Couple recherche homme pour ma femme
Ma soeur manipulatrice narcissique, je crains qu'elle monte mon fils contre moi
2024.05.21 22:43 Dingo_Illust_Queen Ma soeur manipulatrice narcissique, je crains qu'elle monte mon fils contre moi
Tout est dans l'intitulé...
Elle a toujours était malade, mythomane, narcissique, manipulatrice, mégalomane etc... tout le gros lot de la manipulatrice narcissique quoi. Depuis notre adolescente, elle a toujours éloigné (par tous les moyens, mensonges surtout) mes ami.e.s, mes petits-amis et a continué à faire ça jusqu'à nos 25 ans.
L'année dernière, elle vivait en Dom-Tom (on avait renoué des liens par téléphone après avoir été séparées pendant plus de 10 ans, devinez pourquoi ?) et à son arrivée en France chez moi, tout allait très bien. Puis... En moins de 48h, on s'est disputé une 1ère fois parce qu'elle me racontait qu'elle avait trouvé un terrain à reprendre, qui faisait aussi chambre d'hôtes et que j'ai eu l'impolitesse de lui poser plusieurs fois la simple question : s'il y avait des transports en communs à proximité pour son fils puisqu'il devait être scolarisé. Pas de réponse, elle a fait comme si elle n'avait rien entendu. Je lui avais donc répété que j'étais contente pour eux et ai reposé la question tandis qu'elle continuait de me parler de ce projet, à partir de là, elle a sorti les grands mots comme "je n'aurais jamais venir chez toi" ou "je regrette d'être venu"... J'ai été choquée, ça sortait de nulle part, elle avait sorti les grands mots. Ensuite je m'étais mise en colère en lui disant que c'était une simple question et que c'était injuste de sa part de m'envoyer dans la figure ses grands mots de désespoir. Que ça rimait à rien, que c'était bête, méchant et gratuit... À partir de là, elle a intimé à son fils de prendre ses affaires pour quitter mon appartement. Parce que j'ai posé une question ? que j'ai eu le malheur de lui dire que c'était injustifié de m'envoyer ça dans la figure ? J'étais hyper déçue, j'ai su à cet instant qu'elle n'avait pas évoluée... elle est partie pleurer sur le balcon et JE m'étais excusé. En essayant d'expliquer cela en disant que faisait plus de 10 ans qu'on ne s'était pas vu et qu'il fallait ré-apprendre à ce connaître.
Trois jours plus tard, elle racontait qu'un guépard s'était approché de son champs, que c'était hyper rare. Je rebondis donc, en disant qu'elle était chanceuse puis je lui ai partagé ma théorie, comme quoi les êtres humains avaient leurs terrains agricoles de plus en plus proches de la forêt, peut-être que les guépards s'étaient habitués à la présence des agriculteurs ? Rien qu'à ça, j'avais déjà pressentis que quelque chose n'allait pas dans son regard, il commencait à devenir de plus en plus noir... Elle n'a rien dit… Puis elle racontait qu'un colibris s'était posé sur son épaule, que c'était là encore hyper rare et j'ai rebondis sur ça, je lui disait que j'avais vu ça en vidéo, que les gens mettaient du miel dans leur main et les colibris venaient butiner dans leurs mains. Que n'avais-je pas dit ?!?!? Elle m'a rétorqué "de toute façon y'a que maman qui me comprend"... Qu'est-ce qu'il s'était passé à ce moment là dans sa tête ? Qu'est-ce que ma mère venait faire ici ? Qu'est-ce que j'avais encore dit pour mériter ce reproche ? Bien sûr, je m'en étais pris pleins la figure, pleins de reproche, qu'elle me racontait quelque chose et que je lui coupait la parole, des reproches quoi… Je m'étais mise en colère et je lui ai dit mes 4 vérités, que je ne méritais pas ça, qu'elle était hyper susceptible et qu'elle ne savait pas être dans une discussion anodine, la preuve en était qu'elle ne recevait rien. J'étais donc la responsable, évidemment. Et coupable de ma colère… après avoir reçu tous ça dans la figure dans un calme olympien jusqu'au reproche de trop.
Bref ! On s'était disputé puis elle prenait ses affaires, son fils, quittaient mon appartement parce qu'elle n'a pas aimé que je lui partage ce que j'ai vu en vidéo dans une discussion totalement anodine ?...
Ma théorie, c'est qu'elle voulait en fait que je fasse les grands yeux pleins d'étoiles émerveillée par elle, par sa lumière et que je sois bouche bea, que je la caresse dans le sens du poil, que je la considère comme une messie arrivée sur terre.
Bon d'accord, je suis sarcastique j'ai aussi mon caractère mais après l'avoir côtoyé pendant plus 20 ans, même après avoir été séparées pendant plus de 10 ans, elle a toujours voulu être au-dessus de tout, qu'il n'y en ait que pour elle et les autres (dont tout le monde) en dessous. Etc...
Je croyais, non j'ai cru que cela aurait pu changer et évoluer entre nous.
Donc rien avait changé et rien ne changera.
Quelques semaines après cette dispute et qu'ils soient partis, elle a envoyé un texto à ma belle-sœur en me dénigrant, que j'étais hystérique, colérique, que j'étais un monstre etc... en écrivant que sa fille (donc ma filleule) lui manquait, qu'elle aimerait l'avoir avec elle (alors qu'elle ne l'a rencontré que 2 fois). Et enfin, elle a essayé de monter ma belle-sœur contre moi sauf que ma belle-sœur (on se connaît depuis presque 20 ans) a été assez intelligente et ne s'est pas laissé faire.
Mais là, ma sœur je le vois arriver , je le sens, elle veut monter mon fils contre moi.
Pourquoi ? Parce qu'on s'est revu, froidement, à l'hôpital (un membre de ma famille est hospitalisé) il y a 1 semaine.
Un soir, ils invitent mon fils à dîner ensemble. Puisqu'ils ne s'étaient jamais revu depuis 1 an, je me suis dit que c'était bien, mon fils pourrait enfin faire connaissance avec son cousin et partager des moments qu'elle nous avait privé après être partis. Qu'ils puissent grandir ensemble enfin…
Et mon fils me dit aujourd'hui (après un accrochage) qu'elle lui a dit que je suis seule parce que je ne suis qu'une colérique, qui cri au lieu de discuter... et qu'elle avait sûrement raison…
Ça m'a brisé le cœur… d'entendre ça de mon fils… qu'il l'a écouté et que ma sœur a commencé sa campagne contre moi en rangeant mon fils à ses côtés…
À chaque fois qu'elle est entrée dans ma vie, toujours avec une gentillesse extrême, en faisant de mes émotions des montagnes russes et à la fin, c'est pour la détruire.
Et là, elle est en pleine campagne de haine contre moi et s'attaque maintenant à mon fils... pour le récupérer et en faire un biais de confirmation pour se faire passer pour une sainte.
Et ça ! C'est dangereux !
Je sais plus quoi faire... on a toutes les plus ou moins 40 ans aujourd'hui et j'ai l'impression que ça ne s'arrêtera jamais...
Je crains que mon fils se fasse embobiner bien que je l'avais déjà averti, bien qu'il ait été témoin de son mépris envers moi à l'hôpital, que malgré mon calme dans la chambre d'hôpital, en sortant de l'hôpital, il ait été témoin des horribles textos qu'elle m'a envoyé… même dans des événements comme ceux-ci, elle veut pourrir ma vie…
Mais comment expliquer à un garçon de 17 ans la complexité du manipulateur narcissique sans prendre des pincettes ? D'autant plus que c'est sa tante... Je crains qu'il soit trop naïf parce que gentil et qu'il agisse par gentillesse pour ne pas blesser sa tante, qu'il ne fasse pas attention parce qu'il n'a jamais vraiment eu sa tante et son cousin auprès de lui... à cause du manque et l'absence de cette famille... je crains qu'il ne tombe dans cette famille 'Guru' ... et qu'elle en profite pour en faire ce qu'elle veut.
Je veux pas faire de drama à mon fils ni la laisser faire, seulement, suis à un point où j'ai juste envie de d'exploser et d'aller crier sur tout les toits quelle horrible femme elle est... Je sais qu'il faut pas que je craque.
Mais...
Sais plus quoi faire.
Quelqu'un pour éclairer un peu ce passage sous tunnel ?
Demain j'ai rdv avec ma psy, j'ai hâte de la voir !
Merci de m'avoir lu, c'était long, fallait que ça sorte... 😅 et merci pour les personnes qui veuillent bien prendre le temps d'écrire ❤️
submitted by Dingo_Illust_Queen to besoindeparler [link] [comments]
Elle a toujours était malade, mythomane, narcissique, manipulatrice, mégalomane etc... tout le gros lot de la manipulatrice narcissique quoi. Depuis notre adolescente, elle a toujours éloigné (par tous les moyens, mensonges surtout) mes ami.e.s, mes petits-amis et a continué à faire ça jusqu'à nos 25 ans.
L'année dernière, elle vivait en Dom-Tom (on avait renoué des liens par téléphone après avoir été séparées pendant plus de 10 ans, devinez pourquoi ?) et à son arrivée en France chez moi, tout allait très bien. Puis... En moins de 48h, on s'est disputé une 1ère fois parce qu'elle me racontait qu'elle avait trouvé un terrain à reprendre, qui faisait aussi chambre d'hôtes et que j'ai eu l'impolitesse de lui poser plusieurs fois la simple question : s'il y avait des transports en communs à proximité pour son fils puisqu'il devait être scolarisé. Pas de réponse, elle a fait comme si elle n'avait rien entendu. Je lui avais donc répété que j'étais contente pour eux et ai reposé la question tandis qu'elle continuait de me parler de ce projet, à partir de là, elle a sorti les grands mots comme "je n'aurais jamais venir chez toi" ou "je regrette d'être venu"... J'ai été choquée, ça sortait de nulle part, elle avait sorti les grands mots. Ensuite je m'étais mise en colère en lui disant que c'était une simple question et que c'était injuste de sa part de m'envoyer dans la figure ses grands mots de désespoir. Que ça rimait à rien, que c'était bête, méchant et gratuit... À partir de là, elle a intimé à son fils de prendre ses affaires pour quitter mon appartement. Parce que j'ai posé une question ? que j'ai eu le malheur de lui dire que c'était injustifié de m'envoyer ça dans la figure ? J'étais hyper déçue, j'ai su à cet instant qu'elle n'avait pas évoluée... elle est partie pleurer sur le balcon et JE m'étais excusé. En essayant d'expliquer cela en disant que faisait plus de 10 ans qu'on ne s'était pas vu et qu'il fallait ré-apprendre à ce connaître.
Trois jours plus tard, elle racontait qu'un guépard s'était approché de son champs, que c'était hyper rare. Je rebondis donc, en disant qu'elle était chanceuse puis je lui ai partagé ma théorie, comme quoi les êtres humains avaient leurs terrains agricoles de plus en plus proches de la forêt, peut-être que les guépards s'étaient habitués à la présence des agriculteurs ? Rien qu'à ça, j'avais déjà pressentis que quelque chose n'allait pas dans son regard, il commencait à devenir de plus en plus noir... Elle n'a rien dit… Puis elle racontait qu'un colibris s'était posé sur son épaule, que c'était là encore hyper rare et j'ai rebondis sur ça, je lui disait que j'avais vu ça en vidéo, que les gens mettaient du miel dans leur main et les colibris venaient butiner dans leurs mains. Que n'avais-je pas dit ?!?!? Elle m'a rétorqué "de toute façon y'a que maman qui me comprend"... Qu'est-ce qu'il s'était passé à ce moment là dans sa tête ? Qu'est-ce que ma mère venait faire ici ? Qu'est-ce que j'avais encore dit pour mériter ce reproche ? Bien sûr, je m'en étais pris pleins la figure, pleins de reproche, qu'elle me racontait quelque chose et que je lui coupait la parole, des reproches quoi… Je m'étais mise en colère et je lui ai dit mes 4 vérités, que je ne méritais pas ça, qu'elle était hyper susceptible et qu'elle ne savait pas être dans une discussion anodine, la preuve en était qu'elle ne recevait rien. J'étais donc la responsable, évidemment. Et coupable de ma colère… après avoir reçu tous ça dans la figure dans un calme olympien jusqu'au reproche de trop.
Bref ! On s'était disputé puis elle prenait ses affaires, son fils, quittaient mon appartement parce qu'elle n'a pas aimé que je lui partage ce que j'ai vu en vidéo dans une discussion totalement anodine ?...
Ma théorie, c'est qu'elle voulait en fait que je fasse les grands yeux pleins d'étoiles émerveillée par elle, par sa lumière et que je sois bouche bea, que je la caresse dans le sens du poil, que je la considère comme une messie arrivée sur terre.
Bon d'accord, je suis sarcastique j'ai aussi mon caractère mais après l'avoir côtoyé pendant plus 20 ans, même après avoir été séparées pendant plus de 10 ans, elle a toujours voulu être au-dessus de tout, qu'il n'y en ait que pour elle et les autres (dont tout le monde) en dessous. Etc...
Je croyais, non j'ai cru que cela aurait pu changer et évoluer entre nous.
Donc rien avait changé et rien ne changera.
Quelques semaines après cette dispute et qu'ils soient partis, elle a envoyé un texto à ma belle-sœur en me dénigrant, que j'étais hystérique, colérique, que j'étais un monstre etc... en écrivant que sa fille (donc ma filleule) lui manquait, qu'elle aimerait l'avoir avec elle (alors qu'elle ne l'a rencontré que 2 fois). Et enfin, elle a essayé de monter ma belle-sœur contre moi sauf que ma belle-sœur (on se connaît depuis presque 20 ans) a été assez intelligente et ne s'est pas laissé faire.
Mais là, ma sœur je le vois arriver , je le sens, elle veut monter mon fils contre moi.
Pourquoi ? Parce qu'on s'est revu, froidement, à l'hôpital (un membre de ma famille est hospitalisé) il y a 1 semaine.
Un soir, ils invitent mon fils à dîner ensemble. Puisqu'ils ne s'étaient jamais revu depuis 1 an, je me suis dit que c'était bien, mon fils pourrait enfin faire connaissance avec son cousin et partager des moments qu'elle nous avait privé après être partis. Qu'ils puissent grandir ensemble enfin…
Et mon fils me dit aujourd'hui (après un accrochage) qu'elle lui a dit que je suis seule parce que je ne suis qu'une colérique, qui cri au lieu de discuter... et qu'elle avait sûrement raison…
Ça m'a brisé le cœur… d'entendre ça de mon fils… qu'il l'a écouté et que ma sœur a commencé sa campagne contre moi en rangeant mon fils à ses côtés…
À chaque fois qu'elle est entrée dans ma vie, toujours avec une gentillesse extrême, en faisant de mes émotions des montagnes russes et à la fin, c'est pour la détruire.
Et là, elle est en pleine campagne de haine contre moi et s'attaque maintenant à mon fils... pour le récupérer et en faire un biais de confirmation pour se faire passer pour une sainte.
Et ça ! C'est dangereux !
Je sais plus quoi faire... on a toutes les plus ou moins 40 ans aujourd'hui et j'ai l'impression que ça ne s'arrêtera jamais...
Je crains que mon fils se fasse embobiner bien que je l'avais déjà averti, bien qu'il ait été témoin de son mépris envers moi à l'hôpital, que malgré mon calme dans la chambre d'hôpital, en sortant de l'hôpital, il ait été témoin des horribles textos qu'elle m'a envoyé… même dans des événements comme ceux-ci, elle veut pourrir ma vie…
Mais comment expliquer à un garçon de 17 ans la complexité du manipulateur narcissique sans prendre des pincettes ? D'autant plus que c'est sa tante... Je crains qu'il soit trop naïf parce que gentil et qu'il agisse par gentillesse pour ne pas blesser sa tante, qu'il ne fasse pas attention parce qu'il n'a jamais vraiment eu sa tante et son cousin auprès de lui... à cause du manque et l'absence de cette famille... je crains qu'il ne tombe dans cette famille 'Guru' ... et qu'elle en profite pour en faire ce qu'elle veut.
Je veux pas faire de drama à mon fils ni la laisser faire, seulement, suis à un point où j'ai juste envie de d'exploser et d'aller crier sur tout les toits quelle horrible femme elle est... Je sais qu'il faut pas que je craque.
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2024.05.21 22:43 jravitz [WTS] 280+ Bottles - USA SELLER - Niche, Designer, Vintage, Discontinued and Hard to Find (Bottle)
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Only swapping for 200mL Baccarat Rouge 540 Extrait and Louis Vuitton Symphony at this time.
