Cerita selingkuh ma tante

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Bonjour à tous,
Je suis actuellement en train de préparer ma participation en tant que volontaire étranger aux Jeux Olympiques en France. Je viens du Maroc et je me demande quel type de visa je dois demander pour cette occasion. Quelqu'un pourrait-il me conseiller sur le type de visa le plus approprié pour cette situation ? Toute information serait grandement appréciée. Merci d'avance !

(Désolée c'est un peu long mais j'explique tout le contexte pour mieux comprendre la situation.)
[TL;DR : Des agents du CROUS ont vu un matelas d'appoint ainsi que mon copain dans mon studio mais n'ont rien dit. Est-ce qu'ils en ont juste rien à faire ou est-ce qu'ils vont me causer des problèmes dans le dos ?]
Salut salut !
Je fais un post ici parce que je psychote pas mal sur une situation qui pourrait particulièrement mal virer si les mauvaises personnes venaient à s'en mêler, je m'explique.
Je suis étudiante, actuellement en M2 et cela fait 6 ans que je suis au CROUS (oui je me suis réorienté lors de ma première L1). Même logement pendant ces 6 ans (un studio de 18m carré), j'ai jamais causé le moindre problème, bref tout est parfait.
En parallèle, cela fait maintenant 2 ans jour pour jour que je suis en couple avec mon chéri. Il a décidé, depuis Janvier, de venir s'installer dans ma ville pour qu'on puisse vivre ensemble. Mais qui dit logement, dit job, et donc il a commencé par se trouver un taf. Mais pas de taf sans avoir un endroit où loger et comme personne (ni ami, ni famille) ne peut l'héberger ici, on a décidé de vivre à 2 dans mon studio.
Je précise que je sais pertinemment qu'il est strictement interdit d'héberger quelqu'un même une nuit. Bon, en 6 ans de vie ici, je vous cache pas qu'il m'est arrivé à maintes reprises de faire dormir des amis ici mais c'était une nuit ou deux, peut être trois au piiire mais c'est tout. Dans son cas, je l'ai déjà hébergé une semaine ou deux de temps en temps pour qu'on se voit. Il n'y a jamais eu de problème. Mais désormais, c'est pour plusieurs mois.
Comme j'ai épuisé mes 6 années de droit au CROUS, et que je finis mes études cette année, mon bail se résilie quoi qu'il arrive le 31 Août. Ou avant si je me casse avant. Précisément, vu que lui a trouvé un CDI, nous sommes actuellement en pleine recherce de logement afin d'écourter au maximum cette situation irrégulière.
CEPENDANT, l'autre jour, deux agents du CROUS se sont pointé à l'improviste pour venir faire des mesures pour de futurs changements de rideaux. D'habitude ils envoient toujours un mail pour prévenir et donc mon copain et moi pouvons cacher ses affaires et notamment le matelas d'appoint qu'il utilise. Mais là, quand ça a sonné, j'ai pas eu le choix d'ouvrir. (Sinon eux ils pensent que t'es pas là et ils ouvrent dans tous les cas, je précise.) Ils sont entrés, ont prit les mesures et se sont cassé en s'excusant d'avoir dérangé vu qu'on était en train de bosser sur nos ordi respectifs. Aucune remarque ou regard bizarre sur le matelas d'appoint qui était pourtant à 30cm de la fenêtre ! Pourtant c'était bien des gens du CROUS, j'en connaissais un des deux qui était passé pour d'autres histoires de travaux quelques jours auparavant et pour le coup cette fois ci tout était caché et j'étais bien seule.
Mais là cette fois c'est pas la même. J'angoisse pas mal. (J'ai de gros problèmes d'anxiété, ça aide pas..) Tout le monde me rassure en disant que s'il y avait eu un problème, ils me l'auraient demandé cash. En plus mon studio est super clean, toujours bien tenu, je sais pas comment expliquer mais mis à part ce matelas y'a 0 indice que quelqu'un dort ici en plus de moi. On me dit que c'est rien, qu'ils ont vu que c'était pas le bordel et tout, et qu'ils en avaient très probablement rien à faire. Pourtant mon anxiété me fait imaginer qu'ils ont rien dit sur le coup mais qu'ils feront remonter l'info à la gestionnaire, qu'ils sont susceptibles de revenir check à n'importe quel moment sans prévenir, etc... Je sais que l'hébergement d'un tiers peut mener à de lourdes sanctions et même l'expulsion. Ça m'angoisse d'autant plus que si on se fait dégager, on est tous les deux dans une giga merde, on perdrait études/taf car on a personne pour nous dépanner dans le coin. C'est pas cool non plus pour l'ambiance parce que je vis dans le stress constant de les voir se pointer pour demander des comptes.
BREF, je suis à la recherche d'avis, ou mieux, de témoignages de gens qui se sont fait cramer par le CROUS dans une situation similaire. Est-ce qu'ils en ont rien à faire tant qu'on ravage pas le studio et qu'on ne cause pas de nuisances ? Au contraire, est-ce que c'est expulsion immédiate ? J'imagine que ça dépend un peu du CROUS en question... On s'est dit avec mon copain que si jamais ils reviennent à l'improviste pour demander si je l'héberge, on jouera aux débiles pas méchants qui ne savaient pas et que c'est occasionnel, désolé on le refera plus. C'est la meilleure carte à jouer je suppose ?
Merci d'avance pour vos réponses !

Bonjour,
je compte acheter ma RP dans une zone où la plupart des biens sont de type "maison de ville 1930". J'aimerais avoir vos conseils ou vos retours si vous en possédez vous-mêmes, en particulier ce qu'il est bon de vérifier ou savoir avant de faire le pas et acheter.
D'autre part, la plupart des biens que j'ai pu retenir et/ou visiter ont des particularités qui me rebiffent un peu:

• puits de lumière dans la pièce de vie au RDC, y a-t-il un risque de fuite ou de bruit assourdissant lorsque la pluie tombe? (Personnellement j'ai grandi dans une maison avec Velux dans ma chambre donc je sais ce que le ruissellement peut donner, mais le puits étant horizontal l'impact de la pluie est sûrement plus fort?)
  
