Endroit autour de rennes baise femmes

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Située dans le nord-ouest de la province de Hoa Binh, à une distance de seulement 140 km de Hanoï et entourée de majestueuses montagnes, Mai Chau est un lieu de rencontre et d'échange entre différentes ethnies. Depuis longtemps, cette destination est devenue célèbre dans la province de Hoa Binh. Lorsque vous visitez cet endroit, en plus de profiter du tourisme et de découvrir les attractions touristiques, vous ne pouvez pas manquer l'occasion de découvrir la cuisine locale. Celle-ci offre un style unique avec des saveurs audacieuses typiques du Nord-Ouest. Que manger à Mai Chau? Quelles sont les meilleures spécialités de Mai Chau? Avec Autour Asia, partons à la découverte des 10 plats incontournables à déguster ci- dessous lors de votre visite à Mai Chau !
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Guide de voyage Mai Chau Visitez le village de Poom Coong Mai Chau

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¡Hola! Je m'appelle Estevan. Pour mon projet de fin d'études, j'ai rédigé un petit article sur la situation des femmes en Colombie. Ma mère est colombienne et j'ai jugé important d'en parler dans différents endroits comme Reddit. Il et assez condensé, j'ai essayer de traiter les sujets principaux de manière la plus complète sans être trop longue.
Merci de l'attention que vous lui porterez !!
La Colombie, une nation dynamique en Amérique du Sud, a été au centre de changements significatifs dans la participation politique des femmes ces dernières années. Cependant, derrière ces progrès, persistent des défis profondément enracinés qui menacent de compromettre l'égalité des sexes dans la sphère politique et dans la société en général. Dans cette exploration, nous examinerons les progrès réalisés et les obstacles auxquels les femmes colombiennes sont confrontées dans leur quête d'une participation équitable en politique, tout en analysant également les complexités de la lutte pour l'égalité des sexes dans la vie quotidienne. De la lutte contre les mariages forcés à la menace persistante des féminicides, ce voyage nous conduira à comprendre l'intersection complexe entre la politique, la culture et la justice de genre en Colombie de manière condensée.
La Lutte contre les Féminicides
Les féminicides restent un problème alarmant en Colombie, avec un nombre significatif de femmes et de filles étant victimes de violence de genre. Bien que des mesures aient été prises pour renforcer la législation et augmenter les sanctions contre les auteurs de ces crimes, la culture du machisme et l'impunité restent des obstacles majeurs dans la lutte contre cette forme extrême de violence de genre. Il est essentiel de s'attaquer aux attitudes et comportements sexistes qui perpétuent cette violence, ainsi que de garantir l'accès des femmes à des ressources et services de soutien pour prévenir et répondre à la violence de genre. En 2023 c’est 401 féminicides en Colombie, a titre de comparaison en France ce chiffre s'élève à 103 féminicides c’est donc 4 fois plus sur 1 année. Ce chiffre anormalement élevé prouve donc la triste et grande présence d’une persécution sur la gente féminine en Colombie
Avancées et Défis dans la Participation Politique des Femmes en Colombie
Ces dernières années, la Colombie a connu une augmentation significative de la participation politique des femmes. Diverses mesures ont été mises en place, telles que des quotas de genre et des programmes d'incitation, dans le but d'accroître leur représentation dans les postes politiques qui a permis au nombre de femmes en politique de s'élever à 30% par rapport en 1991 qui était de 11,5 %. Cependant, des défis importants persistent, entravant leur participation pleine et entière dans la sphère politique. Parmi ces défis, on trouve les stéréotypes de genre enracinés dans la société colombienne et les barrières culturelles qui entravent l'accès des femmes aux lieux de prise de décision. De plus, le manque de soutien institutionnel et la résistance de certains secteurs politiques restent des obstacles significatifs sur la voie de l'égalité des sexes dans la politique colombienne.
La Lutte pour l'Égalité des Sexes en Colombie
L'égalité des sexes reste une priorité à l'ordre du jour colombien, et des progrès significatifs ont été réalisés dans des domaines tels que l'éducation et l'emploi ou les femmes touchent 5% de moins qu’un homme pour le même poste . Cependant, persistent des défis enracinés dans des pratiques sexistes qui affectent la vie quotidienne des femmes. Dans de nombreux cas, ces pratiques sont perpétrées par des hommes et se manifestent à travers des comportements discriminatoires et des attitudes patriarcales. Des commentaires condescendants à la répartition inégale des tâches domestiques, ces actions reflètent la persistance des inégalités de genre dans la société colombienne.
Pour compléter cet article, j'ai pu discuter avec une femme colombienne sur certains aspects sociaux de la situation des femmes en Colombie ;
Comment décrirais-tu la participation des femmes dans la société colombienne actuelle?
La participation des femmes dans la société colombienne connaît une expansion remarquable ces dernières années. Elles occupent des positions de plus en plus prépondérantes dans divers secteurs, notamment en politique, à l'image de Marta Ruiz, Vice-Présidente de Colombie, mais aussi dans l'économie, l'éducation et la culture. Toutefois, des défis persistent dans notre quête d'égalité des sexes et de participation pleine et entière à tous les niveaux de la société.
Selon vous, quels sont les plus grands défis auxquels sont confrontées les femmes en Colombie aujourd’hui ?
Les principaux défis auxquels les femmes en Colombie sont confrontées comprennent la violence de genre, la discrimination sur le lieu de travail, le manque d'accès à l'éducation et à la santé, qui sont des problèmes complexes pour les femmes comme pour les hommes. Nous sommes également confrontées à des barrières culturelles et sociales qui perpétuent l'inégalité des sexes, mais le manque de respect envers les femmes est le plus courant. Par exemple, lorsque j'ai essayé de faire construire une maison et que j'ai signalé des défauts dans le travail des ouvriers, on m'a répondu que je ne pouvais pas comprendre car c'était un travail d'homme. Bien que cela se soit amélioré avec le temps et que les jeunes comprennent mieux les causes féministes, il reste encore beaucoup à faire si nous voulons vivre sans discrimination.
Comment l’égalité des sexes a-t-elle évolué dans votre expérience personnelle et dans votre environnement ?
Dans mon expérience personnelle et dans mon entourage, j'ai observé des avancées significatives en matière d'égalité des sexes, notamment dans les domaines de l'éducation et de l'emploi. Cependant, il reste encore beaucoup à faire pour lutter contre la violence de genre et les disparités en termes de pouvoir et de représentation politique. La situation s'est améliorée avec le temps, mais il est encore difficile pour chaque femme. Il est nécessaire de comprendre que la rue est comme une jungle et qu'il faut affronter ces comportements pour améliorer la situation et éduquer les jeunes.
Quelle est votre opinion sur la représentation des femmes dans la politique colombienne ?
Bien qu'il y ait eu des progrès dans la représentation des femmes en politique colombienne, nous sommes encore loin de parvenir à la parité des sexes. Les femmes sont confrontées à des obstacles supplémentaires, tels que le manque de financement et le sexisme enraciné dans la culture politique. Il est crucial de prendre des mesures concrètes pour promouvoir la participation des femmes en politique et garantir que nos voix soient entendues et respectées.
Outre le rôle de Marta Ruiz en tant que Vice-Présidente de Colombie, les femmes colombiennes se distinguent de plus en plus sur la scène politique nationale et locale. .
Comment la violence sexiste affecte-t-elle les femmes en Colombie et quelles sont selon vous les mesures nécessaires pour résoudre ce problème ?
La violence de genre est un problème grave qui touche de nombreuses femmes en Colombie. Il est nécessaire de mettre en œuvre des mesures efficaces pour prévenir et combattre la violence de genre, notamment en appliquant efficacement les lois existantes, en renforçant les services de soutien aux victimes et en promouvant l'égalité des sexes à tous les niveaux de la société. Les autorités devraient être plus fermes contre ces comportements, mais la police colombienne manque cruellement de sensibilisation à ce niveau la et ici l’état a son rôle à jouer dans cette lutte également sur le plan de l'éducation sur les futurs générations.
Comment les attentes et les traditions culturelles influencent-elles la vie des femmes colombiennes en termes de mariage, de maternité et de rôles familiaux ?
Les choses comme les traditions et les attentes sociales, ça peut vraiment impacter nos vies, surtout quand on parle de mariage, de maternité, et des rôles dans la famille. Souvent, on s'attend à ce que les femmes prennent le gros du boulot à la maison et avec les enfants, ce qui peut vraiment freiner nos opportunités en termes d'éducation et de carrière. Il faut vraiment qu'on remette ça en question, ces idées toutes faites sur les genres, et qu'on pousse pour l'égalité des droits et des chances pour tout le monde, hommes et femmes. Il faut faire comprendre aux gens qu'il y a d'autres façons de faire, d'autres possibilités à explorer.
Quelle est votre perception de l’accessibilité de l’éducation pour les femmes en Colombie et de son impact sur le développement personnel et professionnel ?
L'accès à l'éducation pour les femmes en Colombie a connu des améliorations ces derniers temps, mais il reste encore des embûches, surtout dans les coins reculés. L'éducation, c'est super important pour que les femmes puissent se développer à fond, professionnellement et personnellement, et contribuer au pays. Mais voilà, le prix de l'école, c'est un vrai souci pour plein de gamins, filles et garçons, et ça les prive d'une éducation complète et satisfaisante.
Merci d’avoir pris le temps de lire mon article !!