All of my contact info as well as all of my bottles for sale, are available in my spreadsheet which you should bookmark and look at for a more updated inventory
Spreadsheet
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| HOUSE | FRAGRANCE | SIZE | REMAINING | Notes/Condition | Price | Type | |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1 | Amouage | Amber Sogara | 12mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $335 | Niche |
| 2 | Amouage | Incense Rori Attar | 12mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $299 | Niche |
| 3 | Amouage | Orris Wakan Attar | 12mL | 99% Full | Full Presentation | $299 | Niche |
| 4 | Amouage | Rose Aqor Attar | 12mL | 99% Full | Full Presentation | $299 | Niche |
| 5 | Amouage | Saffron Hamra Attar | 12mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $299 | Niche |
| 6 | Andy Tauer | Cologne du Maghreb | 50mL | 99% Full | First Release, Rectangular Clear Bottle; With box | $95 | Niche |
| 7 | Bond No. 9 | Central Park West | 100mL | 100% Full | Tester (No Box or Cap) | $149 | Niche |
| 8 | Bond No. 9 | Dubai Jade | 100mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $200 | Niche |
| 9 | Bond No. 9 | Hamptons | 100mL | 100% Full | Tester (No Box or Cap) | $149 | Niche |
| 10 | Bond No. 9 | Madison Square Park | 100mL | 100% Full | Tester (No Box or Cap) | $149 | Niche |
| 11 | Bond No. 9 | New York Nights | 100mL | 100% Full | Tester (No Cap, No Box) | $165 | Niche |
| 12 | Bond No. 9 | NOMAD | 100mL | 100% Full | Tester (No Box or Cap) | $169 | Niche |
| 13 | Bond No. 9 | Riverside Drive | 100mL | 100% Full | Tester (No Box or Cap) | $149 | Niche |
| 14 | Bond No. 9 | So New York | 100mL | 100% Full | Tester (No Box or Cap) | $149 | Niche |
| 15 | Bond No. 9 | Sutton Place | 100mL | 100% Full | Tester (No Box or Cap) | $149 | Niche |
| 16 | Bond No. 9 | Wall Street | 100mL | 100% Full | Tester (No Box or Cap) | $149 | Niche |
| 17 | By Kilian | Bamboo Harmony | 100mL | 100% Full | Tester Refill (No Spray, No Box) | $199 | Niche |
| 18 | By Kilian | Black Phantom | 100mL | 100% Full | Tester Refill (No Spray, No Box) | $199 | Niche |
| 19 | By Kilian | Can't Stop Loving You | 50mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $185 | Niche |
| 20 | By Kilian | Forbidden Games | 50mL | 98% Full | Tester Refill (No Spray, No Box) | $125 | Niche |
| 21 | By Kilian | Gold Knight | 100mL | 100% Full | Tester Refill (No Spray, No Box) | $199 | Niche |
| 22 | By Kilian | Gold Knight | 50mL | 98% Full | Tester Refill (No Spray, No Box) | $145 | Niche |
| 23 | By Kilian | Good Girl Gone Bad | 250mL | 99% Full | Decanter; No Box | $650 | Niche |
| 24 | By Kilian | Good Girl Gone Bad | 50mL | 98% Full | Tester Refill (No Spray, No Box) | $135 | Niche |
| 25 | By Kilian | Good Girl Gone Bad Eau Fraiche | 50mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $180 | Niche |
| 26 | By Kilian | Intoxicated | 100mL | 100% Full | Tester Refill (No Spray, No Box) | $199 | Niche |
| 27 | By Kilian | L'Heure Verte | 50mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $135 | Niche |
| 28 | By Kilian | Moonlight In Heaven | 100mL | 99% Full | Tester Refill (No Spray, No Box) | $199 | Niche |
| 29 | By Kilian | Roses on Ice | 50mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $135 | Niche |
| 30 | Byredo | Eyes Closed | 50mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $135 | Niche |
| 31 | Byredo | Infloresence | 100mL | 100% Full | Tester; No Box | $135 | Niche |
| 32 | Byredo | Lil Fleur | 100mL | 100% Full | Tester; No Box | $135 | Niche |
| 33 | Byredo | Sunday Cologne | 100mL | 100% Full | Tester; No Box | $135 | Niche |
| 34 | Chanel / Chanel Exclusif | Misia EdT | 200mL | 90% Full | Tester with Cap (No Box) | $325 | Niche |
| 35 | Chanel / Chanel Exclusif | No. 22 EdT | 200mL | 95% Full | Tester with Cap (No Box) | $325 | Niche |
| 36 | Christian Dior / Dior Privee | 7 Mini Set as Pictured | 7x 5mL | 100% Full | 7 Official Minis from 2010-2011... Mitzah, Milly-A-La-Foret, Granville, Cologne Royale, Eau Noire, New Look 1947 | $180 | Niche |
| 37 | Christian Dior / Dior Privee | Bois D'Argent | 5mL | 100% Full | Official Mini - Batch Code 0V01 (2010 Production Date) - Price includes shipping | $35 | Niche |
| 38 | Christian Dior / Dior Privee | Cologne Royale | 5mL | 100% Full | Official Mini - Batch Code 1X01 (2011 Production Date) - Price includes shipping | $30 | Niche |
| 39 | Christian Dior / Dior Privee | Diorissima | 7.5mL | 100% Full | Official Mini; No Cannister - Price includes shipping | $30 | Niche |
| 40 | Christian Dior / Dior Privee | Eau Noire | 5mL | 100% Full | Official Mini - Batch Code 1R01 (2011 Production Date) - Price includes shipping | $35 | Niche |
| 41 | Christian Dior / Dior Privee | Eden Roc | 7.5mL | 100% Full | Official Mini - Price includes shipping | $30 | Niche |
| 42 | Christian Dior / Dior Privee | Granville | 5mL | 100% Full | Official Mini - Batch Code 0V01 (2010 Production Date) - Price includes shipping | $35 | Niche |
| 43 | Christian Dior / Dior Privee | Milly-La-Foret | 5mL | 100% Full | Official Mini - Batch Code 0W01 (2010 Production Date) - Price includes shipping | $30 | Niche |
| 44 | Christian Dior / Dior Privee | New Look 1947 | 5mL | 100% Full | Official Mini - Batch Code 1R01 (2011 Production Date) - Price includes shipping | $30 | Niche |
| 45 | Clive Christian | C for Men | 50mL | 95% Full | Tester (No Box) | $169 | Niche |
| 46 | Clive Christian | I Pour Femme (Woody Floral with Vintage Rose) | 50mL | 99% Full | Tester (No Box) | $169 | Niche |
| 47 | Clive Christian | Rock Rose | 50mL | 100% Full | Tester (No Box) | $229 | Niche |
| 48 | Clive Christian | X Pour Femme | 50mL | 100% Full | Tester (No Box) | $169 | Niche |
| 49 | Creed | Aventus - 19P21 (Decant) | 50mL | 100% Full | Magnetic Cap Decant | $169 | Niche |
| 50 | Creed | Aventus - F Batch | 100mL | 100% Full | BNIB, Sealed | $235 | Niche |
| 51 | Creed | Aventus Cologne - F Batch | 100mL | 100% Full | BNIB, Sealed | $235 | Niche |
| 52 | Creed | Aventus for Her - F Batch | 75mL | 100% Full | Tester with Plastic Cap (No Box) | $175 | Niche |
| 53 | Creed | Bois du Portugal | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $185 | Niche |
| 54 | Creed | Carmina - F1449 | 75mL | 100% Full | Tester (No Cap or Box) | $199 | Niche |
| 55 | Creed | Erolfa | 100mL | 100% Full | Tester with Plastic Cap | $185 | Niche |
| 56 | Creed | Green Irish Tweed | 100mL | 100% Full | Tester with Plastic Cap (No Box) | $195 | Niche |
| 57 | Creed | Himalaya - F Batch | 100mL | 100% Full | Tester with Plastic Cap (No Box) | $185 | Niche |
| 58 | Creed | Millesime Imperial | 100mL | 100% Full | Tester with Plastic Cap (No Box) | $185 | Niche |
| 59 | Creed | Original Santal | 100mL | 100% Full | Tester with Plastic Cap (No Box) | $185 | Niche |
| 60 | Creed | Original Vetiver | 100mL | 100% Full | Tester with Plastic Cap (No Box) | $185 | Niche |
| 61 | Creed | Queen of Silk | 75mL | 100% Full | Tester with Metal Cap | $275 | Niche |
| 62 | Creed | Refillable Atomizer (5mL Leather Wrapped) Blue | 5mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $85 | Niche |
| 63 | Creed | Refillable Atomizer (5mL Leather Wrapped) Grey | 5mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $85 | Niche |
| 64 | Creed | Royal Oud - F Batch | 100mL | 100% Full | Tester with Plastic Cap (No Box) | $260 | Niche |
| 65 | Creed | Royal Water - F238 | 100mL | 100% Full | Tester with Plastic Cap (No Box) | $180 | Niche |
| 66 | Creed | Silver Mountain Water - 21V01A | 100mL | 100% Full | Tester with Plastic Cap (No Box) | $180 | Niche |
| 67 | Creed | Viking - F BATCH | 100mL | 100% Full | Tester with Plastic Cap (No Box) | $190 | Niche |
| 68 | Creed | Viking Cologne | 100mL | 100% Full | Tester with Plastic Cap | $185 | Niche |
| 69 | Creed | Virgin Island Water | 100mL | 100% Full | Tester with Plastic Cap (No Box) | $195 | Niche |
| 70 | Creed | White Amber - 17R01 | 75mL | 100% Full | Tester (No Box or Cap) | $155 | Niche |
| 71 | Diptyque | Ombre Dans L'eau EdT | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $100 | Niche |
| 72 | Diptyque | Oyedo EdT | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $100 | Niche |
| 73 | Fragrance Du Bois | Brume du Matin | 100mL | 100% Full | New, No Box | $180 | Niche |
| 74 | Fragrance Du Bois | Cannabis Blue | 100mL | 100% Full | New, No Box | $180 | Niche |
| 75 | Fragrance Du Bois | Cannabis Intense | 100mL | 100% Full | New, No Box | $180 | Niche |
| 76 | Fragrance Du Bois | HERITAGE | 100mL | 100% Full | New, No Box | $330 | Niche |
| 77 | Fragrance du Bois | Lovers | 100mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $325 | Niche |
| 78 | Fragrance Du Bois | New York Fifth Avenue | 100mL | 100% Full | New, No Box | $180 | Niche |
| 79 | Fragrance Du Bois | SAHRAA | 100mL | 99% Full | Full presentation with Box | $399 | Niche |
| 80 | Fragrance Du Bois | Siberian Rose | 100mL | 100% Full | New, No Box | $180 | Niche |
| 81 | Frederic Malle | Cologne Indellible | 100mL | 85% Full | Full presentation with Box | $175 | Niche |
| 82 | Frederic Malle | Eau de Magnolia | 10mL | 100% Full | Official Travel Spray | $55 | Niche |
| 83 | Frederic Malle | Heaven Can Wait | 100mL | 100% Full | Brand New In Box | $255 | Niche |
| 84 | Frederic Malle | Monsieur | 10mL | 95% Full | Official Travel Spray | $55 | Niche |
| 85 | Frederic Malle | Promise | 100mL | 100% Full | Brand New (Not Sealed) | $315 | Niche |
| 86 | Gallagher | Bergamot Silk | 100mL | 99% Full | No Box | $79 | Niche |
| 87 | Giorgio Armani / Armani Prive | Pierre de Lune | 100mL | 100% Full | Tester; No Box | $155 | Niche |
| 88 | Giorgio Armani / Armani Prive | Rose Alexandrie | 100mL | 100% Full | Tester; No Box | $155 | Niche |
| 89 | Guerlain | Angelique Noire | 30mL | 100% Full | Mini Bee Bottle Decant | $215 | Niche |
| 90 | Guerlain | Angelique Noire | 10mL | 100% Full | Tall Glass Decant | $55 | Niche |
| 91 | Guerlain | French Kiss | 75mL | 98% Full | Tester (No Box or Cap) | $450 | Niche |
| 92 | Guerlain | Frenchy Lavende | 200mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $399 | Niche |
| 93 | Guerlain | Herbes Troublantes | 200mL | 100% Full | Tester (No Box) | $339 | Niche |
| 94 | Guerlain | Jasmin Bonheur | 200mL | 100% Full | Tester (No Box) | $369 | Niche |
| 95 | Guerlain | Neroli Outrenoir | 200mL | 100% Full | Tester (No Box) | $339 | Niche |
| 96 | Guerlain | Spiriteuse Double Vanille | 200mL | 100% Full | Tester with Cap | $399 | Niche |
| 97 | Guerlain | Tobacco Honey | 200mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $399 | Niche |
| 98 | Hermes / Hermessence | Agar Ebene | 100mL | 100% Full | Tester (No Box or Cap) | $150 | Niche |
| 99 | Hermes / Hermessence | Cedre Sambac | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $165 | Niche |
| 100 | Hermes / Hermessence | Epice Marine | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $170 | Niche |
| 101 | Hermes / Hermessence | Myrrhe Eglantine | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $185 | Niche |
| 102 | Hermes / Hermessence | Poivre Samarcade | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $170 | Niche |
| 103 | Hermes / Hermessence | Santal Massoia | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $170 | Niche |
| 104 | Hermes / Hermessence | Vetiver Tonka | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $175 | Niche |
| 105 | House of Sillage | Nouez Moi | 75mL | 99% Full | Tester (No Box or Cap) | $120 | Niche |
| 106 | I Profumi di Firenze | Caterina De Medici | 50mL | 99% Full | No Box | $35 | Niche |
| 107 | Initio | High Frequency | 90mL | 100% Full | Tester (No Box) | $180 | Niche |
| 108 | Initio | Oud for Happiness | 90mL | 100% Full | Tester; No Box | $189 | Niche |
| 109 | Jo Malone | English Pear & Freesia | 30mL | 100% Full | No Box | $50 | Niche |
| 110 | Le Labo | Bigarade 18 - Hong Kong Exclusive | 50mL | 100% Full | Full Bottle, Retail Label | $299 | Niche |
| 111 | Le Labo | Mousse de Chene 30 - Amsterdam City Exclusive | 50mL | 99% Full | Sprayed Once to Test / Brand New; No Box | $259 | Niche |
| 112 | Le Labo | Oud 27 | 50mL | 99% Full | Full presentation with Box | $169 | Niche |
| 113 | Le Labo | Santal 33 | 50mL | 100% Full | Full Bottle, Retail Label | $135 | Niche |
| 114 | Liquides Imaginaires | Bloody Wood | 100mL | 100% Full | Tester; No Box, No Cap | $85 | Niche |
| 115 | Liquides Imaginaires | Desert Sauve | 100mL | 99% Full | Tester; No Box, No Cap | $85 | Niche |
| 116 | Liquides Imaginaires | Fleur de Sable | 100mL | 99% Full | Tester; No Box, No Cap | $85 | Niche |
| 117 | Liquides Imaginaires | Fleuve Tendre | 100mL | 100% Full | Tester; No Box, No Cap | $85 | Niche |
| 118 | Liquides Imaginaires | Sancti | 100mL | 100% Full | Tester; No Box, No Cap | $85 | Niche |
| 119 | Loewe | 7 EdT | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $90 | Niche |
| 120 | Loewe | Aire Anthesis | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $100 | Niche |
| 121 | Loewe | Esencia EdP | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $120 | Niche |
| 122 | Loewe | Esencia Elixir | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $200 | Niche |
| 123 | Loewe | Man 001 EdP | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $120 | Niche |
| 124 | Louis Vuitton | Contre Moi | 100mL | 99% Full | Tester (Bottle may show some damage, Cap has no paint/is peeling) | $385 | Niche |
| 125 | Louis Vuitton | Sun Song | 100mL | 98% Full | Tester (Bottle is scratched, may have an engraving, and Cap has no paint/is peeling) | $425 | Niche |
| 126 | Louis Vuitton | Sun Song | 200mL | 98% Full | Dummy Bottle, filled with real juice. I don't think it's refillable. | $750 | Niche |
| 127 | Maison Crivelli | Bois Datchai | 100mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $169 | Niche |
| 128 | Maison Francis Kurkdjian | 724 | 200mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $355 | Niche |
| 129 | Maison Francis Kurkdjian | 724 | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $165 | Niche |
| 130 | Maison Francis Kurkdjian | A la Rose | 200mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $315 | Niche |
| 131 | Maison Francis Kurkdjian | Amyris Femme EdP | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $150 | Niche |
| 132 | Maison Francis Kurkdjian | Amyris Femme Extrait | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $160 | Niche |
| 133 | Maison Francis Kurkdjian | Amyris Homme EdT | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $160 | Niche |
| 134 | Maison Francis Kurkdjian | Aqua Celestia | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $135 | Niche |
| 135 | Maison Francis Kurkdjian | Aqua Celestia Cologne Forte | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $145 | Niche |
| 136 | Maison Francis Kurkdjian | Aqua Celestia Forte | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $160 | Niche |
| 137 | Maison Francis Kurkdjian | Aqua Universalis | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $135 | Niche |
| 138 | Maison Francis Kurkdjian | Aqua Universalis Cologne Forte | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $125 | Niche |
| 139 | Maison Francis Kurkdjian | Aqua Universalis Cologne Forte | 200mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $225 | Niche |
| 140 | Maison Francis Kurkdjian | Aqua Universalis Cologne Forte | 35mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $90 | Niche |
| 141 | Maison Francis Kurkdjian | Aqua Universalis Forte | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $160 | Niche |
| 142 | Maison Francis Kurkdjian | Aqua Vitae | 200mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $215 | Niche |
| 143 | Maison Francis Kurkdjian | Aqua Vitae | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $135 | Niche |
| 144 | Maison Francis Kurkdjian | Aqua Vitae Cologne Forte | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $125 | Niche |
| 145 | Maison Francis Kurkdjian | Aqua Vitae Cologne Forte | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $215 | Niche |
| 146 | Maison Francis Kurkdjian | Aqua Vitae Forte | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $160 | Niche |
| 147 | Maison Francis Kurkdjian | Aqua Vitae Forte | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $160 | Niche |
| 148 | Maison Francis Kurkdjian | Baccarat Rouge 540 EdP | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $209 | Niche |
| 149 | Maison Francis Kurkdjian | Baccarat Rouge 540 EdP | 200mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $399 | Niche |
| 150 | Maison Francis Kurkdjian | Feminine Pluriel | 200mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $335 | Niche |
| 151 | Maison Francis Kurkdjian | Feminine Pluriel Special Edition Extrait | 70mL | 100% Full | Full Presentation With Mirror Display | $499 | Niche |
| 152 | Maison Francis Kurkdjian | Gentle Fluidity Gold | 200mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $365 | Niche |
| 153 | Maison Francis Kurkdjian | Gentle Fluidity Gold | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $165 | Niche |
| 154 | Maison Francis Kurkdjian | L'eau a La Rose | 35mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $90 | Niche |
| 155 | Maison Francis Kurkdjian | L'Homme a la Rose | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $165 | Niche |
| 156 | Maison Francis Kurkdjian | Masculin Pluriel | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $165 | Niche |
| 157 | Maison Francis Kurkdjian | Oud EdP | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $170 | Niche |
| 158 | Maison Francis Kurkdjian | Oud Extrait | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $190 | Niche |
| 159 | Maison Francis Kurkdjian | Oud Silk Mood EdP | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $170 | Niche |
| 160 | Maison Francis Kurkdjian | Oud Silk Mood Extrait | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $190 | Niche |
| 161 | Maison Francis Kurkdjian | Petit Matin | 70mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $145 | Niche |
| 162 | Maison Francis Kurkdjian | Petit Matin | 35mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $80 | Niche |
| 163 | Maison Lancome | Orange Bigarades | 100mL | 100% Full | Full presentation with Box | $229 | Niche |
| 164 | Mark Birley | Charles Street | 75mL | 97% Full | Travel Version | $90 | Niche |
| 165 | Memo Paris | French Leather | 75mL | 100% Full | Tester (No Box or Cap) | $115 | Niche |
| 166 | Memo Paris | Italian Leather | 75mL | 100% Full | Tester (No Box or Cap) | $115 | Niche |
| 167 | Memo Paris | Lailabella | 75mL | 100% Full | Tester (No Box or Cap) | $115 | Niche |
| 168 | Memo Paris | Marfa | 75mL | 100% Full | Tester (No Box or Cap) | $115 | Niche |
| 169 | Memo Paris | Moon Fever | 75mL | 100% Full | Tester (No Box or Cap) | $115 | Niche |
| 170 | Memo Paris | Oriental Leather | 75mL | 100% Full | Tester (No Box or Cap) | $115 | Niche |
| 171 | Mind Games | As-Suli's Diamond | 100mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $249 | Niche |
| 172 | Mind Games | Gardez | 100mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $249 | Niche |
| 173 | Mind Games | Vieri | 100mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $249 | Niche |
| 174 | Mizensir | Bois de Mysore | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $155 | Niche |
| 175 | Mizensir | Cologne de Matte | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $155 | Niche |
| 176 | Mizensir | Ideal Oud | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $155 | Niche |
| 177 | Mizensir | Rose Exaltante | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $155 | Niche |
| 178 | Mizensir | Tonic Water | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $155 | Niche |
| 179 | Mizensir | Vert Empire | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $155 | Niche |
