennelle. Puis, lentement, elle pose sa main sur la sienne, une expression de compassion et de soutien éclairant son visage.
"Je suis désolée, Henry", dit-elle doucement. "Désolée d'avoir posé tant de questions, d'avoir mis en doute ta confiance. Je ne savais pas à quel point les choses étaient difficiles pour toi."
Henry la regarde avec reconnaissance, un poids invisible se levant de ses épaules alors qu'il sent le soulagement de partager ses secrets avec quelqu'un qui le comprend vraiment. Dans les moments qui suivent, ils restent là, ensemble, unis par le lien puissant de la confiance et de l'acceptation, prêts à affronter les défis à venir main dans la main.
Après avoir partagé ses secrets les plus sombres avec Lisa, Henry se sent un poids soulevé de ses épaules. Il sait qu'il a fait le bon choix en lui révélant la vérité, même si cela l'a plongé dans un océan d'incertitude quant aux répercussions à venir.
Alors qu'ils se tiennent là, ensemble, au cœur du tumulte de l'école, Henry et Lisa se regardent avec une nouvelle compréhension mutuelle. Ils savent désormais qu'ils ont plus en commun qu'ils ne l'avaient jamais imaginé, que leurs destins sont liés d'une manière qu'ils n'avaient pas anticipée.
"Lisa, je..." commence Henry, cherchant les mots pour exprimer la gratitude qu'il ressent envers elle.
Mais Lisa lui coupe la parole, un sourire doux étirant ses lèvres alors qu'elle lui adresse un regard empreint d'affection. "Pas besoin de dire quoi que ce soit, Henry", dit-elle avec douceur. "Nous sommes dans ça ensemble, maintenant. Nous trouverons un moyen de nous en sortir, quoi qu'il arrive."
Les mots de Lisa résonnent dans l'esprit de Henry avec une force inattendue, lui donnant une lueur d'espoir dans les ténèbres qui l'entourent. Il sait qu'il a trouvé en elle une alliée inattendue, une compagne de route prête à affronter les défis à ses côtés.
Dans les jours qui suivent, Henry et Lisa se rapprochent de plus en plus, partageant leurs secrets et leurs espoirs les plus profonds. Ils se promettent de se soutenir mutuellement dans les moments difficiles, de rester unis face aux dangers qui les guettent dans les rues impitoyables de New York.
Et tandis que le monde continue de tourbillonner autour d'eux, Henry et Lisa se tiennent debout, prêts à affronter l'avenir avec courage et détermination. Ensemble, ils savent qu'ils sont plus forts que tout ce qui pourrait se dresser sur leur chemin, prêts à surmonter les obstacles qui se dressent entre eux et leur avenir incertain.
Alors que les semaines passent, la relation entre Henry et son oncle Dominic commence à montrer des fissures. Les tensions qui couvaient sous la surface commencent à éclater au grand jour, créant un climat de méfiance et de ressentiment entre eux.
Dominic, habituellement calme et impassible, devient de plus en plus autoritaire et méfiant envers Henry. Il surveille ses mouvements de plus en plus étroitement, l'accusant de déloyauté à la moindre occasion et remettant en question ses motivations.
Pour Henry, ces accusations sont difficiles à supporter. Il se sent piégé entre son désir de protéger sa famille et son besoin de suivre son propre chemin. Chaque jour qui passe, il se demande combien de temps il pourra tenir avant que la pression ne devienne trop grande.
Les conflits entre eux atteignent leur paroxysme lors d'une réunion secrète du gang, où Dominic accuse Henry d'avoir des intentions cachées. Les mots sont échangés, les accusations volent dans l'air chargé de tension, et finalement, Henry prend la décision de se tenir debout contre son oncle pour la première fois.
"Je ne peux plus continuer comme ça, Dominic", déclare-t-il d'une voix ferme, son regard soutenant celui de son oncle avec détermination. "Je dois suivre mon propre chemin, même si cela signifie que nous devons nous séparer."