Dans les pics escarpés des montagnes, où les sommets défient le ciel, un groupe d'amis passionnés d'escalade avait trouvé son terrain de jeu. Ils se nommaient eux-mêmes les Aigles du Rocher, pour leur témérité et leur habileté à conquérir les falaises les plus imposantes. Un jour, guidés par leur insatiable désir d'aventure, ils se lancèrent dans l'ascension d'une montagne éloignée et peu explorée.
La journée débuta sous les auspices d'un ciel clair et d'un soleil radieux, mais plus ils grimpaient, plus le temps se gâtait. Des nuages sombres s'amoncelaient rapidement, transformant l'atmosphère en un halo lugubre. Ignorant les signes de l'orage qui approchait, ils continuèrent leur ascension, poussés par l'excitation de l'inconnu.
Alors qu'ils s'élevaient toujours plus haut, la visibilité se réduisit à néant. Les rochers devinrent glissants et dangereux, mais l'esprit d'équipe les maintenait unis. Cependant, à mesure qu'ils progressaient, une tension sourde s'installa parmi eux, comme si quelque chose d'invisible les observait.
Soudain, dans l'épaisse brume, ils distinguèrent une silhouette solitaire, postée sur une corniche à quelques mètres au-dessus. La figure était immobile, mais sa présence les perturba profondément. Seuls dans cet endroit reculé, ils décidèrent de l'approcher avec prudence.
L'homme, aux traits effacés par le temps et la solitude, les accueillit avec un sourire énigmatique. Il prétendit être un ermite, vivant en ermite dans ces montagnes depuis des décennies. Ses paroles étaient empreintes de sagesse, mais ses yeux brillaient d'une lueur inquiétante.
Au début, les Aigles du Rocher furent intrigués par l'ermite et son mode de vie austère, mais bientôt des doutes commencèrent à s'insinuer dans leur esprit. Ils remarquèrent des indices subtils, des regards furtifs échangés entre eux, des murmures à peine audibles dans le vent. Quelque chose n'allait pas.
La nuit tomba rapidement, enveloppant la montagne d'un manteau d'obscurité. Alors qu'ils s'apprêtaient à installer leur campement, l'un des membres du groupe disparut mystérieusement. Des recherches désespérées furent entreprises, mais aucun signe de leur ami ne fut trouvé.
La paranoïa s'installa parmi les Aigles du Rocher. Ils commencèrent à soupçonner l'ermite, convaincus qu'il cachait des secrets sinistres. Mais avant qu'ils ne puissent prendre des mesures, un piège se referma sur eux. Des rochers dévalèrent des falaises, les séparant les uns des autres, les isolant dans les ténèbres.
Pendant des heures, ils luttèrent pour retrouver leur chemin dans le labyrinthe de roches. La tempête faisait rage autour d'eux, amplifiant leur désespoir et leur terreur. Et alors qu'ils étaient au bord de l'effondrement, ils entendirent un rire sinistre résonner dans les montagnes.
L'ermite réapparut soudain, une lueur malsaine illuminant son visage. Il avoua avoir manipulé leur voyage depuis le début, attirant les Aigles du Rocher dans son domaine pour assouvir ses sombres desseins. Leurs cris de rage et de peur se perdirent dans le tumulte de la tempête, alors qu'ils étaient emportés par les abysses de la montagne, jamais plus revus.

Bonjour à toutes et à tous, voilà je compte nous offrir, à ma femme et moi-même, un voyage à l'occasion de ses 50 ans. Ce matin je vais donc dans une agence de voyage (connue) car j'ai trouvé une offre très intéressante sur leur site. Tout se passe bien, on valide les dates, photocopies des passeports etc, et je réserve le tout en signant le contrat de vente et en payant un accompte par CB de 30% du prix total. Ils doivent m'envoyer leur RIB plus tard pour que je leur vire le reste. Plus tard dans la journée, ils me rappellent en me disant qu'en fait le prix avait changé mais n'avait pas été mis a jour (+400€ par pers!!!), et ils me demandent si je souhaite continuer, ou me faire rembourser. Bien évidemment selon l'article L112-1 du Code de la Consommation, le vendeur est obligé de vendre au prix affiché lors de la création du contrat de vente. Seulement voilà, à part le ticket de CB, je n'ai strictement rien ; ils étaient sensés m'envoyer la copie du contrat par mail plus tard. Je compte retourner en agence demain à l'ouverture pour au moins prendre des photos du contrat de vente signé et montrant bien le prix initial, mais quels sont mes recours s'ils ne veulent rien entendre et refusent de finaliser la vente au prix affiché initialement ? Comment puis-je m'y prendre pour obtenir gain de cause, avec juste un ticket de CB ?
Merci pour votre aide
PS : ceci étant mon premier post sur ce sous, j'espère que c'est le bon endroit mais si ça n'était pas le cas, dites-le moi et je changerai.