• le vrai problème pour moi, c'est les escaliers ultra-raides et étroits pour aller aux chambres (sur 2 étages voire plus quand les combles sont aménagés). J'ai un enfant en bas âge, et pas spécialement les yeux en face des trous le matin ou la nuit, même en installant une barrière j'ai peur du risque d'accident tant les marches sont peu larges. Sans parler des soucis pour monter les lits ou les meubles dans les pièces à l'étage ... y a-t-il des solutions pour sécuriser ces escaliers? avec des coûts de quel ordre?
  

Hey, c'est la première fois que j'écris ici donc je sais pas trop comment m'y prendre mais je vais essayer de faire court sans omettre de détails.
Depuis presque 3ans je suis en couple avec quelqu'un que j'ai rencontré au lycée quand nous avions 15ans. On a grandi ensemble en tant qu'adolescents et maintenant on entame nos vies indépendantes, ce que j'adore. Tout se déroule plutôt bien dans la relation malgré pas mal de bas ces derniers temps (dus au stress des révisions, de la vie seule, au manque de l'autre et au fait qu'on habite à plus de 1000km pour nos études et dans des pays différent). Avant qu'on parte étudier, on vivait à 5min de trajet, on allait au même lycée et on se voyait quasiment tous les jours. Comment dire qu'avec la relation à distance, ça a beaucoup changé mais d'une certaine manière on s'y fait très bien je trouve. On s'appelle souvent, on fait de notre mieux pour se voir tous les 2 mois maximum. Bref, pour des jeunots, on gère.
Depuis toujours dans notre relation, on a dû faire face à deux choses:

1. le fait qu'il n'a jamais été en couple et qu'il a tout découvert avec moi de A à Z (ce qui a posé et pose encore parfois des problèmes)
2. Des problèmes de santé mentaux (fin j'aime pas ce terme parce que j'ai 0 diagnostics, je commence tout juste à aller chez une psy puisque pour plein de raisons différentes, je n'ai jamais pu avoir un suivi récurrent avant ça) ou plutôt des séquelles d'un milieu familial vraiment très compliqué qui, dans mon quotidien, affectent énormément ma vie.

Autant dire qu'on a vraiment appris à grandir ensemble, lui en m'aidant à faire la part des choses et à me recadrer sur le droit chemin quand je n'y arrivais pas, il a été, avec sa famille, la plus grande aide que j'ai pu recevoir dans ma vie. Aujourd'hui, sa famille prend soin de moi comme si j'étais un membre à part entière. Pour ma part je l'ai aidé en lui faisant comprendre comment marche une relation et comment s'adapter à quelqu'un d'autre que soi tout en faisant attention à soi même en priorité.
Donc enfin, on arrive au questionnement qui me tue intérieurement depuis quelques mois. J'arrive pas à savoir si je veux continuer d'être avec lui, mais en même temps, je l'aime très fort. Le problème, c'est qu'à cause de l'impact de ma vie familiale et de la distance entre nous deux, j'ai l'impression de m'être perdue.

• J'ai l'impression de m'attacher plus à la peur de perdre ma nouvelle "famille", de pas être assez reconnaissante de tout ce qu'ils m'ont apportés et en même temps, depuis que je vis seule, je gère ma vie perso presque toute seule (c'est 100% normal mais ça fait que je m'émancipe de cette aide que j'ai reçu avant).

Mon copain fait de son mieux pour être présent mais d'une certaine manière, il se concentre plus sur ce qu'il a à faire là ou il est (= travail, sa vie perso, ses hobbies et encore une fois, dans le fond, ça me dérange pas, je refuse d'impacter plus des gens qui ont encore moins de liens que moi avec ces problèmes injustes. C'est tellement normal qu'il se concentre sur sa vie à lui.) Le problème là-dedans c'est que inconsciemment, et j'espère que ça changera avec mes nouveaux rdv, je lui fais subir ma vie apparemment. J'arrive très mal à m'occuper de moi-même: durant certaines périodes, je fais de très nombreuses crises d'angoisses et durant d'autres, je suis presque insensible à tout, comme si je me mettais une carapace et que j'essayais d'ignorer la moindre douleur extérieure (je ne sais pas si c'est clair). Le truc c'est qu'en gros je vais soit avoir trop d'empathie, soit quasiment pas et forcément, ça veut dire que je vais agir de manière "incohérente" à ses yeux = je vais me contredire sur des choses, je vais être plus ou moins impactée par certaines de ses actions (parfois futiles). Fin bref, j'ai peur. J'arrive pas à me gérer moi-même et en plus, j'ai mal de devoir le faire subir à quelqu'un. En même temps, il ne m'aide plus vraiment donc forcément, j'ai plus de choses sur le dos, donc je mets plus de temps à essayer de me soigner mais c'est pas quelque chose que je peux vraiment gérer. J'essaie de toujours faire de mon mieux pour m'améliorer et malgré ça, c'est toujours très difficile quand je me rend compte à quel point mes problèmes d'avant ont eu une influence vraiment monumentale sur comment je perçois les choses, comment je vis, comment je m'empêche de vivre aussi certaines fois. Mais bon, c'est la qu'on arrive au point suivant:

