Cousin ne choda

Repost svp passer votre chemin Je vais essayer de résumer. Mes parents sont français non-résidents et ma famille est mixte. 2022 = études supérieures = je rentre en France. Une tante propose de m'acceuillir et de m'hébeger jusqu'à la fin de mon diplôme. Evidemment, je préfère mon indépendance mais, sélection = master = moins de chance en travaillant à côté et mes parents ne peuvent pas me soutenir à 100% étant en Idf. Crous : mes parents sont non-résidents donc le traitement de mon dossier est très longtemps à traiter. Résultat, depuis 2022, on m'annonce toujours que malheureusement, il n'y a plus de logement disponible après une fois mon DSE validé. Avril 2023 : je souhaite faire ma tout première déclaration d'impôts 2022 (je n'y connais rien), peut-être que ça va m'aider pour le crous. Et là, ma tante me dit qu'elle ne veut pas m'héberger fiscalement parlant, j'ai une cousine qui n'est pas française et qui souhaite faire ses études en France, ma tante veut être garante et elle a plus de chance d'obtenir un visa avec un foyer fiscal (propriétaire en petite courrone d'un deux pièces) qui n'héberge pas déjà quelqu'un. Je cherche d'autres personnes qui veulent bien, mais personne. Un autre oncle a accepté mais il s'est désisté, je l'ai dit à ma tante mais ça n'avait plus d'importance. Parce que finalement, je n'ai pas fait de déclaration, de ce que j'ai compris, je reste rattachée à mes parents. Avril 2024 : j'appelle pour savoir si je peux bien rester rattachée à mes parents (c'est là que je suis idiote et en tord) avec les info suivante :"moins de 25 ans, étudiante, revenu imposable de moins de 500 euro sur la totalité de 2023" vu que j'ai commencé à travailler en septembre et que j'ai tout bien déclaré) la personne au téléphone me répondu "vos parents sont français ?" j'ai dit "oui" il a dit ok. Nuance, mes parents sont français pas en France, quand j'y pense j'ai vraiment été stupide. Je regarde sur internet, c'est la même chose, rien ne me dit que je ne peux pas être rattachée à mes parents s'ils sont à l'étranger. Je demande à un cousin (français) qui est dans le même cas que moi, il me répond que lui aussi est rattaché à son parent à l'étranger. J'appelle ma mère et elle dit ok. Lundi : ma tante et mon oncle font leur déclaration d'impôt sur le net. Et mon oncle me dit "t'as fait ta déclaration ? C'est bientôt fini" "bah non, je reste rattchée" et il me dit "donc tes parents payent deux fois les impots ici et là-bas" et là ça fait tilte. J'envoie des messages à ma mère en panique, elle me dit non, juste dans leur pays d'acceuil. Mardi : je cours dans le cfp de ma ville, appelons là A. Ce n'est ouvert que le lundi, mercredi, vendredi pour plus d'info. 10h30, je vais dans la ville d'à côté pour arriver à 11h30 et être reçue à 11h40. On m'explique que bah non, je dois me déclarer seule et je n'avais pas à me déclarer pour 2022, parce que je suis rentrée en août, donc moins de 6 mois sur l'année 2022. La dame me dit que je suis en retard parce que c'est obligatoirement sur papier et que c'est fini depuis le 22 mai, mais que c'est pas grave, c'est une primo-infraction etc et que personne ne va m'en tenir rigeur. Elle me donne les formulaires et mon numéro fiscal. J'appelle la tante chez qui j'habite pour lui expliquer. Elle était furieuse, parce qu'elle ne m'a pas déclaré comme hébergée cette année même quand ma cousine a eu son visa. Elle pensait que j'étais fiscalement j'étais encore chez l'oncle chez qui je pensais être. Sa déclaration étant faite, elle devait le changer. Je suis consciente que c'est principalement de ma faute, mais j'ai fait ce qui semblait dérangée le moins de monde. Ils ont signé l'attestation d'hébergement et m'ont donné les autres papiers. Ils ont voulu mettre que j'habitais chez eux depuis octobre mais je lui ai dit que, ma carte vitale que j'ai depuis 2022 etc a pour adresse chez eux mais dans ce cas, elle aurait du me mettre comme hébergée depuis la déclaration 2023. Finalement, il a été mit 01/01/2023. Et elle m'a demandé pourquoi je n'y ai pas pensé plus tôt, j'ai commencé à parler mais elle m'a coupé, m'a traité de menteuse, elle n'a jamais eu ma version de l'histoire. Elle me dit que je devrais faire autre chose de ma vie que lire, que c'est à l'âge de mes grand-parents retraités de lire pour le plaisir parce que ça ne sert à rien, que je passe mon temps dessus et que c'est pour ça que je ne savais pas. Elle m'a demandé pourquoi je ne faisais que ça, je lui ai repondu que c'est parce que je me sens seule, j'ai un choc culturel dans tous les pays, je ne sens chez moi nulpart, et je n'ai pas les codes sociaux ici pour me faire des amis et c'est difficile à Paris et ses banlieus. Que je suis sortie de ma zone de confort en essayant d'intégrer des asso ou du bénévolat mais on m'a rejeté. Elle m'a dit que c'est parce que je ne faisais pas assez parce que juste à côté il y a des bonnes soeurs et le secours populaires. Mais moi, je ne veux pas faire le bénévolat des bonnes soeurs, je voulais faire celui de l'université pour rencontre des gens de mon âge. Elle m'a aussi dit qu'ils font déjà beaucoup pour moi, que je suis inconsicente, que si je n'arrive pas à m'entourer, c'est à moi de me remettre en question, qu'elle était en colère et que c'est de ma faute que la colère ça se mérite, ça n'arrive pas comme ça, que je dois arriver de faire un visage triste, parce que ça ne marche pas (je sais faire des faux sourires, faire semblant d'aller bien mais je ne sais pas faire un vrai visage neutre). Que ma cousine a fait beaucoup plus d'effort que moi, (c'est vrai, moi, je suis française, des notes moyennes comme 13 ou 14 et ça allait, elle, elle a des 19 toute sa vie, ma tout aurait été vain s'il n'y avait pas de visa). Je suis conscience que c'est de ma faute parce que je me suis mal renseignée mais c'est la première fois, c'est un système que je ne connais, et d'un autre côté, si elle avait toujours été honnête dans la déclaration en m'indiquant comme hébergée, cette situation n'aurait jamais eu lieu puisque j'aurai été la seule impacté de ma déclaration en retard. Je n'ai rien pu manger ce jour là, je n'ai même pas pu pleurer parce qu'avoir les yeux rouges ou gonglés lendemain n'aurait fait qu'empirer la situation. Le lendemain : depuis j'évite de croiser ma tante, je me lève qu'une fois qu'elle est partie et je rentre vers 21h quand elle ne sort plus de sa chambre. J'appelle l'assistance des services publiques, je confirme que je dois me rentre au cfp A comme l'a dit la dame de mardi, elle dit oui. J'y vais, il y a une queue, je demande à un monsieur qui a un badge de cfp si c'est la même queue pour les amendes et les impôts. Il me dit oui. Je fais la queue pendant 2h et là on me dit non, il aller dans la ville C, j'allais éclater en sanglot. Evidemment il est midi. Mon oncle (époux de ma tante chez qui je vis) me demande si j'ai pu déposer le dossier, je lui explique la situation et je lui dit que j'y vais vendredi. Jeudi : pas de cfp ouvert et j'ai un entretien d'embauche. Aujourd'hui vendredi : entretien d'embauche à 10h15, retard du début, la commence à 10h37 et la fini 10mn. Je commande un uber pour cfp, il est indiquée que je vais arriver à 11h35, très bien, je suis étudiante, les uber c'est cher mais si c'est ce qui me permet de finir ce truc maudit c'est ok. Le uber arrive et là, bouchon, heure d'arrivée 11h40, 11h45, 11h50... Vous l'auriez compris, je ne serai plus arrivée à temps, il y a eu un accident sur la route, dans ma direction. A midi, je suis toujours dans le uber, le cfp a dû fermé. je retourne à l'université. A présent j'angoisse de ce que va encore me dire ma tante, je ne l'ai plus vu depuis mardi même si j'habite sous son toit, comme chaque année, mon DSE n'est pas complet en juin à cause de la lenteur du consulat. L'anxiété me tue, mon coeur me fait littéralement mal depuis mardi, je ne peux pas pleurer parce que c'est ma faute donc je n'ai pas le droit de me plaindre dans la vraie vie, mes tca sont revenus, j'ai sauté mes repas pendant 40h parce que je n'arrivais à manger à cause du stress, quand j'ai retenté de remangé, j'ai rejeté. Ce n'est pas arrivé depuis presque 1 an. Je commençais tout juste à pouvoir manger deux fois par jour et c'est foutu maintenant, il faut tout refaire, je suis au bord du gouffre, je panique toujours parce que je n'ai toujours pas fini ma déclaration.