¡Hola! Je m'appelle Estevan. Pour mon projet de fin d'études, j'ai rédigé un petit article sur la situation des femmes en Colombie. Ma mère est colombienne et j'ai jugé important d'en parler dans différents endroits comme Reddit. Il et assez condensé, j'ai essayer de traiter les sujets principaux de manière la plus complète sans être trop longue.
Merci de l'attention que vous lui porterez !!
La Colombie, une nation dynamique en Amérique du Sud, a été au centre de changements significatifs dans la participation politique des femmes ces dernières années. Cependant, derrière ces progrès, persistent des défis profondément enracinés qui menacent de compromettre l'égalité des sexes dans la sphère politique et dans la société en général. Dans cette exploration, nous examinerons les progrès réalisés et les obstacles auxquels les femmes colombiennes sont confrontées dans leur quête d'une participation équitable en politique, tout en analysant également les complexités de la lutte pour l'égalité des sexes dans la vie quotidienne. De la lutte contre les mariages forcés à la menace persistante des féminicides, ce voyage nous conduira à comprendre l'intersection complexe entre la politique, la culture et la justice de genre en Colombie de manière condensée.
La Lutte contre les Féminicides
Les féminicides restent un problème alarmant en Colombie, avec un nombre significatif de femmes et de filles étant victimes de violence de genre. Bien que des mesures aient été prises pour renforcer la législation et augmenter les sanctions contre les auteurs de ces crimes, la culture du machisme et l'impunité restent des obstacles majeurs dans la lutte contre cette forme extrême de violence de genre. Il est essentiel de s'attaquer aux attitudes et comportements sexistes qui perpétuent cette violence, ainsi que de garantir l'accès des femmes à des ressources et services de soutien pour prévenir et répondre à la violence de genre. En 2023 c’est 401 féminicides en Colombie, a titre de comparaison en France ce chiffre s'élève à 103 féminicides c’est donc 4 fois plus sur 1 année. Ce chiffre anormalement élevé prouve donc la triste et grande présence d’une persécution sur la gente féminine en Colombie
Avancées et Défis dans la Participation Politique des Femmes en Colombie
Ces dernières années, la Colombie a connu une augmentation significative de la participation politique des femmes. Diverses mesures ont été mises en place, telles que des quotas de genre et des programmes d'incitation, dans le but d'accroître leur représentation dans les postes politiques qui a permis au nombre de femmes en politique de s'élever à 30% par rapport en 1991 qui était de 11,5 %. Cependant, des défis importants persistent, entravant leur participation pleine et entière dans la sphère politique. Parmi ces défis, on trouve les stéréotypes de genre enracinés dans la société colombienne et les barrières culturelles qui entravent l'accès des femmes aux lieux de prise de décision. De plus, le manque de soutien institutionnel et la résistance de certains secteurs politiques restent des obstacles significatifs sur la voie de l'égalité des sexes dans la politique colombienne.
La Lutte pour l'Égalité des Sexes en Colombie
L'égalité des sexes reste une priorité à l'ordre du jour colombien, et des progrès significatifs ont été réalisés dans des domaines tels que l'éducation et l'emploi ou les femmes touchent 5% de moins qu’un homme pour le même poste . Cependant, persistent des défis enracinés dans des pratiques sexistes qui affectent la vie quotidienne des femmes. Dans de nombreux cas, ces pratiques sont perpétrées par des hommes et se manifestent à travers des comportements discriminatoires et des attitudes patriarcales. Des commentaires condescendants à la répartition inégale des tâches domestiques, ces actions reflètent la persistance des inégalités de genre dans la société colombienne.
Pour compléter cet article, j'ai pu discuter avec une femme colombienne sur certains aspects sociaux de la situation des femmes en Colombie ;
Comment décrirais-tu la participation des femmes dans la société colombienne actuelle?
La participation des femmes dans la société colombienne connaît une expansion remarquable ces dernières années. Elles occupent des positions de plus en plus prépondérantes dans divers secteurs, notamment en politique, à l'image de Marta Ruiz, Vice-Présidente de Colombie, mais aussi dans l'économie, l'éducation et la culture. Toutefois, des défis persistent dans notre quête d'égalité des sexes et de participation pleine et entière à tous les niveaux de la société.
Selon vous, quels sont les plus grands défis auxquels sont confrontées les femmes en Colombie aujourd’hui ?
Les principaux défis auxquels les femmes en Colombie sont confrontées comprennent la violence de genre, la discrimination sur le lieu de travail, le manque d'accès à l'éducation et à la santé, qui sont des problèmes complexes pour les femmes comme pour les hommes. Nous sommes également confrontées à des barrières culturelles et sociales qui perpétuent l'inégalité des sexes, mais le manque de respect envers les femmes est le plus courant. Par exemple, lorsque j'ai essayé de faire construire une maison et que j'ai signalé des défauts dans le travail des ouvriers, on m'a répondu que je ne pouvais pas comprendre car c'était un travail d'homme. Bien que cela se soit amélioré avec le temps et que les jeunes comprennent mieux les causes féministes, il reste encore beaucoup à faire si nous voulons vivre sans discrimination.
Comment l’égalité des sexes a-t-elle évolué dans votre expérience personnelle et dans votre environnement ?
Dans mon expérience personnelle et dans mon entourage, j'ai observé des avancées significatives en matière d'égalité des sexes, notamment dans les domaines de l'éducation et de l'emploi. Cependant, il reste encore beaucoup à faire pour lutter contre la violence de genre et les disparités en termes de pouvoir et de représentation politique. La situation s'est améliorée avec le temps, mais il est encore difficile pour chaque femme. Il est nécessaire de comprendre que la rue est comme une jungle et qu'il faut affronter ces comportements pour améliorer la situation et éduquer les jeunes.
Quelle est votre opinion sur la représentation des femmes dans la politique colombienne ?
Bien qu'il y ait eu des progrès dans la représentation des femmes en politique colombienne, nous sommes encore loin de parvenir à la parité des sexes. Les femmes sont confrontées à des obstacles supplémentaires, tels que le manque de financement et le sexisme enraciné dans la culture politique. Il est crucial de prendre des mesures concrètes pour promouvoir la participation des femmes en politique et garantir que nos voix soient entendues et respectées.
Outre le rôle de Marta Ruiz en tant que Vice-Présidente de Colombie, les femmes colombiennes se distinguent de plus en plus sur la scène politique nationale et locale. .
Comment la violence sexiste affecte-t-elle les femmes en Colombie et quelles sont selon vous les mesures nécessaires pour résoudre ce problème ?
La violence de genre est un problème grave qui touche de nombreuses femmes en Colombie. Il est nécessaire de mettre en œuvre des mesures efficaces pour prévenir et combattre la violence de genre, notamment en appliquant efficacement les lois existantes, en renforçant les services de soutien aux victimes et en promouvant l'égalité des sexes à tous les niveaux de la société. Les autorités devraient être plus fermes contre ces comportements, mais la police colombienne manque cruellement de sensibilisation à ce niveau la et ici l’état a son rôle à jouer dans cette lutte également sur le plan de l'éducation sur les futurs générations.
Comment les attentes et les traditions culturelles influencent-elles la vie des femmes colombiennes en termes de mariage, de maternité et de rôles familiaux ?
Les choses comme les traditions et les attentes sociales, ça peut vraiment impacter nos vies, surtout quand on parle de mariage, de maternité, et des rôles dans la famille. Souvent, on s'attend à ce que les femmes prennent le gros du boulot à la maison et avec les enfants, ce qui peut vraiment freiner nos opportunités en termes d'éducation et de carrière. Il faut vraiment qu'on remette ça en question, ces idées toutes faites sur les genres, et qu'on pousse pour l'égalité des droits et des chances pour tout le monde, hommes et femmes. Il faut faire comprendre aux gens qu'il y a d'autres façons de faire, d'autres possibilités à explorer.
Quelle est votre perception de l’accessibilité de l’éducation pour les femmes en Colombie et de son impact sur le développement personnel et professionnel ?
L'accès à l'éducation pour les femmes en Colombie a connu des améliorations ces derniers temps, mais il reste encore des embûches, surtout dans les coins reculés. L'éducation, c'est super important pour que les femmes puissent se développer à fond, professionnellement et personnellement, et contribuer au pays. Mais voilà, le prix de l'école, c'est un vrai souci pour plein de gamins, filles et garçons, et ça les prive d'une éducation complète et satisfaisante.
Merci d’avoir pris le temps de lire mon article !!

Ma femme est hygiéniste dentaire et travail avec le même dentiste depuis plus de 10 ans. Elle fait tout ses heures et , dernièrement, à trouvé une place pour dépanner une autre clinique, une journée semaine.
Mais voilà, son boss lui stipule que c'est dans son intérêt de travailler seulement avec lui, que si elle veut plus d'heures, il va lui en donner et il est en train de faire une nouvelle règle a sa clinique comme quoi, ses employés n'ont pas le droit d'aller travailler ailleurs.
Plusieurs faits à noté ici : Qualité de travail nocif, dentiste non respectueux pour ses employés, laisses passer des patients agressif au détriment de la santé de ses employés.
DONC , ma femme à davantage le goût de partir de cette clinique.
Pour en venir au fait : a t-on un endroit où c'est mentionné qu'il est défendu d'avoir deux emplois au Quebec, si, la fidélité a toujours été de mise avec son employeur et que ses heures de travail sont bien remplis.
J'ai seulement trouvé l'article 2088 du code civil.
Je prends volontiers vos idées, opinions et articles avec liens.
Bonne journée à tous.

Le meltdown, le respawn, je sais qu’il existe d’autres bars encore ouverts mais je suis assez surpris que ce type de bar n’ait pas « décollé », j’ai l’impression que la demande pour ce type d’endroit communautaire « jeux vidéo » est forte, (les évents de type ZLAN & co. ont un succès fou). L’autre jour je cherchais justement s’il n’y aurait pas des bars gaming proposant une sorte de « viewing party » mais ça a été la douche froide. J’imaginais trouver un endroit assez moderne et bien équipé mais rien du tout.
Est-ce que je loupe quelque chose? Trop sectaire? Pas assez rentable? Illusion d’une demande forte alors que c’est plus concentré autour des personnalités plus que des jeux ?
Vos avis m’intéressent fortement.

Voilà je suis marié avec une femme depuis 10 ans. Elle me fait des fellations qui sont tellement bonnes que je ne tiens jamais plus de 3-4 minutes. Elle utilise beaucoup la langue tourne autour du gland, et alterne sans arrêt plein de trucs et à chaque fois je lui dis d’y aller doucement et elle rigole et me dit qu’elle ne fait rien de spécial. Pourtant c’est toujours très intense. Elle a beau essayer de faire un peu plus light, rien n’y fait. Je ne sais pas trop comment faire. Souvent je lui dis d’arrêter après quelques secondes pour que je puisse la baiser bien longtemps. Quand j’étais plus jeune je tenais au moins 10 minutes avec les autres femmes. Mais c’était beaucoup moins bon il faut avouer. Et lorsque ma femme m’a sucé pour la première fois ça a été une révélation. Je n’avais jamais connu ça avant. Je hurlais de plaisir. Elle devait me mettre la main devant la bouche. Surtout quand on le faisait chez elle avec ses parents dans la pièce d’à côté. Et je finissais par jouir en 6-7 minutes. Donc que dois-je faire pour être plus endurant pendant la fellation? Pour durer plus de 3 min ? Que dois-je dire à ma femme ?