• J'en peux plus de me mettre autant de pression sur l'impact de mes actions sur les gens parce que je veux tout sauf blesser qui que ce soit. Sauf que faire autant de mal à la personne que je suis supposée aimer plus que tout au monde, ça me tue.
• Des fois j'ai aussi l'impression qu'on part dans des directions opposées, on est pas d'accord sur tout et il me fait subir ses sautes d'humeur parfois (ex: Quand il travaille, il va être saoulé donc sa voix laissera transparaître ça avec moi) mais encore une fois, dans le fond c'est futile mais c'est juste que personnellement je l'associe à beaucoup d'autres choses qui me dérangent (type: ne pas prendre en compte que ce n'est pas à moi de subir ce qu'il fait dans sa vie même si je le soutiendrai pour tout) et j'ai beau parler avec lui clairement de ce qui m'embête chaque fois, ça recommence. J'ai conscience qu'il doit se sentir pareil vis à vis de moi, surtout vu comment je dois impacter sa vie à cause de tout ce que j'ai dis avant, mais il ne m'en parle que très rarement. Il évoque tout ça que quand je lui fais part de choses qui me dérangent moi => Ce qui, sur le long terme, m'embête aussi vu que ça m'empêche un peu de faire la moindre réflexion. Quand on vivait à côté, il y avait 100x plus de problèmes parce qu'il découvrait ce que c'était une relation amoureuse et que je vivais au coeur de mon problème (aka chez ma famille) maintenant ça s'améliore. Le truc c'est que tout ça bah, la distance y joue aussi un jeu. Il y a clairement un manque de l'un et de l'autre qui crée des tensions et ça nous empêche un peu de voir les évolutions de la relation.
• Justement, cette distance me fait me demander aussi si: Est-ce que j'ai envie de me détacher de lui parce qu'on est loin, qu'on passe beaucoup moins de temps ensemble et qu'on partage beaucoup moins? Ou Est-ce que je veux me détacher de lui parce que je suis en train de perdre mes sentiments amoureux, même si je l'aime très fort, et que j'ai envie de vivre avec moins de pression, de me concentrer plus sur moi et sur comment guérir?

Et je me déteste pour ça, mais je crois aussi que j'ai envie d'arrêter de me prendre la tête, j'ai envie de me laisser aller, de rencontrer des gens, de sortir de ce confort éternel. J'ai envie de revivre des étincelles amoureuses et amicales et j'ai l'impression que cette relation m'empêche de faire ça, que je vis trop à travers lui. Sauf que je ne veux pas lui faire subir cette envie et l'idée même de l'avoir me donne l'impression que je le trompe d'une certaine manière et ça me dégoute, comme si je faisais partie des jeunes qui veulent "profiter de la vie", comme si tout passait que par le fait de me construire seule. J'ai l'impression aussi que cette idée là c'est pas vraiment la mienne mais celle de mon côté qui va pas bien. Ce que je veux dire c'est que d'une certaine manière, j'ai le sentiment que la partie de moi qui va pas bien est persuadée qu'il faut que je revive ma vie de 0 et que je m'éloigne de cette vie d'avant, que je vivais lorsque j'étais lycéenne.
Mais ce confort, c'est tout ce que j'ai, c'est à la fois cette personne que j'aime tant, cette famille, c'est l'idée utopique d'un amour qui commence à 15ans et c'est plein de bons souvenirs, c'est un amour partagé avec une personne qui peut être douce, rigolote et qui pendant plusieurs années a été l'une des seules à me faire sourire et rire comme jamais je l'avais fait avant. Dans le fond, je suis vraiment amoureuse mais j'ai peur de tout ça, je sais pas du tout comment faire un choix. Puis, je suis en pleine période d'examens, ça n'arrête pas de me prendre la tête. J'ai l'impression d'être dans un problème sans issue. Ca me fait tellement mal et j'ai vraiment l'impression d'être une personne atroce avec lui et envers moi même aussi. La chose qui me fait douter aussi c'est le fait que ça va faire quelque mois que tout ce que j'ai dis là me trotte dans la tête à répétition mais j'essaie de me convaincre d'attendre l'année prochaine parce qu'il revient vivre dans le même pays que moi, même si pas dans la même ville.
J'ai l'impression que tout est confus dans ce que je vous ai raconté mais je serai ravie d'avoir des conseils sur comment faire pour mettre à plat mes émotions et comprendre ce qui influence mon raisonnement en ce moment. J'aimerais aussi pouvoir être totalement honnête avec lui sur ce que je ressens, mais la condition actuelle ne le permet pas vraiment vu que c'est une discussion à avoir en face à face et qui prend du temps à régler. Puis, j'ai tout sauf envie de lui briser le coeur, parce que même si je me rendais compte que tout venait du stress, de la distance et de la pression de mes problèmes mais que j'étais folle amoureuse; si je lui annonçais quelque chose de pareil, il aurait forcément mal au coeur. Je ne suis pas sûre qu'un sentiment aussi désagréable dû au discours que j'ai dit, soit quelque chose dont il pourrait vraiment se remettre dans notre relation. J'ai vraiment besoin d'être au clair avec moi-même...
Désolée encore une fois pour la confusion des mots que j'ai probablement employé, des fautes d'orthographe aussi et merci énormément à ceux qui prendront le temps de me répondre, vraiment beaucoup. Je précise par ailleurs que je ne souhaite vraiment aucun jugement sur qui que ce soit, je cherche juste des conseils pour comprendre comment gérer ça au mieux et mettre mes idées en place, pour arrêter de m'enfermer dans cette boucle et ne pas blesser une personne que j'aime de tout mon coeur (amoureusement ou non, et c'est que ce que je cherche aussi à comprendre)

Des fois, je regarde autour de moi, et je vois ma femme (on est ensemble depuis le lycée, mariés depuis 17 ans), et je me surprends à être un adulte marié.
Des fois, je vois ma maison, et je me surprends à être adulte propriétaire d’une maison.
Des fois, un de mes 2 enfants (9 et 14 ans) m’appelle papa, et je me surprends à être un adulte père.
Des fois, je suis à l’école en tant que parent, et j’ai du mal à réaliser que je suis adulte comme le prof.
Des fois, un jeune m’appelle monsieur, et je me surprends à être un adulte qu’on appelle monsieur.
Des fois, je suis au travail en train de vendre mon expertise à un client, et je réalise que je suis un adulte qui s’y connaît bien dans un domaine et qui en a fait son métier.
Des fois, je vois mes amis avec leurs enfants ou leur vie d’adulte, et je réalise qu’on est tous des adultes.
Encore aujourd’hui, je réalise régulièrement avec surprise que je suis adulte. Je ne sais pas si j’en serai pleinement conscient un jour ? Je suis resté très lié à mon moi enfant.