| 180 | Oh Mon Dieu! | L'objet | 100mL | 100% Full | Full presentation with Box | $125 | Niche |
| 181 | Oliver and Co. | M.O.U.S.S.E. | 50mL | 99% Full | Limited Edition 87/133 | $110 | Niche |
| 182 | Parfums de Marley | Haltane | 125mL | 100% Full | BNIB, Sealed | $165 | Niche |
| 183 | Parfums de Marley | Layton | 125mL | 100% Full | BNIB, Sealed | $199 | Niche |
| 184 | Parfums de Marley | Valaya | 75mL | 100% Full | Tester with Cap (No Box) | $175 | Niche |
| 185 | Penhaligon's | Elixir | 100mL | 90% Full | No Box | $250 | Niche |
| 186 | Penhaligon's | Petra | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $200 | Niche |
| 187 | Penhaligon's | Cairo | 100mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $220 | Niche |
| 188 | Pomare's Stolen Perfume | Angel's Share | 9mL | 70% Full | No Box | $40 | Niche |
| 189 | Precious Liquid | Iced Juniper | 75mL | 95% Full | Full presentation with Box (Limited Edition) | $135 | Niche |
| 190 | Roja Dove | Creation-E Essence de Parfum | 100mL | 100% Full | Tester; No Box | $165 | Niche |
| 191 | Roja Dove | Danger Pour Femme | 50mL | 100% Full | 99% Full with Box | $275 | Niche |
| 192 | Roja Dove | Elixir | 100mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $175 | Niche |
| 193 | Roja Dove | Elixir Essence Pour Femme | 100mL | 100% Full | No Box | $175 | Niche |
| 194 | Roja Dove | Qatar | 50mL | 99% Full | Full Presentation | $339 | Niche |
| 195 | Roja Dove | Scandal Essence de Parfum | 100mL | 100% Full | Tester; No Box | $165 | Niche |
| 196 | Roja Dove | United Arab Emirates (UAE) | 50mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $300 | Niche |
| 197 | Roman Monegal | L'eau de Rose | 50mL | 97% Full | $70 | Niche | |
| 198 | Santa Maria Novella | Sandalo | 100mL | 95% Full | No Box | $80 | Niche |
| 199 | Sospiro | Deep Amber Ocean | 100mL | 100% Full | Brand New, No Box | $170 | Niche |
| 200 | Sospiro | Deep Amber Ocean | 100mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $180 | Niche |
| 201 | Sospiro | Vibrato | 100mL | 100% Full | BNIB, Sealed | $265 | Niche |
| 202 | Spirit of Dubai | Bahar | 50mL | 100% Full | Tester with Cap and Travel Case | $175 | Niche |
| 203 | Spirit of Dubai | Rimal | 50mL | 100% Full | Tester with Cap and Travel Case | $175 | Niche |
| 204 | Tiziana Terenzi | Attar Cas | 13mL | 100% Full | Tester (No Box) | $225 | Niche |
| 205 | Tiziana Terenzi | Chiron | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $165 | Niche |
| 206 | Tiziana Terenzi | Draconis | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $135 | Niche |
| 207 | Tom Ford | Azure Lime - A71 | 50mL | 99% Full | Original Formula | $349 | Niche |
| 208 | Tom Ford | Beau de Jour | 1000mL | 100% Full | Sealed Dramming Bottle | $700 | Niche |
| 209 | Tom Ford | Ebene Fume | 50mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $165 | Niche |
| 210 | Tom Ford | Fleur de Portofino | 50mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $135 | Niche |
| 211 | Tom Ford | Fougere Platine | 1000mL | 100% Full | Sealed Dramming Bottle | $700 | Niche |
| 212 | Tom Ford | Neroli Portofino | 50mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $140 | Niche |
| 213 | Tom Ford | Noir de Noir | 100mL | 100% Full | BNIB, Sealed | $185 | Niche |
| 214 | Tom Ford | Plum Japonais | 50mL | 100% Full | Decant (No Box) | $215 | Niche |
| 215 | Tom Ford | Rive Ambre - A63 | 50mL | 99% Full | Original Formula | $225 | Niche |
| 216 | Tom Ford | Rose de Amalfi | 50mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $135 | Niche |
| 217 | Tom Ford | Santal Blush | 50mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $140 | Niche |
| 218 | Tom Ford | Soleil Neige | 1000mL | 100% Full | Sealed Dramming Bottle | $700 | Niche |
| 219 | Tom Ford | Tobacco Vanille | 100mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $245 | Niche |
| 220 | Tom Ford | Tubereuse Nue | 50mL | 100% Full | BNIB, Sealed | $125 | Niche |
| 221 | Tom Ford | Vanille Fatale | 50mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $180 | Niche |
| 222 | Tom Ford | White Suede | 1000mL | 100% Full | Sealed Dramming Bottle | $700 | Niche |
| 223 | Washington Tremlett | Black Tie | 100mL | 95% Full | $125 | Niche | |
| 224 | Widian | II Black | 50mL | 99% Full | Tester (No Box) | $149 | Niche |
| 225 | Yves Saint Laurent | Babycat | 125mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $300 | Niche |
| 226 | Acqua di Parma | Magnolia Nobile | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $95 | Designer |
| 227 | Brunello Cucinelli | Pour Homme | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $90 | Designer |
| 228 | Caron | Pour un Homme de Caron Le Matin | 125mL | 100% Full | Opened to test, sprayed once | $69 | Designer |
| 229 | Caron | Pour un Homme de Caron Le Soir | 125mL | 100% Full | Opened to test, sprayed once | $69 | Designer |
| 230 | Caron | Pour Un Homme Impact Parfum | 75mL | 97% Full | No Box | $175 | Designer |
| 231 | Chanel | Allure Pour Femme EdT | 100mL | 100% Full | Tester; No Box | $65 | Designer |
| 232 | Chanel | Bleu de Chanel - Aftershave Balm | 100mL | 99% Full | No Box, Minor Cosmetic Damage | $55 | Designer |
| 233 | Chanel | Bleu de Chanel - Aftershave Lotion | 100mL | 99% Full | No Box, Minor Cosmetic Damage | $55 | Designer |
| 234 | Chanel | Coco EdP | 100mL | 100% Full | Tester; No Box | $85 | Designer |
| 235 | Chanel | Coco Mademoiselle - Moisturizing Body Lotion | 200mL | 99% Full | No Box | $55 | Designer |
| 236 | Chanel | Coco Noir | 100mL | 100% Full | Tester; No Box | $100 | Designer |
| 237 | Chanel | Cristalle Eau Vert EdT Concentree | 100mL | 100% Full | Tester; No Box | $135 | Designer |
| 238 | Chanel | Cristalle EdP | 50mL | 95% Full | Tester; No Box | $135 | Designer |
| 239 | Chanel | Gabrielle Essence | 100mL | 100% Full | Tester; No Box | $100 | Designer |
| 240 | Chanel | No. 19 | 100mL | 100% Full | Tester; No Box | $115 | Designer |
| 241 | Chanel | No. 5 Eau Premiere | 100mL | 100% Full | Tester; No Box | $85 | Designer |
| 242 | Chanel | No. 5 EdP | 100mL | 100% Full | Tester; No Box | $95 | Designer |
| 243 | Chanel | Platinum Egoiste | 75mL | 99% Full | SPLASH, NOT SPRAY Older Formulation | $125 | Designer |
| 244 | Christian Dior | Dior Homme Parfum | 100mL | 100% Full | Brand New, Sealed (Packaging may be slightly damaged) | $175 | Designer |
| 245 | Christian Dior | J'adore in Joy EdT | 100mL | 100% Full | Tester with Cap, No Box | $60 | Designer |
| 246 | Floris | Cefiro | 100mL | 100% Full | Tester with Cap, No Box | $59 | Designer |
| 247 | Gucci | Gucci Guilty Absolute | 90mL | 100% Full | Tester; No Box | $70 | Designer |
| 248 | Guerlain | Habit Rouge Parfum | 100mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $130 | Designer |
| 249 | Guerlain | L'Homme Ideal Parfum | 100mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $130 | Designer |
| 250 | Guerlain | L'instant de Guerlain Pour Homme EXTREME | 10mL | 100% Full | VINTAGE BLACK RIM - DECANT | $50 | Designer |
| 251 | Guerlain | Vetiver Parfum | 100mL | 100% Full | Brand New, Sealed | $130 | Designer |
| 252 | Hermes | Twilly | 80mL | 100% Full | Tester; No Box | $65 | Designer |
| 253 | Jo Malone | Amber & Lavender | 30mL | 90% Full | No Box | $52 | Designer |
| 254 | Jo Malone | English Oak & Redcurrant | 30mL | 80% Full | No Box | $49 | Designer |
| 255 | Jo Malone | English Pear & Freesia | 100mL | 100% Full | Brand New with Gift Box and Gift Set (Body Wash, Body Lotion) | $180 | Designer |
| 256 | Jo Malone | Rose & White Musk Absolu | 100mL | 100% Full | No Box | $180 | Designer |
| 257 | Jo Malone | Scarlett Poppy Cologne Intense | 100mL | 100% Full | Tester; No Box | $130 | Designer |
| 258 | Lalique | Ombre Noire | 100mL | 100% Full | Sealed | $100 | Designer |
| 259 | Maison Martin Margiela | Replica - Jazz Club | 100mL | 100% Full | Tester (No Box) | $80 | Designer |
| 260 | Thierry Mugler | A*MEN | 100mL | 99% Full | Rubber Flask; No Box | $75 | Designer |
| 261 | Amouage | Cristal and Gold Ladies | 50mL | 95% Full | Vintage, Incredibly hard to find. Full presentation in nice condition | $399 | Vintage |
| 262 | Cartier | Santos EdT | 100mL | 100% Full | Spray; Refill. | $299 | Vintage |
| 263 | Chanel | Gardenia EdT | 100mL | 100% Full | Vintage; Sealed | $350 | Vintage |
| 264 | Crabtree & Evelyn | Crabtree & Evelyn Extract of West Indian and Sicilian Limes | 125mL | 100% Full | Full presentation with Box | $209 | Vintage |
| 265 | Dunhill | Cologne | 125mL | 99% Full | Vintage; Splash | $100 | Vintage |
| 266 | Ermenegildo Zegna | Haitian Vetiver | 125mL | 99% Full | No Box | $300 | Vintage |
| 267 | Escada | Pour Homme Aftershave | 75mL | 100% Full | BNIB Sealed | $165 | Vintage |
| 268 | Escada | Pour Homme Aftershave | 125mL | 100% Full | BNIB Sealed | $240 | Vintage |
| 269 | Floris | Special 127 | 100mL | 98% Full | Vintage; Dark Blue Box., 2 Royal Warrants, Vintage Version | $70 | Vintage |
| 270 | Fragonard | Zizanie | 240mL | 80% Full | Shaker bottle (Splash, not spray) no box. At least 80% Full. | $240 | Vintage |
| 271 | Geo F Trumper | Ajaccio Violets | 100mL | 99% Full | $40 | Vintage | |
| 272 | Gucci | Envy Aftershave | 50mL | 100% Full | BNIB Sealed | $140 | Vintage |
| 273 | Gucci | Envy Aftershave | 100mL | 100% Full | BNIB Sealed | $215 | Vintage |
| 274 | Gucci | Rush for Men | 50mL | 100% Full | Full Presentation; These do not come fully filled | $190 | Vintage |
| 275 | Gucci | Rush for Men Aftershave | 100mL | 100% Full | BNIB Sealed | $140 | Vintage |
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| 285 | Revillon | Pour Homme Eau de Toilette Super Concentrate | 90mL | 99% Full | Atomizer | $290 | Vintage |
2024.05.21 22:34 Infamous-Fortune4515 Urgent : Besoin de conseils sur une altercation violente avec le concierge du bâtiment
Salut la communauté Reddit,
J'ai besoin de votre aide et de vos conseils urgents concernant une situation bouleversante impliquant mes sœurs en France, plus précisément dans la banlieue de Paris. Elles ont récemment souscrit à un plan WIFI par fibre optique auprès d'un fournisseur de télécommunications. Cependant, un matin, leur service a soudainement cessé de fonctionner, ce qui les a poussées à descendre vérifier.
À leur surprise, elles ont trouvé le concierge du bâtiment (un individu dans les quarantaines chargé de l'entretien du bâtiment) en train de débrancher leur service et de le rebrancher sur l'appartement d'un voisin. Lorsqu'elles l'ont interrogé, il a prétendu qu'il n'y avait pas suffisamment de connexions pour tout le monde, évoquant même une justification vague concernant les préférences télévisuelles d'un voisin, ce qui semblait louche. Malgré leurs objections, il a persisté, escaladant la situation avec agressivité et intimidation, laissant mes sœurs effrayées.
Après plus de deux semaines de persuasion, j'ai finalement convaincu ma sœur aînée de contacter la société de télécommunications. Un technicien a été programmé pour visiter quatre semaines après l'incident initial, pour découvrir que quelqu'un d'autre s'était illégalement branché sur la prise assignée à mes sœurs. Le technicien a rectifié la situation, mais l'incident était loin d'être terminé.
Aujourd'hui, alors que ma sœur aînée était au travail, ma sœur cadette et son amie étaient à la maison quand elles ont remarqué que le WIFI ne fonctionnait pas à nouveau. Après une enquête, elles ont trouvé le concierge et une voisine en train de manipuler à nouveau leur connexion. Lorsqu'elles l'ont confronté, le concierge est devenu agressif, lançant des insultes. Ma sœur a essayé de sortir son téléphone, mais le concierge l'a attaquée physiquement, la jetant au sol et tentant de casser son téléphone en la frappent vulgairement. Son amie est intervenue et s'est interposée. Là, il a continué à battre l'amie de ma sœur. Ma sœur s'est enfuie en pleurant et en demandant de l'aide. Des gens sont sortis et elle a demandé à appeler la police. Une femme qui a appelé la police a donné à ma sœur son numéro de téléphone si elle avait besoin d'un témoin.
La police est arrivée et un rapport a été déposé contre le concierge pour violence et agression. Une aide médicale a été demandée, mais le coupable court toujours, ce qui fait craindre pour la sécurité de mes sœurs.
Notes supplémentaires :
Le concierge a le contrôle des caméras de sécurité, ce qui soulève des inquiétudes quant à une éventuelle manipulation.
Une voisine, initialement présente lors de l'altercation, a ensuite nié toute implication.
Mes sœurs sont confrontées au harcèlement des proches et des amis du concierge, exacerbant encore leur sentiment d'insécurité.
J'ai conseillé à mes sœurs de demander un rapport complet à la société de télécommunications concernant la visite précédente du technicien, ainsi que de planifier une autre visite pour la reconnexion et d'obtenir un rapport détaillé par la suite.
Je vous serais reconnaissant de tout conseil ou soutien que vous pourriez offrir dans cette situation difficile. Merci pour votre aide.
submitted by Infamous-Fortune4515 to conseiljuridique [link] [comments]
J'ai besoin de votre aide et de vos conseils urgents concernant une situation bouleversante impliquant mes sœurs en France, plus précisément dans la banlieue de Paris. Elles ont récemment souscrit à un plan WIFI par fibre optique auprès d'un fournisseur de télécommunications. Cependant, un matin, leur service a soudainement cessé de fonctionner, ce qui les a poussées à descendre vérifier.
À leur surprise, elles ont trouvé le concierge du bâtiment (un individu dans les quarantaines chargé de l'entretien du bâtiment) en train de débrancher leur service et de le rebrancher sur l'appartement d'un voisin. Lorsqu'elles l'ont interrogé, il a prétendu qu'il n'y avait pas suffisamment de connexions pour tout le monde, évoquant même une justification vague concernant les préférences télévisuelles d'un voisin, ce qui semblait louche. Malgré leurs objections, il a persisté, escaladant la situation avec agressivité et intimidation, laissant mes sœurs effrayées.
Après plus de deux semaines de persuasion, j'ai finalement convaincu ma sœur aînée de contacter la société de télécommunications. Un technicien a été programmé pour visiter quatre semaines après l'incident initial, pour découvrir que quelqu'un d'autre s'était illégalement branché sur la prise assignée à mes sœurs. Le technicien a rectifié la situation, mais l'incident était loin d'être terminé.
Aujourd'hui, alors que ma sœur aînée était au travail, ma sœur cadette et son amie étaient à la maison quand elles ont remarqué que le WIFI ne fonctionnait pas à nouveau. Après une enquête, elles ont trouvé le concierge et une voisine en train de manipuler à nouveau leur connexion. Lorsqu'elles l'ont confronté, le concierge est devenu agressif, lançant des insultes. Ma sœur a essayé de sortir son téléphone, mais le concierge l'a attaquée physiquement, la jetant au sol et tentant de casser son téléphone en la frappent vulgairement. Son amie est intervenue et s'est interposée. Là, il a continué à battre l'amie de ma sœur. Ma sœur s'est enfuie en pleurant et en demandant de l'aide. Des gens sont sortis et elle a demandé à appeler la police. Une femme qui a appelé la police a donné à ma sœur son numéro de téléphone si elle avait besoin d'un témoin.
La police est arrivée et un rapport a été déposé contre le concierge pour violence et agression. Une aide médicale a été demandée, mais le coupable court toujours, ce qui fait craindre pour la sécurité de mes sœurs.
Notes supplémentaires :
Le concierge a le contrôle des caméras de sécurité, ce qui soulève des inquiétudes quant à une éventuelle manipulation.
Une voisine, initialement présente lors de l'altercation, a ensuite nié toute implication.
Mes sœurs sont confrontées au harcèlement des proches et des amis du concierge, exacerbant encore leur sentiment d'insécurité.
J'ai conseillé à mes sœurs de demander un rapport complet à la société de télécommunications concernant la visite précédente du technicien, ainsi que de planifier une autre visite pour la reconnexion et d'obtenir un rapport détaillé par la suite.
Je vous serais reconnaissant de tout conseil ou soutien que vous pourriez offrir dans cette situation difficile. Merci pour votre aide.
2024.05.21 22:28 Odd_Farm_807 Kathy Marquis - Génération Sidechick qui reçoit les gars du Lucide podcast
 | avant tout, pas besoin de dire "arrêtez de leur donner de l'attention / des views / du pouvoir, etc." c'est pas tant le point, merci ! submitted by Odd_Farm_807 to causerie [link] [comments] Kathy Marquis de Génération Sidechick reçoit les gars du Lucide podcast Je n'écoute plus le podcast depuis que c'est Kathy Marquis seule, car je ne suis pas capable de l'écouter... Mais j'ai vu passer l'annonce de ce dernier podcast et ça m'a intrigué. Elle a publié une grosse "mise en garde", par vidéos Instagram et par écrit, expliquant pourquoi elle a décidé de les recevoir. J'ai enduré 20 minutes et j'ai passé par trop d'émotions différentes pour arriver à terminer l'épisode. D'autres l'ont écouté? |
2024.05.21 22:23 AppropriateYak4234 Quelles études/écoles pour de l'astrophysique ?
Pour mettre un peu de contexte, je suis en première avec spécialités Maths, Physique et SES (j'abandonne SES en terminale) avec de très bonnes moyennes dans les 3 matières + 17.5 de moyenne générale, donc toutes les voies semblent m'être ouvertes.
Le problème étant que je n'ai aucune foutue idée de quelle orientation prendre après le bac pour faire de l'astrophysique : je suppose qu'il faudrait faire des études de physique en général, puis se spécialiser dans l'astro. Pourtant après quelques heures de recherches, je n'ai trouvé aucune école se disant explicitement offreuse d'études d'astrophysique, d'où ma question.
Merci d'avance pour vos retours
submitted by AppropriateYak4234 to AskFrance [link] [comments]
Le problème étant que je n'ai aucune foutue idée de quelle orientation prendre après le bac pour faire de l'astrophysique : je suppose qu'il faudrait faire des études de physique en général, puis se spécialiser dans l'astro. Pourtant après quelques heures de recherches, je n'ai trouvé aucune école se disant explicitement offreuse d'études d'astrophysique, d'où ma question.
Merci d'avance pour vos retours
2024.05.21 21:38 piramids0ng Streak #194 - quelques mots aléatoires
Aujourd’hui encore un jour sans un tas d’inspiration pour écrire mon texte du jour. Je vais faire quelque chose différent que comme d’habitude, j’ai trouvé le site du web ‘Mots aléatoires en français’, et je vais écrire quelque chose avec ces mots.
Le plongeon, je ne connaissais pas ce mot, mais j’ai assumé que ça avait quelque chose à faire avec le verbe plonger. C’est vrai, c’est le nom de plonger. Le plongeon, c’est un élément de la natation.
Le mot suivant est un peu plus complique, c’est l'abrogation. Ce mot veut dire quand quelqu’un cède de soutenir quelque chose. En cas juridique, l’abrogation signifie quand une loi n’existe plus.
Le troisième mot est un verbe, c’est ‘détacher’. Encore un mot pas étrange, puisque c’est plus ou moins le même mot en anglais. De décrire ce mot est un peu difficile, mais c’est l’action de rendre quelque chose ne connectée plus avec une autre chose. Afin de partir avec le bateau, on doit détacher la corde du quai.
Le quatrième et dernier mot, c’est poilu. Ce mot est complètement nouveau pour moi. Quand quelqu’un a beaucoup de cheveux, on peut l’appeler poilu. Un homme est normalement plus poilu quand une femme.
l'abrogation - de intrekking
détacher - losmaken
la corde - het touw
poilu - harig
submitted by piramids0ng to WriteStreak [link] [comments]
Le plongeon, je ne connaissais pas ce mot, mais j’ai assumé que ça avait quelque chose à faire avec le verbe plonger. C’est vrai, c’est le nom de plonger. Le plongeon, c’est un élément de la natation.