Je viens de finir la série et elle m'as beaucoup perturbée pour plein de raison et cette femme m'as mis profondément mal à l'aise. J'ai pas trouvé d'information sur quel trouble ou maladie mis à part que c'était psychiatrique comme tout le monde s'en doute

Bonjour,
Ayant 28 ans (une femme) , je me suis lancé dans une reconvention professionnelle (de aide-soignante a si possible carrossière). Si possible pourquoi ?
Tout simplement car j'ai déjà eu un burn out a cause d'ancienne études (études d'infirmières). En effet, avec la COVID et d'autre évènement dans ma vie personnelle j'ai tous simplement "coulée". De ce fait avec les derniers stages de pratique qui se sont mal passée (avec zéro réaction de l'école), j'angoisse tout simplement sur tous ce qui est stage pratique.
Quelque année plus tard (maintenant), mon CFA me trouve un garage ou je fais mon stage d'immersion et je décroche le fameux sésame mon contrat d'apprentissage. J'ai un mois plus ou moins complique car ma formation n'avait pas commencer, que j'étais lente ( et mon chef d'atelier qui veut que se soit niquel en très peu de temps). Apres avoir fondue en larme a cause de mon anxiéte je suis lui explique que je suis tres angoisser mais qu'il ne prennent pas en compte mes crise de panique. Je pars donc deux semaine en formation avec des nouveaux objectif pour mon retours.
Il y a eu une accroche avec le chef d'atelier car avec un autre apprentis qu'on a mis beaucoup de temps pour laver une voiture (super crade) et que malheureusement elle n'étais pas encore au top et avec un peu de polish sur un plastique (alors que niveau matos on a rien ).
Sans oublier qu'on a demander un coup de mains pour aider mon tuteur sur un apprentis mécano, que quand je demandais de faire un remplacement de retro ou de petite pièce, on me disait non (car si on voyais faire le chef peterais un cable) bref la liste est longue
Deux semaines plus tard, je reçoit une grosse claque de la part de la patronne qui mets fins a ma période d'essaie car tous le monde trouve que se métier n'est pas pour moi et qu'on me verrais mieux dans la réception, avec un sous entendu que je suis lente pour faire les choses. Elle m'explique qu'elle a envoyé au Centre une appréciation et qu'elle a insiste pour une réorientation. Elle me confie qu'elle va aussi mettre dehors un autre apprentis car il a de bonne note.
Je demande juste un point de vue extérieur car quand je parle de cette situation il y a comme un choc autour de moi. De plus, dans ce garage j'ai notais quelques point qui vont en leur défaveurs (comme des camera et le chef qui les regardes, juste une boite de gants pour une dizaine de personne pour un mois, ect...) Je suis totalement consciente qu'il faut être rapide dans ce métier et que c'est un metier d'homme.

Bonjour ! Je vais pas perdre de temps : je suis une femme (de 22 ans) et depuis plusieurs mois je me pose ces questions. On entend tous parler de plein de trucs alarmants : montée des idées misogynes, les incels, la sphère red pill, la male loneliness et la courbe de suicide des hommes qui est affreusement haute, etc. Couplé à tout ça, en tant que femme je suis un peu en "première ligne" du truc depuis toute petite donc les comportements déviants, effrayants, les remarques dans la rue, dans le privé etc. J'ai même eu (et ai toujours) des potes mecs, j'ai un peu traîné dans des endroits dits majoritairement pour homme et ce que je vois n'est pas non plus très fou. Parallèlement je connais plein de mecs biens et je pars toujours du principe que chacun fait avec ce qu'il sait mais même dans le monde du dating c'est super maladroit et y'a BEAUCOUP de choses qui ne vont pas même quand ça va.
Désolée je débite et je tourne en rond mais globalement ce que je me suis demandée c'est : en tant que femme, comment parler aux hommes de tout ça sans que ça devienne un "problème de meuf" pour eux ? Je suis déjà un peu sabotée par le fait d'être une meuf donc quand j'en parle je pense que ce n'est pas impactant mais alors est-ce que les hommes en parlent entre eux ? Si oui comment ? Avec quel ton ? Quelle forme ?
Et je parle aussi de conversations sérieuses et empathiques sur des sujets qui les concernent et qui pourtant ne sont pas mis en avant par eux-mêmes : le trouble dysmorphophobique, l'anxiété, les TCA, la dépression, la manipulation par un être aimé, les relations toxiques, etc. J'observe autour de moi et à tout âge que un truc flagrant chez certains c'est le manque de contact avec l'autre genre, le manque de confiance en soi qui donne lieu à des choses malheureuses comme des relations où ils ne sont pas respectés, m'enfin bref tout ce qui est en général vu comme des pb de meuf, et ça m'enrage qu'ils n'y ait pas l'air d'avoir tant que ça ce truc entre eux ou autour d'eux de "yass girl" (c'est la meilleure illustration qui me vient en tête désolée 😭) je veux dire une personne ou un entourage qui t'encourage et t'aide à avoir de bons standards et à rester aussi une bonne personne, avec qui tu apprends etc. Et je me rends compte en écrivant ça que je décris juste une amitié sincère et respectueuse.
J'ai conscience des facteurs sociaux (le stigma, la "mentalité masculine", l'entourage, etc) qui expliqueraient ça mais je n'arrive juste pas à comprendre. Si c'est un problème général et partagé, les hommes en parlant forcément entre eux. Mais pourquoi c'est majoritairement sérieusement et "empathiquement" abordé que par les femmes ? Exemple tout bête : l'hypocrisie. Je retrouve beaucoup beaucoup trop souvent ces cas de gars qui sont très bien avec moi mais dès que je suis avec eux ET avec leur potes (mecs) et que je suis minoritaire, tous leurs principes disparaissent et je perds tout admiration et respect pour eux. Littéralement des "oui je respecte les femmes je suis pas un dégénéré etc." (ou en tout cas une mentalité assez ouverte et cool qui fait penser qu'ils sont safe) pour ensuite rigoler aux blagues de ton pote qui consistent à parler des femmes comme d'un animal ou d'un objet. Et ces mecs sont safe pourtant dans le sens où ils ne sont pas des agresseurs ou des manipulateurs. Mais y'a rien de drôle ou de safe à savoir que ton pote/ton copain fait des blagues racistes et/ou encense celles de ses potes quand tu n'es pas là alors que c'est littéralement ce qui t'a emmerdé petite et continue de t'emmerder aujourd'hui. Et pourtant des choses comme ça n'ont l'air de faire chier que les meufs ?
Je suis désolée je pars dans tous les sens mais ma question est dans le titre, je ne veux pas faire de poste à rallonge donc c'est un fourre-tout et c'est pas fidèle du tout à ce que j'essaie d'emmener comme réflexion donc hésitez pas à me poser des questions pour avoir des précisions etc. Je précise aussi que je me base sur mon vécu et mon expérience et que ce n'est donc pas la réalité (j'espère) et que je dois me tromper sur beaucoup de choses, c'est pour ça que je veux qu'on m'aide à comprendre d'ailleurs. Je fais ce poste parce que j'ai vraiment envie d'aider les mecs dans ces cas-là autour de moi. Hâte d'avoir vos réponses !
EDIT: j'ai mis 1000 ans à comprendre comment éditer. Mais quelqu'un l'a dit : le terme hypocrisie est plutôt fort. Pour moi c'est ce qui se rapprochait de ma pensée mais je pense que je parle plutôt d'un truc conscientisé/compris mais qui n'entraîne aucun changement chez quelqu'un. Aussi, essayez de ne pas supposer que je viens avec des intentions supérieures ou grandioses ou d'éducation ou autre. Je veux vraiment entendre ce que les gens ont à dire, contradictoire ou pas. C'est pas du tout un post accusateur.

Bonjour à tous, Je suis assez désespéré et je commence à avoir depuis quelques temps des idées noires récurrentes autour de ma situation. Sans rentrer dans les détails, depuis ma naissance, je vis des situations familiales assez complexe (notamment abandon, violences, décompositions familiales etc.. ), que j’ai forcément mal vécues avec toutes les conséquences que cela a engendré (échec scolaire, réorientation ratée, maladies grave etc.). J’ai passé de nombreuses années à tenter de me relever grâce aussi à la famille que j’ai réussi à me construire entre temps, c’est à dire ma femme et ma fille. Il y a 2 ans, mon père, ayant toujours été mon soutien, a développé la maladie d’Alzheimer, ce qui a été la goutte d’eau pour moi étant donné que j’ai du m’en occuper seul jusqu’à son placement. (Donc j’ai fais auxiliaire de vie pendant plus d’un an) Le souci étant que j’ai désormais 33 ans et que je me retrouve au pied du mur car je n’ai pas de situation professionnelle. J’ai tout essayé sans que rien ne me convienne, j’ai l’impression de me forcer à chaque fois, j’enchaîne les boulots alimentaires qui n’ont pas de sens et qui me culpabilisent car je finis par les abandonner. J’ai essayé de me réorienter, sans succès. J’ai travaillé pour des assos, je ne me suis jamais senti bien. En réalité la seule chose qui fait du sens pour moi est l’écriture, c’est d’ailleurs pour moi un exutoire. Mais à 33 ans avec une famille à charge, je suis conscient que ça restera un simple loisir. Mais la culpabilité autour de mon instabilité professionnelle me ronge et je pense à me suicider en permanence car j’ai honte d’avoir échoué dans la vie.