Bonjour à tous,
Je possède actuellement une Citroën C3 110ch, modèle de 2018, j’ai donc le fameux moteur PureTech et j’ai été concerné par le rappel l’année dernière. Lors du rappel ils m’ont indiqué que tout était OK, mais que cette année je devrais changer ma courroie car mon véhicule aura 6 ans.
Il y a quelques semaines j’ai donc fait changer la courroie + révision. Par contre, les mécanos de ce garage m’ont fortement conseillé de revendre mon véhicule tant qu’il roule correctement et que je n’ai pas de problème.
Ma question étant, est-ce que ça craint tant que ça de garder ma voiture ? Je l’ai achetée il y a 2 ans. Je ne m’y connais absolument pas, donc je ne sais pas quelle est la bonne décision à prendre.
Merci à vous pour vos réponses 🙏🏼

Ce soir je suis assise au bureau de mon travail nul. Je pense a des trucs stressants, des papiers, des oublis, ma phobie des papiers, mes crises d’angoisses et mon coeur qui flanche quand je vois des mots relatifs à « mutuelle, fiscal, impots, etc… ».
J’ai toujours eu cette phobie mais depuis que j’ai changé de pays je croule sous les angoisses. J’ai de l’autisme et un TDAH qui me rendent extrêmement sensible et paralysée par la moindre tache de ce type. Ce n’est pas du cinoche, j’en ai vraiment une peur bleue. Au point que ca me gache la vie putain. Ca me la gache tellement que j’en ai des idees noires. J’oublie des trucs, je panique a mort, j’appelle les services et le souci est réglé. J’ai jamais eu de gros problèmes juste des oublis par ci par la que jai toujours corrigé car de bonne foi. J’ai zéro envie de frauder ou de jouer au con simplement mon cerveau suit pas. J’en ai tellement honte. J’ai trente ans depuis qq semaines et je me sens comme une gamine. J’avais fini par tout regler, fini la micro entreprise stressante a mort, fini les impots, l’urssaf, les conneries… j’ai oublié la cpam. Et la jme fait les pires scénarios. Je vais recevoir une turbo amende pour fraude car je me signale un an apres mon depart. mais putain j’etais meme pas au courant. Ici les expats m’ont dit n’importe quoi.
Et putain la paperasse en vrai jmen fout tellement. Moi je veux dessiner, je veux dessiner pour les jeux videos. Apres avoir cru que le graphisme c’etait la seule facon en tant qu’illustratrice de me faire une petite carriere bah nan je me suis plantée. Micro entreprise miserable, covid, mort de mon grand pere, de mon beau pere, amnésie traumatique… bref. Merde sur merde. Je veux juste me poser et bosser sur mes dessins et ENFIN trouver le courage de contacter des boites qui voudraient au moins me filer un coup de main. J’en ai marre. Mon cerveau est rempli de papiers, de situations ou la cpam vient envahir ma maison et me prendre tous mes meubles, ou tous ces trucs administratifs de merde viennent m’ecraser et me voler ma liberté mais il s’est rien passé. Je vis juste dans l’anticipation d’une catastrophe qui n’arrive pas. Je retiens ma respiration. Mais je veux juste que mon angoisse s’arrête. Ca ne m’intéresse pas de stresser pour ca !! Putain.
Ma psy m’aide bcp mais j’ai toujours des rechutes, je sais que des gens sont dans le caca bien plus que moi, j’ai conscience que mon esprit et ma façon de voir les choses est le problème. MAIS CA ME SERT A RIEN DE LE SAVOIR JE VEUX QUE CA CESSE. Pardon mais la cest trop putain j’en ai tellement marre de ces conneries.
Et la je suis a mon travail, je nettoie, je parle mal la langue locale et je veux changer d’orientation, je veux juste dessiner merde je demande pas grand chose. Mais ce putain de cerveau s’agrippe a des conneries et me pourrit mes journées.
Cest tellement ecrasant que je songe au pire, souvent, je ne vois pas comment sortir de cette passe ou il spirale au moindre pet de mouche.
Et la ce soir j’ai honte que la peur m’ait maintenue sous l’eau si longtemps. J’ai honte de ne toujours pas avoir de carrière dans l’illustration (j’ai le skill la n’est pas le souci je sais juste pas me vendre). J’ai honte de pas être la ou je veux être a 30 ans et je veux plus continuer si ca veut dire craindre chaque lundi matin comme la peste parce que les services ouvrent a 8h30 et regarder fébrilement mon courrier comme si il allait enfin m’annoncer mon emprisonnement.
Oui la phobie administrative existe et c’est bien de la merde, j’en suis la preuve vivante.

Salut,
Ma mère a acheté un téléphone avec paiements mensuels chez Vidéotron. Évidemment, son forfait est beaucoup trop cher.
Je lui ai dit de payer son téléphone pour pouvoir changer de compagnie. On lui a répondu que tant qu'elle a des services avec eux (cell + illico) ce n'était pas possible de se libérer en payant le téléphone au complet immédiatement.
C'est vrai? 🤔

L'altro giorno mi arriva a casa una bella raccomandata del comune, nella quale mi viene richiesto di pagare la "modica" cifra di 70 euro per l'errato conferimento della raccolta differenziata.
Avrò buttato magari della carta nella plastica? Del vetro nell'organico? Un water nell'alluminio? Apparentemente ho gettato materiale differenziabile (carta, vetro e organico) nell'indifferenziata.
Ora io posso capire tante cose, ma sul serio bisogna differenziare OGNI SINGOLA COSA perchè altrimenti ti becchi un centone di multa? Fermo restando che il vetro in questione mi risulta essere non riciclabile (bicchiere rotto), che la carta era oleata e quindi non riciclabile, e l'unico organico che mi viene in mente potesse esserci sono fazzoletti smocciolati (che ho appena scoperto essere riciclabili).
Avete mai avuto esperienze del genere?

