Sms garing

J'ai rencontré M par hasard, en Novembre 2024. J'ai voulu garder son contact parce qu'il m'intriguait. On est allé boire des cafés ensemble. Lui m'a très vite draguée mais j'étais en pleine rupture et je lui ai mis des freins. On s'était bien entendu. Après un mois sans se parler, alors que je venais de rompre, je l'ai recontacté.
Je l'ai rencontré dans son quotidien, on a partagé des choses sympa, je me suis alors laissée aller à une histoire avec lui. C'était super et aussi intense. On a des vies chargées et on avait envie de passer beaucoup de temps ensemble. Il m'a un peu ouvert son monde, ses amis, et moi aussi (mais un peu moins car j'ai beaucoup moins de potes que lui et suis plus solitaire).
Il m'annonce assez vite qu'il fréquente une fille depuis un an et demi, une amie de son groupe de potes, que leur histoire "libre" ne marche plus, qu'il veut se concentrer sur notre histoire. J’entend, je ne le questionne pas plus que ça, lui fait confiance.
Un jour il me dit que son "ex", "amie", va venir le voir et qu'il préfère que je ne l'accompagne pas. Elle n'aurait pas très bien vécu son désir de ne plus sortir avec elle, ils essaient de se revoir en amis. J’accepte, je lui fais confiance, je l’encourage à clarifier son histoire.
Lui et moi on s'est dit beaucoup de choses sur nos blessures, sur nos idéaux, sexuellement ça commençait à devenir vraiment bien. Mais au bout de 4 mois et on ne passait pas à des étapes un peu plus engageantes (weekend à deux, premières limites posées, petites déclarations...) j'étais un peu déçue que ça ne vienne pas de lui et ne voulais pas moi même le faire.
Alors qu'on ne s'était pas vu depuis quelques jours et que je partais une semaine pour le taff, mon ex m'a recontacté pour me dire qu'il voulait me parler. Qu'il ne m'avait pas tout dit à la suite de notre rupture. Ça m'a un peu troublée. Quand M m'a rejoint pour déjeuner juste avant mon départ. Je lui ai dit que j’étais un peu plombée par ce retour de mon ex, des mois après, mais aussi que je n'avais plus du tout envie de me remettre avec lui. C'était histoire de partager un état d'âme, comme il avait pu le faire à propos de son ex à lui. Tout à coup il m'a regardé et m'a dit avec un grand sourire : "si ça se trouve vous allez vous revoir et retomber amoureux comme des fous". J'ai mal pris sa remarque. Ça m'a sidérée et j'ai du partir prendre mon train.
Le lendemain je lui ai écrit pour lui dire que sa réaction m'avait blessé. Il a reconnu qu'il n'avait pas été fin, qu’ il avait voulu provoquer une réaction de ma part pour lui exprimer mon affection. Bref. Que de maladresses… Je lui ai dit que j'avais besoin de prendre un peu de recul, que je voulais faire le tri de ces sentiments contradictoires, que j'avais envie de comprendre ce dont j'avais envie et besoin dans une relation pour revenir vers lui.
Finalement il m'a téléphoné, envoyé des mails, a commencé à me dire qu'il avait envie de moi, qu'il ne voulait pas prendre de recul. etc. J'ai été touché, lui ai répondu avec tendresse et demandé de venir me chercher à la gare à mon retour.
De retour il m'attend, on marche, on s'embrasse, on va manger et avant d'arriver vers chez moi il me dit tout en me tenant par l’épaule : "Tu sais je crois que c'est une bonne chose qu'on parle de notre relation et qu'on fixe certaine chose pour avancer ensemble, notamment parce que j'ai couché avec une fille cette semaine."
J'ai pas compris, il le disait avec tellement de naturel que ça ne m'a rien fait sur le coup. Avec la même nonchalance que lui j’ai réussi à dire clairement que non, ça ne m'intéressait pas de fixer des bases à une histoire s'il venait de coucher avec une autre fille, alors que les précédentes heures il me déclarait par mails et sms des sentiments et un désir de ne pas prendre de recul.
Il n'a pas voulu me dire avec qui il avait couché, il m'a raccompagné à ma porte et je lui ai dit au revoir. Mais il a insisté pour qu'on parle. Je suis redescendu dans la rue. J'étais mal, en quelque instant j'étais passée par : La joie de le voir, du désir pour lui, une froide analyse, acter une séparation et enfin son discours pour me persuader que notre histoire n'avait pas de règle jusque là, qu'une tromperie ce n'était rien.. etc. Bref je me suis remise avec lui et on s'est promis l'exclusivité sexuelle.
Mais comme j'ai déjà été trompé et ai trompé lors de ma première longue relation qui s'est finie il y a 4 ans, j'ai très vite senti des incohérences. Surtout je me suis dit que personnellement j'avais déjà vécu ça et que j’étais persuadée de ne plus en avoir envie, mais peut être que lui n'était pas à ce même niveau de maturité (j'ai 33 ans, lui 28). Aussi, je ne voulais pas imposer l'exclusivité sexuelle à quelqu'un qui venait d’acter le fait qu’il était volage. Du coup je suis retournée le voir pour lui dire. Il s'est plié en quatre pour me convaincre à nouveau, m’expliquer qu’après cette première mise au point entre nous je ne l’y reprendrait plus.
Mais ça n'a rien fait, j'étais mal. Quelques jours plus tard, je lui ai donné rendez- vous dans un café et j'ai explosé en lui disant que j'en avais marre qu'il essaie de me convaincre et qu'il ne respecte pas mes limites. Je suis devenue très émotive, presque moralisatrice en lui expliquant que ce qu'il avait fait était bordélique et pas digne de confiance et que son insistance me troublait énormément. Je lui ai dit que c'était fini, qu'on avait eu une brève histoire et basta je suis partie.
Mais il m'a écrit encore et encore. Et c'est vrai que quelque part j’attendais ces messages; j’étais triste. J'ai de l'attachement pour ce garçon, il est un peu tordu mais il à beaucoup de qualités. On a échangé des choses fortes dans l'intimité et je me suis sentie engagée dans ces moments. Son univers aussi m’intrigue, je m’y sens bien. Aussi, je l'ai écouté, j'ai senti du désir entre nous, on s'est remis ensemble.
On a re-parlé de cette “tromperie”, il m'a avoué que c'était avec son ex qu'il avait dérapé, un soir éméché. Quelque part cette information m'a rassurée, je pensais qu'il avait couché avec une parfaite inconnue dans un bar, là il y avait un peu plus de justification à un one night stand. (Alors qu'on était en pleine découverte charnelle l'un de l'autre et donc qu'aller voir ailleurs n'avait pas beaucoup de sens).
Il m'a dit que c'était franchement fini avec elle et que la dernière fois qu'il l'avait vu elle roulait une pelle à un de ses copains. J’étais un peu confuse, on s’est remis ensemble.
Mais cerise sur le gâteau, il m'avait invité à partir en vacances avec lui la semaine prochaine, dans une maison de campagne où il se retrouve tous les ans avec ses potes, collègues, amis d’amis. Et là, il m'annonce que son "ex" qui est aussi une très bonne amie, sera là…
Qu'en pensez vous ?

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Usle vanyo ma change vaya re. Timi pani aru jastai raixau re. Yeah, maile pani uslai kai naramro gare hola, but it was not my intention. Naramro ta testo kai gareko xaina, but uslai ghar bata bihe garne kura aayako raixa ani maile overreact gare haha. I was like an idiot to interfere in her personal life. But maile testo naramro ta kai vaneko thina. Uu ma sanga contact kam gardai gayo. Ani malai pani aaile bolna man xaina hola uslai paxi bolxa hola vanera, 1 week paxi on aauxu ma vanera gaya. Ani on aayapaxi ni uu khasai bolena. Aaja pathayako message voli reply garthiyo tes paxi 2/3 days ani aaile ta contact nai huna xodyo. Idk busy vayara hoki, bolna man navayara hoki khai. Ani ma paxi success vayasi bolxu vanyo. Uu chai bidesh apply garna khojeko xa. Sayad tai vayara busy vayara ho ki.
Ani day by day uslai miss gariraxu. Miss vanna le samjhine matra like k garirahola, kata hola, kina naboleko hola.
So aba k garne hola. Uslai call garum vaneni sakdina. Message haru kai response didaina. Kasto garo vayako malai haha. I don't mean ki she was bad. I'm not blaming her here. But k ho k. Aba paxi samjiyara message garxa ki. Katai block pani haneko xaina. Facebook tira kai post garxa ki kai thaxaina, maile nachalaune vayara. Kai usko update nai thaxaina. Ajhai vanna ta aru k k thiyo, type garnai sakina.
Thanks for reading. I hope for one suggestion from you.