je crée cette page afin de regrouper d'éventuels fetichistes et femmes souhaitant partager leurs pieds que ce soit en réel ou en photo/video
en effet ici il n'y a rien pour la ville de rennes alors voila un endroit pour nous =)
en espérant que vous y trouverez tous votre plaisir,
MAX

A défaut de pouvoir faire cette publication sur opinionnonpopulaire (supprimé automatiquement).
La définition même du communautarisme telle qu'elle est utilisée dans la politique et la société françaises semble être changeante et variable, bien que celle-ci, telle qu'elle est fournie par Wikpedia, semble être une définition courante :

le communautarisme, un terme politique décrivant des attitudes ou des aspirations supposées au sein de minorités et moins couramment au sein de majorités (culturelles, religieuses, ethniques...) visant à se différencier volontairement, pour s'entraider, voire pour se dissocier du reste de la société ;

Un mot qui, soit dit en passant, n'existe pas en anglais, bien que les anglo-saxons soient communément ciblés dans le discours politique français comme en étant particulièrement coupables, voir les archi-inventeurs.
Ce mot a plus souvent été utilisé contre les minorités *religieuses* de France (en particulier contre l'une de ces minorités...) que contre nous, minorités linguistiques et culturelles, mais il est loin, très loin d'être rare que nous soyons traités de « communautaristes » dans la mesure où nous défendons notre culture, notre langue, notre autonomie (politique, économique, sociale, etc.) contre un état monolingue et monoculturel.
Dans la pratique, ce mot est souvent utilisé pour décrire des comportements et des pensées qui se démarquent d'une certaine manière de la norme de ce que « les Français » font, croient, s'habillent, mangent, etc, (comme si tous les Français se comportaient et croyaient de la même manière !). Pourtant, cette norme est elle-même, à l'origine et encore aujourd'hui, dans une large mesure, la norme d'une petite communauté, celle d'une classe socio-économique particulière de personnes vivant dans un certain endroit.
L'exemple le plus évident est celui de la langue. La langue d'une classe socio-économique particulière de personnes vivant dans une région spécifique a été imposée à tout l'état français, alors que le français n'était pas à l'origine la langue maternelle de la plupart des citoyens français. Malheureusement, la langue de cette petite communauté a été imposée à toutes les autres communautés de la France, et cela a tellement bien réussi que même le fait de souligner que le français est en fait la langue d'UNE communauté française, et non de LA communauté française, et qu'en France tout le monde ne veut pas parler français avec ses amis, ses professeurs, son boucher, son maire, son policier ou l'utiliser pour écrire des livres, créer des films, semble être un comportement hors norme.
Si je vous disais que dans la communauté basque il y a encore des mères et des pères qui parlent à leurs enfants en basque et que ceux-ci n'apprennent à parler français qu'à partir de 6-7 ans, parce que tout le monde en France n'a pas le français comme axe sur lequel le monde tourne, je suis sûr que beaucoup de Français nous traiteraient de communautauristes (même si tous les enfants finissent par apprendre le français nécessairement, étant donné sa dominance absolue en France).
Il encore évident aujourd'hui dans la sphère politique (examinez combien d'hommes/femmes politiques sont issus de quel milieu éducatif) ou dans la sphère médiatique (examinez la majorité des médias français, la musique, la littérature, les jeux vidéo, qui les financent, où ils sont produits et pour quel marché). La bonne interprétation de cet état de fait n'est donc pas celle d'un « communautarisme » des uns contre la normalité, mais de beaucoup de communautés, dont l'une s'est arrogé les outils du pouvoir et a imposé sa normalité aux autres.
Mais ces normes restent celles d'une communauté, une grande communauté certes, mais une communauté quand même. Une communauté qui utilise les pouvoirs mêmes de l'état pour se perpétuer et renforcer sa position. Le seul communitaurisme vraiment puissant en France, c'est le communitaurisme français. Il se projette même en dehors de ses frontières.
Vous savez ce que font les Français lorsqu'ils s'installent dans un autre pays ? Dès que vous allez dans un autre pays, vous vous regroupez. Vous vous renforcez dans votre langue, au fin fond du monde, vous exigez et créez des écoles françaises avec vos propres programmes. Mince, à Barcelone, il y a des boulangeries et des pâtisseries entières qui ont été créées par et pour les Français parce que les immigrés français refusent de manger du pain catalan. Si vous avez déjà voyagé ou vécu dans un autre pays, vous avez certainement remarqué ce comportement chez vos compatriotes (ou l'avez pratiqué vous-même). Un exemple notable est celui des immigrants français au Portugal, qui a été largement critiqué ici aussi : Des retraités expatriés dans le sud du Portugal en quête de la « France d’avant » : « Ici, ils ont le respect de l’autorité »
Les gens qui prétendent que nous sommes communautaristes, vous, vous êtes communautaristes que ce soit à l'intérieur et à l'extérieur de la France. Le pire n'est pas que vous refusiez de le voir, mais c'est que par rapport à la communauté basque, une minorité linguistique et culturelle qui tente de survivre tant bien que mal (plutôt mal), votre communautarisme a le pouvoir. Nous ne pouvons pas "nous imposer" à qui que ce soit, alors que le vôtre si, légalement. De plus, le communautarisme français est infiniment plus dangereux, à la fois par son potentiel et parce qu'il a été utilisé à cette fin, dans la vraie vie. Le communautarisme français a porté un préjudice considérable (certains diraient irréversible) à la richesse culturelle et linguistique de la France à l'intérieur du pays, mais non content de cela, il a été promulgué en dehors de ses frontières.
Le colonialisme français ne reposait pas uniquement sur des raisons économiques, mais également sur une base idéologique extrêmement importante : confondant son communautarisme avec un soi-disant « universalisme », la France a étendu son type particulier de « communauté » au monde entier, ce qui a eu des effets désastreux. Je vous invite à lire les mots de Jules Ferry, dans son discours parlementaire de 1885, l'un des responsables de l'imposition de l'enseignement public en français et uniquement en français en France (diffusant la langue communautariste de quelques français à tout le monde en France), qui était aussi un colonialiste dévoué :

M. Jules Ferry. Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! il faut dire ouvertement qu'en effet les races supérieures ont un droit vis-à-vis des races inférieures...
Est-ce que vous pouvez nier, est-ce que quelqu'un peut nier qu'il y a plus de justice, plus d'ordre matériel et moral, plus d'équité, plus de vertus sociales dans l'Afrique du Nord depuis que la France a fait sa conquête ? Quand nous sommes allés à Alger pour détruire la piraterie, et assurer la liberté du commerce dans la Méditerranée, est-ce que nous faisions oeuvre de forbans, de conquérants, de dévastateurs ? Est-il possible de nier que, dans l'Inde, et malgré les épisodes douloureux qui se rencontrent dans l'histoire de cette conquête, il y a aujourd'hui infiniment plus de justice, plus de lumière, d'ordre, de vertus publiques et privées depuis la conquête anglaise qu'auparavant ?
Est-ce qu'il est possible de nier que ce soit une bonne fortune pour ces malheureuses populations de l'Afrique équatoriale de tomber sous le protectorat de la nation française ou de la nation anglaise ? Est-ce que notre premier devoir, la première règle que la France s'est imposée, que l'Angleterre a fait pénétrer dans le droit coutumier des nations européennes et que la conférence de Berlin vient de traduire le droit positif, en obligation sanctionnée par la signature de tous les gouvernements, n'est pas de combattre la traite des nègres, cet horrible trafic, et l'esclavage, cette infamie. *Vives marques d'approbation sur divers bancs.
M. Jules Ferry. Eh bien, lorsque les républicains sont arrivés aux affaires, en 1879, lorsque le parti républicain a pris dans toute sa liberté le gouvernement et la responsabilité des affaires publiques, il a tenu à donner un démenti à cette lugubre prophétie, et il a montré, dans tout ce qu'il a entrepris...
M. de Saint-Martin. Le résultat en est beau !
M. Calla. Le déficit et la faillite !
M. Jules Ferry. . ...aussi bien dans les travaux publics et dans la construction des écoles... *Applaudissements au centre et à gauche), que dans sa politique d'extension coloniale, qu'il avait le sentiment de la grandeur de la France. (Nouveaux applaudissements au centre et à gauche*.
Il a montré qu'il comprenait bien qu'on ne pouvait pas proposer à la France un idéal politique conforme à celui de nations comme la libre Belgique et comme la Suisse républicaine, qu'il faut autre chose à la France : qu'elle ne peut pas être seulement un pays libre, qu'elle doit aussi être un grand pays exerçant sur les destinées de l'Europe toute l'influence qui lui appartient, qu'elle doit répandre cette influence sur le monde, et porter partout où elle le peut sa langue, ses moeurs, son drapeau, ses armes, son génie. (Applaudissements au centre et à gauche.)
Quand vous direz cela au pays, messieurs, comme c'est l'ensemble de cette oeuvre, comme c'est la grandeur de cette conception qu'on attaque, comme c'est toujours le même procès qu'on instruit contre vous, aussi bien quand il s'agit d'écoles et de travaux publics que quand il s'agit de politique coloniale, quand vous direz à vos électeurs : « Voilà ce que nous avons voulu faire » soyez tranquilles, vos électeurs vous entendront, et le pays sera avec vous, car la France n'a jamais tenu rigueur à ceux qui ont voulu sa grandeur matérielle, morale et intellectuelle (Bravos prolongés à gauche et au centre. - Double salve d'applaudissements - L'orateur en retournant à son banc reçoit les félicitations de ses collègues.)