Le mot suivant est un peu plus complique, c’est l'abrogation. Ce mot veut dire quand quelqu’un cède de soutenir quelque chose. En cas juridique, l’abrogation signifie quand une loi n’existe plus.
Le troisième mot est un verbe, c’est ‘détacher’. Encore un mot pas étrange, puisque c’est plus ou moins le même mot en anglais. De décrire ce mot est un peu difficile, mais c’est l’action de rendre quelque chose ne connectée plus avec une autre chose. Afin de partir avec le bateau, on doit détacher la corde du quai.
Le quatrième et dernier mot, c’est poilu. Ce mot est complètement nouveau pour moi. Quand quelqu’un a beaucoup de cheveux, on peut l’appeler poilu. Un homme est normalement plus poilu quand une femme.
l'abrogation - de intrekking
détacher - losmaken
la corde - het touw
poilu - harig
2024.05.21 21:38 hiiiitsme12 Rupture pendant les révisions d’un concours
Je (F24) suis en couple avec un homme (H29) depuis 2 ans. Nous avons eu beaucoup de hauts et de bas, je sais que la relation aurait dû se terminer il y a bien longtemps. Il est instable émotionnellement, il a initié au moins 7/8 ruptures, à chaque fois il a fini par revenir.
J’ai changé de ville pour venir habiter chez lui, j’y ai trouvé un travail (que je vais arrêter dans quelques semaines, cela a toujours été le plan par rapport à mon concours).
Je passe l’examen du barreau en septembre prochain. Je suis déjà en retard dans mes révisions, je n’ai pas de temps à perdre. Le problème est que je supporte très mal les ruptures, je suis totalement dépendantes de lui, et à chaque rupture je finis « paralysée », je ne peux pas manger, boire, je n’arrive pas à me lever, et les révisions devient le dernier de mes soucis. Je suis dans cet état depuis bientôt 2 semaines.
Et là il me dit qu’il en peut plus, qu’il veut partir, que c’est la fin. Je lui supplie de ne pas me quitter avant le mois de septembre afin de ne pas gâcher ma chance pour ce concours.
Je pense sincèrement que c’est mal de quitter quelqu’un durant sa période décisive de révisons pour un examen sélectif. Je sais aussi que c’est mal de forcer une personne à rester avec nous 3 mois de plus afin de ne pas rater mon examen.
Demain soir on va de nouveau discuter. Je n’en peux plus. Je suis épuisée mentalement. Pour réussir cet examen j’ai besoin d’être dans de bonnes conditions, mais je supporter particulièrement mal les ruptures, j’ai toujours été comme ça. Je suis tellement triste et dégoûtée…
submitted by hiiiitsme12 to besoindeparler [link] [comments]
J’ai changé de ville pour venir habiter chez lui, j’y ai trouvé un travail (que je vais arrêter dans quelques semaines, cela a toujours été le plan par rapport à mon concours).
Je passe l’examen du barreau en septembre prochain. Je suis déjà en retard dans mes révisions, je n’ai pas de temps à perdre. Le problème est que je supporte très mal les ruptures, je suis totalement dépendantes de lui, et à chaque rupture je finis « paralysée », je ne peux pas manger, boire, je n’arrive pas à me lever, et les révisions devient le dernier de mes soucis. Je suis dans cet état depuis bientôt 2 semaines.
Et là il me dit qu’il en peut plus, qu’il veut partir, que c’est la fin. Je lui supplie de ne pas me quitter avant le mois de septembre afin de ne pas gâcher ma chance pour ce concours.
Je pense sincèrement que c’est mal de quitter quelqu’un durant sa période décisive de révisons pour un examen sélectif. Je sais aussi que c’est mal de forcer une personne à rester avec nous 3 mois de plus afin de ne pas rater mon examen.
Demain soir on va de nouveau discuter. Je n’en peux plus. Je suis épuisée mentalement. Pour réussir cet examen j’ai besoin d’être dans de bonnes conditions, mais je supporter particulièrement mal les ruptures, j’ai toujours été comme ça. Je suis tellement triste et dégoûtée…
2024.05.21 21:16 mickdrop Comment mettre en place la subrogation pour ma femme de ménage ?
Ma femme de ménage est actuellement malade depuis 2 semaines. Elle a envoyé ses arrêts maladies.
J'ai cru comprendre que je dois remplir une feuille d'arrêt maladie pour elle afin qu'elle puisse toucher ses indemnités journalières. C'est tout nouveau pour moi. Mais en tentant de comprendre les différentes cases de la fiche je suis tombé sur le concept de subrogation.
Si j'ai bien compris, le principe est que je paierais ma femme de ménage normalement et en contrepartie je percevrais ses indemnités journalières à sa place.
Je trouve ça pas mal parce que ça lui permettrait de toucher un vrai salaire, je mangerais la différence, et surtout ça lui éviterait de l'administratif ce qui doit être reproduit pour tous ses employeurs et qui doit être pénible à gérer quand on est malade.
Le problème est qu'après avoir parcouru plusieurs sites, je ne sais toujours pas comment je dois faire ça concrètement. Quelles sont les démarches à faire? Est-ce que quelqu'un pourrait m'aiguiller ? j'utilise le site de la CESU pour la déclarer si c'est pertinent.
Merci
submitted by mickdrop to vosfinances [link] [comments]
J'ai cru comprendre que je dois remplir une feuille d'arrêt maladie pour elle afin qu'elle puisse toucher ses indemnités journalières. C'est tout nouveau pour moi. Mais en tentant de comprendre les différentes cases de la fiche je suis tombé sur le concept de subrogation.
Si j'ai bien compris, le principe est que je paierais ma femme de ménage normalement et en contrepartie je percevrais ses indemnités journalières à sa place.
Je trouve ça pas mal parce que ça lui permettrait de toucher un vrai salaire, je mangerais la différence, et surtout ça lui éviterait de l'administratif ce qui doit être reproduit pour tous ses employeurs et qui doit être pénible à gérer quand on est malade.
Le problème est qu'après avoir parcouru plusieurs sites, je ne sais toujours pas comment je dois faire ça concrètement. Quelles sont les démarches à faire? Est-ce que quelqu'un pourrait m'aiguiller ? j'utilise le site de la CESU pour la déclarer si c'est pertinent.
Merci
2024.05.21 21:02 Zarglups95 Une bd que j'ai lu entre 1017 et 2019
Je recherche une bd que j'ai lu en école primaire et dont j'ai complétement perdu la trace. On l'avait emprunté pendant l'année a un marchant ambulant. Ça raconte l'histoire d'un jeune homme, qui part a l'aventure avec un artefact magique, mais je ne me souviens que de flash de l'histoire. Cela se passe en 2 tome. L'histoire est adaptée a des enfants, surtout pas les dessins très coloré et enfantins,mais quand même plutôt adulte, car il y a quelques intrigues politique et quelques mort. Je me souviens qu'il y avait plusieurs races, dont une qui était plus puissante que les autres. Je me souviens aussi qu'à la fin, le personnage principal, que je suis quasiment sur qu'il s'appelle noah, est jeté en dehors d'une zone où le temps et plus lent donc il vieilli. A la toute fin, il se retire dans une cabane dans les bois loin de la ville principale de l'histoire, ou il y fait des jouets en bois pour des enfants.
Je sais que ma description est vague, mais j'espère que vous pourrez m'aider a trouver
Si je trouve comment faire, je mettrai un dessin du personnage principal, dessiné de mémoire dans les commentaires
submitted by Zarglups95 to SurLeBoutDeLaLangue [link] [comments]
Je sais que ma description est vague, mais j'espère que vous pourrez m'aider a trouver
Si je trouve comment faire, je mettrai un dessin du personnage principal, dessiné de mémoire dans les commentaires
2024.05.21 20:53 The_nustrale STB de vouloir tout plaquer pour vivre à Montréal ?
Pour le contexte je suis un opticien fraîchement diplômé dans ma mi vingtaine et j'ai une copine avec un CDI dans une belle boîte (oui ça a son importance), enfin bref je vais synthétiser au max.
En gros ma vie dans ma ville actuelle m'a jamais plus et je suis heureux dans mon couple mais pas épanoui dans ma vie et j'ai pensé à me casser à Montréal. Le truc c'est que ça fait +4 ans que je suis avec ma chérie et malgré le fait qu'elle soit extrêmement amoureuse et elle pourra pas me suivre dans ma folie. Mon métier me plaît pas vraiment (je suis plutôt porté sur l'art mais il faut bien manger) donc je me rabas sur ce sur quoi j'ai une influence, c'est à dire mon lieu de travail. Donc est que c'est STB de plaquer sa copine pour partir vivre dans un pays qu'on a jamais vu autre qu'en photo ?
submitted by The_nustrale to suisjeletroudeballe [link] [comments]
En gros ma vie dans ma ville actuelle m'a jamais plus et je suis heureux dans mon couple mais pas épanoui dans ma vie et j'ai pensé à me casser à Montréal. Le truc c'est que ça fait +4 ans que je suis avec ma chérie et malgré le fait qu'elle soit extrêmement amoureuse et elle pourra pas me suivre dans ma folie. Mon métier me plaît pas vraiment (je suis plutôt porté sur l'art mais il faut bien manger) donc je me rabas sur ce sur quoi j'ai une influence, c'est à dire mon lieu de travail. Donc est que c'est STB de plaquer sa copine pour partir vivre dans un pays qu'on a jamais vu autre qu'en photo ?
2024.05.21 20:42 BottleEquivalent4581 Annoncer une tromperie en étant extérieur au couple
Ca va être long, TL;DR à la fin
Je ne savais pas comment nommer le post, c'est surtout histoire de soulager ma conscience en partageant un secret qui m'est lourd. Je suis navré si ce n'est pas le sub pour ça, je cherchais un TrueOffMyChest Français
Il y a 10 ans de ça, une très bonne amie ('BA') à moi est sortie avec mon meilleur ami ('MA'). Il l'a trompé et j'en ai eu la confirmation quand MA m'a donné son téléphone et que j'y ai reçu un message chaud de sa (normalement ancienne) PQR ('PQR').
J'ai en premier lieu rien dit, car je ne fréquentais plus vraiment BA à ce moment. Même si elle était importante pour moi et que nous avions une très chouette amitié, j'étais partagé à l'idée des conséquences sur ma relation avec MA. Je l'ai vue un mois après eu cette preuve à une soirée où elle avait l'alcool triste et avait un comportement "de désespoir"(vous avez sûrement déjà était témoins de ce cocktail alcool + tristesse). Suite à ça je lui ai dis (plutôt confirmé car elle s'en doutait déjà). Ils ont rompu et suite à ça elle avait un peu de rancoeur involontaire étant donné que j'étais le porteur du message. Bien que j'en ai souffert je ne regrette pas mon action car c'était la chose à faire voyant que la situation avait très mal évolué.
Bref, 10 ans plus tard, je ne vois plus du tout mon meilleur ami de l'époque, par contre mes liens avec BA ce sont réparés et renforcés, et même si dernièrement nous ne nous fréquentons plus dû à un écart d'objectifs de vie, nous avons quand même une relation "forte".
V'là-t-y pas que je me retrouve à une soirée avec son nouveau mec, qui m'a tout l'air d'être en train de courtiser qui ? PQR ! La même nana ! Bordel de queue j'ai l'impression de me retrouver dans l'exacte même situation que 10 ans avant, dont la conclusion m'avait pas mal traumatisé. Fait chier bordel ! C'est quoi ces coïncidences qui puent le fromage ? Je ne connais pas la nature de la relation de BA, peut être est-ce un couple ouvert, mais pas vraiment moyen d'en savoir plus délicatement.
TL;DR
J'ai été il y a 10 ans le porteur d'une très mauvaise nouvelle qui a abîmé ma relation avec quelqu'un d'important pour moi, et la situation se reproduit avec une similarité complètement improbable...
submitted by BottleEquivalent4581 to besoindeparler [link] [comments]
Je ne savais pas comment nommer le post, c'est surtout histoire de soulager ma conscience en partageant un secret qui m'est lourd. Je suis navré si ce n'est pas le sub pour ça, je cherchais un TrueOffMyChest Français
Il y a 10 ans de ça, une très bonne amie ('BA') à moi est sortie avec mon meilleur ami ('MA'). Il l'a trompé et j'en ai eu la confirmation quand MA m'a donné son téléphone et que j'y ai reçu un message chaud de sa (normalement ancienne) PQR ('PQR').
J'ai en premier lieu rien dit, car je ne fréquentais plus vraiment BA à ce moment. Même si elle était importante pour moi et que nous avions une très chouette amitié, j'étais partagé à l'idée des conséquences sur ma relation avec MA. Je l'ai vue un mois après eu cette preuve à une soirée où elle avait l'alcool triste et avait un comportement "de désespoir"(vous avez sûrement déjà était témoins de ce cocktail alcool + tristesse). Suite à ça je lui ai dis (plutôt confirmé car elle s'en doutait déjà). Ils ont rompu et suite à ça elle avait un peu de rancoeur involontaire étant donné que j'étais le porteur du message. Bien que j'en ai souffert je ne regrette pas mon action car c'était la chose à faire voyant que la situation avait très mal évolué.
Bref, 10 ans plus tard, je ne vois plus du tout mon meilleur ami de l'époque, par contre mes liens avec BA ce sont réparés et renforcés, et même si dernièrement nous ne nous fréquentons plus dû à un écart d'objectifs de vie, nous avons quand même une relation "forte".
V'là-t-y pas que je me retrouve à une soirée avec son nouveau mec, qui m'a tout l'air d'être en train de courtiser qui ? PQR ! La même nana ! Bordel de queue j'ai l'impression de me retrouver dans l'exacte même situation que 10 ans avant, dont la conclusion m'avait pas mal traumatisé. Fait chier bordel ! C'est quoi ces coïncidences qui puent le fromage ? Je ne connais pas la nature de la relation de BA, peut être est-ce un couple ouvert, mais pas vraiment moyen d'en savoir plus délicatement.
TL;DR
J'ai été il y a 10 ans le porteur d'une très mauvaise nouvelle qui a abîmé ma relation avec quelqu'un d'important pour moi, et la situation se reproduit avec une similarité complètement improbable...
2024.05.21 20:33 bazytrel Que faire ? J'ai (F15) peur de la sexualité de mon père
Je me résigne à publier ici, même si je sais que ce n'est pas le principe de AskMeuf. J'étais sur besoindeparler et résultat j'ai juste reçu des "I can be your daddy" en mp. C'est génial, cette pédophilie ! Elle ne fait que confirmer mes pensées. J'espère que des femmes pourront m'aider, donc.
C'est assez délicat à aborder, d'autant plus que cela doit frôler le ridicule.
Je (F15) découvre la sexualité et c'est très abrupt. C'est tellement mal commencé que j'en ai envie de vomir.
Il y a moins d'un an, je ne connaissais que les bases à dessein de reproduction enseignées au collège. Autrement dit, j'ignorais l'existence d'un plaisir sexuel personnel, surtout féminin (merci à nos parfaites institutions). Je savais tout de même que certains se masturbaient, mais c'étaient des prisonniers en manque ou des malades. Bref, le monde et moi allions très bien dans cette innocence désinhibée.
Puis un matin, alors que la maison dort, j'entends des lattes se disloquer. Bon, je ne vais pas vous faire un dessin : mon père se masturbe et mon lit est à 1 mètre du sien si on enlève le mur. Évidemment je panique, mon corps s'affole parce que je reconnais pour la première fois ce bruit que j'ai déjà entendu et que je pensais inventé par mon esprit. Pour la première fois donc, je réalise que c'est juste mon père. J'essaye de faire du bruit pour qu'il réalise que je suis réveillée et qu'il arrête par décence. Encore une fois, dans ma tête, c'est d'une immondice sans pareille. Il n'arrête pas et je me couvre les oreilles pour que cela passe plus vite. Puis alors, peut-être le son qui me restera le plus sale que j'ai jamais entendu, du papier qui frotte et du "plaisir" ?
Le lendemain, je ne vois que ça dans ses yeux, et j'ai l'impression qu'il ne voit que ça dans mes yeux. J'ai l'impression que c'est un fou qui se masturbe et qui a des envies sexuelles qu'il ne sait pas contrôler. Un fou qui doit, si ça se trouve, avoir de mauvaises pensées même à l'encontre de sa fille.
On n'a jamais été très proches, et les seuls événements dont je peux me souvenir d'auparavant sont lui qui trompe ma mère et qui m'engueule parce que je le sais. Ou il y a quelques mois alors, quand il laissait une brèche de 15cm sur ma porte de son poing, pour se contrôler et ne pas "tuer maman". Un autre sujet qui pourrait prendre des heures à décortiquer, mais il faut retenir que nous ne sommes pas proches. Évidemment, ça s'est empiré après cette masturbation qui m'a réveillée et qu'il m'arrivera par la suite de surprendre une dizaine d'autres fois.
Résultat, j'épie chaque bruit la nuit avec un battement de peur à chaque frétillement, et les semaines où il travaille de matin sont mes préférées. Et alors maintenant ? Je ne vois que le sexe et la masturbation dans les yeux des hommes, dans les yeux de mon père quand mes jambes ne sont pas couvertes.
Ça irait bien encore s'il ne faisait pas de scènes en accusant (sans preuve) ma mère de se masturber avec des "sale pute !" à gogo, alors qu'il le fait lui-même.
Il y a aussi le fait que je pense à la sexualité tout le temps, partout, chaque fois que je croise quelqu'un. Mais lorsque je suis excitée, c'est mêlé à un dégoût pour moi-même et pour l'autre.
Des conseils pour me détacher de tout ça ? Ce truc commence à me peser.
submitted by bazytrel to AskMeuf [link] [comments]
C'est assez délicat à aborder, d'autant plus que cela doit frôler le ridicule.
Je (F15) découvre la sexualité et c'est très abrupt. C'est tellement mal commencé que j'en ai envie de vomir.
Il y a moins d'un an, je ne connaissais que les bases à dessein de reproduction enseignées au collège. Autrement dit, j'ignorais l'existence d'un plaisir sexuel personnel, surtout féminin (merci à nos parfaites institutions). Je savais tout de même que certains se masturbaient, mais c'étaient des prisonniers en manque ou des malades. Bref, le monde et moi allions très bien dans cette innocence désinhibée.
Puis un matin, alors que la maison dort, j'entends des lattes se disloquer. Bon, je ne vais pas vous faire un dessin : mon père se masturbe et mon lit est à 1 mètre du sien si on enlève le mur. Évidemment je panique, mon corps s'affole parce que je reconnais pour la première fois ce bruit que j'ai déjà entendu et que je pensais inventé par mon esprit. Pour la première fois donc, je réalise que c'est juste mon père. J'essaye de faire du bruit pour qu'il réalise que je suis réveillée et qu'il arrête par décence. Encore une fois, dans ma tête, c'est d'une immondice sans pareille. Il n'arrête pas et je me couvre les oreilles pour que cela passe plus vite. Puis alors, peut-être le son qui me restera le plus sale que j'ai jamais entendu, du papier qui frotte et du "plaisir" ?
Le lendemain, je ne vois que ça dans ses yeux, et j'ai l'impression qu'il ne voit que ça dans mes yeux. J'ai l'impression que c'est un fou qui se masturbe et qui a des envies sexuelles qu'il ne sait pas contrôler. Un fou qui doit, si ça se trouve, avoir de mauvaises pensées même à l'encontre de sa fille.
