Cerita beastly dan tante

Hello les antitaffeurs !
J'ai perdu mon travail en février. (Voir mon poste précédent si jamais ça vous intéresse, j'étais chez Sopra)
Je me suis rendu compte que cette expérience, et les collègues à claquer au sol que j'ai pu avoir m'avaient en quelque sorte dégoûté du monde du travail.
J'ai reçu plusieurs offres d'emploi, que j'ai toutes déclinées pour des raisons liées à la localisation ou au salaire, ou à la nature de la mission.
Aujourd'hui, je me retrouve embarqué contre mon gré dans un processus de recrutement avec le groupe Alten (coucou Sopra Steria bis)
La mission ne m'intéresse pas plus que ça, puisqu'elle me forcerait à déménager dans une ville dans laquelle je n'ai aucune attache et qui ne m'attire pas (Lorient)
Bref, je me demandais :
-Comment rebondir et reprendre goût au travail ?
-Comment fixer ses exigences salariales en tant que junior (j'ai refusé une offre à 36k brut à Paris, certaines personnes me disent que je suis fou d'avoir refusé, d'autres qu'ils ne payaient pas assez bref 🥸)
-Comment dodger France travail qui commence à me demander des comptes ?
Merci d'avance pour vos réponses

Tout est dans l'intitulé...
Elle a toujours était malade, mythomane, narcissique, manipulatrice, mégalomane etc... tout le gros lot de la manipulatrice narcissique quoi. Depuis notre adolescente, elle a toujours éloigné (par tous les moyens, mensonges surtout) mes ami.e.s, mes petits-amis et a continué à faire ça jusqu'à nos 25 ans.
L'année dernière, elle vivait en Dom-Tom (on avait renoué des liens par téléphone après avoir été séparées pendant plus de 10 ans, devinez pourquoi ?) et à son arrivée en France chez moi, tout allait très bien. Puis... En moins de 48h, on s'est disputé une 1ère fois parce qu'elle me racontait qu'elle avait trouvé un terrain à reprendre, qui faisait aussi chambre d'hôtes et que j'ai eu l'impolitesse de lui poser plusieurs fois la simple question : s'il y avait des transports en communs à proximité pour son fils puisqu'il devait être scolarisé. Pas de réponse, elle a fait comme si elle n'avait rien entendu. Je lui avais donc répété que j'étais contente pour eux et ai reposé la question tandis qu'elle continuait de me parler de ce projet, à partir de là, elle a sorti les grands mots comme "je n'aurais jamais venir chez toi" ou "je regrette d'être venu"... J'ai été choquée, ça sortait de nulle part, elle avait sorti les grands mots. Ensuite je m'étais mise en colère en lui disant que c'était une simple question et que c'était injuste de sa part de m'envoyer dans la figure ses grands mots de désespoir. Que ça rimait à rien, que c'était bête, méchant et gratuit... À partir de là, elle a intimé à son fils de prendre ses affaires pour quitter mon appartement. Parce que j'ai posé une question ? que j'ai eu le malheur de lui dire que c'était injustifié de m'envoyer ça dans la figure ? J'étais hyper déçue, j'ai su à cet instant qu'elle n'avait pas évoluée... elle est partie pleurer sur le balcon et JE m'étais excusé. En essayant d'expliquer cela en disant que faisait plus de 10 ans qu'on ne s'était pas vu et qu'il fallait ré-apprendre à ce connaître.
Trois jours plus tard, elle racontait qu'un guépard s'était approché de son champs, que c'était hyper rare. Je rebondis donc, en disant qu'elle était chanceuse puis je lui ai partagé ma théorie, comme quoi les êtres humains avaient leurs terrains agricoles de plus en plus proches de la forêt, peut-être que les guépards s'étaient habitués à la présence des agriculteurs ? Rien qu'à ça, j'avais déjà pressentis que quelque chose n'allait pas dans son regard, il commencait à devenir de plus en plus noir... Elle n'a rien dit… Puis elle racontait qu'un colibris s'était posé sur son épaule, que c'était là encore hyper rare et j'ai rebondis sur ça, je lui disait que j'avais vu ça en vidéo, que les gens mettaient du miel dans leur main et les colibris venaient butiner dans leurs mains. Que n'avais-je pas dit ?!?!? Elle m'a rétorqué "de toute façon y'a que maman qui me comprend"... Qu'est-ce qu'il s'était passé à ce moment là dans sa tête ? Qu'est-ce que ma mère venait faire ici ? Qu'est-ce que j'avais encore dit pour mériter ce reproche ? Bien sûr, je m'en étais pris pleins la figure, pleins de reproche, qu'elle me racontait quelque chose et que je lui coupait la parole, des reproches quoi… Je m'étais mise en colère et je lui ai dit mes 4 vérités, que je ne méritais pas ça, qu'elle était hyper susceptible et qu'elle ne savait pas être dans une discussion anodine, la preuve en était qu'elle ne recevait rien. J'étais donc la responsable, évidemment. Et coupable de ma colère… après avoir reçu tous ça dans la figure dans un calme olympien jusqu'au reproche de trop.
Bref ! On s'était disputé puis elle prenait ses affaires, son fils, quittaient mon appartement parce qu'elle n'a pas aimé que je lui partage ce que j'ai vu en vidéo dans une discussion totalement anodine ?...
Ma théorie, c'est qu'elle voulait en fait que je fasse les grands yeux pleins d'étoiles émerveillée par elle, par sa lumière et que je sois bouche bea, que je la caresse dans le sens du poil, que je la considère comme une messie arrivée sur terre.
Bon d'accord, je suis sarcastique j'ai aussi mon caractère mais après l'avoir côtoyé pendant plus 20 ans, même après avoir été séparées pendant plus de 10 ans, elle a toujours voulu être au-dessus de tout, qu'il n'y en ait que pour elle et les autres (dont tout le monde) en dessous. Etc...
Je croyais, non j'ai cru que cela aurait pu changer et évoluer entre nous.
Donc rien avait changé et rien ne changera.
Quelques semaines après cette dispute et qu'ils soient partis, elle a envoyé un texto à ma belle-sœur en me dénigrant, que j'étais hystérique, colérique, que j'étais un monstre etc... en écrivant que sa fille (donc ma filleule) lui manquait, qu'elle aimerait l'avoir avec elle (alors qu'elle ne l'a rencontré que 2 fois). Et enfin, elle a essayé de monter ma belle-sœur contre moi sauf que ma belle-sœur (on se connaît depuis presque 20 ans) a été assez intelligente et ne s'est pas laissé faire.
Mais là, ma sœur je le vois arriver , je le sens, elle veut monter mon fils contre moi.
Pourquoi ? Parce qu'on s'est revu, froidement, à l'hôpital (un membre de ma famille est hospitalisé) il y a 1 semaine.
Un soir, ils invitent mon fils à dîner ensemble. Puisqu'ils ne s'étaient jamais revu depuis 1 an, je me suis dit que c'était bien, mon fils pourrait enfin faire connaissance avec son cousin et partager des moments qu'elle nous avait privé après être partis. Qu'ils puissent grandir ensemble enfin…
Et mon fils me dit aujourd'hui (après un accrochage) qu'elle lui a dit que je suis seule parce que je ne suis qu'une colérique, qui cri au lieu de discuter... et qu'elle avait sûrement raison…
Ça m'a brisé le cœur… d'entendre ça de mon fils… qu'il l'a écouté et que ma sœur a commencé sa campagne contre moi en rangeant mon fils à ses côtés…
À chaque fois qu'elle est entrée dans ma vie, toujours avec une gentillesse extrême, en faisant de mes émotions des montagnes russes et à la fin, c'est pour la détruire.
Et là, elle est en pleine campagne de haine contre moi et s'attaque maintenant à mon fils... pour le récupérer et en faire un biais de confirmation pour se faire passer pour une sainte.
Et ça ! C'est dangereux !
Je sais plus quoi faire... on a toutes les plus ou moins 40 ans aujourd'hui et j'ai l'impression que ça ne s'arrêtera jamais...
Je crains que mon fils se fasse embobiner bien que je l'avais déjà averti, bien qu'il ait été témoin de son mépris envers moi à l'hôpital, que malgré mon calme dans la chambre d'hôpital, en sortant de l'hôpital, il ait été témoin des horribles textos qu'elle m'a envoyé… même dans des événements comme ceux-ci, elle veut pourrir ma vie…
Mais comment expliquer à un garçon de 17 ans la complexité du manipulateur narcissique sans prendre des pincettes ? D'autant plus que c'est sa tante... Je crains qu'il soit trop naïf parce que gentil et qu'il agisse par gentillesse pour ne pas blesser sa tante, qu'il ne fasse pas attention parce qu'il n'a jamais vraiment eu sa tante et son cousin auprès de lui... à cause du manque et l'absence de cette famille... je crains qu'il ne tombe dans cette famille 'Guru' ... et qu'elle en profite pour en faire ce qu'elle veut.
Je veux pas faire de drama à mon fils ni la laisser faire, seulement, suis à un point où j'ai juste envie de d'exploser et d'aller crier sur tout les toits quelle horrible femme elle est... Je sais qu'il faut pas que je craque.
Mais...
Sais plus quoi faire.
Quelqu'un pour éclairer un peu ce passage sous tunnel ?
Demain j'ai rdv avec ma psy, j'ai hâte de la voir !
Merci de m'avoir lu, c'était long, fallait que ça sorte... 😅 et merci pour les personnes qui veuillent bien prendre le temps d'écrire ❤️