Dans ses paroles qui veulent être universalistes, je vois un communautarisme terrible, malheureusement encore répété en France aujourd'hui, mais pas par les musulmans, ni par les Basques, ni par la communauté trans.

Bonjour, je suis entrain d'écrire quelque chose de pas du tout original, je pense que des milliers de gens l'ont fait avant moi, mais j'imagine que ça doit faire du bien alors autant essayer, en rendant ça concis.
J'ai toutes les raisons d'être heureux, j'ai une copine que j'aime plus que tout au monde, j'ai des amis avec qui je m'amuse, des parents qui font de leur mieux, un petit boulot que j'aime ect...
Le truc, c'est que j'ai 19 ans dans 1 mois, et après une année de médecine très difficile j'ai décidé de me réorienter dans quelque chose d'autre, premier problème:
Personne ne semble comprendre que, même si j'ai travaillé d'arrache pied ce qui m'a permis d'avoir un bon classement, la première année m'a dégouté du sujet que je trouvais pourtant passionnant fut un temps ce qui m'empêche de faire des études dedans, et tous les gens que je croise pensent que je suis débile de ne pas continuer dans une voie que je n'aime pas.
Même si pour moi, le fait "d'aimer son métier" c'est un luxe que pas tout le monde peut s'offrir, j'aimerais déjà au moins ne pas le détester au minimum, mais personne ne semble le comprendre.
Deuxième problème, en lien avec le premier, je ne sais pas du tout dans quels études partir, je voudrais bosser dans un truc créatif, mais mon cursus, jusque là, n'a été que de la science, et même en soi, je ne sais pas vraiment, ducoup l'année pro je pars en Musicologie alors qu'au fond j'en ai rien à faire de ces études, c'est juste pour avoir un truc à dire aux gens quand ils me demandent. Penser à ça + le fait que je vais pas étudier dans la même ville que ma copine, je préférerais presque faire une année de césure et rester dans sa ville.
Troisième: Je déteste le système d'études qu'on a en France, je trouve que c'est vraiment trop "dirigé", et même qu'en général on perd énormément de temps sur pleins de détails qui ne font que rallonger les choses, et sincèrement, j'apprends beaucoup plus personnellement des livres que des cours. J'aime vraiment pas les études, mais d'un côté, je ne peux pas non plus juste dire "fuck it" et ne rien faire du tout, dans le monde actuel pour avoir un mode de vie "ok" il faudrait au moins avoir un diplôme, et malheureusement faire des études, même pour 2 ans par exemple c'est beaucoup me demander, surtout quand je sais qu'à la sortie c'est un métier dont je me fous qui m'attends.
Quatrième: Les gens en général me gavent, oui c'est le discours classique de "les gens gngn" mais vraiment ça devient trop pour moi.
Partout où je vais les gens tirent la gueule, je me ballade dans la rue en tenant la main à ma copine et tout les mecs te regardent trop mal pour 0 raisons (je tiens a préciser que je suis un homme, donc c'est même pas en lien avec de l'homophobie). Quand je vais à la salle, je vois parfois des mecs qui forcent comme des chiens de la casse auprès de meufs qui sont très clairement pas intéressées ce qui me fout dans une rage noire, et j'ai même honte de le dire, mais je n'ai moi même pas le courage d'intervenir pour les aider parfois. Quand ma copine va à la salle seule, y'a toujours 3-4 mecs qui la fixent ce qui la fout trop mal à l'aise, à raison, enfin bref vous avez capté, c'est surtout les clébards en général.
Je sais que dans le fond, c'est pas la majorité, mais vraiment le nombre de gars qui font trop les mecs pour prouver parce qu'au fond ils savent très bien qu'être des connards ou faire le mec "viril" ou énervé c'est leur seule manière d'exister je trouve ça très triste, et super chiant pour tout le monde surtout les femmes. Voila les gens qui font ça je leur souhaite juste de se rendre compte de leurs erreurs mais bon y'a peu de chance.
Et mon plus gros problème, c'est cette sensibilité émotionnelle que j'ai développé, je prends tout personnellement maintenant, je suis super nostalgique et voir certains endroit aujourd'hui me fait fondre en larmes, j'ai tout le temps envie de pleurer et j'ai juste envie de disparaitre de ce monde parce que je n'arrive plus à me concentrer sur le positif, et qu'à force de voir le mal partout je me referme sur moi même, à force je vais finir par perdre tous les gens que j'aiment, et là j'aurais plus de retour arrière.
Je voudrais juste qu'on me laisse tranquille, que j'ai pas à faire d'études, que j'ai pas à faire pleins de trucs que j'ai pas envie de faire, je voudrais juste me cacher dans un terrier ou dans une maison paumée dans la forêt et ne plus jamais avoir à assister à toutes ces choses absurdes et être tranquille. Mais même ça ça semble être trop demander.

Je trouve que c'est super difficile pour un mec de trouver quelqu'un dans le monde du dating.
Quand je compare ma soeur et moi on se ressemble beaucoup. Elle a des compliments venant des hommes et j'ai des compliments venant des femmes aussi. Mais elle se fait souvent aborder, demander son numéro, elle a des gens autour d'elle qui lui montre qu'ils sont intéressés... Elle a plus de like sur les apps de rencontre en un mois que le chiffre de mon salaire...
De mon côté personne ne m'aborde ou ne montre de l'intérêt quand j'y pense, pas que j'en ai vraiment cherché mais bon. Sur les apps de rencontre je fais peut-être 12-13 matchs dans le mois, on est très loin du compte.
Quand je croise l'expérience avec des amis j'ai l'impression que c'est la même, certains que je trouve plus beau et intéressant que moi ont même 0 likes tout court sur des apps de rencontres.
Alors pourquoi c'est si dur ?

Bonjour paris,
Samedi après-midi je rencontre deux potentiels co-fondateurs pour une nouvelle activité. Je galère un peu à trouver un endroit autour de cette station qui pourrait convenir. Lobby d'hotel, salle de réu de coworking, etc...
Est-ce que je peux vous embêter pour des suggestions ? On sera 3, tous étrangers, avec un besoin de calme et de chaises qui ne pètent pas le dos !
Merci d'avance !

Bonjour, bonsoir Reddit ! Soyez indulgents s'il-vous-plaît, c'est ma première publication sur cette plateforme ! (Je me suis un peu emballée sur l'écriture, merci à ceux qui liront jusqu'au bout !)

 L'histoire que je voudrais vous partager a eu lieu il y a 6/7 ans environ et a vraiment été terrifiante sur le moment, subjectivement, de la façon dont on l'a vécue. 