On n'a jamais été très proches, et les seuls événements dont je peux me souvenir d'auparavant sont lui qui trompe ma mère et qui m'engueule parce que je le sais. Ou il y a quelques mois alors, quand il laissait une brèche de 15cm sur ma porte de son poing, pour se contrôler et ne pas "tuer maman". Un autre sujet qui pourrait prendre des heures à décortiquer, mais il faut retenir que nous ne sommes pas proches. Évidemment, ça s'est empiré après cette masturbation qui m'a réveillée et qu'il m'arrivera par la suite de surprendre une dizaine d'autres fois.
Résultat, j'épie chaque bruit la nuit avec un battement de peur à chaque frétillement, et les semaines où il travaille de matin sont mes préférées. Et alors maintenant ? Je ne vois que le sexe et la masturbation dans les yeux des hommes, dans les yeux de mon père quand mes jambes ne sont pas couvertes.
Ça irait bien encore s'il ne faisait pas de scènes en accusant (sans preuve) ma mère de se masturber avec des "sale pute !" à gogo, alors qu'il le fait lui-même.
Il y a aussi le fait que je pense à la sexualité tout le temps, partout, chaque fois que je croise quelqu'un. Mais lorsque je suis excitée, c'est mêlé à un dégoût pour moi-même et pour l'autre.
Des conseils pour me détacher de tout ça ? Ce truc commence à me peser.
2024.05.21 20:09 Evyi-horror Vous avez déjà été la copine de cette fille qui a le beautyprivilege et pas vous ?
Je me pensais jolie jusqu'à traîner beaucoup avec cette amie, vous savez celle qui correspond à tous les critères de beauté de la société et donc tu finis par voir à quel point il y a une différence de traitement (même par des inconnus quand tu vas commander quelque chose au restaurant par exemple) qu'il y a entre elle et toi, j'ai commencé à complexer sur mon physique en m'inventant des complexes que je n'avais pas auparavant.
C'est vrai qu'on m'a souvent dit que j'étais jolie mais particulièrement banale (taille répandue, poids de forme, etc), donc je ne subis pas non plus de harcèlement sur mon physique/corps (du harcèlement de rue oui et encore je n'en subis plus depuis quelques mois), ni de grossophobie, je sais que la grossophobie est très dur à vivre pour les femmes qui le vivent et j'en suis désolé. En fait on me dit soit "ouais t'es bof" ou "je te trouve vraiment jolie" mais c'est rarement le "vraiment jolie" disons que je n'ai rien d'exceptionnelle physiquement et qu'en plus je ne mets pas en valeur (par simple flemme). On m'a souvent dit que j'étais "banale" "normale" physiquement mais jusqu'ici je ne m'étais pas rendu compte de l'attitude des autres envers moi jusqu'à, comme je le dis, être très fréquemment avec cette amie qui a absolument tous les critères de beauté de notre société et voir tous les privilèges qu'elle a, à quel point la différence de traitement peut être différente (souvent faite par des hommes) dés que je suis avec elle. Ce qui est fou c'est que j'en ai parlé à une amie qui m'a dit ressentir cela en ma présence parce qu'elle est en surpoids et moi non, mais je ne m'en étais jamais rendu compte moi-même de cela, c'est comme cela que j'ai eu l'idée de faire ce post pour échanger.
Je sais que j'ai le white privilege, j'ai déjà eu à faire à des situations choquantes (comme moi qui ne paie pas un ticket, une personne noire non plus j'avais oublié de mon côté le contrôleur me dit que c'est pas grave mais que je devrais payer la prochaine fois et met une amende à la personne noire, ce qui m'a vraiment énervé) et je suis curieuse de lire vos témoignages sur tout ce qui concerne le beautyprivilege, whiteprivilege, enfin tout ce qui gravite autour de cela.
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C'est vrai qu'on m'a souvent dit que j'étais jolie mais particulièrement banale (taille répandue, poids de forme, etc), donc je ne subis pas non plus de harcèlement sur mon physique/corps (du harcèlement de rue oui et encore je n'en subis plus depuis quelques mois), ni de grossophobie, je sais que la grossophobie est très dur à vivre pour les femmes qui le vivent et j'en suis désolé. En fait on me dit soit "ouais t'es bof" ou "je te trouve vraiment jolie" mais c'est rarement le "vraiment jolie" disons que je n'ai rien d'exceptionnelle physiquement et qu'en plus je ne mets pas en valeur (par simple flemme). On m'a souvent dit que j'étais "banale" "normale" physiquement mais jusqu'ici je ne m'étais pas rendu compte de l'attitude des autres envers moi jusqu'à, comme je le dis, être très fréquemment avec cette amie qui a absolument tous les critères de beauté de notre société et voir tous les privilèges qu'elle a, à quel point la différence de traitement peut être différente (souvent faite par des hommes) dés que je suis avec elle. Ce qui est fou c'est que j'en ai parlé à une amie qui m'a dit ressentir cela en ma présence parce qu'elle est en surpoids et moi non, mais je ne m'en étais jamais rendu compte moi-même de cela, c'est comme cela que j'ai eu l'idée de faire ce post pour échanger.
Je sais que j'ai le white privilege, j'ai déjà eu à faire à des situations choquantes (comme moi qui ne paie pas un ticket, une personne noire non plus j'avais oublié de mon côté le contrôleur me dit que c'est pas grave mais que je devrais payer la prochaine fois et met une amende à la personne noire, ce qui m'a vraiment énervé) et je suis curieuse de lire vos témoignages sur tout ce qui concerne le beautyprivilege, whiteprivilege, enfin tout ce qui gravite autour de cela.
2024.05.21 20:01 bugzahimself Copine troublée par des femmes. Que faire?
Nouvelle tentative de publication en étant plus précis sur mes questions Deso pour le pavé j essai d etre precis 3ans 1/2 en couple . Ca se passe super bien. On se voit 1 à 2 fois semaine. On ne vit pas ensemble car j ai 1 fils (garde 1semaine sur 2, elle se voit pas belle mere) 1 maison et team campagne elle ville. On se parle tout les jours. Relation épanouie sur tous les points. Franchement top. Il y a 3 mois elle part à Venise avec 1 tante un long we. à son retour elle m explique qu elle a bloqué sur 1 femme ( pas parlé juste ne pouvait plus lacher du regard) ça lui était jamais arrivée. Elle pouvait dire sur des stars : elle elle est trop belle mais disait aussi lui trop beau Depuis elle se questionne et se dit troublée par 1 type de femme ( genre italienne) on en parle. Me dit qu elle m aime mais... elle sait pas définir ce trouble. Je la sent vraiment malheureuse de ca, s en veut de me faire du mal. Je la rassure. Mon meilleur pote est gay a fait son coming treeees tardivement. Je comprends la difficulté de s affirmer la dessus. Mais elle ne pense pas être gay , peut être bi. Elle me dit qu elle ne sait pas ce qu elle veut. Ne pense pas que c est 1 désir sexuel en tt cas pas comme ça. Mais elle a besoin de sentiment pour 1 sexualité. On a pris 1 peu de distance il y a 15 jours mais on pouvait pas ne plus se parler. Trop douloureux pour les 2. On c est vu ce we et c t top. Le pb c quand elle est pas là. Je gamberge trop. Du coup je suis perdu je veux qu elle soit heureuse mais cette histoire me bouffe. Elle est sortie vendredi et je me suis retrouvé en stress alors qu on s envoie des mess et d habitude ma seule inquiétude c est qu elle rentre bien chez elle. Mais la je psychotais et si ... et si... J ai peur que cette attirance soit plus fort que notre histoire. Bref je sais pas comment gérer. J alterne entre me dire que ça change rien. On peut rencontrer qq un et une attirance emerge. C la vie et notre couole est fort . Puis des phases où j ai mal à l idée que je suis en train d assister à la fin de cette belle histoire. Je ne sais plus quoi faire. Je dois prendre sur moi? Mettre un terme à cette histoire? avez vous des conseils svp?merci
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2024.05.21 19:48 ssyakajam Ai-je droit de travailler en CDI en entreprise (non-établissement recherche) avec Titre de sejour "Passeport talent : Chercheur"
Je suis étranger qui vit en France depuis 6ans (3 ans étudiant, 2ans 8 mois passeport talent chercheure). sur mon titre de sejour, c'est ecrit "PASSEPORT TALENT: CHERCHEUR EXERCISE D'UNE ACTIVITE SALARIEE".
J’ai fait une thèse de CIFRE avec une grande Enterprise fin contrat 31 janvier 2024. Le 30 janvier j’ai signé un CDI avec entreprise laquelle j’ai fait ma thèse (diffèrent mission et diffèrent équipe).
Avec ce contrat de travail, j’ai fait demande de passeport talent salarie qualifie car mon passeport talent aurait expiré le 15 février. Sur le site ANEF, cette demande est considérée comme un renouvèlement.
Juste avant l’expiration de mon TDS, mon entreprise a réalisé qu’ils n’ont pas droit de m’emboucher car le passeport talent « recherche » c’est pour une mission de recherche. Puis ils ont mis mon contrat en suspendre. J’ai toujours reçu bulletine de salaire avec une salaire 0. Ils ont indiqué absence non réénumère.
Aujourd’hui j’ai une prolongation de titre de séjour. Que je puis faire avec ce titre de séjour ?
C’est un peu bizarre que j’ai un diplôme français, une CDI, mais j’ai besoin de vivre de mes poche jusqu’à il y a de miracle de part de préfecture.
submitted by ssyakajam to conseiljuridique [link] [comments]
J’ai fait une thèse de CIFRE avec une grande Enterprise fin contrat 31 janvier 2024. Le 30 janvier j’ai signé un CDI avec entreprise laquelle j’ai fait ma thèse (diffèrent mission et diffèrent équipe).
Avec ce contrat de travail, j’ai fait demande de passeport talent salarie qualifie car mon passeport talent aurait expiré le 15 février. Sur le site ANEF, cette demande est considérée comme un renouvèlement.
Juste avant l’expiration de mon TDS, mon entreprise a réalisé qu’ils n’ont pas droit de m’emboucher car le passeport talent « recherche » c’est pour une mission de recherche. Puis ils ont mis mon contrat en suspendre. J’ai toujours reçu bulletine de salaire avec une salaire 0. Ils ont indiqué absence non réénumère.
Aujourd’hui j’ai une prolongation de titre de séjour. Que je puis faire avec ce titre de séjour ?
C’est un peu bizarre que j’ai un diplôme français, une CDI, mais j’ai besoin de vivre de mes poche jusqu’à il y a de miracle de part de préfecture.
2024.05.21 18:39 redditladyb Comment vous reconnaissez??
Salut C’est vachement niche comme question, j’espère que certains sauront m’apporter un éclairage
Je (F24) me posais une question. Pour expliquer grossièrement je suis saisonnière, et ça bouge pas mal entre saisonniers dans l’ensemble. Je suis bi et plein de fois je me suis faite la réflexion de comment reconnaître/aller vers une fille si je ne connais pas son orientation sexuelle ? Par exemple en soirée. J’ai déjà eu des regards, des sourires etc mais comment interpréter ? Je sais que bon nombre sont simplement gentilles et sourient à beaucoup de monde. Auparavant je ne m’étais jamais intéressée au fait d’aller par moi même draguer une femme mais maintenant que la question se pose, je suis perplexe.
Mesdames (ou messieurs, peut être rencontrez vous le même problème vis à vis des hommes) auriez-vous une réponse ?
Ceci étant dit, merci la vie d’avoir créer les femmes.
submitted by redditladyb to AskMeuf [link] [comments]
Je (F24) me posais une question. Pour expliquer grossièrement je suis saisonnière, et ça bouge pas mal entre saisonniers dans l’ensemble. Je suis bi et plein de fois je me suis faite la réflexion de comment reconnaître/aller vers une fille si je ne connais pas son orientation sexuelle ? Par exemple en soirée. J’ai déjà eu des regards, des sourires etc mais comment interpréter ? Je sais que bon nombre sont simplement gentilles et sourient à beaucoup de monde. Auparavant je ne m’étais jamais intéressée au fait d’aller par moi même draguer une femme mais maintenant que la question se pose, je suis perplexe.
Mesdames (ou messieurs, peut être rencontrez vous le même problème vis à vis des hommes) auriez-vous une réponse ?
Ceci étant dit, merci la vie d’avoir créer les femmes.
2024.05.21 18:28 Specialist-Law7165 STB de ne pas aller voir ailleurs
Je ( F23 ) suis en couple avec (H23 ) depuis 4 ans avec coupure, Monsieur m’a très souvent fait des coups a base de « j’ai pas envie ce soir » Je me retrouve très souvent frustrée sexuellement, à un point d’en pleurer, je suis une femme ronde, tatouée, féminine, et très coquine, je m’achète très souvent des petites tenues, je m’amuse pendant l’acte à faire des jeux de rôle, je tente de me surpasser sexuellement, j’ai même des sextoy, tout ça pour vous dire, j’ai un très gros appétit sexuel. Je n’arrive pas à me dire qu’on peut passer 3,4 soirs dans un même lit sans se toucher. Je rêve, je fantasme, du fait qu’il me prenne et me foudroie comme il se doit, mais lui préfère qu’on fasse des jeux sur nos tel, qu’on regarde l’ordi etc Pendant l’acte tout se passe bien, il kiffe, mais pour arriver à l’acte il faut le flatter. J’en ai marre, puisque je suis satisfaite oui, mais pas assez. Il est du genre à me raconter les exploits de ses collègues, qu’un tel n’a pas tirer son coup ou que l’autre sa femme a mal à la tête depuis 2 semaines, et je lui dit qu’il m’a moi, qu’il n’a qu’à se servir, il me dit qu’il sait mais ne fait rien. Il n’en a pas envie, je ne sais plus quoi faire
submitted by Specialist-Law7165 to u/Specialist-Law7165 [link] [comments]
2024.05.21 18:24 Ultranem Je comprend rien à la fibre
Bien le bonjour,
Je suis un jeunot à la recherche d'un appart et de par mon addiction aux jeux vidéo (mais aussi parce que beaucoup de télétravail), j'ai besoin d'un bon débit.
L'agence étant incapable de répondre à ma question : Je vois que l'appart est censée être déployé et raccordable. Ce terme RACCORDABLE veut dire quoi ? Que je dois juste appeler un opérateur, attendre l'intervention du technicien ? Demander a faire des travaux du bas de l'immeuble à mon appart pour ensuite avoir le technicien ? S'il s'agit du second, y'a t'il des frais ?
J'vais pas mentir, mon choix d'appartement est grandement lié a ça et j'aimerais être sur avant de me lancer.
Merci d'avance :D
submitted by Ultranem to france [link] [comments]
Je suis un jeunot à la recherche d'un appart et de par mon addiction aux jeux vidéo (mais aussi parce que beaucoup de télétravail), j'ai besoin d'un bon débit.
L'agence étant incapable de répondre à ma question : Je vois que l'appart est censée être déployé et raccordable. Ce terme RACCORDABLE veut dire quoi ? Que je dois juste appeler un opérateur, attendre l'intervention du technicien ? Demander a faire des travaux du bas de l'immeuble à mon appart pour ensuite avoir le technicien ? S'il s'agit du second, y'a t'il des frais ?
J'vais pas mentir, mon choix d'appartement est grandement lié a ça et j'aimerais être sur avant de me lancer.
Merci d'avance :D
2024.05.21 17:58 Le_denicheur Tous le monde veux que je sois en couple
Tous mon entourage (famille, amis, collègues) veux que je (H24) sois en couple. J’ai beau leur expliquer que je préfère me concentrer sur mes études et devenir prof. Et après avoir devenu prof je pourrais me concentrer sur ma vie amoureuse.
Mais ça ne marche pas. Ils ne comprennent pas que je ne suis pas intéressé avec une relation amoureuse pour l’instant.
Et aussi je n’ai pas encore trouvé la bonne. Je préfère attendre au lieu de me mettre en couple “juste pour être en couple”
submitted by Le_denicheur to besoindeparler [link] [comments]
Mais ça ne marche pas. Ils ne comprennent pas que je ne suis pas intéressé avec une relation amoureuse pour l’instant.
Et aussi je n’ai pas encore trouvé la bonne. Je préfère attendre au lieu de me mettre en couple “juste pour être en couple”
2024.05.21 17:57 bornskinnyhomo Deuxième séjour en France : nouvelles recommandations ?
Bonjour à tous, l'année dernière j'ai passé deux mois en France pendant l'été, et j'ai fait un tour complet de Paris -> Lyon -> Nice -> Marseille -> Arles et ainsi de suite. C'était mon premier voyage solo (je parle le français au niveau B2). Dans mon voyage, j'ai préféré les grandes villes comme Paris, Lyon et Nice, et les petits villages comme Villefranche-sur-mer, Amboise et Provins (et des petits endroits uniques comme Saint-Guilhem-le-Désert). Elles étaient belles, mais je n'adore pas les villes de taille moyenne comme Bordeaux, Toulouse, Tours (à l'exception de Strasbourg).
Je suis maintenant à la recherche de recommandations pour un deuxième séjour en France Sept 1 - 20. Paris mérite au moins 5-6 jours cette fois (mon dernier voyage, j'ai passé 12 jours dans la ville), mais je cherche des recommandations pour d'autres endroits qui correspondent à mon désir de petites villes pittoresques. J'irai aussi à la Côte d'Azur pour voir quelques villes plus petites comme Menton que je n'ai pas vues la dernière fois. Les autres endroits potentiels sur ma liste sont Dijon (certaines personnes le recommandent), et Blois (j'ai adoré faire du vélo dans la vallée de la Loire). J'aimerais bien d'autres recommandations ! Merci bcp
submitted by bornskinnyhomo to francetourisme [link] [comments]
Je suis maintenant à la recherche de recommandations pour un deuxième séjour en France Sept 1 - 20. Paris mérite au moins 5-6 jours cette fois (mon dernier voyage, j'ai passé 12 jours dans la ville), mais je cherche des recommandations pour d'autres endroits qui correspondent à mon désir de petites villes pittoresques. J'irai aussi à la Côte d'Azur pour voir quelques villes plus petites comme Menton que je n'ai pas vues la dernière fois. Les autres endroits potentiels sur ma liste sont Dijon (certaines personnes le recommandent), et Blois (j'ai adoré faire du vélo dans la vallée de la Loire). J'aimerais bien d'autres recommandations ! Merci bcp
2024.05.21 17:46 18cram18 comment rencontrer des gens (mecs) après 40 ans ?
ompte poubelle (F 41 ans)
apres une période en couple d'environ 15 ans (2 enfants en commun) je ne sais pas comment rencontrer quelqu'un. Je ne suis pas douée pour la drague. J'aime les hommes tres cultivés et intelligents qui arrivent à me stimuler intellectuellement. Le sexe est bien sur important mais je en veux pas rencontrer quelqu'un juste pour ça. j'ai besoin de discuter, rigoler, argumenter avec la personne sans pour autant chercher quelqu'un pour me remettre en couple. Les applis de rencontre sont elles systématiques et inévitables?
submitted by 18cram18 to AskMec [link] [comments]
apres une période en couple d'environ 15 ans (2 enfants en commun) je ne sais pas comment rencontrer quelqu'un. Je ne suis pas douée pour la drague. J'aime les hommes tres cultivés et intelligents qui arrivent à me stimuler intellectuellement. Le sexe est bien sur important mais je en veux pas rencontrer quelqu'un juste pour ça. j'ai besoin de discuter, rigoler, argumenter avec la personne sans pour autant chercher quelqu'un pour me remettre en couple. Les applis de rencontre sont elles systématiques et inévitables?
2024.05.21 16:51 Weathers_Writing I think God might be real, just not in the way you think (Part 2)
First of all, I wanted to thank everyone for their kind words and support from the last post. A lot has happened since then, and a bunch of context is needed, so I hope you'll bear with me as I explain the details.
***
Back during the peak of the blinking crisis, I remember having a lot of difficulty sleeping. It was common for me to average only four or five hours a night, and the little sleep I did get was marred by terrible nightmares. One in particular recurred many times.