Salut
Il m’est arrivé un truc étrange quand j’étais plus jeune, et j’ai mis beaucoup de temps à en parler, et beaucoup de temps à me « pardonner » (spoiler alert : je n’ai rien fait).
C’est arrivé il y a vraiment longtemps, j’avais 13 ans et ma grande passion dans la vie, c’était lire. Je lisais tous les jours et le samedi - mon jour préféré de la semaine - j’allais à la bibliothèque de la ville d’à côté soit toute la matinée, soit tout l’après-midi. J’y passais environ cinq heures à lire, et une fois fini, j’empruntais une vingtaine de livres pour tenir la semaine. Pendant l’hiver, comme d’habitude, j’ai quitté le bus avec mon gros sac à dos, histoire de passer mon samedi après-midi à la bibliothèque. J’avais une dizaine de minutes de marche entre l’arrêt et la bibliothèque, et beaucoup de passages piétons à traverser entre temps. Sur l’un d’eux, une voiture s’est arrêtée pour me laisser passer, et comme je n’étais pas prioritaire, j’ai beaucoup insisté en remerciant la personne. Et comme le conducteur ne réagissait pas, j’insistais encore et encore. Au final, j’ai traversé toute la route en me confondant en remerciements et le conducteur n’a pas réagi à un seul, me fixant simplement derrière son volant. J’ai repris ma marche. Quelques secondes plus tard, une voiture est passée, vitre baissée, la même évidemment. J’ai entendu la voix d’un homme hurler « ça va ? ». Je n’ai pas répondu ; la voiture n’est pas passée sur la voie à côté de moi mais sur celle encore à côté. Et surtout, même si j’avais voulu répondre, le conducteur ne s’est pas arrêté après sa question, il a continué à foncer. Et comme il était parti, qu’il faisait jour et que j’étais bientôt à la bibliothèque, j’ai ignoré l’incident. Encore quelques secondes passent, et j’entends la même voix crier « je t’ai posé une question ! » dans les mêmes circonstances que la première fois. Enfin, presque : entre temps, j’avais traversé et la voiture était donc passée à côté de moi. C’est grâce à sa proximité que je l’ai vue tourner juste devant moi, à la rue perpendiculaire à celle où j’étais. Et comme j’étais très proche, j’ai très clairement vu qu’elle avait les feux de recul allumés ; autrement dit, j’ai suspecté qu’elle s’était arrêtée au croisement que j’allais dépasser à l’instant. Je ne me souviens pas avoir eu peur à ce moment-là, et plutôt que de contourner la ruelle, j’ai continué à marcher. Évidemment, j’avais eu raison : la voiture était arrêtée juste derrière le passage piéton et en traversant le chauffeur m’a interpellé. Je crois avoir essayé de l’ignorer, mais il était extrêmement insistant, si insistant que j’ai fini par me retourner. Aujourd’hui, je me rappelle seulement que son visage avait une forme de poire et qu’il portait un cache oreille. Ça et le long manteau que je portais constituent les seuls éléments qui me permettent de situer l’histoire dans l’hiver. Il avait la vitre baissée, il me regardait et il m’a demandé encore une fois si ça allait. Je lui ai répondu. Il a essayé d’entamer une discussion, je répondais évasivement. J’étais mal à l’aise, car un trentenaire draguait en pleine rue une personne de treize ans. Cependant, bien qu’il était très facile de voir que j’étais loin d’avoir la majorité, je ne sais plus si je lui avais donné mon âge. La discussion mono-latérale a continué un moment jusqu’à ce qu’il me demande de me rapprocher. J’ai refusé, et face à son insistance, encore, j’ai cédé : j’ai fait quelques pas vers lui jusqu’à être au milieu de la rue, à équidistance entre là où j’étais et sa voiture. Je me suis dit que premièrement, ici je serai plus repérable. Deuxièmement, si une voiture arrivait, comme j’étais au milieu de la route, je devrais bouger et ça mettrait fin à la conversation. Finalement, j’étais assez loin de lui pour me sentir en sécurité, assez proche pour qu’il arrête d’insister. Concernant le dernier point, il n’a plus insisté pour que je me rapproche de sa voiture certes, mais plutôt pour que je monte dedans. Et malgré ses supplications, j’ai refusé. Il insistait, je refusais, je disais qu’on m’attendait, que je devais partir et me dépêcher, et lui insistait, qu’à l’intérieur on serait mieux pour discuter, qu’il ferait bon, moins froid. Je pense que j’avais peur de partir et qu’il descende de sa voiture. J’étais à 20 minutes en bus de chez moi, à 10 minutes de l’arrêt de bus le plus proche, à 100 mètres en ligne droite de la bibliothèque. J’ai continué à répéter que je devais partir, sans bouger, et il a fini par accepter que je ne monterai pas, terminant par me demander mon numéro. J’ai dit que j’étais trop jeune pour avoir un téléphone, et j’ai enfin osé partir. De manière générale, je pense que je restais cinq heures à lire dans la bibliothèque. Il faisait nuit quand moi et mon sac remplis de livres en sommes sortis, mais comme précisé : c’était l’hiver. Il devait être dix-huit heures, pas plus tard, et je tenais ma mère au courant de mon parcours par - j’avais menti bien sûr - sms. L’arrêt de bus duquel je venais se trouvait sur une rue dans le noir la nuit, et quitte à marcher plus longtemps j’en ai rejoint un autre : celui de la gare. Plus de lumière, plus de monde. J’ai marché un bon moment, attendu tranquillement, et je crois que la honte est arrivée à ce moment-là. J’ai regretté ma tenue, d’avoir accepté de parler, de l’avoir remercié trop longtemps, d’avoir traversé. J’avais peur, mais à cause de la honte je n’osais pas prévenir ma mère, demander à ce qu’elle vienne me chercher. J’ai appelé une vielle amie, avec qui je n’étais plus en contact depuis très longtemps, car la distance entre nous est la seule chose qui m’a permis de dépasser la honte. Elle a répondu, et je lui ai raconté en attendant mon bus. Quand, toujours en ligne avec mon amie, j’ai commencé à me sentir mieux, j’ai entendu devant moi « je savais que t’avais un téléphone ».
Il ne s’est pas arrêté, n’est pas descendu de sa voiture, j’ai pris mon bus et j’ai réussi à rentrer chez moi tranquillement. En écrivant ça, je réalise que s’il a pu m’attendre cinq heures, il a aussi pu suivre mon bus. Cependant, je n’ai jamais eu de nouvelle de lui, et s’il a continué à me suivre, je ne l’ai jamais remarqué ahah. J’ai mis cinq ans à en parler à ma mère, autant de temps à accepter que je n’avais rien fait, et que ça n’avait rien à voir avec moi. Aujourd’hui, bien plus de cinq ans plus tard, cette histoire me fait plus rire qu’autre chose, et il m’en est arrivées bien d’autres, donc je m’étonne toujours du temps que j’ai pu mettre à l’accepter.
Et si vous voulez savoir, cette année-là, j’ai arrêté de lire.

Salut tout le monde !
Voilà l'histoire: on habite à environ 1h de transport de la ville où il y a nos travails à mon copain et moi, on prends le train pour venir, mais il n'y a pas beaucoup de train le soir et le dernier est à 20h45. Hier j'oublie mes clés chez moi, et il me les faut pour faire le trajet gare/maison + ouvrir la maison.
Mon copain avait prévu de faire du foot avec ses collègues jusqu'à tard et serait ramené par un de ses collègues (donc ne rentre pas avec moi) Je m'en rends compte que je n'ai pas mes clés à 17h en sortant du taf et appelle mon copain pour voir si on peut s'arranger.
En sachant que son foot est à l'autre bout de la ville, et ça m'aurait bien pris deux heures à faire l'aller retour en transport en commun pour aller les chercher.
Nos taff sont à 15min de transports l'un de l'autre.
Il est en train de partir pour le foot (c'est un de ses collègues qui les emmènes en voiture)
Je lui demande :

1. s'ils peuvent m'attendre avant de partir (15min pour moi pour y aller)
2. de demander à son collègue par où ils passent pour que je puisse les intercepter quelque part et récup les clés
3. de demander à son collègue de faire un petit détour pour me les poser (pour moi même avec les bouchons ils en auraient eu pour genre 10min grand max

Il est un peu sous pression car ils doivent partir et ça a l'air d'être un peu le rush de son côté du tel, du coup il me réponds un peu soulé, qu'il sait pas, que là c'est un peu le bordel. Je m'énerve au téléphone car pour le coup j'avais l'impression que je ne demandait pas grand chose et qu'il voulait pas m'aider.
Au final ça s'est assez bien goupillé j'ai réussi à arriver à leur voiture coincée dans les bouchons à la sortie de la ville et ils n'ont pas eu à m'attendre.
Je sais que je suis une trou de balle sur la forme, pour m'être énervée au tel, surtout que je me suis excusée que le soir alors que lui l'a fait par sms juste après, mais j'aimerais avoir votre avis sur le fond :
Mon copain dis que c'est mon erreur et c'est à moi de la régler. S'il avait été seul et pas attendu qqpart il y aurait eu aucun problème et il m'aurais attendu/emmené les clés. Mais que là je lui demandais que 10 personnes pâtissent de mon erreurs car ils auraient eu 10 minutes de retard au foot et que :

1. les gens qui y sont à l'heure auraient jouer à moins de personne donc auraient pas apprécié l'expérience
2. ils payent en avance la séance du coup ils perdent tous 10 min de jeux c'est nul
3. que c'est pas juste que 10 personnes pâtissent de mon erreur à moi
4. apparemment son collègue a râlé quand il lui a dit "on peut l'attendre à la sortie de la ville 5-10min ?"