Evidemment, je commence.
Je crois pouvoir dire que le harcèlement scolaire que j'ai vécu a détruit ma vie pour toujours, mais pas seulement la mienne, malheureusement.
J'ai été harcelé à peu près toute ma scolarité. En primaire ( 1999-2002) je vivais déjà quelques bousculades mais je ne m'estimais pas encore être un souffre-douleur. Entre 2003 et 2006 la situation a empiré pour devenir un enfer entre 2006 et juin 2009. Je précise que j'ai actuellement 31 ans, donc cette histoire date mais je souffre encore des conséquences de ce passé, et je crois que ça ne s'arrêtera jamais.
" Tu es moche", "tu pues", "casse-toi" : j'entendais ces choses-là tous les jours. J'ai aussi vécu des "petites" violences physiques (recevoir un coup de poing sur l'épaule en guise de jeu). Certains cachaient mon sac. Peu importe ce que j'avais dans la main (des cartes de jeu pour jouer tout seul, des feuilles pour faire mes devoirs) des sixième (alors que j'étais en troisième :/ ) me les arrachaient des mains pour les balancer par terre. C'était comme ça tous les jours.
Mon père a toujours été absent ; ma mère avait un compagnon, avec lesquels je n'avais pas du tout la même vision de la vie, les mêmes valeurs, idées, pensées, donc les désaccords étaient nombreux et je ne me suis jamais senti aimé. C'est lorsqu'à 16 ans (2009) j'ai parlé à ma mère pour lui dire que j'étais harcelé qu'elle m'a répondu que c'était de ma faute, que j'ai commencé à la haïr profondément.
J'ai fini par couper les ponts en 2014 et je n'ai pas l'intention de lui reparler. J'ai aussi coupé les ponts avec mon père avec qui j'avais de rares contacts pour d'autres raisons.
Je me sentais profondément malheureux. Et puis, au début de l'année scolaire 2009, je suis rapidement devenu ami avec une fille, que je me suis mis à aimer trop vite, trop fort. Elle était d'une gentillesse infinie. Je croyais être malheureux parce qu'elle ne voulait que de l'amitié. Je pense que je dénigrais inconsciemment cette amitié, parce que je voulais davantage.
Je n'ai pas su gérer cette lumière qui est soudainement apparue dans ma vie. En recherchant plus que ce qu'elle pouvait me donner, j'ai fini par tout perdre. Lorsqu'elle m'a annoncé sa volonté de ne plus me parler en 2010, j'ai fait l'immense erreur d'envoyer des messages de supplications pour qu'elle redevienne mon amie. Je ne savais pas ce que je faisais, j'ai compris plus tard qu'il s'agissait de harcèlement.
Elle s'est mise à ressentir de la haine (ou, en tout cas, une colère noire, mais je le ressentais plutôt comme de la haine) à mon encontre.
Nous nous sommes en quelque sorte réconciliés à la seconde moitié de l'année 2010. Même si nous avions pu discuter un peu du passé, la cassure est restée présente, il n'y avait rien de réparable.
J'avais parfois l'occasion de bavarder avec elle, mais à la fin de l'année 2012, elle m'a clairement indiqué qu'elle ne voulait plus de contact avec moi.
Je n'ai pas réitéré mes erreurs du passé. J'ai envoyé de très, très rares messages des années après, qui exprimaient mes profonds regrets, mais je n'ai jamais eu de retour.
Je ne cherche pas à ce que l'on me conseille de consulter un professionnel, ce n'est pas du tout l'objet de mon post (j'en ai fait l'expérience à plusieurs reprises et j'ai un avis plutôt négatif à leurs propos).
Je suis convaincu que si j'avais été un enfant/adolescent qui s'était senti aimé par mes parents et apprécié par des amis (j'étais vraiment très seul au collège), je n'aurais jamais perdue cette amie. Elle ne se sentais pas respectée parce que j'étais trop lourd et trop insistant. Ce que, aujourd'hui, avec le recul, je comprends.
J'ai parfaitement conscience, cela dit, d'avoir ma responsabilité personnelle, je ne la nie pas.
Mais ce que je vois, c'est que 12 ans sont passées depuis l'arrêt du lycée, et que je me sens particulièrement seul. J'ai, par ailleurs, arrêté les études, parce que je n'en pouvais juste plus. Depuis que j'ai quitté le lycée, je cherche à lutter contre le harcèlement scolaire, et je me suis juré de le faire pour toujours. Parce que j'ai le profond sentiment qu'à cause de ça, je ne ressentirai plus jamais une telle lumière dans ma vie. Je ne suis plus du tout la même personne parce que j'ai pris le recul nécessaire mais elle me manquera pour toujours.
C'est pour ça que j'estime que le harcèlement scolaire a détruit ma vie (même si oui, j'ai conscience de ma responsabilité).
J'ai fait quelques belles (mais très rares, et plutôt éloignée de ma région) rencontres depuis la sortie du lycée bien sûr mais ce n'est pas vraiment pareil. J'ai changé de région, d'ailleurs, pour fuir mon passé et laisser passer du temps.
Le silence dans mon studio est parfois particulièrement pesant.
L'objet de mon post, c'est, si vous avez vécu du harcèlement scolaire, estimez-vous, en tant qu'adulte, qu'il a détruit votre vie ?
Merci