I was only eight, but somehow I was in the driver's seat of our family's old SUV. My arms were long enough to steady the wheel, but my legs didn't quite meet the pedals. It didn't matter though, since the car seemed content to continue on at a constant pace. I looked over and saw my mom in the passenger seat. Her face was a blurry likeness pieced together from the dozen or so picture's I'd seen of her over the years. I tried to bring her into focus, not only because I missed her dearly, but because she was speaking—pleading, even. She waved frantically at me, then brought her leg up and slammed it down on the floor mat several times. I didn't understand what had her so upset until she pointed out the front windshield, and I saw we were hurdling directly toward a giant tree that had fallen in the middle of the road.
Panicking, I stomped for the brake, but my seatbelt protested and pulled me back like an invigorated dog on a short leash. I sat up and tried clicking it off, but it wouldn't budge. My breaths became hollow cries, and I felt my heart beat against the bars of its bony prison. I grabbed the steering wheel and pulled it to the left, then right, attempting to swerve off the road, but it was as if whatever kind of glue was locking up the seatbelt was also fixing the steering wheel in place.
"Mom! what do I do!?" I yelled, tears streaming from my eyes. She was yelling back at me, but it was as if there was a divider between us, and neither of us could hear each other. I turned back just in time to see the giant Oak tree meet the front bumper, and then I jolted awake with a piercing pain in my chest that radiated up through my throat in the form of a giant scream. My little legs kicked under the covers and tears rained down on my pillow until my dad ran in and knelt at my bed.
"Lauren, are you okay? Did you have a bad dream?"
I grabbed my pillow and hugged it so my face was covered, then effused a "Mmm-hmm" in a long wheeze while rocking to either side.
"Oh, honey," he soothed and brushed my hair, then the tears from my face when I would allow it.
Time would pass in silence, and when I began to get the sense that my dad was ready to leave, I'd chirp out, "stay" in that way children do when they're embarrassed about wanting something.
"Always," my dad would reply; then he'd post up on the floor with my large tomato plushie as a pillow.
One night in particular, it was deep in the night, and I had woken to a tapping sound outside my window. I was so afraid that a monster had snuck into my room while I wasn't looking that I made him lay next to me and face outward. I'd peek my eyes open every minute or so to check and make sure my dad was there, staking out the room. Eventually, he rolled in close and said something that I still remember to this day.
"Hey, baby, guess what." he whispered.
"Mmm" I mumbled.
"I think you scared the monster away."
I tried to picture this through the fog of my fatigue. Something seemed off about the statement, like it wasn't logically possible, but before I could piece together the words to express that, my dad cut back in.
"It was scared because it realized you're a superhero. And you know what your greatest superpower is?"
I shook my head, making sure to rub my forehead against his shoulder so he could sense it in the dark room.
"You're greatest power is that you get to tell the monsters what to do. Because the monsters are only as strong as the stories you tell about them. And there's all kinds of stories. Happy ones. Sad ones. Scary ones. Tell me, this monster you think snuck in, would you say he's part of a scary story?"
"I don't know," I said, confused. "Maybe"
"Hmm," he hummed, contemplating. "Well, I want you to remember this. You have the ability to tell any kind of story you want. Maybe there are monsters, but that means there's heroes and angels, too, right?"
I was beginning to doze off to the comforting sound of my dad's deep voice, but I gave another affirmative "Mm-hmm".
"So, if you're ever scared, honey, just dream up a better story. A story that will bring you peace. Do you understand?"
But I was already out.
***
I woke up the next morning to the feeling that someone was in the hotel room with me. The drapes were drawn and the only sound was the AC unit blowing cold air, but when I looked toward the dark corner of the empty coat rack, my mind conjured the face of my dad, smiling at me, chanting that same, awful line—Oh, Lauren… you know who we are.
I was no longer a child, but it took a couple minutes of cold focus before I muscled the courage to ascend from the safety of my covers and flick on the lamp light. The small amber radius extended to where my dad's feet would have been if he was standing there. But there was no one. I let out a sigh and collapsed back onto the mattress, thinking back on all those years growing up. The same man who had helped me conquer my fear of the dark was now the monster hiding in its shadow.
I looked over my shoulder and saw the clock read 10:15. My meeting with Trent was in three hours. I moaned and stretched my arms back until they knocked against the headboard, then I collapsed back onto the mattress, meditating, gathering energy like a compressed spring. All at once, I jumped up and glided over to the drapes, opening them in a single, fluid motion. I grimaced at the sunlight, but the warmth felt good against my face. I stopped by the nightstand and gulped down the final few swigs of a bottle of Mello Yello that I had purchased from a vending machine the previous night, then undressed and hopped in the shower.
The warm water wasn't enough to wash away the previous night's memories. When I closed my eyes to lather my hair, I was back in my living room, standing opposite the demon that had taken on my dad's form. His smile. His laugh. It was like someone in my head was flipping a switch between the man I loved growing up and a terrible monster. But the fear was more powerful. I heard something drop onto the tile floor on the other side of the curtain. The noise made me gasp, and I opened my eyes while shampoo was still streaming down my face. I swiped the shampoo out of my now burning eyes and squinted at the curtain, trying to see through it, but I couldn't make anything out. "I-is anyone," I started, trembling, afraid to finish the sentence. I reached out and pinched the end of the curtain. My heart was in overdrive. I swallowed, then pulled it toward me and peeked out. I scanned the room, but I couldn't see anything out of place.
It wasn't until after I finished showering and wound myself up in one of the hotel's too-small towels that I saw what had made the noise. I bent down and picked up the stub of a razor blade that had fallen onto the tile right next to the puffy, gray shower rug. It wasn't mine, and I was pretty sure hotels didn't keep unguarded razor blades just laying around. When I held it up, it occurred to me that if it had simply fallen a few inches to the left, it would have been buried in the rug, and perhaps I would have stepped on it. I stared at myself in its steely reflection. Cold. Lonely. Small. What if I—was all I was able to think before the blade blinked out of my hand.
I threw on some clothes, packed up the few belongings I had into my purse, then checked out of my room. I didn't feel safe going back home after what happened, but I also didn't want to go anywhere else. I got in my car and drove aimlessly up and down the town's streets, focusing only on the car ahead of me. Anytime I started to travel down an avenue of thought, I'd make a turn, or speed up, or hit the brakes: anything to keep my mind distracted. It was sweltering outside, but I'd turn the heat on for minutes at a time until I felt drenched, then toggle max AC until I was cool, then back to heat. I repeated the basic driving tenet "10 and 2", "10 and 2", "10 and 2" like a mantra—a chant to focus my attention on a single point, and then I pictured that point disappearing. I began to think that maybe I wanted to disappear.
I fully intended to keep going that way until 1:00, but after about thirty minutes, my meandering route had led me to St. Mark's Catholic Church, where a large group of people were gathered around a long line of tables in front of the building. I slowed down. At the front of the venue was a large, white cardboard sign which read, "Plant a Seed, Share the Joy". I wasn't sure what that meant, but my boredom had come to a head, and I rationalized that if there's any place on God's green earth that would be safe, it was this one. I parked along the closest side-street, then walked over to the church.
Rows of white tables were covered with cardboard boxes filled with small plants that were wrapped up in individual paper pots. I watched from a distance as people behind the tables carefully removed the plants, one by one, and offered them to passersby. I continued down the line, a sheep in the herd, and allowed myself to sink into childhood memories. I had somehow made it out the other end near the Narthex when I heard a woman's voice call to me.
"Hey, deary, have you gotten one yet?"
I turned and saw a small, gray-haired lady with rose-colored glasses. "Oh, no," I started, attempting to decline, then paused. The old lady grabbed one of the plants and held it out for me.
"Here," she said. "Come on, I won't bite."
As far as you know, I thought, and stumbled forward with a sigh. "Thanks," I said and took the plant. "What is this all for, anyway?"
"It's a giveaway," the old woman responded. "Staff have been growing these plants—tomatoes and garlic, mainly—so they could offer them to members of the Parish. The idea is to have the members grow the produce, then donate it to St. Mark's Food Pantry to give to those in need."
"Oh, that's actually pretty cool." I replied and inspected my plant which was at present nothing more than a small green stem. "So which kind is this one?"
"That one is—" the old lady stopped and inspected the other plants near where she had grabbed mine—"tomato."
"Tomato," I repeated. "Well, thanks again."
"Of course, dear." the old lady beamed. "We're all responsible for each other."
I nodded, then continued back through the crowd toward my car when, through the large vestibule windows, I saw a Priest speaking to a young couple. It had been a little over a decade since I had attended a service (I stopped going during High School when I started studying other religions), and I didn't recognize this Priest. He was short (just over five feet tall), bald, and African American. He wore the customary black robe and white collar, and there was something in his smile and the way seemed to be affirming the couple that made me yearn to speak with him. I considered for a moment, a bit embarrassed to be stepping back into church after all this time, but the thought of being able to burn ten minutes talking with someone who might have some insight into my situation was too tempting to pass up.
I waited near a portrait of Mary Magdalene, my tomato plant in hand, staring off at the pristine series of stained glass images portraying the death and resurrection of Jesus. About a minute in, the Priest met my eyes; he smiled, his way of telling me he knew I was waiting, then finished up with the couple and made his way over. He had a bit of an accent when he spoke—it was Ugandan, from best I could tell—and a proclivity for laughing at the end of his sentences.
"Hello, Miss, I don't believe I've had the privilege," he said and held out his hand. He leaned in as he spoke, and his smile tugged on the corners of his eyes which were already marked with use.
I shook his hand and returned what I'm sure was a weak smile. "No, I don't think so. My name's Lauren. I used to come here when I was little. It's—been a while."
"Well, I see you picked a good day to visit. If you're into gardening, that is." He remarked with a laugh and gestured toward the plant. "It's nice to meet you, Lauren. My name's Martin—Father Martin, if you prefer."
"Father Martin," I repeated, "I have a friend named Martin. It's a good name."
He laughed and said, "Thank you, I'll pass that one along to my mother. She loves the praise."
I laughed back. He carried himself in such a carefree way that I was put immediately at ease. Almost to the point where I forgot what I wanted to talk to him about. "Um," I started, attempting to word my question in a way that didn't sound like I needed psychiatric help. "I have a couple of religious questions for you, if you have time."
"That's what I'm for. Ask away."
"They're about… miracles. Like the ones in the Bible. I was wondering, do you think that miracles still happen today?"
"Miracles, huh," he started. "You mean like water into wine?"
"Kind of, yeah,"
"Hmm…" he contemplated. "Well, I haven't seen them, myself. You know, I may be a Priest, but I also have a degree in Physics. I think God made the world according to laws, right? But I do think God has the power to intervene. Yes. I just have never seen it… like … you know, the biblical type of miracles. To me, there are miracles happening all around us—miracles we can't see."
"Exactly," I responded, thinking about how no one else could see the blinks, "those kinds of miracles. What are those miracles we can't see?"
One of Father Martin's eyebrows raised and he rubbed his chin. "Well, I think the greatest miracle is the miracle of God's love which was perfected in Christ and offered to each of us. It's his power to heal even the most troubled mind. By coming into alignment with God's will for us, we can see the true purpose of this existence."
No, he's not getting it, I thought. I scrambled to my other entry-point. "What about the story of Job? God made a bet with the Devil that Job would stay faithful to him no matter what the Devil did to him. Do you think that kind of situation is possible?"
Father Martin's expression drooped into a concerned frown. "There's quite the difference between miracles and the story of Job. I suppose I see what you're getting at, though. Job's suffering is in some ways the antithesis to positive miracles. In this life, we are tested, sometimes to the point of losing everything, but even that person who has more reason to hate God than anyone else can once again find peace and eternal happiness through faith. In fact, it's often the person who is lowest in the pit of suffering that needs the Light of Christ more than anyone else."
I thought back on the first night that I prayed. It was in my moment of greatest helplessness that I reached out to God, and I thought I had found my answer in Him. But now, after what happened last night, after all these years of chaos—not merely losing things that were important to me, but my very sanity—I needed more than just blind faith. I couldn't just sit idly by and hope things would get better. I smiled at the Priest and said, "Thank you, Father, this has been very insightful."
"Of course, sister. I'm sorry if I couldn't have been of more help."
"No, I think I understand now. I've been… wrestling with something, and I think God wants me to confront it. I think I've been running away and hiding from it for so long that I'd convinced myself it disappeared."
Father Martin nodded in understanding. "Well, in that case, will you let me leave you with a prayer?"
I was a bit taken off guard by the request, but I accepted. "Sure, Father."
I watched as he made the sign of the cross, then he lifted his hands and closed his eyes. "Dear God, I am so happy to have had the privilege of meeting with Lauren today, especially on a day such as this where we are offering gifts for those who need them. You have heard her desire to confront the things that are troubling her. I ask that you bless her with strength and peace and a clear conscience, that she may overcome these challenges. God, bless us with your spirit, that we may see your hand in our lives. Amen."
"Amen," I said.
As I was leaving, Father Martin called out to me and said, "Oh, just so you know, this Friday at 7 we are having a barbecue at the Parish Center. I would love to see you there, if you're able and wanting."
Turning back, I smiled and said, "Oh, ok, thanks Father. I'll think about it."
The priest nodded, and with a smile, he sent me off.
***
I walked into the Deli at 1:00 on the dot. The customers who had arrived for the lunch rush were already cleaning up their trash and heading out. I dodged past a few of them on my way down the long, narrow path leading to the front counter. While I waited behind a couple of elderly folk who were picking which soup they wanted to pair with their Ultimate Grilled Cheese, I looked around for Trent. He hadn't sent me a picture or any way of contacting him throughout the day, so I wasn't sure what I was looking for, but I figured I'd see some man half-hidden behind a newspaper, scouting me out. Maybe I watch too many movies, I thought.
"Ahem, ma'am. You're up." croaked the teenager behind the register.
"Oh, right, sorry" I replied and stepped up to the counter. "Uhh," I muttered, scanning the menu for something that looked edible. "Could I just get…" I made sure to mouth every syllable as they were words of their own.
"We have a deal—the try two combo. Sandwich and a soup for $9.99." the cashier repeated for what was probably the fiftieth time that day.
"Yes, that sounds good. I'll do the Italian sandwich and potato soup. And a drink, please."
After I paid for the food, I wandered around the tables, hoping to find someone who looked like a Trent. I was picturing a short guy, runner's build, with long brown hair, tucked somewhere neatly away in the corner. So I was not prepared when the Hulk's stunt double growled my name from a table smack dab in the middle of the restaurant. He had a pale, square face that was spotted with freckles and a sinking property that comes with the lethal combination of stress and age. His hair was relatively short. Probably it was brown or auburn, but since it was slicked back, it looked almost black. And he wore what looked like janitor coveralls. There was even a cloth tag pinned to his chest which read, "Trent".
"Lauren?" He repeated.
"Yes, that's me." I said and took a seat across from him. I saw a brown tray on the table in front of him, and on the tray was a large, white soup bowl. It was empty and beginning to crust along the edges. He must have been here for some time already. "I didn't know where you'd be, so I was worried we might miss each other. I'm glad you found me though." I said while looking over Trent more thoroughly. His large hands were stretched out in front of him on the table. He wasn't wearing a ring, so he probably wasn't married. And his face, it was stern. He seemed like a no-bullshit kind of guy. Then I saw his eyes. They were sapphire blue—probably the most stunning I'd ever seen.
"We only spoke on the internet, so I hope you don't mind, but I usually run a preliminary test on anyone I meet who claims to have abilities such as yours." Trent said while reaching into his pocket and removing a device that had the size and shape of an electric razor. "All you have to do is look into it. It takes maybe five seconds. Ten at most."
"Oh, um, sure," I said reluctantly. "Do I just—" I asked while reaching for the device.
Trent clicked a button and released the cylindrical head which opened, revealing a glass circle about the size of an iris. "I'll hold it, just look into the center. A red cross should appear, then it'll take the picture."
"Okay…" I replied and did as he instructed, leaning my head forward to look into the device. Sure enough, a red cross appeared. "Is it…" was all I got out before the light turned blue and I saw a gray fog disperse and billow throughout the inside of the tube, extending for what I perceived to be miles. My jaw went slack and I couldn't breathe for maybe five seconds. Then Trent reshuttered the device and turned it over.
"Damn, 72." He said with a hint of shock. "That's the highest I've scanned to date." He looked back at me, more relaxed now, and muttered to himself. "How have you been able to function for this long? At this level, you should basically be half in, half out."
I rubbed my forehead, feeling a mixture of pain and frustration and fatigue and impatience which all poured out at once. "Listen, Trent," I said as sternly as I could, "I came here because you said you knew what was wrong with me and that you could help me. I get you have to make sure I am who I said I am, but now it's your turn to pay up. How do I know you know anything about my condition? You said my mom might still be alive. What does that even mean? I saw her die right in front of me. I want answers."
I waited for Trent to respond, but he only lifted his head. I turned around and saw a girl holding a tray of food.
"Um, hi, sorry to interrupt. I have an order 36 for Lauren."
"Oh, yes, thank you." I said. The worker placed the tray down on the table in front of me, and when I saw the food, I suddenly realized how hungry I was. Trent must have also realized this, because he folded his arms and said, "go ahead and eat. I'll explain while you do."
I wanted to protest, but my salivating mouth made other plans. "Fine," I said. I grabbed the metal spoon off the tray and started on the soup, bracing against the steaming heat of the potato chunks.
As I ate, Trent moved all of the items on his tray off to the side, then he flipped the tray over so it was raised slightly off the table. He took his cup and placed it face down in the center, then he rolled up a few of his used, blue mayonnaise packets and charted a track across the tray.
"What are you doing?" I croaked out between bites.
Trent ignored me and continued by ripping up a napkin into strips and placing them alongside the mayonnaise packets. Finally, he snapped ten toothpicks in half and stuck them in the tomb of a dozen overlayed napkins. "It's your diorama," he said at last.
"It's my what?"
"From the story you sent me. Your diorama. When I read about it, it gave me a good idea of how to explain the 'blinking'."
I pointed at the cup in the center. "Is that supposed to be a pyramid? Because I'm pretty sure you're in the wrong geometric neighborhood with that one."
"It's an analogy," he said.
"Of an analogy," I quipped back.
"Look," he picked out one of the toothpicks and held it out in front of me. "This could be a person, an animal, a crowbar—whatever you want. The point is, this diorama is a stand in for our universe. This is everything that exists, that we can see. Okay?"
"Okay,"
"Now, me," Trent placed a hand over his heart. "I'm not in the diorama. I don't exist in the universe."
"In the universe where a cup is a pyramid, or the actual universe?" I said, unable to control myself.
Trent grimaced.
"Sorry, keep going. I get it."
"Things pop into," Trent threw the toothpick back onto the tray, "or out of," he picked the toothpick back up, "our universe at will, based on forces," he patted his chest again, "that exist in other realms" he gestured to the room, "that are connected to our universe," he tapped two fingers against the tray. "These things could be objects, like, say, a toothpick, or entities, like the one you encountered yesterday. The blinking experience that you described aligns with the typical experience of a moderate Antenna. That's what I call people like us—Antennas; because we can pick up on signals others can't."
"We—you mean you see the blinking, too?"
"Yes, but not to the same extent as you. If all the blinks are gathered in a giant picture that you can see, I'm traversing the image through binoculars, maybe even a microscope, depending on where we are."
I thought about this. I guess it was possible there were other people like me out there, but since I had never met anyone, I didn't really consider the idea until now. And then for him to say my ability was somehow much stronger than his… "But," I started, "I haven't even seen that many blinks since I was a child. It's just more focused and malicious now."
"Yeah," Trent scratched his head, "that's the thing that got me really interested in you. Somehow you seem to be able to control it without gear, just by praying. And, look, that's all well and good, but I don't want to give you the false impression that I'm some kind of religious leader. I like to look for logical, scientific explanations for things. So that's the frame I'm coming at this from."