De mon point de vue quand ton partenaire est en galère tu le.la privilégie par rapport à tout le reste (ou presque) mais surtout par rapport à des trucs sans vraiment grande importance comme le foot. [EDIT : Je suis vraiment désolée je ne dénigre vraiment pas le foot !!! Là dans ce cas-là c'est du foot en salle et c'est leur activité "afterwork" ducoup pour eux c'est comme si ils allaient au bowling ou au bar quoi, mais vraiment je respecte les hobbies des gens !!! Et même en me relisant ma phrase est hyper pas correcte, je voulais dire plutôt tu le.la privilégie par rapport à des loisirs, le sans grande importance était clairement pas nécessaire et pas vrai]
Et que là franchement son/ses collègue.s sont des TB d'avoir râler, je trouve ça assez surréaliste d'être aussi égoïste et pas te dire "ba ok je perd 10min de jeu et un peu d'argent mais bon cette personne est en galère"
Voilà, du coup quel est votre avis ?
Merci à tous.tes de vos réponses, du coup vous êtes tous.tes de son avis (il est ravi 😆). Pardon d'avoir eu l'air condescendante ou nombriliste, promis je ne le suis pas, j'ai écris comme je réfléchi, un peu chaotiquement et sans me relire. Je vie dans un monde pas logique (dixit mon chéri) où tout le monde doit donner des coup de mains à tout le monde sans que ce soit un problème (pas forcément me donner des coups de mains à moi promis juré 😅) et j'étais un peu déçue que ce soit pas le cas. Bonne soirée à tous.tes !

Bonjour,
Je suis actuellement dans un logement (contrat de location meublé) dans une zone tendue.
Il y a quelques mois, j'ai invité un ami à moi dans le logement un week-end pour visiter la ville, il a donc dormi deux nuits chez moi. Mon propriétaire est venu à ma porte pour me rappeler que c'est un logement 1 personne. Je lui explique le situation et semble ok.
Récemment, ma copine est venue dans mon logement 3 week-ends et y a dormi quelques nuits (entre 3 et 4 nuits).
Aujourd'hui je reçois un SMS de mon proprio disant ceci :
"La conversation que nous avons eu l'autre jour au sujet de l'occupation du logement (point précisé très clairement dès l'annonce) n'a pas été entendu [[ici il parle de la fois où mon ami est venu pour visiter la ville]] . Je souhaite donc récupérer le logement et passerai en fin d'am pour discuter des dates."
Je lui répond donc que je suis désolé, que c'est simplement ma copine qui est venue ces derniers week-ends et lui demande s'il était possible de trouver une autre solution. Il me répond :
" Il n'y a pas d'autres solutions. Ni les équipements, ni les différents abonnements souscrits n'ont été pensé pour 2 personnes. Soit vous le prenez bien et on discute ce soir d'une date, soit on entre en conflit. C'est vous décidez"
Que me conseillez-vous de faire ou de dire ? Comment me protéger ? Car je sais qu'en tant que locataire je suis en droit d'héberger gratuitement des proches. J'avoue que quitter le logement n'est pas une option pour moi pour l'instant (zone tendue, période d'essai dans mon entreprise).
Merci pour vos conseils
Edit :
Merci à tous pour vos conseils et je suis rassuré en vous lisant.
Oui vivre à côté du propriétaire, en plus un dégénéré comme lui c'est un peu pesant, mais j'essaye quand-même de rester courtois pour ne empirer la situation.
Il a frappé à ma porte hier soir, (on aurait dit un collégien énervé qui n'arrivait pas à ranger ses idées) :

1. Il m'a dit que je joue sur les mots en disant que "j'héberge quelques week-ends ma copine", il n'a aucune idée de la loi et de mes droits en tant que locataire, donc je lui mentionnais la loi qui dit que j'ai le droit d'inviter qui je veux et il m'a répondu "ah oui d'accord vous voulez la jouer comme ça"
   
2. Il m'a dit que je le prends pour un con et qu'il trouvait ça suspect que j'essaye de cacher la voiture de ma copine dans la rue quand elle se gare. Il m'a carrément pointe du doigt tous les endroits où elle s'était garée (alors qu'elle s'est juste garée là où elle trouvait de la place dans la rue); deplus j'ai complètement assumé que ma copine était là certains week-ends je n'ai pas cherché à le cacher
   
3. Il m'a dit être fâché car je ne ferme pas toujours le portillon devant chez moi à clé. OK je peux comprendre, mais le fait qu'il vérifie c'est déplacé..
   
4. Que je ne sortais pas mes poubelles assez régulièrement 😂
   
5. Il m'a demandé 4 fois combien de temps il me fallait pour trouver un nouveau logement, et au bout de la 5eme fois je lui ai dit que je ne compte pas rester éternellement ici et j'aurais besoin de quelques mois
   
6. Il m'a dit qu'il entend l'eau coulé quand je prends la douche, et ça le dérange lol
   
7. Vraiment j'ai été patient je lui ai proposé pleins de fois de trouver un compromis mais il faisait que de me répéter "je fais pas d'affaires avec vous, vous m'avez déjà montré que vous n'êtes pas réglo", alors que j'ai toujours payé mes loyers et déjà payé en avance le mois de février.. Bon..
   

Bref, je pense qu'il veut me virer pour pouvoir faire de son logement un Airbnb et il a un seum car il ne trouve rien de solide pour me sortir.

J'ai un ami étranger qu'on va appeler HF qui s'est fait prendre par les agents de RATP sécurité en train de franchire les portiques dans la gare de Chatelet. On lui a donné un procès verbal, il a voulu payer l'amende sur place, mais les agents de sécurité n'ont pas de TPE. L'agent lui a demandé d'aller faire un retrait et revenir payer et il allait lui annuler le procès verbale.
HF a trouvé ça un peu louche et a refusé. Il a demandé à l'agent d'appeler un contrôleur et qu'il pouvait attendre pour payer. L'agent lui a dit qu'il allait marquer sur son carnet dans le PV qu'il a voulu payer sur place et du coup même s'il paie après ce ne sera pas majoré. HF est parti après cette reponse avec le PV.
En essayant de payer l'amende sur internet, il ne retrouve pas aucune info sur le PV, pas d'identifiant et pas de clé de paiement. Le PV remis par l'agent de sécurité qu'il m'a montré ne ressemble pas aux PV normalement donné par les contrôleurs. Là presque 20 jours plus tard, rien reçu par sms ou par courrier pour plus d'infos. Que doit-il faire dans ce cas ?
PS: Ayant aussi posté sur France, après avoir lu, les premiers commentaires, beaucoup disent que c'était une arnaque. Cependant, j'ai demandé à HF, il affirme que c'était bel et bien des agents de sécurité en tenu, bien équipés et tout. Difficile de répliquer tous leurs materiel et leurs tenus pour arnaquer. Ils étaient 3.

J'ai un ami étranger qu'on va appeler HF qui s'est fait prendre par les agents de RATP sécurité en train de franchire les portiques dans la gare de Chatelet. On lui a donné un procès verbal, il a voulu payer l'amende sur place, mais les agents de sécurité n'ont pas de TPE. L'agent lui a demandé d'aller faire un retrait et revenir payer et il allait lui annuler le procès verbale.
HF a trouvé ça un peu louche et a refusé. Il a demandé à l'agent d'appeler un contrôleur et qu'il pouvait attendre pour payer. L'agent lui a dit qu'il allait marquer sur son carnet dans le PV qu'il a voulu payer sur place et du coup même s'il paie après ce ne sera pas majoré. HF est parti après cette reponse avec le PV.
En essayant de payer l'amende sur internet, il ne retrouve pas aucune info sur le PV, pas d'identifiant et pas de clé de paiement. Le PV remis par l'agent de sécurité qu'il m'a montré ne ressemble pas aux PV normalement donné par les contrôleurs. Là presque 20 jours plus tard, rien reçu par sms ou par courrier pour plus d'infos. Que doit-il faire dans ce cas ?
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EDIT: Après avoir lu, les premiers commentaires, beaucoup disent que c'était une arnaque. Cependant, j'ai demandé à HF, il affirme que c'était bel et bien des agents de sécurité, bien équipés et tout. Difficile de répliquer tout leurs materiel et leur tenu pour arnaquer. Ils étaient 3.