Bonjour tout le monde. Je vais essayer d'être rapide. Et je m'excuse à l'avance pour les fautes si il y en a.
Mon copain (H28) et moi (F22) jouons à des jeux vidéos ensemble, car c'est sa passion et il m'a initié là-dedans. On joue surtout à des jeux coop de tir ou de survie.
Mais voilà le problème, c'est qu'il râle énormément, et contre moi surtout. Je comprends que ça peut-être frustrant car je n'ai pas un très très bon niveau, mais parfois c'est vraiment lourd. Surtout que quand parfois on joue avec plusieurs amis, il ne râle pas sur les autres, même si ils font les mêmes erreurs que moi. Je ne comprends vraiment pas et ça m'attriste car c'était nos petits moments ensemble et ça me tenait à cœur de pouvoir partager sa passion avec lui.
Quand j'ai essayé de lui en parler, il s'est totalement fermé. En disant que c'était faux, qu'il ne râlait pas tant que ça, et que dans tous les cas c'était de ma faute car je cite "tu fais des actions illogiques et ça m'énerve". Alors j'ai simplement pris la décision qu'on ne jouerai plus ensemble. Il ne comprends pas, il est déçu et pour lui c'est une décision extrême car malgré tout, il dit passer quand même de bon moments. Mais personnellement, je ne vois que ça à faire pour éviter qu'il râle, et que je ne passe pas un mauvais moment où je vais culpabiliser d'être "nulle" aux jeux.
Du coup, STB car je suis trop sensible et que j'ai pris une décision trop extrême ?
Merci d'avoir lu :)

Choix financier
Choix de lieu de résidence et achat immobilier
Bonsoir à tous,
Actuellement eleve directeur, je m’interroge sur mon choix de vie pour l’annee prochaine. M27, je touche 1700€ / mois. Avec ma compagne nous vivons dans un grand appartement parisien (80m2) à 1000€ / mois. L’appartement appartient à ma marraine qui nous le laisse pour encore 3 ans maximum. Possibilité de récupérer le parking en janvier 2025. Mes affectations pour janvier 2025 ont lieu en septembre 2024. Pour info : nous sommes loges en tant que directeur (a Paris les appartements de l’AP-HP sont assez grands par exemple) ou nous touchons une prime de 1500€ nets dans les grandes villes. Les fluides (eau, gaz, électricité) sont payes par l’hopital en cas de logement mis à disposition.
Situation de ma compagne : F29, 2200€, passe un concours et risque d’aller à Villeurbanne des janvier 2025 pour 18 mois en cas de réussite. Le hic, ses resultats sont en novembre alors que mes affectations sont en septembre.
Voici les 3 choix qui s’offrent à moi pour l’année prochaine : -Poste à Paris, logé dans 60-80m2, 2600€ nets -Poste en banlieue, non logé le plus souvent, 4400€ nets avec toutes les primes dont la prime logement -Poste en province : 2600€ logement ou 4400 nets sans logement
A ma place, quel serait votre choix ? Sachant que je n’envisage pas forcement de faire toute ma vie à Paris.
Merci pour votre aide !

J'aimerais (F28) pouvoir rencontrer des nouvelles personnes, et pourquoi pas enfin commencer ma vie amoureuse parce que j'en ai marre d'attendre bêtement d'être choisie (pas la moindre expérience). Le souci, c'est que je peine à rencontrer des gens dans ma tranche d'âge.
Les conventions geek ont toujours été quasiment mes seuls lieux de sociabilisation. Le seul souci, c'est que les gens de plus de 25 ans deviennent de moins en moins nombreux et les seules nouvelles personnes que je croise sont toujours bien plus jeunes que moi, quand elles ne sont pas carrément mineures.
Je n'ai donc aucune possibilité de faire la moindre rencontre. On m'a déjà conseillé de sortir et d'agir pour enfin commencer ma vie amoureuse mais les conditions ne sont pas vraiment idéales.
En dehors de cela, j'ai essayé les clubs associatifs, mais qui a contrario ne sont fréquentés que par des retraités.
En fait j'aurais vraiment du commencer ma vie amoureuse tant que j'avais moins de 25 ans mais ça me prenait déjà tellement de temps de me trouver des amis. Je ne peux même pas piocher parmi les amis d'amis, la totalité sont déjà casés (sauf une seule amie qui restera toujours une amie).
Quels lieux puis-je fréquenter pour rencontrer régulièrement des gens de mon âge entre 25-30 ans ? En vrai hein, pas sur Internet.

Une de mes amis à effectuer un BTS qu'elle n'a pas obtenu. Avant d'avoir les résultats du BTS , elle a été accepté en 3ème année de Bachelor dans une école de commerce pour l'année scolaire suivante.
Elle a pris la décision d'aller en Bachelor malgré nos recommandation de redoubler son BTS.
Elle a fini son Bachelor en juillet 2023 mais ne l'a pas obtenu non plus car il lui manque une ou deux matière à repasser pour le valider.
Avant ses résultats de Bachelor, elle a trouvé un Master dans une école de commerce.
Elle est actuellement en M1 depuis septembre 2023 et n'a ni BTS, ni Bachelor.
On fais tout pour qu'elle arrête son diplome mais elle ne le fera pas tant qu'elle n'a pas la certitude qu'on ne lui délivrera pas son diplôme
Je ne sais absolument pas pourquoi on ne lui a rien demandé lors de son inscription en Bachelor et en Master, personnellement on m'a toujours demandé mes attestations de réussite que ce soit pour entré en Licence pro et pour mon Master en ecole de commerce.
Mes questions sont donc : est-ce que son diplome de master (1 et 2) peuvent lui etre delivrer malgré tout? ou bien est-ce qu'il est obligatoire pour l'école qu'elle leur transmette ses diplômes précèdent avant de lui délivrer?
Egalement est-ce que les écoles ont accès à nos ECTS sans qu'on ne leur transmette nos attestations?
Car jusqu'à présent rien de lui a été demandé.
Je pose la question pas pour que la fraude continue mais pour que si il est possible de lui délivrer comme ça son master, elle pourra passer son BTS en candidat libre et payer pour passer ses matière de Bachelor dans le but de régulariser sa situation et valider ses ECTS

Salut à tous, j'ai un problème au niveau de la formule Blaze de Firebase. J'aimerais que quelqu'un m'aide, J'ai un projet que je développe sur NextJS-Firebase mais quand je veux activé la formule Blaze de Firebase j'obtiens un message d'erreur indiquant qu'il n'ya pas de compte de facturation associé ,contacter votre administrateur de compte google, autorisation insuffisant,..
https://preview.redd.it/ujif4lugvt1d1.png?width=1883&format=png&auto=webp&s=26315f627de57d671f9287bd961b39004f9a9403

Est-ce qu’un technicien supérieur systèmes et réseaux ou un technicien d’assistance informatique peut travailler dans une enseigne comme Ldlc en tant que vendeur et monteur pc ?
Merci

Amanda bertemu dengan Steve di sebuah pesta ulang tahun mantan temannya. Sebuah kesalahan baginya karena membiarkan kesadarannya hilang hingga tanpa sadar telah mencium sembarang pria. Sayangnya, Steve bukan sembarang pria. Dia pewaris sebuah perusahaan besar dengan aset kekayaan berlimpah. Dalam semalam, statusnya berubah dari pria yang hampir menikah menjadi pria brengsek yang berselingkuh. Dan itu semua hanya karena seorang wanita asing yang sialannya menarik. Tentu saja, pria itu tidak akan membiarkan siapapun yang mengganggunya bebas begitu saja. Itu pasti. Read more