Bonjour !
Cela fait depuis Janvier que je travaille dans un café en CDD. Entreprise familiale, ambiance pas folle et salaire misérable. Je reviens d’expatriation donc pour retomber sur mes pieds ça faisait l’affaire.
Récemment le cousin stagiaire est devenu de plus en plus agressif, jusqu’à en venir à m’insulter et presque physiquement violent. En plein service lors de notre dernière altercation, j’ai décidé de m’en aller, pour éviter que ça dégénère.
Je n’ai pas assez d’ancienneté pour toucher le chômage, et je ne connais pas les lois du travail, ayant vécu une dizaine d’années en dehors de la France. Si je démissionne, je perds toutes heures accumulées pendant cette période ? Impossible de faire une rupture conventionnelle en cdd ? Rupture à l’amiable ?
Merci pour votre aide et bonne journée !

[je ne sais pas si c'est le bon ou si c'est plutôt pour conseilsjuridiques ou un autre ?]
Bonjour,
Ma grand mère est décédée il y a bientôt 2 ans, et elle m'avait toujours dit :
"T'inquiètes, j'ai tout prévu pour vous" (vous = mon frère, ma cousine, mon demi frère, et moi).
A la mort de ma grand mère, pourtant, rien n'est ressorti pour nous (nous = mon frère, mon demi frère, et moi; la maman de ma cousine étant décédée avant ma grand mère, ma cousine s'est donc retrouvée au même niveau que mon père)
Je me suis donc un peu étonné, mais la notaire chargée de la succession m'a dit qu'il n'y avait pas d'AV, ni de testament, rien. Et que de toute façon, je n'étais pas en position pour discuter avec elle.
Je n'ai plus trop de relation avec mon père, mais de ce qu'il m'a dit, il n'y avait pas de papier, ou en tout cas rien qu'il n'a voulu rendre public, si jamais il n'a pas tout jeté dès le premier jour.
Je suis très étonné, car ma grand mère était rigoureuse et fiable, et je sais que ses paroles n'étaient pas des paroles en l'air.
J'ai demandé à des notaires de sa ville d'origine (elle est décédée en maison de retraite à l'autre bout de ses origines natales) et ceux qui ont bien voulu me répondre m'ont dit n'avoir rien enregistré à son nom. Evidemment beaucoup ont changé entre temps, et je ne suis pas sûr d'avoir contacté tout le monde, ni si ceux qui m'ont répondu ont bien remonté jusqu'au temps où tout cela n'était pas informatisé.
J'ai demandé l'accès à FICOBA à mon nom, si jamais elle avait eu l'idée de m'ouvrir un truc directement à mon nom, mais non, il n'y a rien qui n'ai pas été ouvert par moi.
Du coup, je me demande ce que je pourrais faire pour recoller les morceaux avec ce qu'elle avait prévue.
Pas spécialement pour l'argent (je ne suis même pas certain qu'il y en ait puisqu'elle a du régler ses frais de maison de retraite) mais au moins pour coller avec sa volonté à elle.
Elle avait aussi parlé à ma cousine de ses dernières volonté, oralement, en lui disant que c'était écrit. Mais nous n'avons retrouvé de trace de ça nulle part non plus.
Est-ce que la notaire a bien fait tout ce qu'il fallait ou bien s'est elle débarrassée du dossier trop rapidement ?
Est-ce qu'un notaire de mon choix pourrait entamer des recherches malgré le fait que le dossier ait été clos par la notaire chargée de la succession ?
Est-ce que je peux forcer mon père, d'une façon ou d'une autre, à me montrer tous les papiers qu'il a éventuellement gardé ?
Et si il a tout jeté sans regarder / sans vouloir les montrer, est-ce que tout est définitivement perdu ?
Je regrette maintenant de ne pas lui avoir demandé de détails de son vivant, mais... c'est trop tard :/
Merci d'avance pour votre aide.
[ajout : ouais, le titre n'est pas vraiment réaliste, car je me base uniquement sur ce qu'elle m'a dit oralement, pas sur les vraies dernières volontés qui, pour le coup, sont inconnues]
[ajout 2 : mon frère a aussi eu droit à la même phrase orale, ce n'est donc pas que moi qui ne comprend pas]

Bonjour, je suis un garçon, je n'ai jamais réellement eu de copine et n'ai jamais vrm été a l'aise avec les filles mais depuis quelques mois j'ai trouvé une meilleure amie fille, hier elle m'appelle pour qu'on se voit car elle a un truc important a me dire, elle devais passer la nuit chez moi (première fois que j'invite une copine), mais son petit cousin est a l'hôpital et c'est son anniversaire, mais je pensais qu'elle ne voulait pas venir chez moi, alors je lui est demandé si son petit cousin etait vrm a l'hôpital et si elle veut pas aller chez moi elle n'a qu'a me le dire, je le prendrais vrm pas mal, elle me dit que non mais g insisté comme un tdc, la journée ce passe et hier soir elle m'envoie des texto me disant que j'ai mal agis, et que j'ai douter d'elle, je me sens vraiment coupable et je culpabilise vrm d'avoir douter d'elle pendant qu'elle n'allais pas bien, voila, ce matin j'ai beacoup pleurer ce qui est très rare, je ne veux pas que ce reddit soit lu par des gens que je ne connais pas mais d'un autre côté je n'ai personne a qui en parler J'espère que vous pourrez m'aider a aller mieux en espérant que je ne poste plus rien, sur reddit car un poste égal un moment ou g besoin de parler merci d'avoir pris du temps pour lire ce message, et si tu passes par la (ce qui est impossible) je veux que tu sache que tu est la meilleure chose qui me soit arrivé je t'aime fort et je n'est pas envie de te perdre.

I (26F) and my bf (24M) dated for 3 months. We met each other on codmw2 and at first I hated him but somehow I softened up to him and we ended up liking each other and that’s how we started dating. Our relationship is also a long distance relationship (bf lives in NC and I live in NE). I have past relationships that are long distance as well but none of them ended from cheating. Our relationship was fine until he started to mention about his ex’s and how one of his ex’s can suck his 🍆 really good (we haven’t met in person yet). So I curious and asked him what happened to those relationships and he just said “idk they just left me”. I shrugged and carried on with my life. Things started to change after that convo. He was loving when it’s just us together, but when he’s out with friends or with his cousins, he started to leave me on read and rarely say “I love you” back. I used to say hi to his cousin when me and bf were first started talking on the phone but at this point i don’t why. I thought I was the problem of the relationship bc of family, having a bad game, or I just wasn’t good enough. Just three weeks ago, I saw his ss (screenshot) of him getting a notification from this random girl. I got pretty upset about it and I’ve been pretty much cold to him. He figured out why I was upset and he just said “she’s special (as special need) and you can tell my cousins about her, they’re say the same thing”. We made up after that fight but he still leaves me on read. I had an enough and i deeply regretted this. Just this past weekend, a crisis happened in my life, my job, and my family. This grief fueled my anger. As we were playing a game as usual, bf as being toxic to everyone especially teammates (including me), he asked me what I was doing. I was texting to an old friend about my job situation at the time but I just flat out said “I’m talking to a guy”. There was this awkward silence between us. The next day, he asked me what guy who I was talking to. I’m a horrible liar and I just said “ oh I was talking to nobody” to “yeah I was talking to a guy but it wasn’t like I’m interested in him”. But I already knew I screwed up and it’s way too late to save the relationship. I love him too but at this point I don’t know if I actually love him, too kind and forgiving, or I’m just too scared of being alone. We made up last night and I thought everything is good but today I’m back to him leaving me on read. I told a few of my coworkers about this but its just a lot to process and I just wanted to know if AITA?