Evidemment, je commence.
Je crois pouvoir dire que le harcèlement scolaire que j'ai vécu a détruit ma vie pour toujours, mais pas seulement la mienne, malheureusement.
J'ai été harcelé à peu près toute ma scolarité. En primaire ( 1999-2002) je vivais déjà quelques bousculades mais je ne m'estimais pas encore être un souffre-douleur. Entre 2003 et 2006 la situation a empiré pour devenir un enfer entre 2006 et juin 2009.
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" Tu es moche", "tu pues", "casse-toi" : j'entendais ces choses-là tous les jours. J'ai aussi vécu des "petites" violences physiques (recevoir un coup de poing sur l'épaule en guise de jeu). Certains cachaient mon sac. Peu importe ce que j'avais dans la main (des cartes de jeu pour jouer tout seul, des feuilles pour faire mes devoirs) des sixième (alors que j'étais en troisième :/ ) me les arrachaient des mains pour les balancer par terre. C'était comme ça tous les jours.
Mon père a toujours été absent ; ma mère avait un compagnon, avec lesquels je n'avais pas du tout la même vision de la vie, les mêmes valeurs, idées, pensées, donc les désaccords étaient nombreux et je ne me suis jamais senti aimé. C'est lorsqu'à 16 ans (2009) j'ai parlé à ma mère pour lui dire que j'étais harcelé qu'elle m'a répondu que c'était de ma faute, que j'ai commencé à la haïr profondément.
J'ai fini par couper les ponts en 2014 et je n'ai pas l'intention de lui reparler. J'ai aussi coupé les ponts avec mon père avec qui j'avais de rares contacts pour d'autres raisons.
Je me sentais profondément malheureux. Et puis, au début de l'année scolaire 2009, je suis rapidement devenu ami avec une fille, que je me suis mis à aimer trop vite, trop fort. Elle était d'une gentillesse infinie. Je croyais être malheureux parce qu'elle ne voulait que de l'amitié. Je pense que je dénigrais inconsciemment cette amitié, parce que je voulais davantage.
Je n'ai pas su gérer cette lumière qui est soudainement apparue dans ma vie. En recherchant plus que ce qu'elle pouvait me donner, j'ai fini par tout perdre. Lorsqu'elle m'a annoncé sa volonté de ne plus me parler en 2010, j'ai fait l'immense erreur d'envoyer des messages de supplications pour qu'elle redevienne mon amie. Je ne savais pas ce que je faisais, j'ai compris plus tard qu'il s'agissait de harcèlement.
Elle s'est mise à ressentir de la haine (ou, en tout cas, une colère noire, mais je le ressentais plutôt comme de la haine) à mon encontre.
Nous nous sommes en quelque sorte réconciliés à la seconde moitié de l'année 2010. Même si nous avions pu discuter un peu du passé, la cassure est restée présente, il n'y avait rien de réparable.
J'avais parfois l'occasion de bavarder avec elle, mais à la fin de l'année 2012, elle m'a clairement indiqué qu'elle ne voulait plus de contact avec moi.
Je n'ai pas réitéré mes erreurs du passé. J'ai envoyé de très, très rares messages des années après, qui exprimaient mes profonds regrets, mais je n'ai jamais eu de retour.
Je ne cherche pas à ce que l'on me conseille de consulter un professionnel, ce n'est pas du tout l'objet de mon post (j'en ai fait l'expérience à plusieurs reprises et j'ai un avis plutôt négatif à leurs propos).
Je suis convaincu que si j'avais été un enfant/adolescent qui s'était senti aimé par mes parents et apprécié par des amis (j'étais vraiment très seul au collège), je n'aurais jamais perdue cette amie. Elle ne se sentais pas respectée parce que j'étais trop lourd et trop insistant. Ce que, aujourd'hui, avec le recul, je comprends.
J'ai parfaitement conscience, cela dit, d'avoir ma responsabilité personnelle, je ne la nie pas.
Mais ce que je vois, c'est que 12 ans sont passées depuis l'arrêt du lycée, et que je me sens particulièrement seul. J'ai, par ailleurs, arrêté les études, parce que je n'en pouvais juste plus. Depuis que j'ai quitté le lycée, je cherche à lutter contre le harcèlement scolaire, et je me suis juré de le faire pour toujours. Parce que j'ai le profond sentiment qu'à cause de ça, je ne ressentirai plus jamais une telle lumière dans ma vie. Je ne suis plus du tout la même personne parce que j'ai pris le recul nécessaire mais elle me manquera pour toujours.
C'est pour ça que j'estime que le harcèlement scolaire a détruit ma vie (même si oui, j'ai conscience de ma responsabilité).
J'ai fait quelques belles (mais très rares, et plutôt éloignée de ma région) rencontres depuis la sortie du lycée bien sûr mais ce n'est pas vraiment pareil. J'ai changé de région, d'ailleurs, pour fuir mon passé et laisser passer du temps.
Le silence dans mon studio est parfois particulièrement pesant.
L'objet de mon post, c'est, si vous avez vécu du harcèlement scolaire, estimez-vous, en tant qu'adulte, qu'il a détruit votre vie ?
Merci
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Hola gente, quesito della domenica!
Abito in una zona residenziale tranquilla e silenziosa e col ritorno della primavera è tornato un ragazzino in moto.
Ha una ktm duke 125 con uno scarico aperto " aliexpress" e una centralina per fare le fiammate dallo scarico, fa un casino terrificante e tocca velocità degne di un nonno in bicicletta, quindi impiega molto tempo a passare e lo fa, ovviamente a tavoletta.
Ora che si iniziano a tenere le finestre aperte è irritante, perché passa a tutte le ore del giorno, più volte al giorno, un paio di volte di notte lo ho visto piazzare un 3 piedi col telefono per riprendere le fiammate dallo scarico.
Ora, accanto a noi ci sono chilometri e chilometri di zona industriale vuota e ancora meglio di campagna con tante belle curve e nessuno a cui rompere le palle.
Vorrei andare a fargli presente che si, ha rotto il cazzo .
D'altrocanto anche io ho fatto le stesse cose sceme, tuttora la mia moto attuale , una rsv 1000, ha uno scarico totalmente aperto e fa un casino terrificante al punto che se parto da solo la spingo fuori dalla zona residenziale prima di accenderla .
Quindi vorrei farlo presente ma non come il classico " non rompere il cazzo che la domenica devo dormire " che so per esperienza non funzionare , quanto fargli capire che condivido quel che fa e gli auguro ogni bene, ma che vada a farlo altrove .
Idee su come fare ?