🌷 Bħal-lum, 19 ta' Mejju 1967, kien miet b'fama ta' qdusija, Frenċ tal-Għarb ...
FRENĊ TAL-GĦARB 1892 – 1967
TAGĦRIF: Għal ħafna snin, ir-raħal ċkejken tal-Għarb, Għawdex, kien ikaxkar ħafna nies lejh u dan minħabba biex jitkellmu ma’ bniedem tassew sempliċi, ma’ bidwi li l-għejxien u l-ħobża tiegħu kienu biss mill-għelieqi. Dan il-bniedem hu Frenċ tal-Għarb li ismu hu marbut ukoll mal-istess raħal. Frenċ kien ġej minn familja fqira u ma kellux ix-xorti li jitgħallem l-iskola, iżda minkejja dan hu kellu ħafna għerf u kliemu kien ta’ ġid kbir għal ħafna nies.
Twieled l-Għarb fit-3 ta’ Diċembru fl-1892 minn Salvu u Beneditta Mercieca. Hu kien it-tmien wieħed minn familja ta’ ħdax. Frenċ kien devot kbir tal-Madonna u kien jitkellem dejjem fuq imħabbitha lejna l-bnedmin, u jonqox isimha fil-qalb ta’ dawk li jfittxuh. Hu kien iqim lill-Madonna taħt it-titlu tal-Madonna Ta’ Pinu (ara Madonna Ta’ Pinu: https://taghrifdwarilqaddisin.wordpress.com/2018/11/16/22-ta-gunju-madonna-ta-pinu/), għar-rabta speċjali li hu kellu lejn is-Santwarju tagħha.
Kemm-il darba kien jitlob sagrifiċċji mingħand il-bnedmin għall-ġieħ ta’ Marija, sabiex, meta huma jaqilgħu dak li jitolbu, ma jinsewx li l-grazzja ingħatat lilhom bl-interċessjoni tagħha. Frenċ kien ċert li l-Madonna kienet qed tnebbħu x’kellu jagħmel. Ma kienx it-tip ta’ bniedem li joqgħod ixandar affarijiet straordinarji, anzi kien pjuttost jaħbi li jkun ġara. Kien tassew bniedem ferrieħi u mħabbtu lejn Alla, il-Madonna u l-qaddisin ma kellha l-ebda fanatiżmu. Hu kien ikun iddispjaċut ħafna meta kien jisma’ bl-offiżi li jsiru kontra l-qaddisin.
Frenċ kien jitkellem ħafna dwar xi pariri li jkun ta, imma hu qatt ma kixef l-isem ta’ ħadd. Kien jgħin ukoll finanzjarjament lin-nies u lill-Knisja. Frenċ kellu kull qima lejn il-qassis għaliex fih jara l-ministru ta’ Alla. Fl-imħabba li kellu lejn kull qassis, meta xi wieħed kien imur biex ikellmu, Frenċ kien iħoss li għandu jagħmel preferenza miegħu, u ma joqgħodx iħallih jistenna wara l-oħrajn. Hu ġieli ħadha ma’ dawk li gergru għad-drawwa tiegħu. Imma, biex insemmi każ wieħed, meta sema’ t-tgergir, Frenċ kien pront wieġeb: “Morru, jekk ma tridux tistennew. Jien lis-saċerdot nistmah qabel u fuq kulħadd.“
Frenċ kien sar magħruf ħafna mal-Isqof ta’ Għawdex. L-isqof Mikiel Gonzi kien jistaqsi fuq Frenċ biex isir jafu aħjar, u fl-Omelija li għamel wara l-mewt tiegħu fis-Santwarju ta’ Pinu, faħħru għall-kwalitajiet sbieħ tiegħu u għall-ġid kbir li kien għamel. L-isqof Ġużeppi Pace kien jafu ħafna aħjar, hu kien imur għand Frenċ ta’ sikwit, saħansitra għal xi messaġġi għax kien jemmen ħafna fi Frenċ. Darba l-isqof talab mingħand Frenċ xi kura għal bint in-neputija tiegħu.
Ġrajjiet u Fejqan Għand Frenċ kien imur kulħadd, żgħażagħ, anzjani, politiċi, professuri, barranin bħal ma huma l-Ingliżi u t-Taljani. Kienu jmorru nies minn kull livell soċjali. Kienu jmorru mijiet għandu. Żjara għandu kienet tnissel ferħ kbir. Persuna tgħid hekk: “Kull meta kellimtu ħassejt konsolazzjoni kbira, li qatt ma ħassejt bħalha f’ħajti.” “Ġieli marru għandu xi barranin ukoll; dawn aktarx li kienu jkunu mqanqlin mill-kurżità hu kien jitkellem magħhom permezz ta’ interpretu.”
Mara mill-Isla kitbet hekk: “Għandi t-tifel ta’ binti li ħa skoss f’riġlejh. Ħadtu għar-ritratt u fir-ritratt ma rriżulta li għandu xejn; iżda xorta waħda għadu muġugħ ħafna. Jiena qiegħda nibża’ li għandu xi ħaġa. Jiena b’fiduċja kbira fil-Madonna, nitolbok imqar werqa minn tal-fjuri li inti jkollok quddiem il-Madonna biex nagħmilhom ma’ riġlejh.”
Wieħed raġel ittama fil-qawwa tat-talb tiegħu għax ommu kienet marida, mal-mara ma setax jasal għal ftehim, u kellu l-bwiet xotti. Oħrajn rieduh li jitlob għalihom biex il-qorti taqta’ sentenza skont il-ġustizzja. Xi żgħażagħ xtaqu t-talb tiegħu biex jgħaddu mill-eżami.
Frenċ kien japprezza ħafna l-ittri ta’ dawk li kitbulu biex jitlob għalihom ħalli Alla jagħtihom il-fejqan spiritwali ta’ xi persuna li huma kienu jħobbu.
Kliem Misterjuż Ħafna nies kienu jibqgħu skantati meta hu wriehom li kien jaf x’riedu mingħandu qabel ma qalulu. Frenċ kien ikun jaf il-ħajja moħbija tagħhom. Rakkonti minn dawn jeżistu ħafna. Mara minn Tas-Sliema tgħid hekk: “L-ewwel darba li mort għandu biex inkellmu, hekk kif rani, qalli f’mument wieħed ħwejjeġ li jiena u l-konfessur tiegħi biss konna nafuhom. Mill-ewwel bdejt inżommu b’qaddis.”
Bidwi imma tabib tal-ġisem u tar-ruħ Frenċ jgħid hekk: “Jiena qatt ma ħdimt fi sptar lanqas ma’ spiżjar.” Nafu wkoll li Frenċ qatt ma studja l-mediċina, bħal ma jagħmlu t-tobba. Ħafna tobba kienu jitħassruhom lil dawk li jmorru għandu, għaliex x’kura jista’ jagħti wieħed li ma jifhimx fis-sengħa tal-fejqan. Imma xi tobba ħassewhom jinkeddu għax kien hemm nies li marru għandhom u ma tfejqux; imbagħad marru għand Frenċ, u b’li tahom u qalilhom, ħassewhom jgħaddu għall-aħjar. Fi Frenċ, il-Maltin u l-Għawdxin kellhom fiduċja sħiħa. Għalhekk hu kellu fih xi ħaġa li tgħin lil dak li jkun ifieq.
Kliem Frenċ, kien juri li l-qawwiet tiegħu ma kinux fil-mediċini. Imma t-tobba bdew iħarsu bl-ikrah lejh. X’uħud bdew ukoll igemgmu għaliex, lilhom dehrilhom li bniedem marid, jekk ried ifiq tassew, ma kellux għalfejn imur għand Frenċ. Ma naqsux lanqas dawk it-tobba li ma kinux jidħlu fid-djar li fihom ikun mar Frenċ.
Imma aktar mal-morda bdew ifaħħruh, aktar bdew ikabbrulu d-diffikultajiet tiegħu. Xi tobba Għawdxin riedu jieħdu passi kontra tiegħu bil-ġustizzja. Kien żmien meta x’uħud bdew imorru għand Frenċ fid-dlam tal-lejl, biex ħadd ma jarahom!
Żewġ żgħażagħ dilku bl-ingwent li tahom Frenċ bis-sabar lil missierhom muġugħ; it-tabib ried jara dak l-ingwent misterjuż, imma ma setax jifhem x’kien. Frenċ kien jgħidilhom ukoll biex jgħidu Sliema u Qaddisa lill-Madonna. Ħafna kien il-fejqan mirakuluż.
Frenċ jispiċċa l-qorti Minħabba dawn it-tip ta’ każijiet kien hemm min spiċċa biex lil Frenċ tellgħuh l-qorti. Nisimgħu għal darb’oħra l-kelmiet ta’ Frenċ: “Fi żmien it-tabib Frank Vella, Malti li kien joqgħod l-Għarb, u s-surġent kien Michael Xerri mir-Rabat, jiena ġejt imħarrek, u mwaqqaf minn din il-ħidma ta’ fejqan.”
Kienet saritlu ċitazzjoni, u kellu jitla’ l-qorti ta’ Għawdex fil-11 ta’ Ġunju, 1938. Il-Maġistrat Karmnu Parnis xlieh li għamilha ta’ tabib mingħajr il-liċenzja tal-Kap tal-Gvern. L-avukat ta’ Frenċ kien Franġisk Masini. X’ħin il-maġistrat staqsieh jekk kienx minnu li għamilha ta’ tabib, u qeda lin-nies, Frenċ baxxa rasu u ma wieġeb xejn. Bis-skiet tiegħu, hu deher li ammetta l-ħtija. Imma kien hemm tabib li pprova jiddefendih, billi qal li Frenċ ma kien qed jagħmel ħsara lil ħadd billi jgħalli ħaxixa. Kien hemm xi għoxrin li telgħu biex jiddefenduh, imma dawn ma ssejħux. Frenċ ġie meqjus ħati. Il-Qorti kkonsidrat il-kondotta tajba tiegħu, u għalhekk ma weħel xejn. Imma hu ġie mwissi li jekk jerġa’ jinqabad mill-ġdid, il-qorti kellha kull setgħa li tikkundannah. Għal dan wkoll li ġie mixli bih din id-darba, u ħelisha b’sempliċi twissija. Dan kien jissejjaħ l-artiklu 23.
Mgħasses mill-pulizija Frenċ kien jibża’ ħafna li jeħel xi multa. Fl-istess żmien tal-kawża, il-pulizija kienet tgħasses fuqu l-ħin kollu. Iżda triq tan-nofs kellu jinstab u dan sabiex il-ġid ma jonqosx. Lil Frenċ qalulu li, jekk tabib jagħti ċertifikat lil xi ħadd biex dan imur għand Frenċ, dik il-biċċa karta tkun qisha permess. Ħafna tobba ma riedux jagħmlu dan; imma oħrajn aċċettaw.
Nisimgħu mill-ġdid il-kliem ta’ Frenċ: “Wara dan, lil dawk li kienu jiġu għandi, kont nitlobhom ċertifikat mit-tabib tad-distrett tagħhom jew tabib ieħor, basta biċ-ċertifikat.” Frenċ jissokta jgħid “Pazjenti minn Malta ġew bil-mijiet u bqajt insewihom b’din is-sistema.”
Il-Post fejn Frenċ kien jara lin-nies.
Ġieli kienu jgħadduh biż-żmien Fost dawk li ma emmnux fih, Frenċ sab ukoll lil min jipprova jgħaddih biż-żmien. Ma’ dawn, Frenċ ġieli kien iebes fi kliemu. Tliet tfajliet marru għandu biex jgħadduh biż-żmien. Imma Frenċ qalilhom b’serjetà: “Idħku! Idħku! Imma ħa naraw kemm ser iddumu. Intom it-tlieta morda u sa ħmistax oħra, waħda minnkom tkun diġà mietet.”
Meta semgħu hekk, huma tbikkmu, u telqu ‘l barra. Wara tliet gimgħat, reġgħu lura tnejn minnhom, u qalulu li seħbithom kienet mietet tassew. Fl-istess ħin, huma talbuh maħfra talli waqqgħuh għaċ-ċajt. Dan kien fatt li ħalla impressjoni kbira, u ħafna baqgħu sal-lum isemmuh.
Ġieli ma qabilx mat-tobba Kultant, Frenċ kien jeħodha kontra d-deċiżjoni tat-tabib. Lil wieħed mix-Xagħra li sempliċiment xtaq li Frenċ jitlob għalih għax kien sejjer jagħmel operazzjoni, qallu: “Ara ma jfettillekx tagħmel xi operazzjoni, kul ikla minestra, u minflok ponn ful, itfa’ tnejn, u għada erġa’ ejja għax ikun għaddielek kollox!”
Frenċ ġieli bidel mediċina mogħtija mit-tabib. Hu ġieli kien jiġġudika lit-tobba li kienu jiżbaljaw, meta jiddikjaraw, li xi ħadd kien marid b’ħaġa waqt li kien b’oħra. Lil dan, Frenċ qallu ċar u tond li t-tobba riedu jieklu minn fuq dahru. Huma żammewh għall-kura, skont kliem Frenċ, sakemm dan kellu x’jibagħtilhom! F’dan il-każ ta’ akkuża gravi, jissemma l-isem tat-tabib, u dak tal-isptar ukoll.
Tifel ma setax jimxi, u t-tabib ordnalu l-ħadid għal saqajh biex jieħdu s-saħħa. Imma baqa’ kif kien. Missieru ħadu għand Frenċ, li qallu: “Neħħilu l-ħadid u itilqu jiġri fir-raba’.” It-tifel innifsu jgħid: “Hu kien qalli biex nidlek iż-żejt tal-ikel magħmul mill-fejġel u, bil-għajnuna tal-Madonna u ta’ Frenċ tal-Għarb, ninsab tajjeb bħal ħaddieħor.”
Każ ieħor …. Waqt li t-tabib iddikjara li tarbija kellha l-ażma, Frenċ qal li hi kienet belgħet xi ħaġa. “Frenċ ippreskrivielna ftit ingwent minn tiegħu, li kellu jindilek fuq sidirha u mbagħad, inqegħdulha biċċa drapp sħuna. Wara dan kollu, l-istess ħaġa qatt ma ġratilha iżjed. It-tabib innifsu ma riedx jemmen b’dak il-fejqan immedjat li kien ġara quddiemu stess.”
Il-ġrajjiet tal-fejqan huwa tremend, dan hu każ ieħor: Lil tifel, minħabba l-mard, it-tobba kienu qalgħulu għajn, u kienu se jaqilgħulu l-oħra. Imma l-ġenituri tiegħu riedu l-parir ta’ Frenċ. Kif sema’ bil-każ, Frenċ ħatafhom, u qalilhom: “X’tagħmlu? Taqilgħulu għajnu l-oħra? Mela tridu li jkollkom tifel għami? Issa, jien nagħmlilkom ftit ingwent. Agħmlulu l-ingwent fuq ċarruta, u għidu Ave Marija lill-Madonna. Agħmlulu fuq moħħu u tibżgħux, ma jkollu xejn.” It-tifel baqa’ jgawdi l-għajn li kien fadallu, u għalhekk ma għamiex.