Les paroles de Henry résonnent dans le silence étouffant de la pièce, coupant à travers la brume de colère et de confusion qui les entoure. Pour un instant, Dominic semble sur le point de répliquer, de rejeter les paroles de son neveu avec mépris.
Mais alors, quelque chose dans le regard de Henry semble le faire reculer, une lueur de défi et de résolution qui ne peut être ignorée. Et dans cet instant fugace, une fissure apparaît dans l'armure de Dominic, révélant la vulnérabilité cachée derrière sa façade impénétrable.
"Très bien, Henry", finit-il par dire d'une voix basse, son ton empreint d'une tristesse mêlée de déception. "Fais ce que tu dois faire. Mais souviens-toi toujours d'où tu viens, et des sacrifices que nous avons tous faits pour arriver là où nous en sommes."
Et avec ces mots, Dominic se retire, laissant derrière lui un Henry déchiré entre le devoir envers sa famille et le désir de suivre son propre chemin. La fissure entre eux s'approfondit, menaçant de les séparer pour de bon. Et dans les semaines à venir, Henry devra faire face à des choix impossibles qui détermineront le cours de son destin.
Tandis que les tensions montent entre Henry et son oncle Dominic, Lisa se retrouve prise au milieu d'un conflit familial qui dépasse tout ce qu'elle avait jamais imaginé. Son père, Jonathan, a découvert la relation naissante entre elle et Henry, et il est loin d'être satisfait.
Jonathan, homme autoritaire et déterminé, a des plans ambitieux pour l'avenir de sa fille unique. Il voit en Henry un obstacle à ces plans, un jeune homme dangereux et imprévisible qui pourrait détourner Lisa de la voie qu'il a tracée pour elle.
Lisa, cependant, refuse de se plier aux désirs de son père. Elle est déterminée à suivre son cœur, même si cela signifie défier l'autorité paternelle et affronter les conséquences qui en découlent.
Les tensions atteignent leur paroxysme lors d'un affrontement explosif entre Jonathan et Henry, où les mots sont échangés et les accusations volent dans l'air chargé de tension. Jonathan accuse Henry de manipuler sa fille et de la mener sur une voie dangereuse, tandis que Henry riposte en défendant son amour pour Lisa avec véhémence.
Lisa, tiraillée entre l'amour pour son père et ses sentiments pour Henry, se retrouve confrontée à un choix impossible. Elle sait qu'elle doit suivre son propre chemin, mais elle craint les répercussions que cela pourrait avoir sur sa relation avec sa famille.
Dans les jours qui suivent, Lisa lutte pour trouver un équilibre entre ses obligations familiales et son désir de liberté et d'indépendance. Elle sait que le chemin qui s'ouvre devant elle est semé d'embûches et de difficultés, mais elle est déterminée à le parcourir, quelle qu'en soit le prix. Et avec Henry à ses côtés, elle sait qu'elle peut affronter tous les défis qui se dressent sur son chemin avec courage et détermination.
Alors qu'Henry tente de naviguer à travers les tensions croissantes avec son oncle Dominic et les conflits familiaux avec Lisa et son père Jonathan, une révélation choquante vient bouleverser encore davantage son monde déjà tourmenté.
Lors d'une nuit pluvieuse, Henry reçoit la visite inattendue d'un vieil ami de la famille, un homme mystérieux portant le poids du secret depuis des décennies. Cet homme, autrefois un associé de son défunt père, apporte avec lui des révélations qui ébranlent les fondements de l'existence d'Henry.
Il lui raconte une histoire longtemps cachée, un récit de trahison et de tromperie, de conspirations et de mensonges. Henry apprend que ses parents, loin d'être les victimes innocentes d'une tragédie inévitable, étaient en fait impliqués dans un réseau complexe de criminalité organisée, dirigé par nul autre que son propre oncle Dominic.
Les mots de l'homme résonnent dans l'esprit d'Henry avec une force dévastatrice, ébranlant sa foi en ceux qu'il aimait et en la vérité sur son passé. Il se sent trahi, manipulé, pris au piège dans un labyrinthe de secrets et de mensonges dont il ne voit pas la sortie.