Mais la vérité, même si elle était en effet horrible, ne l'était pas de la manière dont nous le pensions ...
Tout d'abord, laissez moi planter le décor, qui a toute son importance. À l'époque, j'avais une quinzaine d'années et je vivais chez mes parents, avec mes deux petites soeurs (alors âgées de 13 et 11 ans). Nous habitions dans une commune périphérique d'une ville de taille respectable ; donc pas une grande ville avec une banlieue, mais une ville tout de même. Notre maison n'était pas isolée, puisqu'elle était dans la commune, mais cependant elle était assez excentrée et avait une particularité qui l'éloignait des autres habitations. Elle se tenait contre un bois public qui s'étirait loin, sur plusieurs dizaines de kilomètres. Ma maison était perchée sur une colline, cette dernière étant notre jardin ; elle était donc ceintrée d'un vaste espace, boisé lui aussi et clôturé ; c'était un jardin plutôt inhabituel en raison de sa taille. D'un côté de notre colline, il y avait une route plutôt fréquentée (donc à environ 500 mètres de la maison). De l'autre, il y avait directement les bois publics, à une centaine de mètres de la maison ; mon jardin y est même relié par un portail rouillé, maintenu par une simple chaîne et un petit cadenas. De ce côté de la maison, mon salon dessert le jardin par une multitude de larges baies-vitrées.
Maintenant que le décor est planté, revenons à cette soirée dont je veux vous raconter les évènements.
Mon père était absent, parti en voyage d'affaires, comme souvent. J'étais donc seule avec ma mère et mes deux petites sœurs. Nous étions confortablement installées dans le salon, blotties dans le canapé et regardant un film. La nuit était tombée, le ciel était d'un noir d'encre. C'était une soirée d'été qui venait achever une chaude journée, alors toutes les baies vitrées étaient grand ouvert pour laisser pénétrer l'air nocturne frais. Ainsi, à travers le son de la télé, nous avons entendu des bruits, que nous n'avons pas identifiés tout de suite, par les baies vitrées. Nous n'y avons pas prêté attention au début ; cependant, le bruit se rapprochait ; il devint de plus en plus fort, et même assourdissant. Nous sommes allées dehors, sachant parfaitement ce qui produisait ce vacarme : un hélicoptère. Mais il était 23h passées, et c'était étrange de voir voler un hélicoptère si tardivement. Autre détail inhabituel : cet appareil est passé plus proche du haut de notre colline qu'aucun avant lui ne l'avait jamais fait ; il est d'ailleurs très rare que des hélicoptères survolent notre maison, ne serait-ce que de jour. Ses phares nous ont aveuglées. Nous avons cru qu'il allait partir. Mais il s'est mis à tourner en rond autour de notre colline. Il semblait chercher quelque chose. Il survolait plus particulièrement la portion du bois public qui commence à partir du fond de notre jardin.
Vaguement inquiètes, et surtout curieuses face cette situation très étrange, nous nous tenions toujours dehors à observer, lorsque nous reçumes un appel d'une amie proche de ma mère vivant à proximité. Sa voix, paniquée et pressante, nous alerta immédiatement ; mais rien n'aurait pu nous préparer à la terreur qui nous envahit en l'écoutant :
"Vous êtes chez vous ce soir ? [ ... ] Bon. Je ne veux pas vous effrayer, mais vous avez dû voir un hélicoptère fouiller les bois près de chez vous. Un homme s'est échappé de chez ses parents, qui habitent à 1 heure d'ici. Il était chez eux sous visite contrôlée ; il est normalement en asil. C'est un homme reconnu comme dangereux et violent, la police le cherche. Il a été aperçu en début de soirée tout près de chez vous, dans les bois. [...] Quoi, Arthur (nom inventé pour mon père) n'est pas là ? Enfermez-vous et verrouillez bien toutes les entrées !"
Évidemment, après cet appel, nous étions terrifiées. L'obscurité de la nuit devenait une noirceur oppressante et menaçante ; les arbres devenaient autant de potentiels abris pour un homme fou en fuite. Et s'il était dans notre jardin ? Et s'il nous observait, nous tenant dans la nuit dehors, facilement repérables ? Et s'il cherchait à rentrer dans la maison pour se cacher par une des nombreuses portes ou fenêtres ouvertes actuellement ? La peur prenait le contrôle de nos esprits et mon imagination s'emballait. L'hélicoptère s'était éloigné pendant ce temps. Mes petites sœurs pleuraient, ce qui exercerbait l'angoisse générale. Ma mère et moi avons couru de tous côtés pour barricader toutes les portes, toutes les fenêtres. J'avais peur de voir à tout moment une silhouette émerger de la nuit et fondre sur moi.
Une fois enfermées, nous sommes restées dans le salon. Ma mère a passé d'autres coups de fil à des amis des environs, et tous semblaient au courant de cette histoire, nous confirmaient la nécessité de rester prudemment enfermées. Apparemment, le mot avait fait le tour pendant la soirée que cet homme avait été aperçu dans les bois de notre commune. D'autres personnes nous ont appelées d'elles-mêmes, comme la première femme, pour nous mettre en garde ; personne d'autre que nous ne vit si près de ces bois ... Ces appels nous plongaient toujours un peu plus dans la peur.
La soirée et la nuit furent longues et éprouvantes. Nous imaginions cet inconnu rôder dehors, en fuite, détraqué, dangereux. Je n'ai pas pu dormir.

 Le lendemain matin, ma mère nous a accompagnées en voiture au collège et à l'école, au lieu de nous laisser partir en vélo comme d'accoutumée. 

Le soir, l'amie qui nous avait appelées en premier nous a rappelé et nous a donné le fin mot de l'histoire.
L'homme recherché était schizophrène et avait 25 ans. Il a été retrouvé le matin de ce jour-là à une vingtaine de km de chez nous, au bord d'une route le long du bois ; mort. Il était en effet échappé d'un centre de soins psychiatriques, et recherché parce qu'il était dangereux. Mais il était dangereux pour lui-même seulement ; il n'avait jamais blessé personne et n'était pas une menace pour les autres. Il était aussi drogué, et il était recherché car il devait être surveillé en permanence. Quand il s'est échappé de chez lui, il faisait une crise liée à sa maladie mentale et aggravée par la drogue. C'est pour ça que la police le recherchait activitement, prévenue par les parents. Quand il avait été aperçu en début de soirée, il semblait en mauvais état. Il est mort de cette crise, et probablement d'une overdose.
Ainsi, il n'a jamais représenté un danger pour nous, à ma connaissance. C'était juste un pauvre garçon malade. La vérité a été mal interprétée le soir où il était recherché, donnant lieu à une soirée vraiment terrifiante pour nous. Les rumeurs qui circulaient ont amplifié et déformé la vérité avant qu'elle nous parvienne. Je me rappelle encore de la peur qui me tiraillait et qui m'avait maintenue éveillée toute la nuit.
Le lendemain soir, quand nous avons su la vérité, j'ai ressenti en premier du soulagement, car le poids qui pesait sur moi s'est levé. Immédiatement après, je me sentir honteuse de ressentir ça et d'avoir eu si peur, alors que cet homme courait à sa propre perte ... J'ai aussi ressenti une immense tristesse pour ses parents qui l'ont perdu pour toujours, et pour lui dont la vie s'est arrêtée si absurdement et si abruptement.
Voilà, merci d'avoir lu cette histoire !

Bonjour, je voudrais vous partager la situation d'un membre de ma famille par alliance. (Je vais souvent dire "elle" parce que c'est la femme qui s'occupe principalement des finance). Ils sont proprietaires a deux.
Ma belle soeur (mariee avec enfants) a acheter une maison en 2019(nouvelle construction semi-detachee). Un an plutard, elle la rehypothequer pour consolider ses dettes familiales. Taux variable ,mais a montant fixe (donc lorsque les taux ont augmenté, elle a garder les memes paiements mais payait plus en portion interet.) en meme temps, elle s'est ouvert une marge hypothecaire pour finir son sousol. Dans mes souvenirs, elle paye autour de 1200-1300$/mois son hypotheque. A mon avis, leur maniere de budgeter leur finance est inegale/equitable. Elle gere les finances d'une maniere insouciante.
Il y a plus d'un an, la banque lui a contacter pour augmenter ses paiement parce qu'elle ne payait meme plu la totaliter d'interet. Elle a refuser en disant 'jpeux pas chier 700$ jsuis deja serree par mois'. Son entourage lui a meme conseiller de ne pas payer plus parce que les taux vont baisse jusqu'a son prochain renouvellement et ca va se 'balancer' 🤡.
Carte de credit loader Marge de credit loader Marge hypothecaire loader Marge de credit de sa compagnie loader
En debut 2024, un huissier est meme venu chez elle pour taxe scolaire non payer. Son mari etait en (...) quand il l'a su. Une facture qu'elle recoit a chaque annee, mais l'ignore ou qu'elle pensait le payer en meme temps que la taxe municipale dit-elle. Je doute qu'elle paye ses taxes municipale parce que printemps l'an passee (2023), elle n'avait pas encore finit de payer ceux de 2022.
Dernierement, elle a voulu changer sa voiture (achat qui reste 5 ans) pour une tesla. Credit refuser. Meme cosigné par son mari sa ete refusé. Dans leur tete, c'est illogique sachant que la tesla est un paiement moins élevé que ses paiements actuels. On leur explique le taux d'endettement, mais pour eux 'c'est con pareil'.
Parler de finance avec elle c'est dure... elle n'est pas ouvert à cette discussion. Elle vit dans son monde et pense reelement que c'est normal d'avoir autant de dette.
Je voudrais reelement l'eduquer financierement.. mais j'ai l'impression qu'elle prefere fermee les yeux comme si ses dettes allaient disparaitre.
Qu'est qui lui arrivera a son prochain renouvellement hypothecaire? (environ en 2025). Elle pense qu'elle peut rehypothequer encore malgré que ses dettes se sont empirees avant le premier refinancement. Peux-elle perdre sa maison si a son prochaine renouvellement elle n'arrive pas avec les paiements?
J'essaye de me dire que leurs problemes ne sont pas miennes et que je devrais rien dire sur le sujet. Mais je trouve sa si triste de voir mes neveux vivent avec des parents constamment stresser par leur finance.
Merci pour vos conseils/reponses.