Je (20f) et mon fiancé (29m) sommes ensemble depuis 4 ans,
Dès le début on as été clair on voulait des enfants, Nous avons attendus 1 ans dans la relation avant d'essayer d'en avoir (ce qui fait 3 ans que nous essayons à ce jour)
Depuis maintenant 4 ans je subit les brimades de deux personnes de sa famille sa mère et son frère, Bien que ça mère sois surtout des remarques et parfois plus ça devient lourd, Son frère à déjà été jusqu'à m'insulter, Je n'ai jamais répondu car ne voulant pas faire d'histoire je me suis tu, Mon fiancé m'a toujours défendu par ailleurs,
Durant les 3 ans j'ai eu un oeuf clair et 3 fausse couche, La famille de mon fiancé est au courant pour un oeufs clair et la dernière fausse couche en date pas pour les deux autres,
Seulement après avoir annoncé ma fausse couche à ma belle-mère, Chose à laquelle elle m'a répondu '' Ah encore'' en levant les yeux au ciel,A J'ai appris que mon beau frère qui je précise à 21, Au téléphone de la bouche de ma belle cousine (31f) Que ça copine d'un an et demi à peine était enceinte, À peine 2 semaine après ma fausse couche,
Évidemment j'ai été pleurer toute les larmes de mon corps laissant mon fiancé au téléphone avec elle,
Seulement j'ai appris qu'elle a été dire à mon beau-frèreque j'avais pété un câble et était énervé,
Suite à quoi il a dit qu'il ne viendrais pas à notre mariage qui a lieu à la fin du mois,
Il y a une semaine nous deviions aller chez mon beau père pour les musiques du mariage il ne devait pas être la, Seulement la veille j'apprend qu'il sera la donc je sais que c'est pas top ais je prétend être malade pour ne pas le voir et depuis j'evite tout membre de la famille, Normalement demain et dimanche je dois voir des membres de la famille j'ai peur de leur réaction et autres,
Sachant également que mon beau-frère à déménagé et que nous l'avons aidé il y a un mois (les médecins m'ont dit que c'était sûrement la raison de ma fausse couche) Il est depuis un mois ou plus dans son appartement, Il a appelé la belle cousine pour l'aider dans son ménage, Elle a dit que tout était moisi, aucun ménage fait ou autre,
J'ai à la fois peur pour l'enfant (qui n'y ait pour rien la dedans), Pour le fait de ne pas savoir gèrer ni quoi dire,
Si vous auriez des conseils et si il vousfaut d'autres détail je peux en donner !
Merci beaucoup !

BLUF: 29M, B.S. Degree from NE ivy in STEM & military service; now working in corporate and have no desire to continue on this path. Come from LE family who never regretted a day in LE but see corporate jobs and my financial compensation in "the grass is always greener sense". Am I crazy to make this career switch because I miss serving others and giving back to a community? I do believe that I could make a positive difference but understand most enter the field with that mentality.
Background: I come from a LE family starting with both grandfathers and all uncles and cousins; I was the first male to go to college and worked hard to get my diploma from an ivy (truly a C's get degrees student at that level). Post college wanted to serve and took a military commission and served my contract ending with a honorable discharge. Was recruited to a corporate role immediately following military service with a solid compensation package and with a company many would consider top of the industry. The issue is money does not buy happiness and trust me I have tried, much to the chagrin of my wife (who works in the tech industry but is leaving to pursue her own passions as she is also disenfranchised by corporate life). I have discussed with my family about leaving my current role and pursuing LE on either a state (patrol/trooper) or federal (SA) level and while they always say they support me they also say I am crazy to give up my position in an industry and risk my health and life again. I'm not sure if there really is a solid question here outside of the stereotypical "am I crazy doing this" but I truly want my work to be a part of my life, where I can give back to others and try to make difference in a community and an organization with real change. I understand at certain levels that politics play a role and there will always be bad leaders but that is true for any industry. I've had bad days in the military and been gone for periods of time; my wife supports whatever I do 100% so I am truly lucky and fortunate there. Before this becomes a roast, I know reddit can be toxic, but this group often has gems of good advice on many posts which is why I am posting here. And finally, yes, I did try buying a sports car but for some reason I can't fuel it on hate and nicotine so 3/10 recommend.

Le titre est nul, mais j'ai pas trouvé mieux.
Je (F28) suis la fille d'un père bipolaire diagnostiqué sur le tard, et qui faute de traitement et de thérapie s'est toujours beaucoup appuyé sur l'alcool, même s'il n'a jamais assumé avoir un problème.
Quand lui et ma mère étaient encore ensemble, il y a 15 ans c'était de l'alcoolisme "latent" en mode nooon j'ai pas de PB avec l'alcool, je bois socialement quoi, mais en fait il se tapait bière après bière et foutait en l'air les réunions de familles ou repas du soir parce que l'alcool le fait ressasser ses idées noires et dire des saloperies. Jamais violent, mais mesquin. J'ai des souvenirs de repas glaçants où il était clairement ivre et déblatérait froidement des méchancetés sur mes grands-parents maternels à ma mère pendant que mon frère et moi regardions nos assiettes sans rien dire. Bref, vous voyez le tableau.
Ma mère a fini par n'en plus pouvoir et elle l'a quitté quand j'avais 14 ans, mon frère 13. Le problème d'alcool de mon père s'est empiré, il était capable de descendre une bouteille de vodka en une nuit, il a failli mourir d'une pancréatique (c'est là qu'il a enfin été diagnostiqué bipolaire) et s'est cassé la clavicule une nuit en tombant ivre dans les escaliers. Il a aussi eu un autre enfant d'une aventure brève qu'il a eu avec une femme suite à la rupture avec ma mère. Mon demi-frère, appelons-le Thomas, a 13 ans aujourd'hui.
Quand j'ai eu 20 ans (ça a littéralement commencé après ma soirée d'anniversaire), j'ai fait une dépression due (en gros) au fait que je ne voyais plus de raison de vivre en sachant que cette situation ne s'arrangerait jamais, que mon père serait toujours malheureux et que j'allais vivre ma vie dans le stress de savoir quand il repasserait à l'acte (plusieurs TS "passives" à son actif, à base de mélange alcool et médicaments). Je vous passe les détails, mais après un an de thérapie avec une psychiatre 🌟GÉNIALE🌟 je m'en suis sortie et j'ai même pu avoir une discussion franche avec mon père sur mon ressenti, ce que l'alcool nous avait fait avec mon frère, la culpabilité que j'avais eue, etc.
Bon, pour vous expliquer ça il faut que je revienne encore un peu en arrière. (Je suis en train de vous écrire un roman.) Mon père et toutes ses soeurs viennent d'une famille pas top. Mes grands-parents n'étaient pas aimants, pouvaient être violents, ma grand-mère surtout était apparemment incapable d'amour et méchante envers ses enfants, et a instauré entre eux des dynamiques et des instincts toxiques. Le jour de mon neuvième anniversaire (l'une des seules fois où on a fait ça le jour même, on appelle ça le PIF), mes tantes et mes parents se sont réunis chez mes grand-parents paternels pour une petite fête qui s'est terminée aux urgences pour mon père. En fait mes tantes n'étaient pas du tout venues pour mon anniversaire, mais pour balancer leurs quatre vérités à leurs parents. Avec l'alcool, ça a fini par en venir aux mains, et mon père voulant s'interposer a fini avec le poignet tranché presque jusqu'au tendon (les verres en cristal rentrent vraiment dans la peau comme dans du beurre, si vous vous posiez la question). J'ai toujours gardé une culpabilité inconsciente de cette soirée, pensant que c'était "ma faute" s'ils s'étaient tous réunis ce soir là. C'est la première fois que j'ai vu mon père sangloter alors qu'il attendait les pompiers, et je l'ai toujours associé à un moment où il a commencé à aller vraiment plus mal. J'en ai aussi gardé une rancoeur envers mes tantes, notamment une, qui avait fait péter la situation alors qu'elle savait qu'il y avait des enfants présents et que ce n'était pas forcément le bon moment pour faire ça.
(J'en arrive bientôt à mon problème d'aujourd'hui, promis.)
Discussion post-dépression avec mon père, j'aborde tous ces sujets difficiles avec lui, l'alcool mais aussi le fait que je ne souhaite pas forcément entretenir de liens serrés avec ses soeurs ni mes cousins de ce côté de la famille (il insistait toujours pour que je les voie quand ils passaient dans ma ville ou me faire venir quand ils étaient là, ce qui me déprimait et mangoissait profondément). C'était une discussion difficile mais j'ai eu l'impression qu'il avait réussi à entendre certaines choses.
Il n'a jamais arrêté totalement de boire, malgré plusieurs autres fois où ça lui a fait frôler la mort, et malgré les cures de sevrage. Il n'a jamais réussi à aborder le sujet avec un psy, à admettre même le problème. Mais il ne buvait jamais devant moi ni mon frère ni mon demi-frère quand on venait lui rendre visite, même si je retrouvais dans la cuisine des capsules de bière etc.
Je vis aujourd'hui à New York, et je viens de rentrer en France pour l'été. Je n'étais pas rentrée en France depuis plus d'un an, et mon père se fait (et moi aussi) une joie qu'on puisse bientôt se voir enfin. Avant mon retour en France, il m'a appris que sa soeur (celle de l'anniversaire, appelons-la Josiane) s'est installé chez lui en attendant de trouver un logement dans la ville de son choix. Il m'a même dit qu'elle avait prévu de rester environ un an, pour se donner le temps de bien chercher. Je précise que mon père vit dans un T1, qu'il ne travaille plus depuis plusieurs années à cause de son handicap, et que sa soeur a racheté à l'appartement hérité à la mort de leurs parents dans le but de le vendre. Bref. À mon arrivée en France, ma mère (mon père et elle sont restés bons amis, il l'appelle souvent) me dit que mon père lui a avoué que sa soeur, qui sait pourtant qu'il est alcoolique et que son traitement pour la bipolarité n'est pas compatible avec l'alcool, ramène très souvent du rosé et des bières et qu'elle est toujours "avec sa bière à la main". Qu'il a donc lui aussi commencé à boire avec elle, parce qu'il a peur, s'il lui dit que ça le dérange, que ça "déclenche la guerre" (ses mots). Je pense qu'il veut dire que sa soeur lui mettrait dans le nez que lui boit aussi mais en cachette (ce qui est vrai, mais il est chez lui, il a quand même le droit de ne pas souhaiter qu'elle boive devant lui), et même s'il se positionne assez facilement en position de victime, je connais assez bien la tante en question pour savoir que ses craintes ne sont pas infondées.
Cerise sur le gâteau, j'ai hier soir la mère de mon demi-frère au téléphone pour essayer de coordonner nos visites et qu'on y aille au même moment, qui m'annonce que la dernière fois qu'ils sont allés le voir, ils sont allés au restau avec la soeur en question et une autre soeur (qui vit dans la même ville que mon père et s'est beaucoup impliquée pour l'aider, essayer de lui trouver un addictologue, se renseigner sur la bipolarité qui était pourtant un grand tabou dans cette famille, etc), et que les trois laron.ne.s se sont commandé chaucn une pinte de bière dans le plus grand des calmes. De retour à l'appart, mon père a renquillé avec une autre bière devant mon demi-frère, et quand sa mère lui a demandé ce qu'il faisait au juste, a répondu le plus innocemment du monde "bah je me prends une bière ?"
En dehors de la colère et de la peine que j'ai eu en apprenant que sa soeur avait le culot de venir chez lui le "pousser au vice" sans aucune gêne, découvrir qu'ils aient bu devant mon demi-frère comme si c'était normal m'a vraiment mise hors de moi. Mon frère est ressorti de ce repas angoissé, et ne comprenant évidemment pas comment les soeurs pouvaient "l'inciter" en buvant devant lui et ne pas lui faire comprendre qu'il faisait une bêtise. Je sais que je ne pourrai pas faire semblant que tout est normal en y allant, et j'ai trop souffert de le voir boire enfant pour laisser faire et risquer que mon demi-frère se coltine des angoisses encore plus importantes et durables (il en a déjà) en allant chez mon père. Mais je ne sais pas trop comment procéder. Dois-je aborder le sujet franco avec lui au tel avant d'y aller, lui dire que comme il le sait ça me dérange et que je ne veux pas que Thomas ait à supporter ça ? J'ai peur de moi-même déclencher "la guerre" avec ma tante qui se plaît assez bien dans les situations de conflits, or elle vit chez mon père et je n'ai pas envie de ne plus pouvoir le voir, ou même qu'il se retrouve chez lui au coeur d'un conflit alors qu'il a deja tant d'angoisses à gérer. Où dois-je carrément dire que dans ces conditions je ne veux pas venir, ou alors je le voir qu'en dehors de chez lui, au parc, au musée par ex ? Est-ce que je dois me montrer ferme, douce, factuelle, lui dire que moi (et Thomas) ne viendront que si certaines conditions sont fixées ? Ou attendre d'y aller et aborder le sujet s'ils sortent les boissons ? J'ai aussi peur que mon père continue de ne pas boire devant moi et ne le fasse qu'avec Thomas (enfant non désiré, il a toujours eu moins d'attache avec lui, il le pique apparemment un peu en disant que mon frère et moi on avait de meilleures notes à l'école, AUTRE SUJET mais bref). Je suis un peu perdue.
Ça m'a fait du bien d'écrire, je ne sais pas si quelqu'un va lire tout ça ni si c'était très clair. Mais n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez, si vous avez une expérience similaire ou un conseil je prends ❤️