J'ai mis le tag société parce que je sens que c'est un sujet de société. Peut être aurais je du mettre blabla ?
De plus en plus sur insta et les réseau sociaux en général, je tombe sur des comptes, parlant de l'entreprenariat. C'est un domaine qui, en vérité ne m'intéresse pas plus que ça à la base, mais je suis curieux, alors j'ai regardé et j'ai réfléchis, j'ai cherché et j'ai discuté avec des entrepreneurs autour de moi et au final, plus j'y pense, moins j'ai l'impression qu'être entrepreneur a du sens.
Pourquoi tant de comptes font la promotion de ce modèle ? Et maudisse tant le modèle du salariat ? Surtout quand tant de ces comptes vendent au final le fait de prendre des salariés, pardon : collaborateurs stagiaires pour faire le travail à sa place. Stagiaires, qui, on espère bien, seront au moins aussi dévoués que le créateur de l'entreprise et payés le glorieux 600€ nets (pour du 50h/semaine parce qu'on est une famille). Finalement, j'ai l'impression que c'est les entrepreneurs qui prennent la masse salariale pour de la merde, et sont les premiers à se plaindre dès qu'un salarié essaye de faire valoir ses droits.
Certains disent que c'est pour éviter d'avoir un patron chiant. Mais ... Dans l'entreprenariat aussi, vous devrez adhérer à des règles, cahier des charges et à des législations. Il faut aussi faire du travail pas passionnant juste pour remplir les caisses. Ceux qui peuvent se vanter de choisir leur clients sont une extrême minorité. La seule différence est que les ordres ne viendront plus d'une figure unique, mais de pleins de personnes différentes, qui n'auront que faire de ce que vous disent les autres, et à vous de vous débrouiller pour jongler entre chacun.
Et ceux qui vendent du rêve en faisant le double de ce qu'ils faisaient en tant que salarié, ils parlent uniquement en CA. Parce que en retirant les cotisations, taxes et impôts, ça revient du pareil au même en net. Le fait qu'il faut amasser et garder au grand minimum 6 mois de trésorerie, au cas où, car les clients payent avec parfois des mois de retard (quand ils payent). J'ai l'impression que ces influenceurs ne savent pas DU TOUT de quoi ils parlent, et ne connaissent rien à l'entreprenariat, et au patronat au final car ces points ne sont jamais évoqués.
Vous souhaitez faire un poste technique dans l'entreprenariat ? Là ou dans le salariat, vous ferez votre travail environ 80% du temps (les 20% restants sont des réus chiantes) soyez heureux si dans l'entreprenariat vous faites ce que vous aimez 50% du temps. Le reste est dédiés à l'enfer administratif, et surtout à la prospection de projets et de clients, qui est une véritable jungle. Entre les arnaques pures et dures, les clients avec qui il se passe des jours / semaines de discussion pour au final "j'ai trouvé quelqu'un d'autre" et la concurrence féroce, j'espère que vous avez les reins solide.
Mais le pire dans tout ça, c'est que je pense que les grands gagnants sont les entreprises qui prennent ces prestataires de services. C'est du pain béni pour eux : imaginez un salarié sans droit, c'est exactement ce qu'ils sont. Cette charge de régularisation fiscale, le poids des cotisation, c'est aux entrepreneurs de se débrouiller avec leurs comptes, leurs comptables ... Sans compter la possibilité de se faire jeter du jour au lendemain, sans indemnité ou raison aucune. J'espère pour vous que vous avez prévu de la trésorerie le temps de chercher un nouveau client.
Bref, j'ai l'impression que cette mode entrepreneuriale, venue tout droit des US est en train de faire plus de mal que de bien au monde du travail, et fini par précariser et pénaliser tout les employés, les grands gagnants étant les grands groupes au final qui utilisent les gens utilisant ce statut pour outrepasser les droits salariaux qui auraient du les protéger.
Je ne suis pas entrepreneur, juste étudiant en informatique. Ce sujet revient donc souvent lors des discussions avec les autres de la promotion, surtout qu'on approche de la fin des études. Mais voir une grande partie de mon entourage dans le domaine glorifier à ce point ce modèle économique, sans en comprendre les tenants et les aboutissants, je trouve que ça fait quand même un peu flipper.
Voilà c'était ma petite réflexion du dimanche !