Déchiré entre la loyauté envers sa famille et la vérité brutale qui lui est révélée, Henry se retrouve confronté à un choix impossible. Il sait qu'il ne peut plus fermer les yeux sur les actions de son oncle Dominic, sur les crimes qui ont détruit tant de vies, y compris la sienne.
Dans les jours qui suivent, Henry s'efforce de démêler les fils du passé, de découvrir la vérité derrière les mensonges qui ont hanté sa famille pendant des années. Il sait que la route devant lui est semée d'embûches et de dangers, mais il est déterminé à découvrir la vérité, quoi qu'il en coûte. Et avec Lisa à ses côtés, prête à le soutenir dans les moments les plus sombres, il sait qu'il peut affronter les défis à venir avec courage et détermination.
Alors que les tensions entre Henry, Lisa et leurs familles respectives atteignent un point critique, Lisa se retrouve plongée dans un tourbillon de danger et d'incertitude. Les conflits qui ont longtemps couvé sous la surface éclatent finalement au grand jour, menaçant de déchirer à jamais les liens qui la lient à ceux qu'elle aime.
Un soir, alors qu'elle rentre chez elle après une journée mouvementée à l'école, Lisa est prise en embuscade par des hommes louches, envoyés par son père pour la ramener de force à la maison. Prise au dépourvu, elle se retrouve prise dans une lutte désespérée pour sa liberté, luttant contre ses assaillants avec toute la force et la détermination dont elle peut rassembler.
Heureusement, Henry arrive à temps pour la sauver, intervenant juste avant qu'il ne soit trop tard. Avec l'aide de ses amis du gang, il repousse les assaillants et assure la sécurité de Lisa, mais le traumatisme de l'incident laisse des cicatrices profondes dans l'âme de la jeune fille.
Réaliser que son propre père serait prêt à employer de telles méthodes brutales pour la contrôler la secoue jusqu'au plus profond de son être. Elle se sent trahie, abandonnée, forcée de faire face à la dure réalité de sa situation.
Cet événement marque un tournant décisif dans la relation entre Lisa et son père, jetant une ombre sombre sur leur lien déjà tendu. Elle se rend compte qu'elle ne peut plus faire confiance à celui qui était censé la protéger et la soutenir, et elle se tourne vers Henry, la seule personne en qui elle peut vraiment avoir confiance.
Dans les jours qui suivent, Lisa et Henry se rapprochent encore davantage, trouvant du réconfort et du soutien l'un dans l'autre alors qu'ils affrontent les défis qui se dressent sur leur chemin. Ils savent que leur amour sera mis à l'épreuve, mais ils sont prêts à se battre pour lui, quelles que soient les difficultés à venir. Et avec leur détermination commune, ils sont prêts à affronter l'avenir, armés de courage et de résilience.
Alors que les tensions entre Henry et son oncle Dominic atteignent un point de non-retour, Henry décide qu'il est temps de confronter son oncle au sujet des secrets qui ont longtemps hanté sa famille. Il se rend chez Dominic, déterminé à obtenir des réponses sur le passé mystérieux de ses parents et sur le rôle de son oncle dans leur tragique destin.
Dominic, d'abord réticent à parler, se retrouve finalement acculé par la détermination implacable de son neveu. Face à la résolution inébranlable de Henry, il décide de révéler la vérité sur ce qui s'est réellement passé il y a tant d'années.
Henry écoute avec une incrédulité croissante alors que Dominic lui révèle le sombre secret qui a été caché à sa famille pendant si longtemps. Il découvre que ses parents n'ont pas été tués dans un accident comme il le croyait, mais qu'ils ont été victimes d'un complot ourdi par Dominic lui-même, dans le but de consolider son emprise sur le gang.
Choqué et bouleversé par cette révélation choquante, Henry se retrouve confronté à un dilemme moral déchirant. Il doit décider s'il peut continuer à soutenir son oncle, malgré les atrocités qu'il a commises, ou s'il doit prendre ses distances et chercher la justice pour ses parents et pour lui-même.