Bonjour,
Honnêtement je suis juste curieux de savoir si c'est normal de ne pas avoir de nouvelle d'une plainte pour séquestration et extorsion d'argent.
C'était le cousin d'un ami qui était un peu tar* mentalement et qui se croyait tout permis et a commencé a faire des larcins jusqu'à même agresser un professionnel et lui demander de l'argent a un distributeur. (ce qui le fera être arreté à cause de ça.)
Il m'avait demandé de l'argent que je lui aurai volé car ces montres auraient disparu récemment. (Le gars je ne l'avais pas vu depuis des mois je précise.)
Il m'a frappé, menacé et enfermé chez lui heureusement j'ai pu avertir un ami qui a pu appelé la Police.
Quelque jours plus tard il se fera arrêté pour d'autres larcins qu'il avait commit.
J'ai porté plainte le lendemain de mon agression mais depuis plus de nouvelle.(Cela fait facilement plus de 2 ans)
(J'ai entendu dire qu'il se cacherai en Corse pour éviter le tribunal.)
Comment cela se passe-t-il ducoup ? Je suis juste curieux je m'en fou si je ne gagne aucune compensation.
Merci beaucoup.

Sch** STADTVERWALTUNG
Ich liebe meine Heimatstadt, aber diese verfluchte Stadtverwaltung ist der letzte Mist. Sowas von unfähig! Seit zwei Jahren geht mein Sohn in die Krippe in dem gleichen Kindergarten wo schon sein Bruder und seine große Cousine waren und jetzt auch seine andere Cousine und sein Cousin der auch sein bester Freund ist gehen. Meine Schwägerin und ich Wechsel uns regelmäßig mit dem abholen ab, da unsere Männer ungünstige Arbeitszeiten haben und meine Mutter genug mit meinem Schwerkranken Vater um die Ohren hat. Tja und jetzt haben diese verfluchten Weichgesichter beschlossen das er zum Kindergarten start nur einen Halbtagesplatz in einem anderen Kindergarten bekommen soll. Scheißegal ob das meinen Arbeitsplatz kosten könnte, da ich noch in der Probezeit bin und so ne komplett neue Eingewöhnung dauert. Ich hab keine Ahnung wie ich das dem kleinen beibringen soll. Ich hab nicht Mal was gegen den neuen Kindergarten. Er ist nahe dran und die Leitung ist sehr nett (hat uns einen Ganztagesplatz zugesichert), aber er soll doch verflucht nochmal da bleiben wo er jetzt ist, wo alle seine Freunde und Familie sind! Und der Typ von der Stadt ist ungefähr so hilfreich wie ein nasse Stück Brot, das auf alle Fragen nur mit vorgefertigten Antworten reagiert und nicht fähig ist konkrete Aussagen zu machen. Wie auf die Frage was passiert, wenn ich den Platz ausschlage und trotzdem nichts in unserer Kita frei wird? Kriegt er dann den Platz den er jetzt bekommen hat?! Oder wenn wir Pech haben einen Halbtagesplatz am anderen Ende der Stadt?!! (Ich arbeite in einem Dienstleistungsbereich und Pendel dafür. Auch wenn es nur Teilzeit ist, bin ich immer ne Weile unterwegs) Ich könnt nur noch heulen. Ich arbeite gerade das erste Mal seit der Geburt wieder, ich mag meinen Job ich will den nicht verlieren, weil ich wegen der verfluchten Neueingewöhnung drei Wochen oder so ausfalle. Und ich will nicht das er von den anderen getrennt wird. Und es kotzt mich an, wie wenig Einfluss und Kontrolle man als Eltern darauf hat!