I took a sip from my drink. "That's fine," I said, "the truth is that's why I reached out to you in the first place. I wanted an explanation I could understand. An explanation that was directly related to what I'm going through."
"Then we should get along just fine."
I was scooping out the last potato that was stubbornly gliding along the bottom of the bowl when, out of the corner of my eye, I caught a glimpse of the old man from the line shooting up from his bench and standing in army-erect form. I felt a tingling sensation tickle the back of my neck. I didn't want to turn toward him. I knew what I'd see if I did. "Trent," I whispered, trying to tip him off.
"Huh?" he grunted. Then when he saw my expression, he snuck his right hand under the table and said, "Do you see it? Is it here?"
I cocked my head to the left, signaling toward the old man that was now facing us, but Trent didn't seem to notice him: his eyes just kept scanning the entire front of the restaurant. Then I saw the old man take a step in our direction.
"Lauuurennnn, oh Lauuuurennnn, I've been looking for you, Laurenn." The old man said in a low, gravelly voice that gave the impression he was gurgling liquid tar. I turned and saw his face. It was cold and expressionless, and a butter knife was poking out of his left fist. When I met his eyes, he smiled that horrible smile."You're a slippery bitch, you know that?" He spat. "Why can't you just stay put? Don't you get tired of running from your old friend? Or have you forgotten about me?"
"Trent," I mumbled out. "Right there."
"And this guy. You think he can help you? He's only here to help himself. If that's not clear, you really are a lost little lamb."
"Quick, give me your hand," Trent instructed.
I was silent, my eyes still pinned to the old man.
"Tsk-tsk-tsk," the demon possessed senior wagged his finger at me, taking a step, then another step, shortening the distance as much as he could while I was entranced. Then, suddenly, he sprinted forward at a speed that shouldn't have been possible for a man his age.
"Trent!" I screamed.
"Lauren, give me your hand!"
I spun around and grabbed Tren'ts outstretched arm just as the old man lifted the butter knife over his head like a pickaxe. Then I saw Trent pull out what looked like a toy gun from under the table and point it at the demon.
"Got you," Trent remarked. I braced for a gunshot, but there was no noise. After a couple seconds, I looked back and saw the old man sitting in the booth opposite his wife, his hand tremoring as he reached for his large drink.
"What did you?" I asked, but Trent was already pulling me out of my seat. "Come on, we have to go," he said, "the effect is temporary, he'll be—"
Before he could get out the last word, I saw the cup-pyramid on Trent's tray blink out of existence. The sound of a plate shattering rang out from a table up ahead. The lone woman standing there slowly turned around, smiling, with a fork in one hand and a piece of the broken plate in the other. Trent shot her with the toy gun as we ran past and then barreled through the front door.
"Where—are we going?" I asked between gasps.
"My van. It's loaded with kit."
"And then where?"
"Your house" replied Trent who stashed his gun back in his pocket and took out a key fob.
"My house? But that's where he—it appeared."
"Yeah, and that's where you banished it."
Trent waved me into the passenger seat of his RAM 3500 Promaster. I noticed right away the dash which looked more like it belonged in a new limited-edition EV than a cargo van. The ignition kicked on automatically, and I heard the beep of a sonar ping precede an English woman's voice calling out like some auxed-in GPS saying, "scanning for anomalies". Trent shifted the van into gear, and I heard the wheels sputter as we accelerated backward and whipped out of the small parking lot.
"What's your address?" Trent asked. I gave it to him, and then speaking to his dash, he said, "Car, take us to ****."
"Redirecting to ****," replied the British woman. "Currently detecting 31 novel emergences. Updating pings every 300 milliseconds. Chance of contact: 0.23%"
"What does that mean?" I asked.
"The van has sensor equipment which can detect blinks. It's much more accurate than either of us."
"And it sees 31?"
"Yes, that's not as many as it sounds." Trent said and tore past a car that blinked out of existence right as we turned onto the main street.
We drove on for another couple minutes, the Englishwoman updating the number of novel emergences every ten seconds or so. Her constant babbling eventually became a comforting background noise, and I was able to think again.
"In the message you sent me, you said my mom may still be alive." I looked at Trent to see if he would react to me bringing her up, but he remained stolid. "What did you mean by that?"
Trent thumbed his steering wheel. "I shouldn't have sent that." He said at last.
"Shouldn't have… What do you mean? You can't just say that now."
Trent took one hand off the wheel and turned toward me. "Look, we're going back to your house because we need to determine your origin point. All Antennas have them. It's a place of high energy where many realms intersect, kind of like a station, and it's the place where you first acquired your abilities. Based on everything you wrote, I'm guessing that place is where the forest where the accident happened when you were a young child. But I need to confirm it. Once I confirm that that's the place…" Trent hesitated.
"Then… what? You want us to go back there? To the place where my mom died, or at least where I think she died until you told me she might be alive but are now taking it back? That place?"
"It's the only way to—"
"Now detecting novel agent," the Englishwoman interrupted. We both perked up as she gave another update. "Net anomalies: 437. Novel Agents: 1. Chance of contact: 78%."
"Shit," Trent muttered. "Car, course correct."
"Attempting course correct to avoid collision. Attempts made: 10, 50, 75, 79… No alternate route detected. Chance of contact: 96%."
"Time until contact?"
"Time until contact: 13 seconds."
I shuddered. Looking out the front windshield, I saw cars pop out of existence left and right, opening up a clear path to the four way intersection ahead. In a blink, the streetlights all turned green, and then they vanished completely. It was as if the entire world was being stripped down bare, and all that remained was the road, boxed in by the rows of buildings along either side. In the distance I could see a large tanker barreling toward us.
"Trent,"
"I know," he replied and clicked a different button on the console which opened a new toggle for the shifter labeled "TD". He pushed the stick forward, engaging the new mode, then pressed the accelerator all the way to the ground. "You're going to want to hold on."
"What are you doing!?" I yelled, grabbing onto my seatbelt.
"No time to explain. Car, release phase lock."
"Phase lock released."
I watched in horror as the color drained from the road and buildings and sky, transforming it all into a dim tunnel, with only the headlights of the oncoming semi-truck visible up ahead. I had the sudden thought that this was all a dream, just like the ones from my childhood. I looked over and no longer saw Trent, but my mother. And then I realized this wasn't a dream. This was hell. I was being forced to relive the worst moment of my life, over and over again. Just when I thought I had escaped, I was pulled right back into that car, helpless as we approached but never arrived at our impending fate. I closed my eyes right as the lights engulfed the windshield and braced for the usual pain in my chest, for the feeling of breaking.
But it didn't come.
"Shift" was the last word out of Trent's mouth, and then I was infused with the sensation of being at the pinnacle of a roller coaster. I was suspended there for what felt like hours, but somehow I knew that not even a second had passed. Everything inside the van: the dashboard, windows, ceiling, doors, even Trent himself began to radiate enigmatic particles. They were a mass of constant motion, like raindrops falling through the air but never landing. I looked down at my hand, but it was gone. Diffused into an unknowable number of untraceable particles. The world outside, once devoid of color, was now nothing but color. When I tried to focus on a particular spot in the infinite geometric folds of whatever realm we were traversing through, I could sometimes detect a trace of our world.
The old lady from the church. She appeared as if through a window, standing behind a table, holding out a plant. Only this image was so much brighter. And the plant she was holding was pure gold. Then I'd catch a glimpse of the razor blade. It was large, many hundreds of times larger than the van, and surrounded by darkness. These ghostly images appeared like holograms or reflections that caught the light at just the right angle, then dissipated.
I stayed there, looping between the archetypes of my life for a long, long time.
***
I knew we were returning when I felt the first sense of motion. Breath filled my lungs for the first time in what felt like a day. I blinked. And then we were back in town, driving down the same road with the blue sky above. People were jogging on the sidewalk past the little street shops. The streetlights were active. I checked the side mirror and saw the tanker had just passed by.
I looked over at Trent, who met my eyes. We shared a look of knowing, and unknowing. For some reason, that was enough, and we continued on in silence.
***
We agreed to stay the night at my house.
Trent had parked a couple blocks away in front of a couple vacant houses so as not to arouse suspicion from the neighbors. Then he lugged a large duffel bag with his equipment in and set it up in the living room. He scanned the scrapbook which contained the newspaper clippings from the accident several times and confirmed that was likely my 'origin point'. I simply nodded and then went back out onto the back porch. I sat there for hours, basking in the sun. Something had changed in the past day, but I couldn't pick out what it was. Too much had happened. I had too little time to process any of it.
When the sun set, I went inside and Trent told me about his plans for the next couple days. He said he needed to run a few errands in the morning, then meet up with a couple of his associates. After that, we could begin our drive to Southern Illinois. He said it was likely that the entity that was chasing me had first tied itself to me during my childhood accident. For whatever reason, we came into contact, and now it didn't want to leave. Trent would help me get rid of it. He didn't go into many details regarding how that was to happen, but I don't think in my tired state I would have been able to understand much anyway. He had a plan, and that was enough for me. At least for a while.
After our meeting, I made sure Trent had enough pillows and blankets like a proper host, then I retired to my room. I laid down on my twin bed and stared up at the cream-colored ceiling. Then I turned and saw the participation awards for my junior soccer league stashed on my dresser. I pictured myself on the field, running with the ball, out ahead of everyone except the goalie. I took a shot, but it was blocked. Then I ran back to defend. How can such a simple game be so much fun? Was the last thought I had before drifting off to sleep.
I woke up only once during the night. It was still dark out. The room was warm despite the small, flower petal fan churning away, shifting the hot, humid air from one pocket of the room to the next. I waited in apprehension, sensing that something had disturbed me. I saw the tomato plushie peeking out at me from the slightly ajar closet door where I had stashed it so many years ago. I felt like I was missing something. Something important.
And then I heard it.
There was a tapping at my window.
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***
Back during the peak of the blinking crisis, I remember having a lot of difficulty sleeping. It was common for me to average only four or five hours a night, and the little sleep I did get was marred by terrible nightmares. One in particular recurred many times.
I was only eight, but somehow I was in the driver's seat of our family's old SUV. My arms were long enough to steady the wheel, but my legs didn't quite meet the pedals. It didn't matter though, since the car seemed content to continue on at a constant pace. I looked over and saw my mom in the passenger seat. Her face was a blurry likeness pieced together from the dozen or so picture's I'd seen of her over the years. I tried to bring her into focus, not only because I missed her dearly, but because she was speaking—pleading, even. She waved frantically at me, then brought her leg up and slammed it down on the floor mat several times. I didn't understand what had her so upset until she pointed out the front windshield, and I saw we were hurdling directly toward a giant tree that had fallen in the middle of the road.
Panicking, I stomped for the brake, but my seatbelt protested and pulled me back like an invigorated dog on a short leash. I sat up and tried clicking it off, but it wouldn't budge. My breaths became hollow cries, and I felt my heart beat against the bars of its bony prison. I grabbed the steering wheel and pulled it to the left, then right, attempting to swerve off the road, but it was as if whatever kind of glue was locking up the seatbelt was also fixing the steering wheel in place.
"Mom! what do I do!?" I yelled, tears streaming from my eyes. She was yelling back at me, but it was as if there was a divider between us, and neither of us could hear each other. I turned back just in time to see the giant Oak tree meet the front bumper, and then I jolted awake with a piercing pain in my chest that radiated up through my throat in the form of a giant scream. My little legs kicked under the covers and tears rained down on my pillow until my dad ran in and knelt at my bed.
"Lauren, are you okay? Did you have a bad dream?"
I grabbed my pillow and hugged it so my face was covered, then effused a "Mmm-hmm" in a long wheeze while rocking to either side.
"Oh, honey," he soothed and brushed my hair, then the tears from my face when I would allow it.
Time would pass in silence, and when I began to get the sense that my dad was ready to leave, I'd chirp out, "stay" in that way children do when they're embarrassed about wanting something.
"Always," my dad would reply; then he'd post up on the floor with my large tomato plushie as a pillow.
One night in particular, it was deep in the night, and I had woken to a tapping sound outside my window. I was so afraid that a monster had snuck into my room while I wasn't looking that I made him lay next to me and face outward. I'd peek my eyes open every minute or so to check and make sure my dad was there, staking out the room. Eventually, he rolled in close and said something that I still remember to this day.
"Hey, baby, guess what." he whispered.
"Mmm" I mumbled.
"I think you scared the monster away."
I tried to picture this through the fog of my fatigue. Something seemed off about the statement, like it wasn't logically possible, but before I could piece together the words to express that, my dad cut back in.
"It was scared because it realized you're a superhero. And you know what your greatest superpower is?"
I shook my head, making sure to rub my forehead against his shoulder so he could sense it in the dark room.
"You're greatest power is that you get to tell the monsters what to do. Because the monsters are only as strong as the stories you tell about them. And there's all kinds of stories. Happy ones. Sad ones. Scary ones. Tell me, this monster you think snuck in, would you say he's part of a scary story?"
"I don't know," I said, confused. "Maybe"
"Hmm," he hummed, contemplating. "Well, I want you to remember this. You have the ability to tell any kind of story you want. Maybe there are monsters, but that means there's heroes and angels, too, right?"
I was beginning to doze off to the comforting sound of my dad's deep voice, but I gave another affirmative "Mm-hmm".
"So, if you're ever scared, honey, just dream up a better story. A story that will bring you peace. Do you understand?"
But I was already out.
***
I woke up the next morning to the feeling that someone was in the hotel room with me. The drapes were drawn and the only sound was the AC unit blowing cold air, but when I looked toward the dark corner of the empty coat rack, my mind conjured the face of my dad, smiling at me, chanting that same, awful line—Oh, Lauren… you know who we are.
I was no longer a child, but it took a couple minutes of cold focus before I muscled the courage to ascend from the safety of my covers and flick on the lamp light. The small amber radius extended to where my dad's feet would have been if he was standing there. But there was no one. I let out a sigh and collapsed back onto the mattress, thinking back on all those years growing up. The same man who had helped me conquer my fear of the dark was now the monster hiding in its shadow.
I looked over my shoulder and saw the clock read 10:15. My meeting with Trent was in three hours. I moaned and stretched my arms back until they knocked against the headboard, then I collapsed back onto the mattress, meditating, gathering energy like a compressed spring. All at once, I jumped up and glided over to the drapes, opening them in a single, fluid motion. I grimaced at the sunlight, but the warmth felt good against my face. I stopped by the nightstand and gulped down the final few swigs of a bottle of Mello Yello that I had purchased from a vending machine the previous night, then undressed and hopped in the shower.
The warm water wasn't enough to wash away the previous night's memories. When I closed my eyes to lather my hair, I was back in my living room, standing opposite the demon that had taken on my dad's form. His smile. His laugh. It was like someone in my head was flipping a switch between the man I loved growing up and a terrible monster. But the fear was more powerful. I heard something drop onto the tile floor on the other side of the curtain. The noise made me gasp, and I opened my eyes while shampoo was still streaming down my face. I swiped the shampoo out of my now burning eyes and squinted at the curtain, trying to see through it, but I couldn't make anything out. "I-is anyone," I started, trembling, afraid to finish the sentence. I reached out and pinched the end of the curtain. My heart was in overdrive. I swallowed, then pulled it toward me and peeked out. I scanned the room, but I couldn't see anything out of place.
It wasn't until after I finished showering and wound myself up in one of the hotel's too-small towels that I saw what had made the noise. I bent down and picked up the stub of a razor blade that had fallen onto the tile right next to the puffy, gray shower rug. It wasn't mine, and I was pretty sure hotels didn't keep unguarded razor blades just laying around. When I held it up, it occurred to me that if it had simply fallen a few inches to the left, it would have been buried in the rug, and perhaps I would have stepped on it. I stared at myself in its steely reflection. Cold. Lonely. Small. What if I—was all I was able to think before the blade blinked out of my hand.
I threw on some clothes, packed up the few belongings I had into my purse, then checked out of my room. I didn't feel safe going back home after what happened, but I also didn't want to go anywhere else. I got in my car and drove aimlessly up and down the town's streets, focusing only on the car ahead of me. Anytime I started to travel down an avenue of thought, I'd make a turn, or speed up, or hit the brakes: anything to keep my mind distracted. It was sweltering outside, but I'd turn the heat on for minutes at a time until I felt drenched, then toggle max AC until I was cool, then back to heat. I repeated the basic driving tenet "10 and 2", "10 and 2", "10 and 2" like a mantra—a chant to focus my attention on a single point, and then I pictured that point disappearing. I began to think that maybe I wanted to disappear.
I fully intended to keep going that way until 1:00, but after about thirty minutes, my meandering route had led me to St. Mark's Catholic Church, where a large group of people were gathered around a long line of tables in front of the building. I slowed down. At the front of the venue was a large, white cardboard sign which read, "Plant a Seed, Share the Joy". I wasn't sure what that meant, but my boredom had come to a head, and I rationalized that if there's any place on God's green earth that would be safe, it was this one. I parked along the closest side-street, then walked over to the church.
Rows of white tables were covered with cardboard boxes filled with small plants that were wrapped up in individual paper pots. I watched from a distance as people behind the tables carefully removed the plants, one by one, and offered them to passersby. I continued down the line, a sheep in the herd, and allowed myself to sink into childhood memories. I had somehow made it out the other end near the Narthex when I heard a woman's voice call to me.
"Hey, deary, have you gotten one yet?"
I turned and saw a small, gray-haired lady with rose-colored glasses. "Oh, no," I started, attempting to decline, then paused. The old lady grabbed one of the plants and held it out for me.
"Here," she said. "Come on, I won't bite."
As far as you know, I thought, and stumbled forward with a sigh. "Thanks," I said and took the plant. "What is this all for, anyway?"
"It's a giveaway," the old woman responded. "Staff have been growing these plants—tomatoes and garlic, mainly—so they could offer them to members of the Parish. The idea is to have the members grow the produce, then donate it to St. Mark's Food Pantry to give to those in need."
"Oh, that's actually pretty cool." I replied and inspected my plant which was at present nothing more than a small green stem. "So which kind is this one?"
"That one is—" the old lady stopped and inspected the other plants near where she had grabbed mine—"tomato."
"Tomato," I repeated. "Well, thanks again."
"Of course, dear." the old lady beamed. "We're all responsible for each other."
I nodded, then continued back through the crowd toward my car when, through the large vestibule windows, I saw a Priest speaking to a young couple. It had been a little over a decade since I had attended a service (I stopped going during High School when I started studying other religions), and I didn't recognize this Priest. He was short (just over five feet tall), bald, and African American. He wore the customary black robe and white collar, and there was something in his smile and the way seemed to be affirming the couple that made me yearn to speak with him. I considered for a moment, a bit embarrassed to be stepping back into church after all this time, but the thought of being able to burn ten minutes talking with someone who might have some insight into my situation was too tempting to pass up.
I waited near a portrait of Mary Magdalene, my tomato plant in hand, staring off at the pristine series of stained glass images portraying the death and resurrection of Jesus. About a minute in, the Priest met my eyes; he smiled, his way of telling me he knew I was waiting, then finished up with the couple and made his way over. He had a bit of an accent when he spoke—it was Ugandan, from best I could tell—and a proclivity for laughing at the end of his sentences.
"Hello, Miss, I don't believe I've had the privilege," he said and held out his hand. He leaned in as he spoke, and his smile tugged on the corners of his eyes which were already marked with use.
I shook his hand and returned what I'm sure was a weak smile. "No, I don't think so. My name's Lauren. I used to come here when I was little. It's—been a while."
"Well, I see you picked a good day to visit. If you're into gardening, that is." He remarked with a laugh and gestured toward the plant. "It's nice to meet you, Lauren. My name's Martin—Father Martin, if you prefer."