Ħafna każi ta’ fejqan ieħor, wieħed jista’ jsibhom fil-ktieb “Frenċ tal-Għarb” (1892-1967) ta’ Patri Alexander Bonnici (Franġiskan Konventwali). Dan il-ktieb wieħed jista’ jixtrih mill-Bażilika tal-Madonna ta’ Pinu.
Min jgħallem lili ma jmut qatt Kontra dak li ħasbu x’uħud, Frenċ ma qisx ruħu xi professur. Hu emmen li Alla kien qed jgħinu, u, kif għen lilu, jista’ jgħin lil xi ħaddieħor. Inniżżlu silta minn intervista li saritlu minn Ġorġ Pisani u Charles Arrigo.
Pisani: Dawn il-pariri li kont tagħti fuq is-saħħa tal-bniedem u fuq is-saħħa tar-ruħ: issa dawn dnub li jintilfu għal kollox. Issa, dawn ma jkunx tajjeb li tagħtihom lil xi ħadd li jiktibhom biex almenu jibqgħu warajk?
Frenċ: Jiena naħseb li min għallem lili għadu ħaj; ma jmut qatt.
Arrigo: U min għallem lilek ?
Frenċ: Eh! Kulħadd jaf. Min għallem lili ma jmut qatt. Ma tafux min hu? Min ma jmut qatt?
Dawn il-kelmiet ta’ Frenċ huma ta’ valur kbir. Intqalu ukoll minn bniedem li beża’ li jitkabbar saħansitra jistqarr li Alla kien qiegħed jgħinu. Hu ma riedx jgħid li Alla kien qiegħed jaħdem fih. Imma ried li din il-konklużjoni toħroġ weħidha, bla ma titlissen minn fommu. Għalhekk lil dawk li staqsewh, bi tbissima ħelwa u kważi mistħija daqsxejn mistgħaġeb, staqsiehom: “Kif? ma tafux min hu?” Hu ried jgħidilhom: “Ma tafux li dak li ma jmut qatt hu Alla biss?” Imma dawk it-tnejn kienu fehmu kollox x’ried jgħid.
Ifiequ jekk jersqu lejn Alla Saċerdot Agostinjan qal hekk dwar Frenċ: “Nistgħu nsejħulu wkoll bniedem ta’ Alla għax ikkonverta bosta rġiel u ġuvintur u anki xebbiet mill-ħajja ħażina tagħhom, u ressaqhom lejn Alla.” Frenċ kemm-il darba ma riedx iwiegħed fejqan jekk dak li jkun ma jagħmilx ħiltu biex jersaq lejn Alla. Lil wieħed li talbu xi mediċina, Frenċ wieġbu: “Int ħsiebek biss fin-negozju, u rużarju qatt ma tgħid. In-negozju jispiċċa, imma ruħna ma tispiċċax.” Lill- ieħor li kien jimxi bil-krozzi, Frenċ qallu: “Jekk għandek rieda tajba, tfieq. Imma, qabel, mur Ta’ Pinu, sib saċerdot, itlob maħfra ‘l Alla, u l-Madonna tfejqek.” Għalkemm b’nofs ħajra, hu mar iqerr f’Ta’ Pinu, u talab lill-Madonna biex tidħol għalih. Meta qam minn bilqiegħda biex joħroġ hu sab li seta’ jimxi mingħajr il-krozzi. B’ringrazzjament, hu ħalla l-krozzi f’dak is-Santwarju, u għadhom hemm sal-lum.
Lil wieħed pulizija li qallu kemm kienu għalxejn il-mediċini li ħa, Frenċ wieġbu: “Biex jgħaddilek l-uġigħ kbir li għandek fl-istonku tiegħek, imorrulek id-dwejjaq kbar li għandek, u ma tiblax aktar pilloli għalxejn, trid l-ewwelnett tirrispetta l-mara li għandek u ma toffendix aktar ‘l Alla bid-dagħa.”
L-akbar hena ta’ Frenċ kien meta, qabel kollox, lill-bniedem kien iressqu lejn Alla. Ġieli tkellem b’ton iebes ma’ min ma kellux il-ħsieb li jbiddel ħajtu. Darba waħda, mar biex ikellmu raġel li miegħu kellu mara li ma kenitx martu. Hu ħa taxi mix-xatt biex twassalhom għandu. Iżda, fit-triq, dak tat-taxi ra lil Frenċ ħiereġ mill-Għarb lejn ir-Rabat riekeb f’taxi oħra. Ir-raġel qal lis-sewwieq: “Dawwar lura, u ġerri ftit ħalli nilħquh.” Hekk għamel, u beda wkoll idoqq il-ħorn waħda f’waħda. Is-sewwieq tat-taxi ta’ Frenċ induna li riedu jwaqqfuh; iżda Frenċ ma riedx, u qallu “Suq u tiqafx.” X’ħin waslu r-Rabat, Frenċ niżel mit-taxi, sadanittant ir-raġel laħqu fil-ħin, mar fuqu, u qallu: “Kont ġej biex inkellmek ftit; iżda ma lħaqniekx id-dar.” Frenċ qallu: “Lili m’għandekx xi tridni; mur.” L-ieħor issikah, u talbu bil-ħniena biex ikellmu. Iżda Frenċ baqa’ iebes u wieġbu: “Meta trid tkellimni, ġib lil martek miegħek.”
Kien hemm soru li kien ilha ħafna tibgħat tgħidlu biex imur jaraha, u Frenċ baqa’ ma jagħtix kasha. Fl-aħħar, hi sabet ‘il min wassalha għand Frenċ, u kif daħlet, ħaditha miegħu talli lanqas biss ma kien iweġibha. Frenċ, bil-kalma kollha, weġibha: “Qiegħda tara kemm jiddispjaċih il-marid meta hu jsejjaħlek, u int ma tagħtix kas tiegħu.”
Ħabbar il-mewt Frenċ ġieli għaraf tajjeb li, għal xi persuni, il-mewt kienet fil-qrib. Imma mhux dejjem ried jitkellem b’mod ċar dwar dan. Waħda mara marret titolbu xi ħaġa għall-fejqan ta’ żewġha. Meta ħarġet, hu qal hekk: “Tkellmet tant għal żewġha, u ma qalitx kelma waħda għaliha nnifisha.” Wara ftit ġranet, dik il-mara daħlet l-isptar, u mietet fi żmien qasir.
Żagħżugħ mar jitlob xi ħaġa għal missieru. Frenċ wrieh li missieru kellu kanċer, u kien se jmut. Lilu hu tah biss xi ħaġa biex jonqoslu l-uġigħ. Frenċ innifsu qal: “Il-mediċina li tajtu kienet ftit żejt ta’ quddiem il-Madonna ta’ Pinu.”
Ir-rakkonti hawn ukoll huma ħafna. Inġibu wieħed ieħor biss. Ġużeppi Cassar, minn Ħal Tarxien, kiteb hekk: “Meta l-mara tiegħi kienet marida l-isptar, billi jien kont naf li hi ma riditx toqgħod hemm, mort għand Frenċ biex nistaqsih x’għandi nagħmel: noħroġhiex jew inħallihiex hemm. Jiena wasalt għandu fil-ħdax neqsin għaxra ta’ figħodu. Kif wasalt għandu, Frenċ għamel miegħi ħaġa li qatt ma kien ghamilha. Hu qabad jgħannaqni u jbusni, u ħassejt ukoll id-dmugħ tiegħu. Qalli wkoll: ‘In-nies ħarġitha li jien mitt.’ Jiena weġibtu: ‘Jivvintaw tant affarijiet. Int erħilhom; tagħtix kashom.’ Imbagħad, staqsejtu dwar il-mara tiegħi: jekk għandix noħroġha jew le mill-isptar. Frenċ weġibni: ‘Ma jgħidlekx il-professur jekk għandekx toħroġha? Int agħmel dak li jgħidlek hu.’ Jiena tlaqt lura lejn Malta, u sibt li l-mara tiegħi kienet mietet. Il-ħin tal-mewt tagħha kien eżattament fil-ħdax neqsin għaxra: x’ħin Frenċ kien qiegħed jgħannaqni u x’ħin semmieli li kienu ħarġuha li miet. X’ħin qgħadt naħseb fuq dawk il-kelmiet ta’ Frenċ u fuq dak li għamel miegħi, jiena ħassejt li hu kien sar jaf bil-mewt ta’ marti; imma lili ma riedx jgħidli b’kelmiet ċari.”
Fl-aħħar xhur tal-ħajja ta’ Frenċ Fis-sena 1962, Frenċ għalaq is-70 sena. Imma f’dan iż-żmien hu marad. Il-ħajja tiegħu kienet tbatija. Wara x-xogħol hu kien isib in-nies jistennewh u dan kompla żidlu fit-toqol tal-ħajja. Wara x-xogħol hu kien jaqdi lil kulħadd. Ma tantx kien jagħti kas biex jistrieħ xi ftit. Ġieli ma kienx jiekol jew jorqod. Huwa kien jippreferi li jgħin lill-proxxmu u lanqas biss kien jagħti kas kemm ġieli jkun sar ħin. Minkejja dan kollu n-nies kienet xorta tibqa’ tmur, għalkemm kien ikun jidher li hu għajjien.
Fid-9 ta’ Awwissu, 1966 meta ma kienx jonqsu ħlief disa’ xhur ħajja, Frenċ qal hekk għalih innifsu: “Kemm kemm nitħarrku ftit. Ili ħafna ma niflaħx. Ili sena jew iżjed ma noħroġ mid-dar. Bħalissa, iż-żjajjar lil Ta’ Pinu nqabbad lil min jagħmilhom minfloki. Nitqarben hawn id-dar. Jiġi n-neputi jqarbini.”
Frenċ kien waħħal avviż mal-bieb biex bih jgħarraf li ma kienx għadu jservi nies. Imma ħafna baqgħu jiktbulu. Hu kien isib ħafna aktar ħin biex iwieġeb l-ittri fejn kien jgħidilhom bil-mard li kellu, ħalli ma joqogħdux imorru għalxejn. Kemm-il darba, minħabba d-dgħufija tiegħu, hu kien jiddetta l-ittri lil ħaddiehor. L-ittri ta’ dan iż-żmien jixxiebħu ħafna. Inniżżlu biss silta minn waħda minnhom: “Int għarraftni li qiegħda ssofri xi uġigħ f’riġlejk, u tixtieq li jiena nagħtik xi ħaġa; imma jiddispjaċini m’għandix, għax bħalissa ma niflaħx.” Il-wegħdiet tat-talb ma tonqos qatt fit-tweġibiet tiegħu.
Fl-aħħar erba’ snin ta’ ħajtu, Frenċ, billi qatt ma kien tajjeb għal kollox, ma raqadx iżjed fir-remissa. Hu kien jorqod fis-sodda ta’ kamartu. Kienu snin li Frenċ għaddiehom iqum u joqgħod fis-sodda: daqqa tajjeb u daqqa ħażin. Meta beda jifhem li għalih l-aħħar jum kien qed joqrob, Frenċ beda jlissen l-isem ħelu ta’ Marija aktar ta’ sikwit. Il-Via Sagra minn Ta’ Pinu għal fuq Ta’ Għammar kellha tkun waħda mill-opri li jibqgħu jfakkruh wara mewtu. Fl-aħħar żmien hu kien isemmi dik l-opra ta’ sikwit. Hu kien iħajjar, u jżid imbagħad minn tiegħu. Hu xtaq li jinqalgħu benefatturi li jgħinu f’din l-opra.
Mill-bidu tas-sena 1966, Frenċ ma ħariġx iżjed minn daru. Hu kien ħassu ħażin meta fl-ewwel tas-sena kien ħareġ għall-quddiesa tal-ewwel. Hu kien ikun kiesaħ ħafna, u lil ftit li kienu jmorru jitkellmu miegħu, kien jgħidilhom li ma jdumx ma jsiefer!
U hekk ġara għax fid-19 ta’ Mejju tal-1967 Frenċ ħa l-aħħar nifs, u ruħu daħlet fl-eternità. Dakinhar kien jaħbat il-ġurnata tal-Ġimgħa. Il-mezzi kollha tar-radju u l-gazzetti xandru l-aħbar tal-mewt tiegħu. Mara mir-Rabat ta’ Għawdex irrakkontat, il-ħasda li ħadet meta, dakinhar tal-mewt tiegħu, hi ħadet lil binha għandu biex titolbu jfejjaqulha. Hi ma kenitx taf li miet. Lilha ħallewha tidħol u ħadet ħasda kbira. Xebba li kienet hemm ħaditilha t-tarbija minn idejha, u missitha ma’ Frenċ. Kif marret lura lejn darha, dik il-mara stagħġbet iżjed għax it-tarbija li ma kenitx timxi bdiet tieqaf fuq riġlejha.
Is-Sibt, 20 ta’ Mejju, 1967 saret il-quddiesa tal-funeral tiegħu fil-Kolleġġjata tal-Għarb. Ħafna marru għall-funeral ta’ Frenċ, u bdew jgħidu kontinwament: “Miet qaddis,” u “bħal Frenċ ma jkollniex ieħor.” Frenċ ġie midfun fiċ-ċimiterju msejjaħ Taż-Żejt. Dan hu ċ-ċimiterju tal-Parroċċa tal-Għarb. Il-Qabar tiegħu jġib in-numru 70 A.
Frenċ għadu jinħass li għadu fostna Għaddew ħafna snin minn meta miet Frenċ iżda hu ma ntesiex bħalma kien hawn min bassar dakinhar tal-mewt tiegħu. Kulħadd hu ċert li Frenċ malajr beda jgawdi ‘l Alla fil-hena ta’ dejjem. Kif kienu jitolbuh biex jgħinhom meta hu kien għadu ħaj, hekk ukoll issa għadhom jittamaw li jaqilgħu xi grazzja bl-interċessjoni tiegħu. Fil-fatt ħafna huma il-każijiet ta’ grazzji kbar, wara ukoll il-mewt tiegħu. Illum, Frenċ hu magħruf ħafna iżjed milli kien fl-imgħoddi. Il-‘Ħajja’ dokumentata ta’ Frenċ li kienet ġiet stampata hi eżawrita. Hi ‘ħajja’ li nqrat minn kulħadd: minn nies fuq kull livell fis-soċjetà. Il-qdusija ta’ Frenċ hi xhieda li Alla jsejjaħ tassew lil kulħadd għal ħajja perfetta. Frenċ ma kienx qassis jew patri. Hu kien bniedem li għex fid-dinja, bil-problemi kollha tal-ħajja ta’ kuljum.
Biex tara l-Vidjo: https://www.youtube.com/watch?v=RnSdyguZiW4
Għas-Sors u għal aktar informazzjoni: https://taghrifdwarilqaddisin.wordpress.com/2018/11/26/frenc-tal-gharb/