Je pense avoir besoin de parler mais en vérité, je ne sais pas ce que j'attends de ce texte m'enfin nous verrons.
Commençons par le début, je suis né en afrique de l'ouest, d'un père blanc et une mère noire. Les deux m'ont offerts beaucoup d'amour mais voilà chez nous les personnes homos sont excessivement mal vu. C'est comme ça.
Donc vous voyez, déjà très jeune garçon ma mère me disais que c'était pas normal. Mon père lui était bien plus ouvert d'esprit, lorsque nous avons appris le coming out d'un cousin (côté européen) ma mère était désolée pour sa famille et a insistée pour coupé contact avec lui. Mon père m'a expliqué qu'il faisait bien ce qu'il veut de sa vie. Il a essayé de maintenir le contact mais il s'avère que ce cousin est raciste... compliqué n'est ce pas ?
Bref, je grandi, entre temps on observe que les gays commencent a se battre pour leur droits, j'observe ça aux infos/RS sans trop me poser de question (puberté, les filles, toussa toussa).
J'arrive en France par dépit. La commu lgbt grandi et je me rends compte que je les détestais. Mais POUR RIEN. Quand j'en entend parler ça me saoulait, mais je ne me posait pas plus de question que ça.
J'arrive à la fac et je fais la connaissance d'une jeune femme, appelons la Laure. On devient de très bon amis mais j'étais plus la pour elle qu'elle ne l'était pour moi. Elle avait BEAUCOUP de problèmes (soeurs toxiques, père alcoolique et raciste, mère absente, problèmes psy). Je vais être honnête avec vous, je n'avais pas de sentiments pour elle puis un jour elle m'a sorti "si seulement tu pouvais être mon copain" et ça a débloqué un truc en moi et j'ai commencé a entrevoir un avenir dans cette relation.
Elle est lesbienne. C'est ce qu'elle m'a dit quelque mois après notre passage en L2. Elle s'est excusée de m'avoir fait miroiter quelque chose. J'ai coupé les ponts sur le champ. C'était il y a 6 ans et aujourd'hui encore, elle essaye de me contacter.
Voici une des raisons pour laquelle je viens vous demandez conseil, mais c'est pas fini, bientôt.
Après cette événement je me suis posé la question :
pourquoi j'ai la haine des lgbt ? Je veux dire... ces gens ne m'ont strictement rien fait alors pourquoi je les déteste autant ? Je n'ai jamais fais de mal a un gay et j'aidais en cas de problème car j'avais conscience que ce sont des êtres humains mais en dehors de ça, je les vois, je m'énerve. Le problème ne peut venir que de moi dans ce cas, et cette colère me bouffe encore aujourd'hui.
J'ai rencontré une fille 4 mois après le coming out de Laure, appelons la Nelly. Nelly a tout de suite vu cette homophobie en moi et ne la pas combattu de front, elle m'écoutais rouspéter après eux mais ne disait pas que j'étais bizarre ou homophobe, elle disait que j'avais mes idées. Elle m'emmèna voir un film qui changea ma vision des gays "Love Simon".
[SPOIL] A un moment dans le film Simon est moqué pour son orientation, la douleur qu'il a vécu ma bouleversé. Une autre scène avec son père, très macho, qui accepté son fils malgré son orientation m'a fait pleurer a chaude larme (je suis très proche de mon père, les scènes père fils me font tout le temps pleurer)
Ma vision des gay a changer depuis ce film, je vois aussi un psy pour essayer de comprendre pourquoi j'avais autant de mal avec les gay mais ça s'améliore, j'ai maintenant un groupe d'amis dont 2 sont ouvertement gay et ce sont des personnes formidable.
Pour Laure, j'ai toujours la douleur que j'ai ressenti lors de son coming out, elle a rejoint un commu LGBT sur Paris mais apparemment elle enchaîne les relations toxiques et tente encore de me joindre, après 6 ans, c'est normal d'après vous ?
Merci d'avoir lu jusque la et encore une fois mes excuses a la commu LGBT.

A. Ashanti- Ena,Eni, eno and awo. English - Mother. All persons to whom the name apply - 1. Own Mother 2. Mother’s sister 3. Own fathers various other wives. Also used as term of respect even when no relationship exist.
B. Ashanti- Agya, or ose. English -Father. All persons to whom the name may be applied - 1. Own father 2. Father’s brother 3. Term of respect not necessarily implying relationship.
C. Ashanti - Onua. English - Brother or sister All persons to whom the name maybe applied -1. Own sistebrother 2. Own mothers sisters child 3. Any one of the same Abusua family name as your own.
D. As- Agya Ba. E- Half brother or Half sister. All persons to whom the name maybe applied -1. The child of your own father by a mother not your own 3. Father’s brother’s child.
E. As- Kunu (Okunu). E- Husband. All persons to whom the name maybe applied - 1. A woman’s own husband 2. Husband’s brother 3.Half sister’s husband.
F. As - Oyere. E- Wife. A.P.T.W.T.N.M.A- 1. A man’s own wife or wives 2. Brother’s wife 3. Wife’s sister 4. Half-brother’s wife.
G. As- Agya. E- Uncle (paternal) A.P.T.W.T.N.M.A - Father’s brother.
H.As - Wofa E - Uncle (maternal) A.P.T.W.T.N.M.A - Mother’s brother.
I. As -Ena E- Aunt (maternal) A.P.T.W.N.M.A - Owns mothers sister
J. As - Osewaa E- Aunt (paternal) A.P.T.W.T.N.A - Fathers sister.
K. As -Wofasewa. E- Niece A.P.T.W.T.N.A - Sister’s Child (daughter)
L. As - Oba. E- Child, Niece, Nephew. A.P.T.W.T.M.A - Own child, brother’s child ( daughter and son )
M. As- Onua E- Cousin. A.P. T. W.T.N.M.A - Mother’s (Own) sister’s child.
N. As- Agya ne nua ba. E- Cousin. A.P.T.W.T.N.M.A - Father’s brother child.
O. As- Nana. E- Grandparent. A.P.T.W.T.N.M.A - Maternal and paternal grandparents.
P. As- Oba nana. E- Grandchild. A. P.T.W.T.N.M.A - Children of son or daughter.
Q. AS- Nanakanso. E - Great-grand- parent. A. P.T. W.T.N.M.A - Maternal and paternal great- grandparent.
R. AS- Ase E- Father-in-Law. A.P.T.W.T.N.M.A - 1. Wife’s father 2. Husband’s father .
S. AS- Osew. E- Mother - in -Law. A. P. T.W. T.N.M.A - 1. Wife’s Mother 2. Husbands mother.
T. AS- Akonta. E - Brother -in-Law. A.P.T.W.T.N.M.A - Wife’s brother .
U. AS- Okunu E- Brother -in -Law. A.P.T.W.T.N.M.A - Husband’s brother.
V.AS- Oyere E - sisteyou -in-law. A.P.T. W.T. N.M.A - Wife’s sister.
W. AS-Akumaa E - Sister -in-Law A.P.T.W.T.N.M.A- Husband’s sister

I am very sure i have a preference of fe over fi, not sure where it is in my function stack though. Not sure about the other functions, as its hard for me to draw a line between what the stereotypes of the functions are and what the functions actually are, but i'll try my best.
Fe-
I am neither that great nor bad at using this function.
I tend to mimic other people's emotional state. I feel like i dont have a emotional state of my own. Most of how i feel come from how other people have reacted to those situations. Suppose a person cries at a particular situation, i gather all my strength to cry at the same situation, because i decide that that's how you are supposed to react at that situation. I learn how to react by mimicing other people.
For some reason i feel proud whenever i have emphasized with other people and have cried. I'll be proudly sharing it to other people. I like to portray myself as a vurnerable person who likes to cry every now and then.
I have done and said some inappropriate stuff in the most wrong timings. It was worse when i was a kid, but now it is better.
I have been extremely rude when i was a kid under the name of being extremely honest, and its getting better now.
Ne-
I make random associations between 2 different but similar things.
I am pretty good at coming up with ideas on how to do things easily. I noticed this especially while playing a game, i noticed my surroundings, and thought how to use it to my advantage, and came up with 2-3 ideas on how to win the game easily
I feel like my speech pattern is extremely scattered, when talking about a general topic. Its like i dont know where to start from, i pick one part of the topic talk about it, drop it, pick another part of the topic talk about it, then drop it, like i feel there is no correlation between the points. But, i still stay on topic. (I hope you understand)
Ni-
I just know stuff without any one telling me anything. As far as i can remember there was 2 such incidents when i was right when i was as young as 8-9 years old.
I have made extreme 'predictions', but none of them have came true. Like there was this time when i said that my aunt's soon too be born child is gonna have 6 toes/fingers in one feet/hand. But it obviously didn't come true. I was pretty confident about it.
When arguing/debating, i keep circling around one point again and again, i wont let the other person go off topic.
Si-
I tend to expect something to happen, just because something similar has happened before.
I tend to only remember the bad experiences. For example, i went to a place with my cousin recently, where i visited a lot of times when i was a young kid. I started recalling the time when i had a bad experience associated with the place, instead of the many good experiences that i had.
I almost never remember the good experiences/i am almost never nostalgic.
i dont learn from my experiences. i repeat the same mistakes again, i overestimate myself often, since i am a student, i genuinely think i can finish so many subjects in limited time, when in the past i have proved that i cannot by procastinating, yet i do that again (both procastinating and overestimating myself).
Se-
I am very competitive when playing games, like very unnecessarily competitive, even when playing simple games, i often get injured, because i get unnecessarily aggressive when playing games.
I am better at learning stuff, when i am the one doing the stuff. For example- i am not good at routes and stuff, so i thought i will get better at it when i learn driving, so until that i have to wait.
I am very open to new experiences, like trying new cuisines etc.
I am extremely chaotic with my sensory experiences. Once i ran out of sauce to put in my ramen, so i added lots of sugar, to try and make it into a dessert.
I'm not that well coordinated, i struggle to do simple things such as putting something inside a bag.
i start spewing the randomest shit sometimes when i feel something negative. This is my out of character behavior. Like for example- i was calling someone out for their behaviour, i dont remember exactly what i said, but i said something extremely weird, which i dont wanna say it here.
I apologize for my english, english is not my first language