Bonjour à tous, J'écris ici pour avoir vos avis, c'est le genre de sujet qui est difficilement abordable avec un entourage proche où des "amis". Se montrer "faible" en tant que mec aujourd'hui c'est perdre toute crédibilité malheureusement et c'est juste bon pour se faire piétiner un peu plus. A mon sens j'entends bien.
Pour essayer de faire au plus court, je suis le genre de mec qui a eu plusieurs relations, généralement courtes (1-2 ans maximum) par le passé, je peux m'attacher vite et je suis du genre vraiment fidèle. Certaines filles m'ont un peu bousillé du point de vue confiance par leur comportement dans certaines situations c'est plutôt clair dont une en particuliers au point que je fasse une sorte de crise d'angoisse suite à une soirée. Très mauvais souvenir. Je ne pense pas avoir été trompé mais je pense clairement que certaines d'entre elles m'ont quitté pour d'autres plans.
Pendant des années j'ai été très occupé du point de vue professionnel et mon cercle social s'est largement réduit (probablement ma faute) et je suis pas le fun incarné dans les quelques groupes de potes que je fréquente encore un peu j'en suis aujourd'hui conscient. J'ai de plus en plus de mal à porter de l'intérêt aux gens parce que le temps a toujours fini par me prouver qu'on cherchait à me diminuer plutôt que l'inverse. J'aimerais être plus optimiste mais je vois les choses comme ça malheureusement. J'y travaille et j'espère changer mais restons honnêtes la vie d'un mec c'est une guerre psychologique permanente j'ai l'impression.
Concrètement mon problème c'est que je suis pas dans la meilleure phase de ma vie, j'ai d'autres sources de stress et je fréquente une fille depuis quelques mois que j'apprécie beaucoup. Je connais les concepts red pill etc.. j'en suis pas fan et j'ai pas vraiment envie de les intégrer même si je pense que si ça reste très extrême comme manière de voir et d'agir envers les femmes c'est plutôt très juste et proche de la réalité de ce dont j'ai pu être témoin jusqu'à ce jour autour de moi.
Bref j'en tiens pas vraiment compte de ces concepts et je fréquente cette fille en lui donnant beaucoup de mon temps, affiche clairement la valeur qu'elle représente pour moi (oui j'ai convervé mes attitudes de "male beta", je suis comme ça). Jusqu'à ce jour ça se passe plutôt bien mais soyons clairs j'ai encore des gros problèmes de confiance. En gros dès qu'il est question de faire des trucs et que d'autres mecs sont là je me liquéfie intérieurement, surtout si je n'ai pas un minimum d'attention de ma partenaire. Elle est active sur les réseaux, je sais que des mecs tentent des trucs et ça me ronge donc je regarde même plus son contenu. J'ai souvent des pensées négatives, me faire des scénarios à la con.
Au début c'était vraiment dur parce qu'elle restait très silencieuse. On a eu une expérience de groupe récemment où j'ai été légèrement ignoré (assis à côté d'elle) pendant un début de soirée alors qu'un autre mec monopolisait son attention, on en a rapidement discuté, sans même lui faire de scène elle en avait conscience, s'est excusée d'elle même (j'avoue je l'avais gentillement repoussée sans faire de crise en lui disant de faire sa soirée qu'elle ne se préocuppe pas de moi et qu'elle reste avec son groupe de potes.. mais elle est restée à mes côtés). Peu de temps après elle-même m'a fait une scène pour l'avoir soit disant mise de côté pour avoir eu une courte conversation isolée avec une de ses amies. Bref d'un côté c'est con parce qu'il y avait aucune vraie raison mais ça m'a rassuré. Aujourd'hui je pense qu'elle a un peu capté la gêne pour moi et elle essaye de me rassurer à sa manière et démontrer qu'elle tenait un minimum à moi.
Je sais que si elle se décidait à me jeter du jour au lendemain je pourrai rien y faire mais j'ai tellement de mal à canaliser ce stress je sais pas comment gérer le truc. Je voudrais essayer de faire les choses correctement et pas tout foirer tant qu'il est encore temps. Je lui laisse une liberté complète, aucune pression, j'essaye d'être démonstratif mais pas trop, ni montrer de jalousie mais sérieusement dès fois je me dis que je vais abandonner vu le stress que ça représente. Elle est pas du genre très démonstrative du tout, parfois même silencieuse ce qui donne des sensations de chaud-froid régulièrement et pour moi c'est l'enfer. Du coup je pense beaucoup trop et imagine trop de choses à tord.
Pour ceux qui ont été comme ça dans leurs relations, que ça soit par une mauvaise expérience passée où par manque de confiance en soi, comment avez-vous amélioré les choses ?
Merci pour vos conseils et soutient.

Edit+ Update: 08/05/24
Tout dépend, un grand merci pour tout vos commentaires, suggestions et partages d'expérience. Cela m'a vraiment ouvert les yeux et je ne m'attendais pas du tout à une telle réaction. Merci!
Nous sommes allés voir une Kona en particulier, ils nous ont dit qu'elle était réservée et ils nous ont montré d'autres. On a alors vu environ 4 Kona toutes au prix affiché autour de 20k +/- 2k.
On nous a alors fait passer à la "directrice financière" qui nous a fait un jeu de bonneteau à base de jargon et de chiffres méli-mélo. On a accepté qu'elle aille de l'avant pour demander un financement aux banques mais on a rien signé. On nous a donné aucun contrat, juste une fiche d'offre avec les infos du véhicule, son prix de départ et rien d'autre.
À ce stade, on se disait qu'on allait d'abord savoir le prix final avec les mensualités+ l'assurance auto et là on se déciderait mais ils ont continué à refuser de nous envoyer un résumé des coût et charges incluses dans leur calcul en nous disant "vous allez pouvoir revoir tous ça ici au bureau le jour de la signature".
Tout était fait au début pour nous mettre en confiance en nous disant qu'on pourrait se rétracter sans problème jusqu'à 10 jours par la suite mais le diable est dans les détails, puis on était certains qu'on allait nous donner une proposition avec toutes les infos et on n'aurait qu'à dire oui ou non mais à aucun moment on nous a donné de contrat détaillé avec les coûts, taux et prix total final réel donc je ne vois pas comment on pourrait s'engager sans ça.
Bref, demande d'annulation de la réservation et remboursement de l'acompte envoyée hier soir (trois jours après la visite initiale) par courriel+ téléphone (boite vocale de la directrice financière et de vive voix à la réception) et je m'attends à leur appel aujourd'hui soit pour nous intimider ou essayer de nous faire changer d'avis. Je suis un peu inquiet car ils vont probablement appeler mon épouse puisque le dossier est à son nom et j'ai peur qu'elle craque sous la pression...
J'ai déjà vu tout les posts ici sur eux mais je voulais quand même avoir plus d'avis.
Bref, nous sommes nouveaux ici (arrivés l'été dernier) et nous en sommes maintenant à l'achat de notre première voiture ici. Après avoir scrollé sur des dizaines de pages de différents sites, nous ne sommes retrouvés à faire affaire avec hgregoire par ce que ça a été recommandé par quelqu'un à mon épouse.
Nous sommes tout les deux nuls en mécanique/voitures mais nous ne connaissons personne assez pour demander de l'aide avec ça.
Nous avions choisi une hyundai kona et avions pris rendez-vous pour la voir. En arrivant, le gars nous dit que la voiture était réservée donc on a du voir les autres les deux à une différence de 2k $.
Ma femme a voulu celle à 40k malgré mon conseil de l'éviter et puisque c'est principalement son véhicule, je l'ai suivi.
C'est là que ça commence à se gâter. On nous passe au "directeur financier", un titre sensé nous intimider j'imagine, qui prend une attitude quasi militaire, nous parlant comme si on négociait une dette impayée, nous bombardant de chiffres et d'options sans expliquer ce qui coûte quoi.
Nous avions commis l'erreur de faire ça un dimanche avec notre enfant de trois ans qui commençait à s'impatienter au bureau, donc, distraction de plus pour nous deux.
Depuis, on nous a fait une offre avec 200$/mois (edit: 200/ 2 semaines) sur 6 ans à 10.8% chez Desjardins pour une voiture au prix de 21800 affiché.
J'ai insisté pour qu'ils nous envoient une copie du contrat ou au moins une résumé de tout ce que le montant inclut et ils résistent sans me dire directement non, juste à nous pousser à y aller et voir tout ça le jour de la livraison.
Nous commençons donc à tout remettre en question.
Questions:
Ces pratiques sont elles normales/légales ici?
J'avais donné un dépôt de 300$ pour réserver la voiture pour une semaine. Est-ce remboursable en cas de rétractation ?
Quels autres levier avons nous ?
Nous partons en voyage bientôt, moi en voyage d'affaire et ma femme et fils en vacances la semaine prochaine, d'où le sentiment d'urgence.
De combien de temps disposons nous pour changer d'avis légalement?
N'hésitez pas à partager vos expériences négatives ou positives