"Father Martin," I repeated, "I have a friend named Martin. It's a good name."
He laughed and said, "Thank you, I'll pass that one along to my mother. She loves the praise."
I laughed back. He carried himself in such a carefree way that I was put immediately at ease. Almost to the point where I forgot what I wanted to talk to him about. "Um," I started, attempting to word my question in a way that didn't sound like I needed psychiatric help. "I have a couple of religious questions for you, if you have time."
"That's what I'm for. Ask away."
"They're about… miracles. Like the ones in the Bible. I was wondering, do you think that miracles still happen today?"
"Miracles, huh," he started. "You mean like water into wine?"
"Kind of, yeah,"
"Hmm…" he contemplated. "Well, I haven't seen them, myself. You know, I may be a Priest, but I also have a degree in Physics. I think God made the world according to laws, right? But I do think God has the power to intervene. Yes. I just have never seen it… like … you know, the biblical type of miracles. To me, there are miracles happening all around us—miracles we can't see."
"Exactly," I responded, thinking about how no one else could see the blinks, "those kinds of miracles. What are those miracles we can't see?"
One of Father Martin's eyebrows raised and he rubbed his chin. "Well, I think the greatest miracle is the miracle of God's love which was perfected in Christ and offered to each of us. It's his power to heal even the most troubled mind. By coming into alignment with God's will for us, we can see the true purpose of this existence."
No, he's not getting it, I thought. I scrambled to my other entry-point. "What about the story of Job? God made a bet with the Devil that Job would stay faithful to him no matter what the Devil did to him. Do you think that kind of situation is possible?"
Father Martin's expression drooped into a concerned frown. "There's quite the difference between miracles and the story of Job. I suppose I see what you're getting at, though. Job's suffering is in some ways the antithesis to positive miracles. In this life, we are tested, sometimes to the point of losing everything, but even that person who has more reason to hate God than anyone else can once again find peace and eternal happiness through faith. In fact, it's often the person who is lowest in the pit of suffering that needs the Light of Christ more than anyone else."
I thought back on the first night that I prayed. It was in my moment of greatest helplessness that I reached out to God, and I thought I had found my answer in Him. But now, after what happened last night, after all these years of chaos—not merely losing things that were important to me, but my very sanity—I needed more than just blind faith. I couldn't just sit idly by and hope things would get better. I smiled at the Priest and said, "Thank you, Father, this has been very insightful."
"Of course, sister. I'm sorry if I couldn't have been of more help."
"No, I think I understand now. I've been… wrestling with something, and I think God wants me to confront it. I think I've been running away and hiding from it for so long that I'd convinced myself it disappeared."
Father Martin nodded in understanding. "Well, in that case, will you let me leave you with a prayer?"
I was a bit taken off guard by the request, but I accepted. "Sure, Father."
I watched as he made the sign of the cross, then he lifted his hands and closed his eyes. "Dear God, I am so happy to have had the privilege of meeting with Lauren today, especially on a day such as this where we are offering gifts for those who need them. You have heard her desire to confront the things that are troubling her. I ask that you bless her with strength and peace and a clear conscience, that she may overcome these challenges. God, bless us with your spirit, that we may see your hand in our lives. Amen."
"Amen," I said.
As I was leaving, Father Martin called out to me and said, "Oh, just so you know, this Friday at 7 we are having a barbecue at the Parish Center. I would love to see you there, if you're able and wanting."
Turning back, I smiled and said, "Oh, ok, thanks Father. I'll think about it."
The priest nodded, and with a smile, he sent me off.
***
I walked into the Deli at 1:00 on the dot. The customers who had arrived for the lunch rush were already cleaning up their trash and heading out. I dodged past a few of them on my way down the long, narrow path leading to the front counter. While I waited behind a couple of elderly folk who were picking which soup they wanted to pair with their Ultimate Grilled Cheese, I looked around for Trent. He hadn't sent me a picture or any way of contacting him throughout the day, so I wasn't sure what I was looking for, but I figured I'd see some man half-hidden behind a newspaper, scouting me out. Maybe I watch too many movies, I thought.
"Ahem, ma'am. You're up." croaked the teenager behind the register.
"Oh, right, sorry" I replied and stepped up to the counter. "Uhh," I muttered, scanning the menu for something that looked edible. "Could I just get…" I made sure to mouth every syllable as they were words of their own.
"We have a deal—the try two combo. Sandwich and a soup for $9.99." the cashier repeated for what was probably the fiftieth time that day.
"Yes, that sounds good. I'll do the Italian sandwich and potato soup. And a drink, please."
After I paid for the food, I wandered around the tables, hoping to find someone who looked like a Trent. I was picturing a short guy, runner's build, with long brown hair, tucked somewhere neatly away in the corner. So I was not prepared when the Hulk's stunt double growled my name from a table smack dab in the middle of the restaurant. He had a pale, square face that was spotted with freckles and a sinking property that comes with the lethal combination of stress and age. His hair was relatively short. Probably it was brown or auburn, but since it was slicked back, it looked almost black. And he wore what looked like janitor coveralls. There was even a cloth tag pinned to his chest which read, "Trent".
"Lauren?" He repeated.
"Yes, that's me." I said and took a seat across from him. I saw a brown tray on the table in front of him, and on the tray was a large, white soup bowl. It was empty and beginning to crust along the edges. He must have been here for some time already. "I didn't know where you'd be, so I was worried we might miss each other. I'm glad you found me though." I said while looking over Trent more thoroughly. His large hands were stretched out in front of him on the table. He wasn't wearing a ring, so he probably wasn't married. And his face, it was stern. He seemed like a no-bullshit kind of guy. Then I saw his eyes. They were sapphire blue—probably the most stunning I'd ever seen.
"We only spoke on the internet, so I hope you don't mind, but I usually run a preliminary test on anyone I meet who claims to have abilities such as yours." Trent said while reaching into his pocket and removing a device that had the size and shape of an electric razor. "All you have to do is look into it. It takes maybe five seconds. Ten at most."
"Oh, um, sure," I said reluctantly. "Do I just—" I asked while reaching for the device.
Trent clicked a button and released the cylindrical head which opened, revealing a glass circle about the size of an iris. "I'll hold it, just look into the center. A red cross should appear, then it'll take the picture."
"Okay…" I replied and did as he instructed, leaning my head forward to look into the device. Sure enough, a red cross appeared. "Is it…" was all I got out before the light turned blue and I saw a gray fog disperse and billow throughout the inside of the tube, extending for what I perceived to be miles. My jaw went slack and I couldn't breathe for maybe five seconds. Then Trent reshuttered the device and turned it over.
"Damn, 72." He said with a hint of shock. "That's the highest I've scanned to date." He looked back at me, more relaxed now, and muttered to himself. "How have you been able to function for this long? At this level, you should basically be half in, half out."
I rubbed my forehead, feeling a mixture of pain and frustration and fatigue and impatience which all poured out at once. "Listen, Trent," I said as sternly as I could, "I came here because you said you knew what was wrong with me and that you could help me. I get you have to make sure I am who I said I am, but now it's your turn to pay up. How do I know you know anything about my condition? You said my mom might still be alive. What does that even mean? I saw her die right in front of me. I want answers."
I waited for Trent to respond, but he only lifted his head. I turned around and saw a girl holding a tray of food.
"Um, hi, sorry to interrupt. I have an order 36 for Lauren."
"Oh, yes, thank you." I said. The worker placed the tray down on the table in front of me, and when I saw the food, I suddenly realized how hungry I was. Trent must have also realized this, because he folded his arms and said, "go ahead and eat. I'll explain while you do."
I wanted to protest, but my salivating mouth made other plans. "Fine," I said. I grabbed the metal spoon off the tray and started on the soup, bracing against the steaming heat of the potato chunks.
As I ate, Trent moved all of the items on his tray off to the side, then he flipped the tray over so it was raised slightly off the table. He took his cup and placed it face down in the center, then he rolled up a few of his used, blue mayonnaise packets and charted a track across the tray.
"What are you doing?" I croaked out between bites.
Trent ignored me and continued by ripping up a napkin into strips and placing them alongside the mayonnaise packets. Finally, he snapped ten toothpicks in half and stuck them in the tomb of a dozen overlayed napkins. "It's your diorama," he said at last.
"It's my what?"
"From the story you sent me. Your diorama. When I read about it, it gave me a good idea of how to explain the 'blinking'."
I pointed at the cup in the center. "Is that supposed to be a pyramid? Because I'm pretty sure you're in the wrong geometric neighborhood with that one."
"It's an analogy," he said.
"Of an analogy," I quipped back.
"Look," he picked out one of the toothpicks and held it out in front of me. "This could be a person, an animal, a crowbar—whatever you want. The point is, this diorama is a stand in for our universe. This is everything that exists, that we can see. Okay?"
"Okay,"
"Now, me," Trent placed a hand over his heart. "I'm not in the diorama. I don't exist in the universe."
"In the universe where a cup is a pyramid, or the actual universe?" I said, unable to control myself.
Trent grimaced.
"Sorry, keep going. I get it."
"Things pop into," Trent threw the toothpick back onto the tray, "or out of," he picked the toothpick back up, "our universe at will, based on forces," he patted his chest again, "that exist in other realms" he gestured to the room, "that are connected to our universe," he tapped two fingers against the tray. "These things could be objects, like, say, a toothpick, or entities, like the one you encountered yesterday. The blinking experience that you described aligns with the typical experience of a moderate Antenna. That's what I call people like us—Antennas; because we can pick up on signals others can't."
"We—you mean you see the blinking, too?"
"Yes, but not to the same extent as you. If all the blinks are gathered in a giant picture that you can see, I'm traversing the image through binoculars, maybe even a microscope, depending on where we are."
I thought about this. I guess it was possible there were other people like me out there, but since I had never met anyone, I didn't really consider the idea until now. And then for him to say my ability was somehow much stronger than his… "But," I started, "I haven't even seen that many blinks since I was a child. It's just more focused and malicious now."
"Yeah," Trent scratched his head, "that's the thing that got me really interested in you. Somehow you seem to be able to control it without gear, just by praying. And, look, that's all well and good, but I don't want to give you the false impression that I'm some kind of religious leader. I like to look for logical, scientific explanations for things. So that's the frame I'm coming at this from."
I took a sip from my drink. "That's fine," I said, "the truth is that's why I reached out to you in the first place. I wanted an explanation I could understand. An explanation that was directly related to what I'm going through."
"Then we should get along just fine."
I was scooping out the last potato that was stubbornly gliding along the bottom of the bowl when, out of the corner of my eye, I caught a glimpse of the old man from the line shooting up from his bench and standing in army-erect form. I felt a tingling sensation tickle the back of my neck. I didn't want to turn toward him. I knew what I'd see if I did. "Trent," I whispered, trying to tip him off.
"Huh?" he grunted. Then when he saw my expression, he snuck his right hand under the table and said, "Do you see it? Is it here?"
I cocked my head to the left, signaling toward the old man that was now facing us, but Trent didn't seem to notice him: his eyes just kept scanning the entire front of the restaurant. Then I saw the old man take a step in our direction.
"Lauuurennnn, oh Lauuuurennnn, I've been looking for you, Laurenn." The old man said in a low, gravelly voice that gave the impression he was gurgling liquid tar. I turned and saw his face. It was cold and expressionless, and a butter knife was poking out of his left fist. When I met his eyes, he smiled that horrible smile."You're a slippery bitch, you know that?" He spat. "Why can't you just stay put? Don't you get tired of running from your old friend? Or have you forgotten about me?"
"Trent," I mumbled out. "Right there."
"And this guy. You think he can help you? He's only here to help himself. If that's not clear, you really are a lost little lamb."
"Quick, give me your hand," Trent instructed.
I was silent, my eyes still pinned to the old man.
"Tsk-tsk-tsk," the demon possessed senior wagged his finger at me, taking a step, then another step, shortening the distance as much as he could while I was entranced. Then, suddenly, he sprinted forward at a speed that shouldn't have been possible for a man his age.
"Trent!" I screamed.
"Lauren, give me your hand!"
I spun around and grabbed Tren'ts outstretched arm just as the old man lifted the butter knife over his head like a pickaxe. Then I saw Trent pull out what looked like a toy gun from under the table and point it at the demon.
"Got you," Trent remarked. I braced for a gunshot, but there was no noise. After a couple seconds, I looked back and saw the old man sitting in the booth opposite his wife, his hand tremoring as he reached for his large drink.
"What did you?" I asked, but Trent was already pulling me out of my seat. "Come on, we have to go," he said, "the effect is temporary, he'll be—"
Before he could get out the last word, I saw the cup-pyramid on Trent's tray blink out of existence. The sound of a plate shattering rang out from a table up ahead. The lone woman standing there slowly turned around, smiling, with a fork in one hand and a piece of the broken plate in the other. Trent shot her with the toy gun as we ran past and then barreled through the front door.
"Where—are we going?" I asked between gasps.
"My van. It's loaded with kit."
"And then where?"
"Your house" replied Trent who stashed his gun back in his pocket and took out a key fob.
"My house? But that's where he—it appeared."
"Yeah, and that's where you banished it."
Trent waved me into the passenger seat of his RAM 3500 Promaster. I noticed right away the dash which looked more like it belonged in a new limited-edition EV than a cargo van. The ignition kicked on automatically, and I heard the beep of a sonar ping precede an English woman's voice calling out like some auxed-in GPS saying, "scanning for anomalies". Trent shifted the van into gear, and I heard the wheels sputter as we accelerated backward and whipped out of the small parking lot.
"What's your address?" Trent asked. I gave it to him, and then speaking to his dash, he said, "Car, take us to ****."
"Redirecting to ****," replied the British woman. "Currently detecting 31 novel emergences. Updating pings every 300 milliseconds. Chance of contact: 0.23%"
"What does that mean?" I asked.
"The van has sensor equipment which can detect blinks. It's much more accurate than either of us."
"And it sees 31?"
"Yes, that's not as many as it sounds." Trent said and tore past a car that blinked out of existence right as we turned onto the main street.
We drove on for another couple minutes, the Englishwoman updating the number of novel emergences every ten seconds or so. Her constant babbling eventually became a comforting background noise, and I was able to think again.
"In the message you sent me, you said my mom may still be alive." I looked at Trent to see if he would react to me bringing her up, but he remained stolid. "What did you mean by that?"
Trent thumbed his steering wheel. "I shouldn't have sent that." He said at last.
"Shouldn't have… What do you mean? You can't just say that now."
Trent took one hand off the wheel and turned toward me. "Look, we're going back to your house because we need to determine your origin point. All Antennas have them. It's a place of high energy where many realms intersect, kind of like a station, and it's the place where you first acquired your abilities. Based on everything you wrote, I'm guessing that place is where the forest where the accident happened when you were a young child. But I need to confirm it. Once I confirm that that's the place…" Trent hesitated.
"Then… what? You want us to go back there? To the place where my mom died, or at least where I think she died until you told me she might be alive but are now taking it back? That place?"
"It's the only way to—"
"Now detecting novel agent," the Englishwoman interrupted. We both perked up as she gave another update. "Net anomalies: 437. Novel Agents: 1. Chance of contact: 78%."
"Shit," Trent muttered. "Car, course correct."
"Attempting course correct to avoid collision. Attempts made: 10, 50, 75, 79… No alternate route detected. Chance of contact: 96%."
"Time until contact?"
"Time until contact: 13 seconds."
I shuddered. Looking out the front windshield, I saw cars pop out of existence left and right, opening up a clear path to the four way intersection ahead. In a blink, the streetlights all turned green, and then they vanished completely. It was as if the entire world was being stripped down bare, and all that remained was the road, boxed in by the rows of buildings along either side. In the distance I could see a large tanker barreling toward us.
"Trent,"
"I know," he replied and clicked a different button on the console which opened a new toggle for the shifter labeled "TD". He pushed the stick forward, engaging the new mode, then pressed the accelerator all the way to the ground. "You're going to want to hold on."
"What are you doing!?" I yelled, grabbing onto my seatbelt.
"No time to explain. Car, release phase lock."
"Phase lock released."
I watched in horror as the color drained from the road and buildings and sky, transforming it all into a dim tunnel, with only the headlights of the oncoming semi-truck visible up ahead. I had the sudden thought that this was all a dream, just like the ones from my childhood. I looked over and no longer saw Trent, but my mother. And then I realized this wasn't a dream. This was hell. I was being forced to relive the worst moment of my life, over and over again. Just when I thought I had escaped, I was pulled right back into that car, helpless as we approached but never arrived at our impending fate. I closed my eyes right as the lights engulfed the windshield and braced for the usual pain in my chest, for the feeling of breaking.
But it didn't come.
"Shift" was the last word out of Trent's mouth, and then I was infused with the sensation of being at the pinnacle of a roller coaster. I was suspended there for what felt like hours, but somehow I knew that not even a second had passed. Everything inside the van: the dashboard, windows, ceiling, doors, even Trent himself began to radiate enigmatic particles. They were a mass of constant motion, like raindrops falling through the air but never landing. I looked down at my hand, but it was gone. Diffused into an unknowable number of untraceable particles. The world outside, once devoid of color, was now nothing but color. When I tried to focus on a particular spot in the infinite geometric folds of whatever realm we were traversing through, I could sometimes detect a trace of our world.
The old lady from the church. She appeared as if through a window, standing behind a table, holding out a plant. Only this image was so much brighter. And the plant she was holding was pure gold. Then I'd catch a glimpse of the razor blade. It was large, many hundreds of times larger than the van, and surrounded by darkness. These ghostly images appeared like holograms or reflections that caught the light at just the right angle, then dissipated.
I stayed there, looping between the archetypes of my life for a long, long time.
***
I knew we were returning when I felt the first sense of motion. Breath filled my lungs for the first time in what felt like a day. I blinked. And then we were back in town, driving down the same road with the blue sky above. People were jogging on the sidewalk past the little street shops. The streetlights were active. I checked the side mirror and saw the tanker had just passed by.
I looked over at Trent, who met my eyes. We shared a look of knowing, and unknowing. For some reason, that was enough, and we continued on in silence.
***
We agreed to stay the night at my house.
Trent had parked a couple blocks away in front of a couple vacant houses so as not to arouse suspicion from the neighbors. Then he lugged a large duffel bag with his equipment in and set it up in the living room. He scanned the scrapbook which contained the newspaper clippings from the accident several times and confirmed that was likely my 'origin point'. I simply nodded and then went back out onto the back porch. I sat there for hours, basking in the sun. Something had changed in the past day, but I couldn't pick out what it was. Too much had happened. I had too little time to process any of it.
When the sun set, I went inside and Trent told me about his plans for the next couple days. He said he needed to run a few errands in the morning, then meet up with a couple of his associates. After that, we could begin our drive to Southern Illinois. He said it was likely that the entity that was chasing me had first tied itself to me during my childhood accident. For whatever reason, we came into contact, and now it didn't want to leave. Trent would help me get rid of it. He didn't go into many details regarding how that was to happen, but I don't think in my tired state I would have been able to understand much anyway. He had a plan, and that was enough for me. At least for a while.
After our meeting, I made sure Trent had enough pillows and blankets like a proper host, then I retired to my room. I laid down on my twin bed and stared up at the cream-colored ceiling. Then I turned and saw the participation awards for my junior soccer league stashed on my dresser. I pictured myself on the field, running with the ball, out ahead of everyone except the goalie. I took a shot, but it was blocked. Then I ran back to defend. How can such a simple game be so much fun? Was the last thought I had before drifting off to sleep.
I woke up only once during the night. It was still dark out. The room was warm despite the small, flower petal fan churning away, shifting the hot, humid air from one pocket of the room to the next. I waited in apprehension, sensing that something had disturbed me. I saw the tomato plushie peeking out at me from the slightly ajar closet door where I had stashed it so many years ago. I felt like I was missing something. Something important.
And then I heard it.
There was a tapping at my window.