I am very sure i have a preference of fe over fi, not sure where it is in my function stack though. Not sure about the other functions, as its hard for me to draw a line between what the stereotypes of the functions are and what the functions actually are, but i'll try my best.
Fe-
I am neither that great nor bad at using this function.
I tend to mimic other people's emotional state. I feel like i dont have a emotional state of my own. Most of how i feel come from how other people have reacted to those situations. Suppose a person cries at a particular situation, i gather all my strength to cry at the same situation, because i decide that that's how you are supposed to react at that situation. I learn how to react by mimicing other people.
For some reason i feel proud whenever i have emphasized with other people and have cried. I'll be proudly sharing it to other people. I like to portray myself as a vurnerable person who likes to cry every now and then.
I have done and said some inappropriate stuff in the most wrong timings. It was worse when i was a kid, but now it is better.
I have been extremely rude when i was a kid under the name of being extremely honest, and its getting better now.
Ne-
I make random associations between 2 different but similar things.
I am pretty good at coming up with ideas on how to do things easily. I noticed this especially while playing a game, i noticed my surroundings, and thought how to use it to my advantage, and came up with 2-3 ideas on how to win the game easily
I feel like my speech pattern is extremely scattered, when talking about a general topic. Its like i dont know where to start from, i pick one part of the topic talk about it, drop it, pick another part of the topic talk about it, then drop it, like i feel there is no correlation between the points. But, i still stay on topic. (I hope you understand)
Ni-
I just know stuff without any one telling me anything. As far as i can remember there was 2 such incidents when i was right when i was as young as 8-9 years old.
I have made extreme 'predictions', but none of them have came true. Like there was this time when i said that my aunt's soon too be born child is gonna have 6 toes/fingers in one feet/hand. But it obviously didn't come true. I was pretty confident about it.
When arguing/debating, i keep circling around one point again and again, i wont let the other person go off topic.
Si-
I tend to expect something to happen, just because something similar has happened before.
I tend to only remember the bad experiences. For example, i went to a place with my cousin recently, where i visited a lot of times when i was a young kid. I started recalling the time when i had a bad experience associated with the place, instead of the many good experiences that i had.
I almost never remember the good experiences/i am almost never nostalgic.
i dont learn from my experiences. i repeat the same mistakes again, i overestimate myself often, since i am a student, i genuinely think i can finish so many subjects in limited time, when in the past i have proved that i cannot by procastinating, yet i do that again(both procastinating and overestimating myself)
Se-
I am very competitive when playing games, like very unnecessarily competitive, even when playing simple games, i often get injured, because i get unnecessarily aggressive when playing games.
I am better at learning stuff, when i am the one doing the stuff. For example- i am not good at routes and stuff, so i thought i will get better at it when i learn driving, so until that i have to wait.
I am very open to new experiences, like trying new cuisines etc.
I am extremely chaotic with my sensory experiences. Once i ran out of sauce to put in my ramen, so i added lots of sugar, to try and make it into a dessert.
I'm not that well coordinated, i struggle to do simple things such as putting something inside a bag.
i start spewing the randomest shit sometimes when i feel something negative. This is my out of character behavior. Like for example- i was calling someone out for their behaviour, i dont remember exactly what i said, but i said something extremely weird, which i dont wanna say it here.
I apologize for my english, english is not my first language

Ce post est une déclaration de colère envers ceux qui m'ont manqué de respect au fil des années.
Ce post est dédié :