Bonjour,
La situation dans laquelle je me trouve est assez incompréhensible. Pour la faire courte, mon garagiste ne me rend pas ma voiture.
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Version longue :
- valeur de la voiture : 12k€ - 15k€
- je pars en Espagne en juin, je tombe en panne, le joint de culasse est mort. C'est la merde mais ça arrive.
- compliqué de faire rapatrier la voiture : l'assurance gère rien du tout, c'est le bazar mais elle finit par arriver en France vers le 20 juillet.
- je la fait livrer dans mon garage, un petit indépendant que je connais relativement bien (je vais chez lui depuis plusieurs années)
- ce garagiste est en train de divorcer, il déménage, il s'installe dans une maison avec garage attenant pour travailler de chez lui
- entre ses problèmes perso, le mois d'aout etc, il ne pourra s'occuper de ma voiture que début septembre. Soit.
- je passe début septembre à son nouveau garage pour récupérer des affaires restées dans ma voiture, on discute 5 minutes, il me dit qu'il commence à s'en occuper la semaine suivante
- fin septembre, il me contacte pour que je passe récupérer la voiture.
​
A partir de là, ça dérape :
- 1er message pour repousser le rendez-vous car pas dispo, ça arrive
- 2nd message pour fixer un autre rendez-vous (chez lui, à son garage). Il n'est pas présent à ce rendez-vous
Depuis :
- communication uniquement par SMS (il ne répond jamais au téléphone, ne rappelle pas)
- plusieurs rendez-vous fixés puis annulés
- plusieurs rendez-vous fixés mais il n'est pas là
- je n'ai rien payé puisqu'il devait me filer la facture en même temps que la voiture
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En gros tout se passe comme s'il essayait de m'éviter : j'insiste par SMS, il finit par dire "ok, demain à 17h" mais le lendemain, il n'est pas là.
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Ça fait 5 semaines que ça dure.
Pour vous donner une idée, j'en suis à 5 rendez-vous auxquels je suis allé pour rien et 10 rendez-vous annulés sans explication.
Ce qui m’inquiète également, c'est que je ne voit pas ma voiture: il a une grande cour dans laquelle il gare les véhicules de ses clients, le mien n'y est pas.
​
​
J'en ai discuté avec une connaissance gendarme, il m'a conseillé 2 solutions : plainte au pénal pour escroquerie (il n'y a pas vol) ou tribunal de commerce.
J'ai essayé de faire bouger mon garagiste en lui parlant de ma conversation avec les gendarmes, pas de réaction.
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Cette situation me crée beaucoup de problèmes, je compte vendre cette voiture (j'en ai racheté une autre entre-temps) et je ne voudrais pas qu'elle soit désinscrite du fichier des immatriculations : ça laisse des traces et je vais perdre de la valeur.
​
Qu'en pensez-vous ? Que pouvez-vous me conseiller pour récupérer ma voiture ?

Bonjour, Je viens de payer 21,83 euros à un Taxi et j'ai reçu d'un SMS tout à l'heure à part de SumUp avec le montant exact et des liens..
J'ai pris le taxi dans la gare comment d'hab alors mon numéro est jamais partagé avec le chauffeur..
ce qui est étrange que la carte que j'ai utilisée ne fonctionne pas en achat en ligne car je ne reçois pas de sms (3D secure) et ma banque m'a dit que mon numéro n'est pas correctement enregistré ce qui n'est toujours pas rectifié..
Je ne sais pas comment SumUp associé mon carte et mon numéro téléphone.. c'est un arnaque?
Merci

Kikoo les BG!!
Est-ce que quelqu’un a déjà mal (ou pas du tout) restitué un vélib ? Je suis allé prendre un train aujourd’hui, la station devant la gare était pleine et le timing était trop serré pour aller chercher une place ailleurs ou contacter vélib.
J’ai attendu un peu mais personne n’est venu prendre un vélib et libérer une place (et de toutes façons yavait d’autres ptits vautours comme moi qui étaient sur le coup).
Bref du coup je l’ai posé sur un autre vélo et je suis parti en courant chopper mon train. C’est grave docteur ?
Quelle est la stratégie la plus adaptée ? J’appelle le service client en jouant l’innocent (en disant que je l’ai pourtant mis dans une borne mais que j’ai pas reçu le mail « votre vélib a bien été restitué » et que je m’inquiète) ou j’attends de voir ce qui se passe ?
Merci d’avance !
Edit: et c’est le HAPPY ENDING, j’ai attendu de recevoir le SMS qui dit que j’ai un trajet en cours depuis 2 heures et appelé le service client qui a clôturé le trajet et m’a facturé les 2 heures

Mero sms ma nid card singhadurbar ma lina aau bhanera aacha. Kasaile singha durbar bata collect gare vaye vandinu na. Kati baje tira jada thik, kati time lagcha yeta uti. Thank you!