ŻOMM DAN SEJN ... O Spirtu s-Santu, tinvadi d-dar tiegħi, u neħħi l-inkwiet kollu tiegħi u kull mard. Jekk jogħġbok oqgħod attent u fejjaq lill-familja u lill-ħbieb tiegħi. Ġib il-kwiet fejn hemm il-kaos; ġib id-dawl fejn hemm dlam, u poġġi l-imħabba f’qalbna. F'isem Ġesù, Amen. Din it-talba hija tant qawwija. Waqqaf dak li qed tagħmel, u erġa' poġġi. Jalla l-Mulej iberikkom dejjem. Amen🙏🏻👑🙏🏻♥️✌️😁🇺🇸💪😎👽🤙

Frédéric Fameni (https://fredericfameni.com/) est un entrepreneur motivé avec une passion pour l’immobilier et aider les autres à atteindre leurs objectifs d’investissement. Il est le fondateur de deux entreprises prospères : Homeabroad et Babistays.
Qui est Frédéric Fameni
Homeabroad est un cabinet de conseil en investissement immobilier basé à Montréal, Canada. Avec un bureau situé au 5905, rue Angele à Brossard, Québec, J4Z 1B6, la société fournit des conseils stratégiques à des clients internationaux souhaitant acheter des actifs au Canada. L’expertise de Frédéric réside dans le fait de guider les investisseurs à travers les complexités du marché immobilier canadien, en veillant à ce qu’ils prennent des décisions éclairées qui correspondent à leurs objectifs financiers.
Le parcours académique de Frédéric a commencé à l’illustre École de commerce John Molson de l’Université Concordia à Montréal, où il a obtenu son diplôme en 2015 avec une base solide en principes commerciaux et une compréhension approfondie de l’industrie immobilière. Son temps à Concordia lui a non seulement fourni les connaissances nécessaires, mais a également encouragé son esprit d’entreprise, posant les bases de ses projets futurs.
En plus de Homeabroad, Frédéric a également fondé Babistays, une entreprise de gestion immobilière basée à Abidjan, Côte d’Ivoire. Cette entreprise répond à la demande croissante de biens immobiliers en location à court et à long terme, offrant des services de gestion complets aux propriétaires.
Le parcours de Frédéric, d’étudiant à l’Université Concordia à entrepreneur prospère dans l’industrie immobilière, est un témoignage de sa détermination, de son travail acharné et de son engagement indéfectible envers l’excellence. Sa capacité à identifier des opportunités et à fournir des solutions sur mesure lui a valu une réputation de conseiller de confiance dans l’industrie.
Alors que Frédéric continue de faire croître ses entreprises, son attention reste focalisée sur la fourniture d’une valeur exceptionnelle à ses clients, qu’ils recherchent des opportunités d’investissement au Canada ou des services efficaces de gestion immobilière en Côte d’Ivoire. Avec ses connaissances approfondies, sa réflexion stratégique et son approche centrée sur le client, Frédéric Fameni est prêt à laisser une empreinte indélébile sur le paysage immobilier, tant au niveau local qu’international.