• à toi, A., qui durant la soirée d'anniversaire d'une de mes amies, m'a draguée durant toute la soirée, au point de me chatouiller et de t'endormir sur mes cuisses dans le canapé du salon. Non, ne me regarde pas avec cet air haineux, j'ignorais que tu étais en couple, j'ignorais que cette fille qui me lançait des regards noirs était ta copine, j'ignorais que vous aviez rompu à cause de moi durant cette soirée.
• à toi, B. mon collègue banquier, qui durant une soirée alcoolisée dans une boite vers les champs Élysées, m'a sorti "t'es bandante" alors que tu venais de nous annoncer tes fiançailles ;
• à toi, C., mon collègue tradeur, qui après une soirée alcoolisée, m'a proposé un Uber pour partager les frais. J'aurais vraiment apprécié que tu n'insistes pas à ce point pour que je te raccompagne à ton hôtel car tu "fantasmais sur mes jambes". La photo que tu as de tes enfants et de ta femme dans ton portefeuille est très mignonne par ailleurs.
• à toi, D., mon collègue commercial, qui m'a fait une vingtaine de compliments à connotation sexuelle au travail. Repasse dans mon bureau à la fin de journée, on va voir ce qui cloche avec ton congé paternité.
• à toi, E., qui m'a draguée dans un bar à Bastille. Mon amie a essayé de nous séparer, avant de crier "XXXX !!! Il est casé !", ce à quoi tu as répondu "que c'était difficile, car elle est partie 6 mois en Amérique latine". "Ah oui ? 6 mois ? C'est vrai que c'est long...""Oui, surtout qu'elle est partie hier".
• à toi, F., banquier londonien qui m'a draguée au PACS de mon cousin. Tu étais sensé dormir dans une tente dans un champs avec les autres convives, moi dans la chambre d'ami à côté d'un autre cousin. A 5h du matin, tu m'as demandé où se trouvaient les toilettes. Je te les ai montrées, puis j'ai ouvert la porte de la chambre d'ami pour y trouver mon cousin affalé et en train de ronfler dans le lit. Tu as cru judicieux de me prendre par les hanches, m'embrasser le cou, et me susurrer "We can push your cousin aside and enjoy ourselves together ;)" Ce à quoi je t'ai répondu que ta femme enceinte t'attendais dans la tente.
• à toi E., l'un des pires. Tu savais que j'étais en dépression et en phase post-traumatique après avoir appris une sale histoire sur mon enfance. Tu savais que j'étais au fond du trou. Alors que nous rentrions tous d'une boite de nuit sur Rennes, je me suis endormie dans le lit clic clac dans le salon de mon amie. Durant mon sommeil, tu m'as tripotée alors que je dormais à côté de ta copine. Je t'ai dit que j'allais mal psychologiquement, que j'étais faible, que je ne voulais pas de problèmes. Tu as continué, tu m'as dit que j'étais un aimant à mecs en soirée, mais que je ne les calculais pas. J'étais un fantasme, un trophée. Tu as arrêté quand j'ai commencé à pleurer.
• Tu es revenu à la charge durant la soirée d'anniversaire de ta copine, tu m'a volée un autre baiser dans les toilettes du CROUS. Je t'ai à nouveau rejeté. Tu as convaincu ta copine de me proposer un plan à trois lors d'une crémaillère. J'ai encore refusé. Tu me faisais tellement peur, j'ai dû venir avec une bombe au poivre à l'anniversaire de Chloé. Et là, tu as commis l'irréparable. Tu m'as droguée. Tu as essayé de t'introduire dans ma tente. Je me suis enfuie dans la salle de bain, tu m'as suivi, tu as essayé de démonter la porte. J'ai pleuré toute la soirée tu sais ? J'ai coupé les ponts avec mes amis de Rennes à cause de toi.
• à toi, F., un américain rencontré quelques semaines après cet épisode. En temps normal, je ne me serais jamais rapprochée d'un homme comme toi. Mais j'étais tellement triste, tellement mal dans ma peau. Je voulais rêver d'une histoire d'amour. Tu étais là quand j'étais au plus bas, tu avais l'air tellement stable, charmeur, je suis tombée amoureuse. Quel dommage. J'ai appris par des amis en commun que tu t'étais fiancé avec ton "ex" une semaine avant qu'on commence à coucher ensemble.
• à toi, G., dentiste toulousain avec qui j'ai eu un coup d'un soir après un festival. Tu m'as confié que la fille au début de soirée qui était venue te parler n'était pas une pote, mais ta copine. Je t'ai demandé, choquée, pourquoi elle n'avait pas réagit alors qu'on s'embrassait devant elle. Tu m'as répondu que vous tolériez ce genre de choses en soirée. "Et coucher alors?" "... Ça non. Mais c'est que la deuxième fois que je la trompe en 5 ans !" Parceque je devrais te féliciter?
• à toi, H, homme des buissons, qui m'a accosté alors que j'étais tranquillement en train de bouquiner "to kill a mocking bird" sur un banc du parc des buttes Chaumont un dimanche matin. Tu es sorti des buissons pour te poser sur le banc à côté de moi, et m'a demandé si je cherchais l'amour. Je t'ai répondu par la négative. Tu as répété que tu cherchais l'amour dans le parc, mais que tu n'arrivais pas à le trouver. Tu m'as ensuite informé que tu avais 100 euros avec toi. J'ai fait semblant de ne pas comprendre, et t'ai demandé ce que tu comptais faire avec ton argent. "On pourrait aller dans les buissons à coté et...". "Non, je ne vends pas mon corps" ai-je répondu, devant un couple avec une poussette, interloqués. Tu es ensuite retourné d'où tu es venu, dans les buissons.
• à toi, I, qui m'a sorti en soirée techno en phrase d'accroche que tu rêvais que je te "projette contre un mur", que tu fantasmais sur les grandes et que tu rêvais d'un délire dominatrix;
• à toi, J., qui m'a insultée en début de soirée pendant l'anniversaire de mon colloc. Tu ne comprenais pas que je puisse considérer que "embrasser quelqu'un d'autre en soirée alcoolisée, ce ne soit pas tromper car j'ai embrassé plein de personnes sans avoir d'attirance/de sentiments pour eux". Tu m'as jugée devant tout le monde, m'a rabaissée. Tu a clamé être en couple depuis 2 ans avec une femme parfaite, jamais tu lui ferais ça. Pourquoi deux heures plus tard, dans la boite de nuit de Pigalle, tu es venu me voir pour m'informer que ta copine était là et qu'il fallait pas que tu restes près de moi car j'étais "une tentatrice". Je ne t'ai rien demandé. Pourtant tu es revenu "quand elle était partie", tu m'as attrapé par les hanches et tu m'a embrassée. Tu m'as sorti que tu rêvais de me "soulever" .Je t'ai rejeté. Tu as insisté. Tu m'as même demandé si "tu devais louper le prochain métro pour rentrer avec moi." Va te faire foutre.
• à toi, K., mon pote pharmacien avec qui j'ai fait une dizaine de soirées techno, qui m'a avoué fantasmer sur moi, que tu rêvais me dominer. Tu m'a proposé un plan à trois avec ta copine. Quel dommage qu'on ai foutu en l'air un début d'amitié à cause de ça, tu étais vraiment cool pourtant.
• à toi, L., diplomate Londonien qui m'a draguée au Badaboum. On a papoté politique une dizaine de minutes, c'était très intéressant. J'ai compris que tu étais en couple car tu ne faisais aucun moove pour te rapprocher de moi. J'ai rejoins mes amies. Et pourtant, tu es revenu à la charge. Je t'ai stoppé net en te demandant si tu étais en couple. Tu m'as avoué être marié. Tu m'as ensuite demandé si j'étais "open to have sexual intercourses with someone who's married ?". Fuck off.
• à toi, M., jeune commercial qui m'a draguée 1 mois plus tard au T7. On s'en embrassés, le feeling passait bien. Puis tu as pris tes distances, m'a dit que j'étais une tentatrice. Je ne comprenais pas pourquoi tu me disais ça. Tu m'as avouée être en couple. Je me suis énervée, je t'ai dit que tu aurais pu m'en informer avant de m'embrasser. Tu m'as répondu que tu avais une vision très open du couple. "Ah oui ? Et elle, c'est quoi sa vision du couple ?""Moins open." Je suis retournée voir mes amies en t'insultant. Pourquoi revenir à la charge pour me demander mon instagram ? J'ai été claire non ?
• à toi, N., toulousain rencontré en soirée à Malte. Toi et ton pote avez proposé un after dans votre hôtel à moi et mes deux amies. Tandis qu'un couple s'est enfermé dans une des chambres, j'ai compris que je j'étais la 5 roue du carrosse, et je m'en suis plainte. Tu as trouvé judicieux de proposer un plan à trois avec mon autre amie. J'étais tellement surprise que je me suis retournée vers elle pour lui sortir un "WTF". Quand je me suis retournée vers toi, tu avais déjà enlevé ton caleçon et tu tenais ma tête. Heureusement que mon amie t'a balancé des oreillers dessus, car j'étais tétanisée. Nous nous sommes enfuies de l'hôtel en t'insultant.
• à toi, O., qui a essayé de me droguer lors d'une soirée sur une péniche parisienne. Tu n'étais tellement pas subtile. Heureusement que le videur t'a cramé et t'a chassé de la soirée.
• à vous, P., et Co, qui m'avez suivi à 5heure du matin alors que je sortais d'un métro à la défense (fête de la musique). Vous savez qu'un agent de la RATP a été obligé de me cacher dans les locaux de l'agence en attendant que je décuve, car il avait pris peur en vous entendant parler de moi ? Vous étiez 6, merde !
• à toi, Q., qui m'a suivi aux toilettes d'un bar car tu m'avais aperçu dans la rue et que tu voulais récupérer mon numéro. Ne suis pas les femmes aux toilettes merde !!!! En plus, tu es revenu à la charge quand mes amis t'on engueulé. Non. PART.
• à toi, R., chauffeur BOLT qui était sensé me ramener chez moi après une soirée où j'étais trop alcoolisée. Tu m'as complimentée. Tu m'as avoué être "dominant" mais que ta femme était trop "vanilla". Tu m'as demandé à voir mes pieds et avoué avoir pour fantasme de "doigter une cliente dans la voiture". Tu savais que j'étais alcoolisée. Je t'avais dit que j'avais vomi dans les toilettes du bar juste avant. Heureusement que ma pote qui avait commandé mon bolt, t'a appelé pour demander où j'en étais car elle était inquiète pour moi. Tu m'a ramené chez moi, non sans oublier de faire un commentaire sur le fait que "c'était dommage que je porte une culotte". Mon amie m'a appris que tu avais fait un détour d'une demi-heure. J'ai porté plainte contre toi et j'ai informé le service BOLT. J'espère que tu regrettes.
• à toi. S., commercial que j'ai rencontré hier soir, durant l'anniversaire de l'un de mes potes. Alors que nous étions installés sur la terrasse, tu t'es assis en face de moi. Devant tout le monde, tu m'as sorti que j'étais "sexy", que tu rêvais "de me prendre, de me soulever, de me tirer les cheveux et de me faire crier". Tu n'as même pas pris la peine de me demander mon prénom. Rien. Tu m'as juste craché ça dans la figure. Puis tu as avoué que ta copine était enceinte de 3 mois. "Mais que tu comptes tout de même profiter". Va te faire foutre.
• à toi, T., hollandais rencontré en soirée à Amsterdam. On s'est embrassés, tu m'as proposé de coucher les toilettes du club techno car tu avais "des colocataires" chez toi. Mais bien sur. J'en suis vraiment réduite à ça ? Dégage.
• à toi, U., danois rencontré en soirée sur Bastille. Tu ne m’intéressais pas. Pourtant cela ne t'empêchait pas de me draguer et de me dire des obscénités. Figure toi que tes potes m'ont parlé de ta copine, qui t'attend sagement au Danemark. Respecte là et n'ai pas ce genre de comportement avec des inconnues.
• à toi, V., italien qui était de passage à Paris. Oui, nous avions sympathisé. Oui, je t'ai donné mon whattsapp pour t'envoyer des adresses de bars et de restau sympa à tester. Non, je ne veux pas passer à ton hôtel après la soirée. La photo de ton mariage sur ton profil whattsapp est mignonne par ailleurs.
• à toi, W., qui m'a embrassée de force à mes 18 ans durant un séjour humanitaire. Tu avais l'âge de mon père. Je t'avais pourtant dit à plusieurs reprises que je n'étais pas intéressée. Tu l'as mal pris et m'a accusé d'agéisme.
• à toi, X., animateur camping qui m'a complimentée une vingtaine de fois sur mon physique quand j'avais 13 ans. Tu avais la quarantaine. Tu étais flippant. Ma mère m'a interdit de m'approcher de toi.
• à toi, Y,. qui m'a offert un verre de bière durant une soirée de rock catholique en bretagne. Tu avais la trentaine, j'en avais 11. Ne me ment pas, tu savais que j'étais mineure.
• à toi, Z., chirurgien de merde qui m'a violée 3 fois sur la table d'opération alors que j'étais anesthésiée. J'avais 7 ans. Je lis des articles sur toi tous les jours dans la presse. J'espère que tu pourriras en prison, sale ordure. C'est à cause de toi que toutes ces merdes m'arrive, je le sais.