Bonsoir à tous,
Je ne sais pas exactement pourquoi j'écris cette histoire maintenant, j'en ai peut-être encore besoin, je ne comprends pas exactement ce qu'il s'est passé.
Il y a un an et demi, je faisais mon stage de M1 dans une ville du Nord de la France. Bien que j'avais fait mes études dans cette ville cette année là, le covid et tout ce qui va avec ne m'avait pas permis de vraiment me faire des amis ou de découvrir les environs. Cependant, pendant mon stage, j'ai eu l'occasion de rencontrer de nouvelles personnes notamment un gars avec qui j'ai commencé une relation. Ce que je vais vous raconter se passe au mois de juillet, c'était le début de l'été mais ce qui me tracassait le plus c'était surtout ma soutenance de stage. Je suis d'un naturel très angoissée et cela se décuple avec les oraux, j'ai tendance à faire des crises de panique avant alors vous vous doutez bien que le week-end avant ma soutenance (qui était un lundi matin) je n'avais pas du tout dormi. J'avais toujours fonctionné de cette façon avant les partiels, je ne tenais que par le stress et le sucre dès que j'en arrêtais un des deux, je m'éffondrais. Par chance tout c'était bien passé et je devais passer la soirée avec mon copain de l'époque. J'étais aux anges mais avec le stress redescendu je commençais à ressentir les effets de la fatigue.
Une petite élipse jusqu'au soir, je le rejoins, on passe la fin de l'après-midi ensemble. Il reçoit un appel vers 20 h, il s'excuse puis va dans sa chambre, il revient livide, en pleurs et me dit qu'on doit rompre. Sur le coup, je ne comprends pas, j'essaye d'avoir des explications et il craque et m'annonce qu'il a une copine depuis des années et qu'il la trompe avec moi. Même si c'était sur le coup, une véritable histoire d'horreur pour moi, ce n'est pas la partie d'intérêt de ce post. Mais pour remettre dans le contexte, je n'ai pas dormi depuis plus de 72h, je n'ai pas mangé depuis 48h, je suis en manque de sucre et la personne que j'aimais de tout mon coeur m'annonce qu'il était en couple et qu'il allait la rejoindre. Je commence à me sentir faible, j'explose en pleurs, je ne comprends pas, la scène semble surréaliste mais il me presse de sortir de chez lui pour qu'il prenne sa voiture.
Je me retrouve donc vers 20h30 un soir d'été, en pleurs, effondrée dans la rue devant l'appartement de mon ex, épuisée physiquement par la fatigue et psycologiquement par l'annonce. Je reste comme ça environ 30 min, incapable de bouger, j'essaye de raisonner mais mon cerveau en est incapable. Et puis quelqu'un en BMW s'arrête à mon niveau. Il faisait une tête de plus que moi, il me demande si j'ai besoin d'aide. Je réponds par la négative. Il s'approche de moi, me prends la main et me pose des questions assez banales comme mon prénom, mon âge etc. Il se présente, il s'appelle Alex et vient et est arménien, il est là pour les vacances. Et puis, il commence à me poser des questions sur la raison de mon état, je lui explique vaguement que je viens de rompre, il me dit qu'il va casser la gueule au mec, je ne dis rien. J'ai juste envie de partir car je sens quelque chose d'étrange arriver mais j'ai du mal à raisonner, tout est embrumé. Je me rélève quelques minutes plus tard et j'essaye de partir, il me propose de me raccompagner en voiture, je refuse. Je commence à partir, il me rattrape par la main. Je la secoue pour me libérer et continue d'avancer, il me rattrape et me suit de nouveau.
J'ai de plus en plus peur, est-ce juste mon état de fatigue ? Le fait que le soleil commence à sombrer progressivement ou parce qu'un individu me suit ? Et puis, sans trop que je sache comment, il me reprend lamain, je lui demande d'arrêter mais il continue avec des paroles mielleuse. J'ai déjà eu le droit en tant que femme dans la rue à des phrases de dragues, des comportements déplacés mais là, ça dépassait ce que j'avais vécu par le passé. Je me sens de plus en plus faible et bientôt je n'arrive plus à lutter. Ni contre lui ni contre mon état. Je sais qu'à tout moment, je peux m'écrouler. Comme dit précédemment, je n'ai aucun vrai contact dans la ville, personne que je peux appeler pour m'aider. Il recommence à me parler, me propose qu'on aille manger ensemble, qu'il m'offrira ce que je veux etc. Je refuse, je lance des regards à droite et à gauche, des appels à l'aide aux passants mais rien. Il me prend dans ses bras et il caresse mon corps. Je veux le repousser mais je suis faible et comme il me l'a si bien fait comprendre, il va à la salle et surtout, il était "connu dans toute la ville pour être quelqu'un de violent et qu'au besoin il pouvait casser la gueule à celui qui m'avait fait pleurer." Je me rends compte de la situation pour les gens autour, une gamine d'une petite vingtaine d'année, en pleurs, en jupe d'été dans les bras d'un mec de 40 ans qui n'a aucun lien physique avec moi, je sais ce qu'ils pensent. Il me propose de m'accompagner en voiture une fois. Puis deux. Je refuse encore et encore mais cette fois, il me tient fermement le poignet. Je veux courir m'enfuir mais j'en suis incapable. Je sens ma tête tournée. Il me reste peu de temps à tenir. Je lui demande de me laisser tranquille une dernière fois. Il sent que je vais craquer. J'ai peur.
Vous savez quand votre mère vous dit de ne jamais monter dans la voiture d'un inconnu. Ecoutez-la.
Il est 21h37, ca fait une heure que je lutte dans la rue, c'est long, très long et mon corps a atteint sa limite. J'accepte de monter dans sa voiture, à vrai dire, ce n'est pas vraiment un oui, j'ai juste peur de m'évanouir ici et qui sait ce qu'il me ferait. Erreur. J'ai à peine le temps de m'attacher qu'il démarre, sans me demander mon adresse. Il me dit juste une phrase "Tu peux appeler les flics si ça te rassure." Ca peut paraître étrange mais ce fut la phrase qui me fit vraiment comprendre que quelque chose n'allait pas. Qui conseille ça ? Et surtout pour leur dire que j'ai accepté de monter dans la voiture d'un inconnu ? Je pense et j'en suis même sûre avec le recul, que ce n'était qu'une technique pour me mettre en confiance car il savait que je ne les appelerai pas. Je vois la voiture rouler encore et encore vite, au-delà de la recommandation dans la ville, on arrive au niveau de la gare. Une voiture de sport s'arrête à notre niveau, au feu. [J'essaye de sortir, la porte est fermée. ] Un jeune, sensiblement mon âge, est au volant, ils parlent par vitre interposée avec des signes, je ne comprends rien si ce n'est qu'Alex me désigne et dit juste "On voit ça plus tard." en baissant sa vitre. Les seules paroles de la discussion.
La voiture accélère et reprend son chemin vers la sortie de la ville, je vois le panneau se rapprocher, encore et encore, il continue de me proposer d'aller manger, boire un coup, m'acheter ce que je veux et ensuite, il me propose de quitter mon job, qu'il m'en trouvera un. Et là, je le sens, sa main sur ma cuisse, remonter ma jupe. J'ai peur. Je décale mes jambes, j'essaye plusieurs fois de lui indiquer la route mais rien. Il ne m'écoute pas, insiste pour manger ensemble. Je refuse une énième fois. Il me tend alors une boîte de chewing-gum, je refuse. Il insiste, se montre violent, me forçant à en prendre un. J'ai peur. Mais sans doute encore une fois par la fatigue entière que je ressens, j'accepete, je prends le chewing-gum, il vérifie que je le mets bien en bouche et tourne la tête seulement à ce moment-là. Je me dis, sans doute la seule phrase cohérente depuis le début de la soirée. "Math' quoi qu'il arrive tu ne croques pas, qu'importe ce qui se passe, tu ne mâches pas et à la moindre occasion tu le jettes." Ca devait faire 10 min que j'étais en voiture. Je me souviens d'une fonctionnalité sur les téléphones. Le "SOS". Je sais que personne dans cette fichue liste (ma soeur ou mes parents) ne pouvaient me venir en aide mais lui ne le savait pas. Je presse le bouton d'arrêt plusieurs fois, le décompte arrive et je vois le nom de ma soeur, le numéro du SAMU et de la police s'affichait. Je relève les yeux, il fixe mon téléphone. Il a vu. Je redemande lentement de prendre la route à gauche pour aller chez moi, il tourne. Miracle. Je lui montre le chemin depuis Maps. Il suit le virage d'après puis accélère de nouveau dans une autre direction en me disant qu'on va manger juste à côté.
Je represse le bouton d'urgence et lui dit de suivre mes indications. Je hurle que je veux juste rentrer chez moi. Il m'écoute. Je refuse de lui donner mon adresse exacte. Je veux juste être déposée à la fois assez près pour courir au besoin et assez loin pour ne pas qu'il voit la direction de ma résidence. Après 15min, on arrive dans une rue passante non loin de chez moi. Je lui demande de s'arrêter, il obtempère. Je m'apprête à sortir mais la porte est toujours verrouillée. Je me retourne vers lui et il me demande d'échanger nos numéros, je veux juste sortir, j'accepte me disant que je n'enverrai juste pas de SMS, pour qu'il ne connaisse pas mon numéro. Il me force à l'appeler. Je le fais à contrecoeur. Il me dit que c'est dommage car il avait "le job parfait pour moi et bien payer pour un travail qui fournit du plaisir".
Il appuie sur le bouton pour déverrouiller la porte, je me retourne et m'apprête à m'élancer quand il dépose sur ma tête une casquette BMW, avec des grosses traces de sueur sur le tissu "en souvenir de sa charmante compagnie". Je m'en fiche sur le moment, je veux juste sortir, je me sauve. Tourne dans la rue, m'assure qu'il ne soit pas là et m'engouffre dans l'immeuble. Je crache le chewing-gum et m'écroule en pleurs encore une fois dans mon lit. Je tombe de fatigue (?) quelques minutes après.
J'ai eu peur certes qu'il se passe quelque chose mais je pense que j'ai encore plus de questions les semaines qui suivirent. 1) Il m'a appelé plusieurs jours de suite, plusieurs fois, m'a envoyé des sms et j'ai vu sa voiture rôder dans les alentours pendant plusieurs semaines 2) Son numéro de téléphone ne correspond d'après l'annuaire en ligne ni au nom qu'il m'a donné, ni au lieu de résidence (environ 4h de route) 3) j'ai découvert que quelques mois plus tard un réseau de proxénétisme tenu par des arméniens a été démantelé dans cette ville. 4) Même si j'ai bloquée son numéro, Snapchat me propose de le rajouter en ami, son pseudo est "femme_xxxxxXX" (les "x" remplacent la suite du pseudo pour éviter que vous puissiez le retrouver.
Je ne sais pas qu'elle était son but, était-il vraiment juste gentil et que le décalage culturel le rendait étrange ? (même abusif avec les caresses, je refuse de croire que c'était de la gentillesse) Pourquoi m'avait-il forcé à manger un chewing-gum ? Que me voulait-il réellemment ?