Dans un tourbillon d'émotions tourmentées, Henry se retire pour réfléchir à ses prochaines actions. Il sait que quelle que soit sa décision, elle aura des conséquences profondes sur sa vie et sur celle de ceux qu'il aime. Mais il est déterminé à trouver la vérité, à faire la lumière sur les ténèbres qui ont enveloppé sa famille pendant trop longtemps, même si cela signifie affronter les démons du passé avec courage et détermination.
Déterminé à révéler la vérité sur les crimes de son oncle Dominic et à obtenir justice pour ses parents, Henry se lance dans une quête périlleuse pour démanteler le gang qui a terrorisé les rues de New York pendant des années. Avec l'aide de Lisa, de ses amis du lycée et de quelques alliés improbables, Henry met en place un plan audacieux pour exposer les activités criminelles de Dominic et le faire tomber une bonne fois pour toutes.
Leur enquête les mène dans les coins les plus sombres de la ville, où ils découvrent des secrets inimaginables et des trahisons impensables. Ils affrontent des dangers mortels, échappent de justesse à la capture et se retrouvent souvent au bord du précipice.
Mais malgré tous les obstacles qui se dressent sur leur chemin, Henry et ses compagnons restent résolus à poursuivre leur quête de justice. Ils savent que le chemin à parcourir sera long et difficile, mais ils sont prêts à affronter tous les défis avec courage et détermination.
Alors que leur enquête atteint son apogée, Henry et son équipe sont confrontés à un choix déchirant. Ils doivent décider s'ils doivent sacrifier leur propre sécurité pour exposer la vérité ou s'ils doivent abandonner leur quête et retourner à une vie de complaisance et de compromis.
Dans un moment de clarté soudaine, Henry réalise qu'il ne peut pas reculer maintenant. Il doit aller jusqu'au bout, peu importe le prix à payer. Avec une détermination renouvelée, il prend la décision audacieuse de poursuivre sa quête de justice jusqu'au bout, quelles que soient les conséquences.
Avec Lisa à ses côtés, prête à le soutenir dans les moments les plus sombres, Henry se lance dans l'ultime affrontement avec son oncle Dominic, déterminé à faire triompher la vérité et à trouver enfin la paix pour lui-même et pour ceux qu'il aime. Et avec chaque pas qu'il fait sur ce chemin incertain, il sait qu'il se rapproche un peu plus de la justice qu'il cherche désespérément.
Après avoir confronté son oncle Dominic et découvert la vérité sur la mort de ses parents, Henry se retrouve face à un choix déchirant. Il sait qu'il ne peut plus rester loyal envers un homme aussi corrompu, mais il craint également les conséquences de trahir sa propre famille et le gang qui l'a élevé.
Dans un moment de clarté soudaine, Henry réalise qu'il doit suivre son propre chemin, même s'il est semé d'embûches et de dangers. Il sait qu'il doit mettre un terme à la cycle de violence et de trahison qui a détruit tant de vies, y compris la sienne.
Avec une détermination renouvelée, Henry prend la décision courageuse de se tourner vers la justice, de révéler la vérité sur les crimes de son oncle et de rendre hommage à la mémoire de ses parents en cherchant la rédemption pour sa famille et pour lui-même.
Il sait que cela ne sera pas facile, qu'il devra affronter des obstacles insurmontables et des ennemis puissants. Mais il est prêt à faire face à tous les défis avec courage et détermination, sachant que c'est le seul moyen de trouver la paix pour lui-même et pour ceux qu'il aime.
Avec Lisa à ses côtés, prête à le soutenir dans les moments les plus sombres, Henry se lance dans un voyage périlleux vers la vérité, déterminé à faire la lumière sur les secrets qui ont longtemps hanté sa famille et à trouver enfin la rédemption pour son âme tourmentée. Et avec chaque pas qu'il fait sur ce chemin incertain, il sait qu'il se rapproche un peu plus de la vérité et de la paix intérieure qu'il cherche désespérément.