Bonjour,
J'avais une question concernant le calendrier des versement urssaf.
Mes clients me paient à 60 jours, ce qui fait que pour le travail d'avril, je serai payé courant juin.
Or, dans le calendrier Urssaf, je dois déclarer mon CA et payer mes cotisations pour le mois d'avril au plus tard le 31/05.
Vous me confirmez que c'est fréquent de devoir "avancer" son urssaf en tant qu'auto entreprise sans avoir été payé ?

En couple depuis 2 ans (F vingtaine & H vingtaine), cela fait également 2 ans que j'ai rencontré la mère de mon compagnon et chaque instant passé avec elle est un calvaire.
Mon compagnon et moi nous sommes rencontrés pendant nos études sup. Directement après s'être rapprochés, il à très vite commencé à venir tout les jours et nuits chez moi. Il vivais chez sa mère à l'époque (24ans). J'ai appris qu'elle l'avais élevé toute seule, qu'il était fils unique. Nos premieres rencontres ont été rapidement cordiales en surface mais insupportables pour moi : des remarques passives agressives, moqueries... Sur mon physique (alors que selon la société je correspond aux critères attendus ) sur ma façon de m'habiller (parce que une fois je suis venue en jean tshirt), sur mon attitude et j'en passe. Mon compagnon n'as jamais rien remarqué mais je suis passée outre en me disant que c'est une vieille aigrie et tant pis.
Puis sont venus les moment d'affection entre les deux, et là, un sentiment profond de dégout : sur une journée, elle va le prendre une dizaine de fois dans ses bras, lui faire des bisous dans le cou, lui carresser le dos. Sous la table, elle va s'amuser a chatouiller ses pieds avec les siens. Quand on marche, elle prend son bras et se colle a lui, entre nous deux. Quand nous étions chez eux (il avais encore ses affaires la bas) , elle rentrais dans la chambre systématiquement sans toquer (alors qu'elle savais que nous pouvions etre intimes), elle nous a clairement interdit de nous doucher ensemble en disant que c'était dégoutant. Elle n'as pas d'amis, pas de partenaires, elle sort quand son fils sort avec ses amis et moi. Dehors, elle va danser avec lui, lors d'un concert elle a dansé un slow avec lui et m'as regardé droit dans les yeux en disant "regarde XXX, tu dois pas connaitre ce que c'est de danser comme ça avec un homme". Elle me donne envie de dégueuler. Je la hais. Non pas parce qu'elle à de vieilles idées de conne ou parce qu'elle est excécrable avec moi, mais parce qu'elle crée une relation physiologique intense de dégout chez moi.
Aujourd'hui, mon compagnon et moi avons pris un appartement ensemble. Elle est plus loin (mais dans la meme ville) , ça va mieux, mais elle l'appelle dès qu'il y a un "pb" qui n'en est pas un (elle à un soucis a force de picoler ses 1664 tout les soirs et lui a demandé de lui dire ce que voulaient dire ses résultats sanguins ... Il est pas médecin. Ou bien elle va lui demander d'installer sa box qui est une box 4g a juste brancher, j'en passe d'autres). J'en ai parlé plusieurs fois a mon compagnon (oui, de la bonne manière) ça se passe bien en général mais il ne vois et comprend pas exactement tout ce dont je parle, pour lui c'est normal il a toujours vécu ça. Ca avance mais 2 ans c'est long, très long, trop long. Je ne me vois pas me marier, avoir des enfants, avec cette variable pourrie dans l'équation. J'aimerai qu'il consulte dans l'espoir que le/la psy capte le pb et le réveille, mais ça ne marche pas vu qu'en dehors de ça tout va bien.
J'en viens a presque vouloir quitter mon partenaire à cause d'elle, ou a vouloir juste qu'on se barre à l'autre bout du monde, mais elle trouvera un moyen de le faire revenir (cet été elle lui demande de venir 4 semaines chez elle pour qu'il veille sur elle après une opération sans danger qui demande une incision de 5 cm au niveau des cotes...). Nos premières vacances ou on pourrai etre libre et partir. J'en peut plus, et j'ai passé toutes les autres remarques ou sales coups qu'elle a pu me faire, ça m'enerve deja tellement de penser à la surface du problème.