Bonsoir !
Il m'arrive souvent des petites histoires incongrues dignes du Let's not meet, à tel point que mon père dit que j'attire tout ça, c'est pourquoi je vais venir raconter 2 nouvelles histoires, mais pas dans le même poste.
Pour remettre le contexte, j'ai 20 ans, je suis étudiante infirmière, et je vis avec mon chéri et un weekend sur deux avec ma belle fille donc la petite de mon copain qui a 2 ans.
La mère de mon copain ayant eu un gros soucis avec sa voiture, je lui avais prêté la mienne, et comme les réparations mettaient du temps à se faire je roulais avec la voiture de mon copain, heureusement il pouvait se rendre à pied à son travail.
En parallèle, j'ai acheté une voiture d'occasion pour remplacer la mienne qui ne roule pas et a besoin de pièces d'occasion pour que mon père la répare. Comme j'habite en ville et mon père à la campagne, il m'envoie le numéro d'un gars sur Leboncoin chez qui je dois récupérer 2 roues et un rétroviseur après le travail, donc un vendredi soir.
Je quitte donc du travail, rentre chez moi récupérer un chargeur de téléphone parce que je n'avais plus du tout de batterie (et flemme d'aller voir un total inconnu sans batterie sur mon téléphone portable), et me rend chez le gars, il est 18h. Cette histoire s'est déroulé le mois dernier (en octobre) donc il faisait déjà nuit noire.
J'attends l'inconnu, sans trop savoir où attendre, et un vieil homme vient me voir et me parle, mais je ne comprends absolument pas ce qu'il dit donc logiquement, j'acquiesce. Il attend l'homme aussi. 18h10, l'homme n'est toujours pas là alors je l'appelle. Il décroche et me dit qu'il arrive de suite, qu'il est encore chez un client et qu'il arrive de suite. Sur le moment, j'ai cru comprendre qu'il travaillait dans le milieu médical donc je souffle un coup et me rassure, un peu trop stressée de la vie. L'homme finit par arriver, et tout de suite, mauvais feeling. Et certainement pas du corps médical. L'homme est de taille normale, mais de corpulence très imposante. Il semble super à l'aise avec le fait de me parler, me tutoie direct, presque dragueur.Il renvoie le vieil homme qui voulait lui acheter des oeufs alors qu'il n'en avait pas absolument pas à vendre ? Sur le moment je me demande même si l'homme est vraiment devant chez lui ou s'il m'a donné une adresse qui n'était pas la sienne, je ne comprends pas grand chose à la situation.
Il me dit que les pneus sont derrière sa maison, sauf que l'arrière de as maison n'est pas éclairé du tout. Je ne voyais même pas mes pieds tellement il faisait noir, et l'homme me dit d'avancer, encore et encore dans la pénombre. Hésitante, je m'arrête, je ne suis clairement pas à l'aise. Il en déduit donc que je ne souhaite pas porter les roues, ou que je n'ose pas, et propose donc de les porter pour moi. Sincèrement, ça ne me dérange absolument pas, comme j'aurais galéré à porter les deux roues jusqu'à la voiture. On s'approche donc de ma voiture, et tout de suite l'homme me freine et me dit "oh non, tu ne vas pas salir la Nissan, elle est toute belle et neuve, tu vas salir le coffre... viens on met les pneus dans ma voiture plutôt et je te suis jusqu'à chez toi...." super mauvais feeling, j'ai une boule au ventre, peut être trop parano mais je trouvais super bizarre ce qu'il proposait.
J'insiste donc pour mettre les roues dans le coffre, en étalant des vieux tshirts dans le fond du coffre sur le bazar pour qu'il mette les roues. Malheureusement, les roues ne rentrent pas dans le coffre. Le problème, c'est que je n'ai vraiment pas envie de salir la voiture de mon chéri, vu que les roues sont vraiment sales et boueuses, et que je ne peux pas non plus rabattre la banquette arrière comme il fallait que je retourne chez moi pour récupérer ma belle fille de chez la nounou pour 18h30. Je me retrouve donc dans une impasse, et l'homme, très manipulateur, insiste pour les mettre dans sa voiture et me suivre jusqu'à chez moi, comme il habitait à 5min de chez moi. Je ne sais pas trop comment me justifier. Malheureusement, avec le travail, l'homme n'a pas encore eu le temps de démonter le rétroviseur. En arrivant, il m'avait annoncé 10 min pour le démonter, sauf que le temps pressait et vu comme il semblait aimer discuter avec moi, j'allais vraiment rentrer en retard pour la nounou.
Je lui explique donc la vérité, que je dois récupérer ma belle fille chez la nounou et que nous avons qu'une voiture, et que je n'aurais pas le temps d'attendre le rétroviseur, et que je n'avais que 50€ en un billet. Il me dit donc "t'inquiète, je te dépose les roues ce soir, je démonte le rétroviseur en rentrant et je te le dépose direct ensuite, tu me paieras après". Je lui dis que je ne sais pas à quelle heure je rentrerais de la nounou, mais que je pouvais me rendre disponible s'il le fallait, ce soir ou demain, mais que demain je ne pourrais pas venir en voiture car je gardais la petite. Il insiste pour passer ce soir, et je finis par accepter. Avant de monter dans sa voiture, il me dit qu'il va juste chercher quelque chose avant de pouvoir partir.
Je rentre dans ma voiture, l'homme doit donc me suivre jusqu'à chez moi. Le soucis, c'est que mon conjoint quitte à 18h30, et qu'il lui faut 15 min pour rentrer à pied jusqu'à l'appartement, et que je panique vraiment. J'envoie donc un message dans un groupe messenger avec nos propriétaires qui vivent au rez de chaussée (et nous au deuxième et dernier étage), savoir si le proprio est là. Je lui explique en quelques mots que j'ai un mauvais feeling à propos d'un homme qui va passer à l'appartement et que mon conjoint n'est pas là, et il me dit que sans soucis, il sera disponible si besoin. Le temps que j'envoie ce message, l'homme a démarré sa voiture et est passé devant moi, ce que je trouve étrange parce que même si j'ai décrit un peu où j'habitais, l'homme ne connait pas mon adresse. Je le suis donc, sauf que forcément il finit par prendre une mauvaise rue, je le suis, lui fais des appels de phares pour lui indiquer que je vais tourner et qu'il voit mon clignotant, mais il ne remarque rien et s'engage tout droit dans la mauvaise rue. Je bifurque donc de trajet , et lui envoie mon adresse par SMS. A partir de ce moment là, j'ai une ENORME boule dans la gorge, qui me démange et je commence à paniquer. Pourquoi j'ai accepté que l'homme me suive, je ne le connais pas, il possède maintenant mon adresse, et mon chéri n'est pas là. Je me gare dans la rue, je ne vois pas la voiture du type et je suis prise d'une terrible angoisse, j'avais un tel mauvais feeling de ce type.
L'homme finit par arriver, il est 18h35, et ce que tient l'homme dans la main, c'est une bouteille d'alcool ! Un flash, une petite bouteille de cristalline avec un mélange qui n'en était clairement pas. Au moment où je m'approche de lui, pas rassurée, mon chéri arrive dans la rue et l'interpelle avant même que je puisse adresser la parole à l'homme. Mon conjoint me presse de rentrer, l'homme demande si on a besoin d'un coup de main, et mon chéri le rembarre rapidement en lui disant que c'est bon il gérait maintenant, et qu'on verrait plus tard pour le rétroviseur, plutôt demain, et comme une bourde je dis "ou ce soir comme j'ai dit que je pouvais me rendre dispo..."
Mon chéri monte les roues au deuxième étage, et part chercher la petite. Il me dit de ne surtout pas sortir seule, de prévenir le propriétaire si jamais je devais sortir, et que je devais le tenir au courant. Lorsqu'il quitte l'appartement, je commence à réaliser ....
Quand j'avais dit à l'homme qu'on avait qu'une voiture, qu'il devait récupérer sa fille, et que je pouvais me rendre dispo pendant, il était clair que l'homme avait compris que j'étais seule chez moi. Ce soir, pendant le temps de l'aller retour chez la nounou, mais aussi demain, parce que si je ne pouvais pas me rendre en voiture, c'était parce que mon chéri l'avait, et donc qu'il n'était pas là non plus. Je réalise aussi que l'homme, vu comment il me forçait un peu dans ma prise de décision tellement il était insistant, aurait forcé pour monter les roues jusqu'à chez moi. Il ne m'aurait jamais laissé monter les roues jusqu'au deuxième, et même si j'avais habité au rez de chaussé il aurait forcé pour déposer les roues directement chez moi, soit avec l'excuse de la lourdeur des roues, (de ma force faible) ou de la saleté. Il se serait donc retrouvé chez moi, alors que personne à part moi aurait été là... je réalise aussi qu'il a maintenant mon adresse, en plus de mon numéro de téléphone, et qu'à tout moment il peut revenir pendant que je suis seule, comme il n'est qu'à 5 min de chez moi !
Je me barricade donc chez moi, priant pour que mon conjoint revienne vite et que l'homme ne vienne pas, ni ce soir ni demain, mais l'homme doit forcément repasser, comme je ne l'ai pas payé...
Les minutes sont interminables, mon chéri revient de chez la nounou, et comme il est très terre à terre on en rediscute, et je m'attends à ce qu'il me dise que j'ai du psychoté, que l'homme voulait sûrement juste m'aider mais non. Il me dit qu'il a bien fait de taper le sprint de sa vie pour rentrer (c'est comme ça qu'il a fait pour arriver à temps), parce que l'homme puait l'alcool, et me fixait intensément quand je me suis dépêchée de rentrer, ne regardant absolument pas mon chéri.
Ce soir-là, mon copain m'a interdit de sortir la poubelle ou d'aller chercher les pizzas au coin de la rue, de peur que l'individu revienne, et je barricade bien les portes. Le lendemain, pareil, grosse angoisse de peur que l'homme arrive... Mais pas de nouvelles.
Au final, le gars s'est pointé dimanche en fin d'apres midi chez nous, mais comme (je pense) je n'étais plus seule chez moi et que c'est mon chéri qui gérait l'échange rétroviseur-argent, il n'a absolument pas pris le temps de discuter et est très vite reparti, alors qu'avec moi il avait été très bavard...
Est ce que l'homme était bien ou mal intentionné ? Est ce qu'il a agit comme ça parce que sous influence de l'alcool seulement ou est ce qu'il avait vraiment quelque chose derrière la tête... ?
J'étais tellement prise à la gorge pendant le trajet en voiture et un tellement mauvais feeling que je pense que j'ai évité le pire...