Vous m’écœurez. Je vais voir un psy à cause de vous. J'ai des gros soucis de confiance en l'autre à cause de vous. La fidélité est un mythe, hein ?
Edit : à toi, AA., psychiatre parisien de merde qui a un délire chelou freudien. Tu m'as sorti que que tu comprenais E. qui m'avait agressé, car j'étais un fantasme pour beaucoup d'hommes, et que j'étais attirante. Je te demandais de l'empathie, que tu te mettes à ma place, pas à la place de mon agresseur. Pourquoi essayer de le protéger ?
à toi, AB., Ingénieur en cybersécurité avec qui j'ai eu un match sur Bumble mais que je n'ai jamais rencontré. Malgré mon rejet, tu as réussi à retrouver mon Facebook et mon Instagram "par pure hasard". Pourtant, j'avais utilisé un faux nom sur l'application de rencontre.
à toi, AC., Australien qui dormait sur le lit superposé en dessous du mien, dans un dortoir réservé pour 8 personnes dans une auberge de jeunesse miteuse à Londres. Je ne t'ai parlé qu'une fois durant mon séjour, pour te demander si on pouvait baisser le rideau. Le lendemain, vers minuit, alors que je rentrais de soirée, nous avons entendu l'un de nos voisins dans le dortoir ronfler. Tu m'as proposé de faire plus de bruit pour pouvoir le réveiller, le tout en dégageant ta couverture et en me faisant signe de te rejoindre. Je t'ai envoyé bouler. Tu te rends compte dans quel état psychologique j'étais, de réaliser que l'inconnu qui dort en dessous de moi vient de me faire des propositions sexuelles ?
à toi, AD, passant en parka que j'ai croisé dans une rue Rennaise, alors que je rentrais de soirée vers 5 heures du matin. De la rue d'en face, tu m'as hélé. Je t'ai tout d'abord ignoré. Tu m'as ensuite supplié de t'aider, car tu étais perdu. Je me suis retournée et je t'ai donné les indications pour retourner à la gare. C'est alors que j'ai compris que tu étais en train de te branler.
à toi, AE., stalker à capuche portugais qui nous observait moi et ma pote du haut ton immeuble à Porto. Tu nous a lancé un parpaing dessus car on t'ignorait. Mais va te faire foutre ! J'ai demandé aux autres résidents de l'auberge s'ils avaient eu des soucis avec toi également. Une grecque m'a raconté que tu lui avais lancé un ballon dessus. Ça t'amuse de faire flipper les jeunes femmes, c'est ça ? Tu kiffes ça hein ? à toi, AE., petit Kéké qui est venu m'accoster à 23 heure à la Défense. Au bout de 10 minutes, je t'ai demandé d'arrêter de me suivre. Tu m'as répondu que je me faisais des films, que tu habitais juste dans le coin et que nous suivions le même chemin. Tu as rajouté que tu "pouvais me protéger" pour mon retour. Je t'ai alors demandé "Qu'est-ce que ça te ferait si un homme venait aborder de cette façon ta sœur ou ta mère à cette heure ?" "Wesh, ma sœur sortirait jamais à cette heure !". Je t'ai demandé à plusieurs reprises de faire demi-tour, tu as insisté. J'ai dû claquer le portique de mon appartement dessus pour te faire déguerpir.
à toi, AF., que j'ai invité à un After chez moi car tu étais la "choppe" d'une de mes potes. Alors que nous étions que tous les deux en train de chercher des ingrédients dans le magasin d'à côté pour faire un brunch à mon appart, tu m'as fait une allusion sexuelle en sous-entendant "pour rire" que tu serais partant pour un plan à 3. J'ai fait semblant de ne pas t'avoir entendu. Plus tard, dans la matinée, ma pote est rentrée dormir chez elle, tu as préféré rester dormir sur mon canapé car tu étais claqué. Mes potes sont partis dormir dans la chambre d'ami, je suis rentrée dans la mienne. Deux heures plus tard, tu es venu dans ma chambre et m'a réveillé car tu voulais "un calin", tu as essayé de t'incruster dans mon lit. J'ai dû te repousser et claquer la porte derrière moi. Laisse-moi dormir.
à toi, AG., qui était dans le même bus de nuit OUIBUS entre Paris et Lyon que moi. Je me suis réveillée à 3 heures du matin, avec toi assis au milieu de l'allée. Tu étais installé sous mes jambes et en train de me caresser. Je t'ai foutu un coup de doc martens dans la gueule pour te faire dégager. Tu t'es installé dans le siège en face de moi et m'as proposé des cacahuètes que j'ai bien évidemment refusées. Alors que j'étais en train d'essayer de me rendormir, je me suis fait réveiller par ton flash de portable dans la gueule. Tu as finalement réveillé tout le bus à 5 heures du matin en mettant ton rap de merde sur haut-parleur.
à toi, AH., agent de la RATP qui m'avait aidée dans la matinée suite à une dispute avec une vieille mégère dans le métro, qui ne supportait pas que mes genoux touchent les siens et m'a insultée devant toute la rame de métro. Je t'ai remercié pour ton aide. Le soir, en rentrant du travail, quelle ne fut ma surprise de te retrouver dans la même rame de métro que moi. Tu m'as reparlé de l'incident, tu attendais des compliments et des remerciements de ma part. Tu m'as ensuite lourdement draguée tout du long du trajet, jusqu'à vouloir m'accompagner faire mes courses près de chez moi. Non. C'est NON.
à toi, AI, mexicain qui m'a agrippé les seins durant une soirée à Londres. Encore une fois, c'est ma pote catalane qui a pris ma défense, car je suis restée figée.
à vous, AJ et Co., qui m'aviez insultée dans la rue, sous-entendant que vous aimeriez me "monter comme un cheval". à toi, AK, qui m'as sorti "ça c'est une pouliche que j'aimerais prendre".
à toi, AL, qui te branlais sous un chantier en construction près des Champs-Élysées. Quand ma sœur a détourné le regard, dégoûtée, je lui ai dit en rigolant "première fois ?"
à toi, AM., qui m'a sorti que tu aurais préféré que je tombe "en dessous ta ceinture" lorsque je t'ai bousculé car j'avais trébuché dans la rue ;
à toi, AN., qui m'a suivi dans ta voiture alors que je rentrais seule à 21h d'un entrainement de Basket. J'avais 17 ans.
à toi., AO, qui m'a proposé de rentrer dans ta voiture pour me ramener chez moi quand j'avais 16 ans,
à toi., AP, qui m'a suivi jusqu'à chez moi quand j'habitais la défense. Tu m'as même sorti "Hey, je t'ai suivi.". Oui, je l'avais vu, pauvre con.
à toi, AQ., qui travaille à l'ambassade israélienne et m'a stalker pendant 2 ans sur Linkedin. Je voyais quand tu consultais mon profil, boulet.
à toi, AR., inconnu ivre qui est venu m'enlacer sur la plage à Carnac. Ça aurait été mieux si tu portais des vêtements.
à toi, AS., videur qui contrôlait les entrées au Festival des vielles charrues. Quand je t'ai sorti que tu n'avais pas le droit de me fouiller car tu étais un homme, tu m'as répondu "ça va, c'est pas comme si je t'avais léché les tétons".
à toi, AT., adolescent islandais qui m'a surement insulté pour amuser tes potes, et qui a passé ta langue entre tes ton index et ton majeur en me dévisageant, alors que j'allais tranquillement à la piscine de Reykjavík avec des potes.
à toi, AU., qui m'a embrassée devant ma colocataire, alors que je venais de te dire qu'elle avait un Crush sur toi. Elle m'a fait la gueule pendant 3 semaines, merci.
à toi, AV, qui m'a sorti dans le port de Lorient "toi, la grande, je te prend en levrette" en faisant des gestes explicites. Tu aurais pu éviter de le faire devant une sortie d'école scolaire, ils étaient choqués.
à vous, AW, et Co qui m'avez mis la main au cul en soirée. L'une d'entre vous m'a agrippé les fesses alors que je commandais une bière dans un bar Rennais. Tu es une femme, tu aurais dû comprendre que ça ne se faisait pas. Tu m'as répondu "Roooh, si on peut plus se marrer".
à toi, AX, jeune femme qui m'a léché le front alors que j'étais affalée sur un canapé dans une boîte de nuit rennaise.
à toi, AY, qui prenait des photos de mouettes alors que j'étais dans l'objectif de ta caméra, en train de bronzer sur la plage en maillot de bain. Ne va pas me dire que c'était un accident que j'étais dans ton viseur, on étaient littéralement 3 sur la plage.
à toi, AZ, dealer et revendeur de "malboro" qui m'a poursuivi dans un métro à Asnières car "ça fait 2 mois que je te complimente à l'entrée du métro, tu me réponds toujours pas." Bah oui, toi et ta bande me font flipper.
J'arrête ici, sinon il faudrait que je refasse une nouvelle fois l'alphabet.
*Edit 2: j'ai reparlé de mon malêtre à une amie hier. Elle m'a répondu que c'est vrai que j'en tenais une sacré couche. Puis elle m'a sorti 5 anedoctes qu'on a vécu ensemble l'année dernière, et que j'avais totalement oublié. Donc :
à toi, BA. Tu était torse nu, portais des longs gants noirs, un éventail et un shocker au coup. J'étais persuadée que tu étais gay, et avais accepté de danser avec toi. Puis tu m'as chuchoté que j'étais belle, et tu as soulevé ma jupe et essayé d'enlever mes collants.
à vous,BB et BC, deux gamins de 21 ans qui nous ont suivi en voiture après une soirée sur Paris
à vous BD et co, qui nous avez suivi dans votre camionnette à Berlin vers 6heure du matin
à toi, BE., qui m'a touché les fesses dans un bus de nuit à Paris.
à toi., BF, qui était à coté, et qui a juste rigolé. Tu m'a ensuite lourdement dragué pendant tout le reste du trajet.