Bonjour. Suite au décès de ma grand mère, mon grand père (86m) se repose désormais sur ses filles (ma mère (53f) et ma tante 59f)) pour assurer les tâches ménagères et l’administratif en prétendant « ne plus être dans le coup ». Elles se relaient donc sur deux semaines à un mois chacune avec lui, mais ne s’entendent pas du tout entre elles.
De plus, son alcoolisme de longue date prend une place plus importante car il a cessé toute autre activité (sport, courses…). J’habite dans la maison également et suis actuellement en master.
Ma tante a récemment eu des travaux coûteux à effectuer à son domicile et ses économies y sont passées. Elle nourrit une certaine obsession depuis longtemps pour les questions d’héritage et depuis la mort de ma grand mère, se focalise sur sur la maison qu’elle qualifie de « son patrimoine », son dù qu’elle veut récupérer et qui ne doit pas être dilapidé par mon grand père. A savoir : ses comportements alcooliques sont exacerbés lorsque ma tante est présente car les disputes sont constantes à longueur de journée.
Elle veut donc le placer en maison senior au plus vite mais stipule que je la bloque car je « squatte » la maison et s’est inventé le scénario selon lequel mon objectif et celui de ma mère est de s’installer pour toujours dans la maison afin de bloquer sa vente et donc la récupération du fameux patrimoine.
J’ai trouvé un stage pour l’été mais il est dans une autre région. Elle semble en cela voir sa chance de m’éjecter car aussitôt la nouvelle apprise, elle a commencé à faire un planning pour emmener mon grand père chez elle et vider la maison très rapidement en moins d’un mois pour la mettre en vente directement. Le souci c’est que j’ai encore des obligations ici cet été, et je ne suis pas sûre de trouver un logement individuel en septembre. De plus, je ne souhaite pas que mes affaires soient déplacées ou jetées en mon absence (objets de valeur financière et sentimentale) et la situation entière semble très précipitée.
Je ne sais pas quoi faire et j’ai abandonné la perspective de discuter avec elle car cela tourne directement en crise de sa part. Que faire ? Comment se passe la médiation familiale à l’aide d’un professionnel ? Est-elle dans son droit ?
Merci à tous.

Gros rant, excusez le long texte.
Depuis deux semaine, mon fils pleure avant de partir à l'école. Y'a une semaine et demi y'a prétexté un mal de ventre pour que j'aille le chercher, le lendemain y'a éclaté en sanglots en classe pis depuis chaque matin c'est les gros pleurs.
Mon fils c'est pas le plus émotif qui soit, normalement il est plus du genre "ti though qui pleure pas" tsé. (On normalise full les émotions, c'est lui qui ne l'est juste pas tant que ça, je précise) Fake ça me met vraiment toute à l'envers de le voir de même.
La TS l'a rencontré, elle dit que tout semble bien aller pourtant. Je me suis assise avec lui à plusieurs reprises pour essayer de comprendre, je lui ai demandé si un autre enfant/adulte lui causait des problèmes, si quelqu'un lui faisait mal, j'ai même été jusqu'à demander si quelqu'un avait eu des gestes déplacés à son égard. Rien de tout ça. Il m'a seulement dit "Je m'ennuie de toi c'est tout"
On se voit toujours, je suis maman à la maison, on passe beaucoup de temps ensemble en dehors de l'école pis je considère être une maman très présente malgré les nombreuses tâches et les trois enfants. Je leur accorde chacun un moment bien à eux et je ne crois pas en délaisser un pour les autres tsé.
Il est en première année, jamais ça ne c'était produit auparavant, y'aime aller à l'école voir ses amis pis jouer.
Je trouve ça dur voir mon fils en pleurs chaque matin, surtout que de base c'est tellement pas dans sa nature, ça me brise le coeur encore plus on dirait et même son enseignante n'y comprend rien.
Je sais tellement pas quoi faire. C'est déjà arrivé à quelqu'un ? Y'avais-tu anguille sous roche ? C'est juste une écoeurantite d'école pis y'est juste dû pour les tites vacances estivales ?

Bonjour,
Actuellement à l’étranger pour le travail, ne sachant pas si je vais revenir en France dans les années qui suivent et quand bien même je ne reviendrais pas sous peu, souhaitant garder mon investissement immo où j’ai pu contracté un prêt à 1.2% j’aurais aimé avoir des infos complémentaires concernant la rentabilité net et le cash flow.
J’ai fait pas mal de calcul et il se trouve que ma rentabilité net atteint un taux positif de 3,25% mais que je suis en cash flow négatif de 250 euros tous les mois…
Questions :

1. Qu’est-ce que cela signifie concrètement ? J’ai cru comprendre qu’un taux de 3,25% ce n’est pas ouf mais tant que ca reste supérieur à 3%, ça reste raisonnable et rentable.
   
2. Comment je peux être en cash flow négatif avec un taux de rentabilité positif ?
   
3. À votre avis, au vu du taux du prêt contracté (1.2%), de mon cash flow négatif et de ma rentabilité positive supérieure à 3%, est-ce que ça vaut quand même le coup de le garder tant que je peux en assurer les frais des 250 euros par mois (ce qui est le cas même si ça m’emmerde car je pourrais faire autre chose avec) ?
   

PS : mon but n’est pas forcément de me faire de l’argent immédiatement, mais je voudrais que ces 250 euros de cash flow négatif perdu tous les mois ne soient pas non plus foutu en l’air si je revends dans 10 ans.
Merci