Zl;ng (lange Tirade) Zugverspätung, Busverspätung in Paris, undurchsichtiges Buchungs/Informationssystem, Zugschaffner ohne Englischkenntnisse, keine Schilder, schlechtes Internet und Unübersichtlichkeit bei der französischen Bahn (SNCF) und damit die Erkenntnisse: die Deutsche Bahn ist gar nicht so schlecht wenn man einen Vergleich hat.
Ich hoffe es ist ok, dass ich hier über die Franzosen schlecht rede.
Man kennt ja die Bahn von zuhause: unpünktlich, Wagen fehlt mal gerne, überfüllt und unübersichtlich, aber meine Bahnreise über Frankreich nach Spanien hat meine Augen geöffnet. Wollte die Bahn statt Flieger unterstützen (und hatte vergünstigten Fahrkarten), also bin mit Zug durch das Land gereist und damit folgende Erfahrung über die SNCF gemacht:
Sowohl Hin- und Rückweg (bezieht sich auf Schnell/Refii Züge) 1, Zug meldet nicht wohin er fährt sondern nur auf En und Fr "the train arrived at the destination" (Entschuldigung im Voraus, das ist Zitat), die Tafel hatte nur bedingt korrekte Angaben -> DB macht bei normalen Umständen immer Aussagen über Ziel und wo Anschlusszüge sind, bei großen Haltestellen/ grenzenüberschreitenden Zügen zusätzlich En und meistens Sprache Zielland (auch wenn nicht immer gut). 2, Zugbegleiter konnten kaum En, De natürlich auch nicht, obwohl man über Grenzen fährt. Die spanische Kollegen können (bei den Fahrten) viel viel besser En und machen auch dual-/dreisprachige Ansagen. Vor allem geben sie sich die SNCF Zugbegleiter nicht mal Mühe, was gebrochenes zu sagen, Kollegen zu holen oder auf Digitalübersetzung zu warten, sondern ignorieren dich einfach. Auch Ticketkontrolle, Sicherheitskontrolle, Info zu Verspätung, alles auf Fr. 3, Internet war auch grotten schlecht und manche Bahnhöfe (in Spanien/Frankreich, weiß nicht mehr) verlangen nach deinem Sozialnetzwerk oder Email. Ist in der Schweiz übrigens auch grottenschlecht, mal am Rande. 4, man weiß nicht, vom welchem Gleis der Zug abfährt, bis zu 10-20 mins davor, und man muss bei Tafeln/auf der Webseite nachschlagen. Bei großen Bahnhöfen muss man sich durch Menschenmenge drängeln, um die zu sehen -> leichtes Ziel für Taschendieb. Mobile Anwendung hat auch keine Gleisnummern. Ist bei knapper Umstiegszeit blöd. Bei DB kriegt man alles relativ Echtzeit (ich weiß) per mobile Anwendung, Netzseite oder halt Tafel (besser mal inkorrekt und Info zu Gleichwechsel als gar nichts)
Und damit Übergang zu Zugverspätung: Auf dem Rückweg musste ich von Paris Gare de Lyon nach Paris Est umsteigen, hatte ne St dafür, bei Buchung stand 30 mins reicht, deswegen gebucht.
In der Realität kam Zug 15 mins spät, war immer noch ok. Am Anfang wollte ich laufen (50 mins), aber dann dachte ich Untergrundbahn/Bus. Erste Option wäre Umstieg, also Bus. Es gab keine Schilder, die von den verfluchten Bahnhof nach Außen/Busbereich führen -> fragen + suchmachinen (googlen). Schnell rausgerannt, grosse Tafel zeigte mein Bus ist idN (es gab ne Papierkarte, dafür bin ich aber leider zu blöd). Also spazierte ich hin, nach 5 mins laufen, festgestellt, Haltestelle nicht da. Leicht nervös gefragt und dann wurde die findig. Bus kam, zu spät, Ticket kann nur durch SMS gekauft werden, die Anleitung war pur Fr. Wollte die Leute fragen, wie es geht, die haben kA., also sind sehr viele dazugezwungen (ich auch) schwarz gefahren. Hatte kurz vor verspäteree Ankunft Gleisnummer bekommen und hatte 3 mins um hinzusprinten, wäre theoretisch ausreichend wenn die Ka**bahn nicht Sicherheitskontrolle vor dem Zug hat und 2 MINS VOR ABREISE GLEIS DICHT MACHT, OHNE KUNDEN BEIM VERKAUF ZU INFORMIEREN, oder Prio für die Leute zu setzen, die gleich abfahren müssen. Hab Zug vor der Nase gesehen, der nicht mal abfährt.
Dann natürlich zum Kundenservice, nur es gibt natürlich kein Schild und diesmal nicht mal ne Karte zum Orientieren. Kundenservice kann auch kaum En, aber zum Glück hat sie mir einen Zug 2St später gestattet. Saß zurzeit im Zug und freue mich zur Träne, im bekannten ICE zu sein.
Am Ende: De ist 2.Sprache, und erster langer Post, also entschuldigung für falsche Grammatik und ggf. korrekter Sprache, und danke fürs Lesen.
Edit: 1, ich bin mit Bus gefahren weil ich dachte, man kann Fahrkarten direkt beim Fahrer kaufen und weil es keine direkte Verbindung von Paris de Lyon nach Paris Est ist, und Umstieg bei den französischen Metronetz kann sehr sportlich werden 2, wenn man nur von Deutschland nach West/Nordfrankreich fährt, ist alles gut mit der Sprache wegen der Kooperation zwischen DB und SNCF, wenn man in Südfrankreich ist, sieht es ganz anders aus 2, Ich glaube was ich wirklich mit dem Post sagen will, ist: - dass es im Ausland auch so schlecht gehen kann wie in Deutschland (oder anders schlecht), nur man bekommt mehr von zuhause mit -Internet war überall schlecht, funktioniert nur auf Hauptstrecken (landesabhängig). Dass nur Internet in deutschen Zügen schlecht ist, halte ich für falsch - französische Bahn ist für nicht Französischsprechende sehr unfreundlich, und als nicht Deuutschsprechende war die Erfahrung viel besser