(Avec le recul, j'aurai plutôt dû mettre "pourquoi est-ce que c'est horrible d'aimer ?". Oui, je me suis bien dit qu'aimer les femmes c'est horrible, mais j'étais sur le coup de l'émotion).
J'ai juste envie de partager mes expériences catastrophiques en tant que lesbienne.
J'ai 18 ans, j'ai aimée pour la première fois une fille à mes 16 ans, c'était ma meilleure amie. Ce n'était pas réciproque étant donné qu'elle est hétéro, mais ça à durée deux ans et ç'a été l'amour le plus sain que j'ai pu avoir pour le moment.
Cette année a été juste catastrophique avec les filles, tellement que je ne ressens que du dégoût envers la romance et que je ne souhaite plus rien avoir avec ça.
En début d'année, une fille a tout fait pour se rapprocher de moi, elle m'avait carrément dit qu'elle avait une fascination envers moi, que je suis incroyable avec un grand cœur, qu'elle a observé tous mes faits et gestes, etc. Oui, hyper cringe, mais sur le coup, j'étais flattée étant donné que personne ne s'était intéressé à moi comme cela. Elle a toujours été très ambiguë et pas claire sur ces sentiments envers moi. J'en suis venue à l'aimer, elle a compris grâce à moi qu'elle peut être aimée et m'a jeté de sa vie comme une merde, alors qu'elle savait que l'ignorance me ferait souffrir. Elle jouait avec mes sentiments bien sûr, me faisant croire qu'elle allait revenir pour que l'on soit amies comme avant et peut-être même qu'elle m'aimera en retour. Elle m'a gâchée ma santé mentale durant des mois et me faisait culpabiliser lorsque je me m'étais en colère contre elle en me bloquant et disant que j'étais blessante, alors qu'elle me sortait des choses qui ne se faisaient pas à côté, tel que : "il y en a toujours une qui souffre plus que l'autre", "si c'était à refaire, je le referais, car l'humain est complexe", elle à même dit à mon ami qu'elle eu se qu'elle voulait avec moi, "mon amitié". Idiote que je suis, j'ai pris tous le poids de ces torts et c'est moi qui m'excusais à sa place. Pour finir, je lui ai dit mes quatre vérités à la fin, elle n'a jamais assumé ces torts bien entendue et son amie m'a parlée à sa place me disant comme quoi, je suis blessante, égoïste et que je la harcèle !...
À cause de cette histoire, j'ai développée une forte envie d'être aimée alors qu'avant, la romance m'emportait peu. Je me suis inscrite sur deux app de rencontre, où j'ai pu parler à deux filles à peu près en même temps.
Fille 1 : Je l'ai aimée en première et on a matché, nous nous sommes parlés durant deux mois. Nous avons pleins de points communs, elle est même asexuelle comme moi, ce qui n'est pas négligeable ! (Sauf qu'on est à une demi-heure de train de distance, on aurait dû se voir à la fin de nos partiels). C'est elle qui me faisait pleins d'allusions romantiques, me parlant de beaux dates, que l'on ferait ci et ça lorsqu'on se verra et que je lui plaisais. J'étais aux anges et j'y ai cru. Ça faisait trois semaines que nous ne nous étions pas parlés, je le recontacte pour savoir où nous en sommes. Elle me dit qu'elle voulait m'en parler, qu'elle pense être dans le spectre aromantique, qu'elle a eu un bon feeling avec moi, mais qu'elle ne sait pas trop avec la distance alors qu'elle pensait que ça irait. Qu'elle tien tout de même à moi et qu'elle voudrait bien que l'on reste amies. J'étais dévastée bien sûr. Plus tard, je lui dis que ce ne sera pas possible et que je préfère arrêter là, car ça me fait trop mal. Nous avons eu une longue discussion où elle m'a avouée qu'elle aimerais qu'il y est un truc entre nous, sauf qu'elle as une tendance à l'auto-sabotage et qu'elle pense tout gâcher. Qu'elle n'a en fait pas assez réfléchi par apport à l'aromantisme et que d'un côté, elle a ressenti des choses pour moi et qu'elle pense souvent à moi. Je lui ai répondu que je préfère garder mes distances, mais qu'elle peut revenir si elle le souhaite. Elle m'a dit qu'elle y réfléchira et qu'elle me donnera sa réponse. Voilà que ça plus de quatre semaines que je patiente comme une idiote.
Fille 2 : On s'est vue lorsque tout se passer bien avec fille 1. Elle m'a aidée à trouver mon chemin dans le métro, le lendemain, elle me contacte me disant qu'elle m'a vue sur l'app et qu'elle serait intéressée pour de l'amitié. J'ai accepté, car ce n'était que pour être amies, je ne pensais qu'à fille 1 tellement je suis trop fidèle. Nous nous sommes rencontrés une fois, je me suis dit que ça c'était bien passé. Ensuite, il y a eu mes partiels et j'ai eu un projet audiovisuel, j'étais très occupée durant 2/3 semaines. Je n'étais libre que lorsque que ça c'est mal passer avec fille 1. Je l'ai contactée pour lui demander si elle voudrait bien que l'on se voie étant donné que je suis libre. Elle m'a dit que c'est gentil, mais que pour elle, il n'y a pas eu de feeling et qu'elle a rencontrée une autre fille sur l'app, elle m'a souhaitée de bonnes choses pour moi ensuite (j'ai horreur qu'on me souhaite de bonnes choses alors qu'on m'abandonne sur le côté). Déjà que j'étais mal pour fille 1, ça n'a fait qu'enfoncer le truc et j'ai ressenti un fort dégoût. J'ai fait genre de répondre positivement. Peu après, je me suis désabonnée d'elle, plus tard, je l'ai bloquée.
Je me sens juste bête, je suis toujours celle qui attend, mais personnes ne m'attend. On vient vers moi en premier, me faisant de belles paroles et de belles promesses, puis on se lasse, on m'abandonne et on m'oublie. Ça me rend malade de voir les autres en couple faisant n'importe quoi pour l'autre, où leurs paroles sont sincères, où ils sont prêts à parcourir des km pour leur moitié et moi, on ne me donne pas cette peine. Je donne toute mon énergie à l'autre et on ne me la rend pas. Ça m'énerve d'avoir donné tant d'importance à celle qui m'a fait du mal durant des mois alors qu'elle ne le méritait pas, à être retournée vers fille 2 pour qu'elle me remballe et à attendre fille 1 alors qu'il y a une chance sur deux qu'elle me dise non.
Je voudrais juste être spéciale pour quelqu'un. Mais je n'ai plus envie de romance (sauf si fille 1 revient), j'ai l'impression que tout est faux et qu'on se fou de moi. Je sais que si une fille vient vers moi, je la rejetterai parce que j'aurai l'impression qu'elle se joue de moi, que je me fait des films et qu'elle m'abandonnera.
Je ne sais pas ce que j'attends en postant ça, je souhaite juste être comprise.

Vers sur le Prince Edouard

1. Peuples jadis sy fier, aujourdhuy sy servile,

Des princes malheureux vous n'estes plus l'asyle ;
Vos enemies vaincus aux Champs de Fontenoy,
A leur propres vainqueurs ont impose la loy,
Et cette indigne paix qu Aragon vous procure,
Est pour eux un triomphe, et pour vous une injure,

1. Helas ! auriez vous couru tant d'Hazards,

Pour placer une Femme au trone des Caesars,
Pour voir l'heureux Anglois dominateur de l'onde,
Vorturer dans ses ports tout 1'or du Nouveau Monde ;
Et le Fils de Stuart par vous memes appelle,
Aux frayeurs de Brunswick lachement immole,

1. Et toy que les Flatteurs ont pare d'un vain titre,

De l'Europe en ce jour te diras tu l'arbitre ?
Lorsque dans tes Etats tu ne peut conserver,
Un Heros que le Sort n'est pas las d'eprouver ;
Mais qui dans les Horreurs d'une vie agitee,
Au Sein de l'Angleterre, a sa perte exile.
Abandonnee des Siens, fugitif, mis a prix,
Se vit toujours du moins plus libre qu' a Paris.

1. De l'amitie des roys Exemple memorable,

Et de leurs interests victime deplorable ;
Tu triomphe, Cher Prince, au milieu de tes fers,
Sur Toy dans les moments tous les yeux sont ouverts,

1. Un peuple genereux est juge du merite,

Va, revoquer 1'arret d'une race proscrite,
Tes Malheurs ont changes les esprits prevenus,
Dans la Cour des Anglois tous tes droits sont connus,
Plus sures & plus flatteurs que ceux de la Naissance
Ces droits vont doublement affermir ta puissance.

1. Mais sur le trone assis, cher Prince, souviens toy

Que ce peuple Superbe est jaloux de sa loy,
N'a jamais honore du titre de grand Homme,
Un lache Complaisant des Francois et de Rome.
Translation:

1. Degenerate Nation ! Where's your Antient pride?

What helpless Prince shall e'er in you confide?
Of injured worth no more th' Asylum boast,
To truth, to honour and to Glory lost!
Your vanquish'd foes which fatal Font'noy saw,
Those vanquish'd foes now give those victors law!
And this inglorious peace by St Severin,
To those is triumph, and to these a Stain.

1. Was it for this, you run the risk of War?

Was it for this, you sent your troops so far?
To place a Woman on the Imperial throne
A wedded Woman there to reign alone?
To see Glad England Mistress of the main,
Waft to her ports the Indian wealth of Spain?
And Stuart's Son by you yourselves incit'd
To B[runswick]'s Panic basely sacrific'd?

And thou whom flatterers with vain titles Crown, [4]
Most Christian King, where, where is thy renown?
All Europe's Arbiter, shall't thou be called,
Thyself a Slave to those thou hadst enthralled?
When in the vast extent of thy domain
Thou wilt not, darest not, can'st not entertain
A Heroe formed on adverse fortune's plan
Who tires not yet to prove the perfect Man?
A Heroe who in all he underwent
In hapless BRITAIN, on his ruin bent,
Deserted, wandering, priz'd, 'midst foes combined,
Could still more freedom than at PARIS find!

1. While Bourbon's friendship all mankind detest

And Mourn the Victim of his interest,
Thou triumph'st Glorious prince, amidst thy chains,
Each opening Eye now fixt on thee remains!

1. A generous people of discernment true,

Resolved to crown thy merit with its due,
Will soon unbiass'd, and at length unbrib'd,
Revoke the Act against a race proscrib'd!
Thy woes have changed the Spirits prepossessed,
On British Hearts thy rights are all impress'd,
More Strong and grateful than are those of Birth.
6.
Thy title's doubled by the right of worth!
But on the Throne remember dearest Prince,
What Albion's Annals with one voice evince:
That the proud people, jealous of their rights
And of the faith their bounded Monarch plights,
Did ne'er with Epithet of Great enhance
A Dastard Truckler to the Court of France.
The author was put to prision by the french goverment, he spent 3 years in prision before he was pardoned at the request of the Head of the Convent, Abbé De Broglie.