Pour des fins d'anonymat, je garde mon nom caché. Mais vous pouvez m'appeler Mia. Les noms des villes et des transports du début de l'histoire ne seront simplement pas nommé également. Et désolé pour l'orthographe. Et pour la longueur du texte.
PS : j'ai essayé de rendre ça aussi fluide que possible 😀
Pour contexte :
L'histoire se passe en hiver 2010. Décembre pour être plus précise. J'avais 20 ans. Étudiante infirmière en 2ème année et en stage de soir dans une EPHAD dans le 94. A l'époque je vivais encore chez ma mère en banlieue de Paris.
Il est 21h10. Ma journée de stage venait de se terminer et je m'étais changé dans mes habits civils après mon shift. Après avoir dit au revoir à mes collègues qui terminaient les transmissions, je suis sorti par les portes principales du bâtiment A.
Première mauvaise surprise : il avait neigé. Pas les petits flocons trop mignon qui te remontent le moral quand ils se posent sur ton visage. Non. La bonne neige épaisse impressionnante de plusieurs centimètres qui s'infiltrent dans tes cheveux et te gèle le crâne. J'étais clairement pas habillé pour marcher dans la neige avec mes petites converses défoncés et jeans retroussés. Mais j'étais affamé, j'avais froid et j'étais clairement épuisé. J'ai donc simplement commencé à marcher dans la neige jusqu'à l'arrêt de bus en face de l'EPHAD.
Je n'avais pas le permis à l'époque et je devais donc prendre les transports en commun pour mes déplacements. Et de mon stage jusqu'à chez moi, le trajet était d'environ 1h15. Ouais je sais, chiant.
Malheureusement, après avoir attendu 10 minutes supplémentaires le bus qui devait m'amener jusqu'au métro, je me suis rendue à l'évidence : à cause de la neige imprévue par les transports d'Ile de France (comme d'habitude avec eux et les conditions difficiles : la pluie, le vent ... ce soir là, la neige ...). Donc, deuxième mauvaise surprise : je devais marcher 15 minutes dans le froid avec mes converses déjà trempés et mes pieds gelés jusqu'à la station de métro.
D'autres trajets auraient pu me ramener chez moi (dont un que je prenais pour aller sur mon lieu de stage mais que je ne prenais pas pour le retour car il impliquait beaucoup de changement peu sécuritaires dans des zones peu éclairée). Mais je préférais celui là qui outre la sécurité, me donnait ce soir là l'occasion de me réchauffer dans plusieurs stations de métro et RER.
J'ai donc prit la direction de la station de métro en passant par des rues vides de toute vie. Le silence était un peu pesant mais en même temps, il était proche de 21:30 en plein mois de décembre donc c'était un peu normal. Pour atteindre la station de métro, il faut passer dans un petit tunnel de peut-être 5 mètres de long, mal éclairé mais peu flippant puisqu'il était court et que la bouche de la station est juste après. Proche de la sortie du tunnel (qui soit dit en passant puait la pisse), la réverbération de bruit de pas m'est parvenu aux oreilles. Il y avait quelqu'un derrière moi. J'ai alors regardé et j'ai vu à à peine 3 mètres de moi un homme, probablement la cinquantaine avec une carrure typique d'un cinquantenaire avec un ventre arrondi caché sous une lourde veste en polaire ouverte. Rien de bien anormal physiquement. Sauf qu'il s'était arrêté de marcher quand je me suis retourné, pour me fixer. Il avait un visage banal, couvert d'une barbe de quelques jours. Il avait l'air d'être crasseux avec les ombres que les lumières du tunnel projetaient. Ses yeux me fixaient et me donnait la chair de poule. Ou était-ce le froid ?
Non. Je commençai à avoir un peu peur. Il était tard, j'étais fatigué et gelé et il y avait un homme derrière moi qui me fixait. Pourquoi est-ce qu'il me fixait aussi intensément ?
J'ai choisi de continuer mon chemin en accélérant le pas dans les escaliers de la bouche de métro. Carte Navigo à la main, je passe les tourniquets et, rassurée de voir des gens sur la voie, je m'installe au milieu de différents groupes juste par précaution.
Regardant par dessus mon épaule, j'ai été rassuré de ne pas voir l'homme du tunnel sur le quai. Soulagé, je me suis trouvé vraiment idiote d'avoir autant paniqué. Il devait simplement me regarder parce que je m'étais arrêté au milieu du trottoir, l'empêchant de continuer son chemin.
Le métro arrive et hop, place assise au milieu, collé à un géant et en face d'une mamie ronchonne. Bref, rien de pertinent pour l'histoire mais je me rappelle de cette femme qui fouillait son sac à main sans relâche en grognant comme si c'était hier.
Mon trajet continua comme d'habitude. Métro pendant 20 minutes jusqu'à la célèbre gare de Chatelet les Halles pour prendre le RER D. Arrivée en gare, je descend du métro et rejoint la zone des RER dans la cohie des Parisiens. Bien sûr, une fois sur le quai n°3 direction Melun : retard. 20 minutes minimum. 3ème mauvaise surprise : je vais louper le dernier bus de ma ville pour rentrer chez moi. Je vais devoir marcher 25 minutes supplémentaires dans le noir et dans la neige. Génial. Un trajet de 1h15 environ devient un bon 2h minimum.
Vraiment énervée maintenant, je m'assois sur les chaises dégueulasse pour attendre quand, en levant les yeux, je le vois. Le gars du tunnel. Sur la voie en face de moi, en attendant un RER B. Il me fixe, du même regard sans émotions que dans le tunnel.
Et là je flippe vraiment. Je ne l'avais pas vu sur le quai du métro alors pourquoi est-ce qu'il était là, à me fixer du quai d'en face ? Vraiment flippé, j'ai rapidement changé de place pour me cacher derrière les escaliers du quai pour qu'il me perde de vue. Maintenant sur le quai n°1, je ne le voyais plus.
Je devais vraiment paraître idiote à ce moment là, me cacher derrière les escaliers du quai en refusant de laisser le moindre espace entre mon dos et les escaliers, de peur qu'il ne se faufile derrière moi.
Pour patienter et calmer ma peur, je me rappelle avoir sorti mon téléphone et joué à des jeux.
Finalement, après 35 minutes d'attente, le tant attendu RER arrive et, ambarqué dans la cohue du soir, j'entrais dans le train qui me ramènerai chez moi. Installé sur le pallier haut du RER, je me rappelle avoir envoyé un SMS à ma mère pour lui demander de venir me chercher à la gare car j'allais louper le dernier bus.
4ème mauvaise surprise : ma mère travaillait cette nuit là et ne rentrait qu'à 8h du matin. J'allais définitivement devoir marcher pendant 25 minutes. Et je n'étais pas ravi du tout.
Après plusieurs minutes de trajet, le RER arrive en gare de Villeneuve Saint-George, et ... ne repart plus. Comme d'habitude, le train reste coincé en gare avec pour bonus : portes ouvertes ! Histoire de garder tout le monde bien éveillé par le froid de l'extérieur. Merci SNCF ! Après plusieurs minutes dans le calme (et le froid), j'ai commencé à avoir cette sensation étrange. Celle où tu te sens moins bien que quelques secondes avant, où un poids te pèse dessus. Cette sensation ou tes poils se dressent sur tes bras mais que tu ne sais pas pourquoi. Ce feeling que quelques chose ne va pas (et mon instinct ne m'a jamais trompé).
Je me rappelle avoir levé la tête lentement essayant de trouvé quelque chose hors de l'ordinaire.
Et il était là, bien entendu. À me fixer. Mais cette fois il était clairement amusé parce qu'il avait ce sourire qui dévoilait des dents étonnement blanches. Il était amusé de voir que je l'avais remarqué et que j'avais clairement peur.
Pas la peur que j'avais déjà ressenti auparavant, petite jeune de 20 ans à la vie confortable et sans surprise. Non, la vraie peur. Celle qui te gèle sur place, plus intense que le froid glacial. Celle qui te donne l'irresistible envie de pleurer mais que tu ne peux pas parce que c'est presque douloureux.
Tout ce que je voulais c'était fuir ce train, ce regard, ce sourire. Je voulais fermer les yeux et m'enterrer dans mon siège. Je voulais disparaître. Mais malgré toute la volonté du monde, rien n'aurait pu m'aider. Le wagon était à moitié vide et il n'était qu'à quelques rangées de moi, me regardant sans relâche. J'étais seule dans mon désespoir. Paralysée. Et je savais pertinemment ce qui allait arriver. Au moment de descendre du train, il me suivrait. Me coincerait dans un coin durant le trajet à pied que j'allais obligatoirement devoir faire pour rentrer chez moi. Ou me suivrait jusqu'à chez moi pour rentrer dans mon refuge.
Je n'arrivais plus à penser. Quoi faire ? Qui appeler ? Avertir la SNCF ? Et leur dire quoi ? "Désolé y'a un homme qui me suit depuis 2h. Pouvez-vous m'aider ?" Appeler la police et leur dire la même chose ? J'aurais probablement dû faire ça. Mais je ne pensais pas, j'avais trop peur. Et je voulais ma mère.
Et c'est ce que j'ai fais.
A 23h passée, j'ai appelé ma mère sur son téléphone. Et comme à son habitude, ma mère a répondu en me demandant si j'étais bien rentré. Non maman, non je ne savais même pas si j'allais rentrer.
" Non maman, je suis coincé dans le RER à Villeneuve." " D'accord. Tu m'appelles quand tu seras rentré ?" " Maman, j'ai un problème." " Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?" ... " Maman, il y a un homme qui me suit depuis l'EPHAD. Il ... il est dans le train et me regarde".
Silence. Le cauchemar de chaque parent. Aucune mère ne veut entendre ça. Parce que ... et si c'était les derniers mots de ton enfant ? La dernière fois que tu lui parlais ? Je l'entends marmonner, puis me rassurer.
"Je prends la voiture, je viens te chercher. Reste à la gare, va chercher un agent et reste avec lui."
Beaucoup plus rassuré, je me rappelle avoir quitté mon siège avec précipitation, mais juste une seconde trop tard pour passer les portes. Elles s'étaient refermés devant moi. Je n'avais pas entendu le signal sonore.
" Le train a redémarré Maman. On va arriver à Montgeron".
Je me rappelle l'avoir entendu jurer puis souffler. Elle courrait jusqu'à sa voiture.
Je ne pouvais pas descendre à Montgeron. Je ne connaissait pas la gare, ni la ville. Je ne savais pas s'il y aurait des agents là bas. Les petites gares des villes de banlieue n'étaient pas très fournies en sécurité en pleine nuit comme ça ... je devrais descendre à mon arrêt.
Je me rappelle avoir regardé l'extérieur du wagon, les paysages encore enneigés mais sombres dans la nuit. Cette neige que j'avais détesté dès sa première apparition cette soirée là.
J'étais coincé avec lui. J'avais tellement peur. Je pleurais.
Puis, la voix de ma mère au téléphone.
"Mia, raccroche et appelle la police. Dis leur où tu es et la description de l'homme. Demande à quelqu'un dans le train de rester avec toi. Je suis en voiture. J'arrive."
Puis la tonalité. Je ne me rappelle pas ce que j'ai pu dire pour qu'on raccroche. J'étais incapable de me rappeler le numéro de téléphone des services de police. 15 ? 17 ? Lequel était-ce ?
Puis des bruits de pas derrière moi. Il descendait les marches, ne souriant plus. Mais il me regardait toujours. Il m'avait entendu.
Ce regard me hante encore aujourd'hui, presque 12 ans après.
Il était en colère, furieux même. Ses sourcils étaient froncés, presque renfoncés dans ses yeux. Ses lèvres ne souriaient plus, elles étaient pincés et tremblaient de rage. Ses mains étaient fourrés dans les poches de sa veste, tenant clairement quelque chose puisque je me rappelle avoir vu la forme claire de ses jointures tendues contre le tissu de la polaire.
Son regard était furieux mais aussi résigné. Parce qu'au moment où il atteint la dernière marche, j'ai couru dans l'allée inférieure en demandant de l'aide à la première personne croisée. Et il le savait.
Un jeune homme. Probablement plus jeune que moi, qui avait les yeux rivés sur son téléphone, clairement inconscient de son entourage.
"S'il vous plaît. Aidez-moi."
A peine avais-je dis ces mots que le train arriva en gare, et je vis l'homme de mes cauchemars descendre du train en me jetant un dernier regard furieux et prit les escaliers pour quitter la voie.
Je pourrais jurer l'avoir vu quelques secondes plus tard sur le quai d'en face, à attendre le train en direction de Paris.
Ce fut la dernière fois que je le vis.
La suite de l'histoire est simple. Une fois arrivé à ma gare de destination, j'attendis dans la gare ma mère qui arriva 35 minutes plus tard. Puis ce fut direction le poste de police pour informer les services compétents. Malheureusement, aucun crime n'a été commis. Aucune blessure, aucun mot n'a même été prononcé par l'homme. Rien de criminel en soit.
J'ai fini mon stage plus tôt que prévu. Je ne voulais plus travailler le soir. Je ne voulais plus prendre ce chemin. Jamais.
Et je ne suis plus sorti aussi tard le soir, seule. Et ce pendant plusieurs années.
Aujourd'hui j'ai (presque) 31 ans. Je me suis parfaitement remise de cette situation. J'ai déménagé dans un autre continent 2 ans après (pas d'inquiétude, ce n'est pas relié à cette histoire 😀) et je ressors le soir seule. Même si c'est très rare.
Mais pour assouvir votre besoin de savoir : je n'ai jamais revu cet homme. Je n'ai jamais repris ce trajet à cette heure là. Maintenant je suis capable de retravailler le soir, il faut dire que j'habite à 5 minutes à pieds de mon lieu de travail. Ça aide.
So, let's not meet again.