Bonjour! Bon c'est peut-être un coup de gueule inutile mais quand même je me lance: ça fait plusieurs fois que je me fais doubler dans la même zone alors que je plafonne à la limitation de vitesse, sachant que dans cet endroit on retrouve un stop, deux dos d'âne (dont une limitation de vitesse sur le second) et un rond-point assez sec avant de sortir de ville (et en prime un coin propice aux contrôles routiers). Quand c'est pas un qui double sur le dos d'âne en pleine montée, c'est autre chose et l'autre jour il y en a un qui m'a littéralement doublé avant le rond point. Le pire c'est que j'étais dans son rétro tout le long du trajet sans forcer (on s'est suivis pendant une bonne demi heure), d'habitude je m'en cogne mais au moins même ceux qui roulent comme des débiles tout le long du trajet et qui finiront probablement enroulés autour d'un platane ça m'exaspère moins (tant que c'est pas dans un autre véhicule mais bon on peut pas savoir). Du coup ma question c'est que je me demande ce qu'il se passe dans vos têtes quand vous faites un truc inutile et dangereux/interdit ou c'est juste moi qui suis trop loyal-bon pour la route?
(Précision: la ville en question c'est pas une métropole mais c'est pas un hameau non plus)

Salut les filles ! Je travaille depuis 3 ans, avant je gagnais 1500 net, mnt plutôt 1900. C'est plutôt confortable mais j'ai des objectifs de vie qui font que j'économise beaucoup. Je vous explique : 1. ma maman perds la vue et bois beaucoup... Un de ces jours ce sera l'ehpad et ça coûte très cher... 2. J'ai pu acheter un bien avec mon chéri ! Mais on doit le rénover... Ce n'est pas urgent cependant c'est une épée de damocles au dessus de ma tête (toit en amiante). 3. Un de ces jours je prévois des enfants avec mon chéri... Bref autant de raison d'économiser tant que je le peux ! J'ai toujours fait cela (sinon je n'aurai pas pu acheter) et ça m'a toujours très bien réussi ! Mais mes amies n'ont pas du tout la même vie. La plupart ont plus d'argent d'ailleurs... Leur maison est 40m2 plus grande... Leur salaire est à 2800 net. Leur mari gagne plus... Leur parents sont en bonne santé et les aide. J'ai vraiment l'impression d'être du mauvais côté de la pièce, d'être la chieuse. En ce moment c'est marriage... Mais entre le billet d'avion, l'hôtel, etc. Je ne peux pas. Ça représente une part énorme de budget. Donc c'est clairement impossible pour moi de traverser le globe juste pour une marriage. Comment vivez vous cela ? Je me sens à la limite de pauvre selon les situations (quelque part je le suis face à elles). Mais surtout je veux pouvoir leur communiquer que je tiens à elles ! Mais que mettre 500 euros dans un week end de 2 jours ou pire 1700 euros pour aller dans un pays asiatique... Je ne peux pas. Des conseils ?

Opinion non populaire apparemment. Je m'explique : j'ai relu un livre récemment, La Survie de l'Espèce, très bonne critique de la politique actuelle et malheureusement encore d'actualité 12 (waouh, 12) ans après sa publication. Mais en tant qu'enfant, quand je l'ai lu pour la première fois, je comprenais sans comprendre : je n'avais pas réellement compris ni le but ni les métaphores contenues dans le livre, comme les jockeys et les parieurs étant les entreprises et les actionnaires, ni l'affreux journaliste gauchisant ayant acheté une (1) part de la compagnie pour assister aux réunions des actionnaires, et je m'en suis rendu compte en le relisant d'un oeil neuf.
Aussi, bon nombre de jeunes enfants déclarent avoir un.e amoureux.se, alors qu'ils ont six ans et qu'ils sont hauts comme une demi-pomme. On peut ressentir des choses en étant enfant, je le sais, mais à aucun moment doit-on appeler cela de l'amour et encore moins doit-on l'encourager, car faire croire à un enfant quelque chose de faux peut mener à une forte incompréhension de lui une fois arrivé à mâturité, ou même avant. J'avais 11 ans quand mon "amoureuse" (relation à sens unique bien entendu) m'a envoyé une lettre pour dire qu'elle aimait un autre garçon, et le désarroi dont je fus pris n'était pas un chagrin d'amour mais plutôt un retour sur terre du fait que pendant la plus grande partie de ma vie, approximativement 8 ans (oui oui, 8 ans et j'en avais 11), je croyais être amoureux d'elle. J'en ricane doucettement aujourd'hui, après avoir vraiment et profondément été amoureux de quelqu'un.
De plus, l'expression d'"être grand" s'ajoute. Pourquoi dit-on aux enfants "tu comprendras quand tu seras grand" ? Tout simplement car ils sont incapables de le comprendre à l'heure qu'il est. Et les enfants qui veulent être "grands" peuvent parfois se retirer des barrières de jugeote et commencer à fumer, à avoir des rapports sexuels "parce que c'est ce que font les grands". Et un enfant qui dit qu'il est grand, ou des parents qui disent à leur enfants qu'il est grand, cela me hérisse au plus haut point.
Je peux comprendre qu'un tel discours peut me faire passer pour un père de famille fermé d'esprit des années 50, mais non, je suis un adolescent qui a pris conscience d'à quel point certains aspects de son éducation n'ont eu aucun sens et à quel point ses parents vivent avec Groschéri et Grosgateau.
Voilà c'est tout bonne journééée

Buongiorno a tutti e buona domenica. È la prima volta che scrivo in questo sub, diciamo che mi sono sempre mantenuto nell’ombra leggendo varie discussioni e prendere spunto su diversi aspetti riguardo investimenti personali. Il tema di oggi è un po’ diverso, ed ho deciso di aprire una discussione per capire se qualcuno ci fosse già passato (immagino di sì) ed avere delle dritte su come comportarmi. Vi spiego meglio. Lunedì scorso, esattamente il 22 Aprile, verso le 17.30 vado a salutare un amico stretto al tabacchino del padre. Ci prendiamo un caffè, ci fumiamo un paio di sigarette e mentre serve alcuni clienti, il padre si avvicina (anche con lui ho un bellissimo rapporto) e mi chiede di seguirlo un attimo fuori in quanto doveva parlarmi di una cosa. Lo seguo, si appoggia alla mia auto parcheggiata fuori, apre un foglio appartenente alla banca UniCredit con su scritto fra tante cose, anche il suo CC, e mi chiede sottovoce se potessi prestargli 2.000€ per dei vari problemi che doveva risolvere con la banca. Io in quell’istante mi pietrifico in quanto, in primis una cosa del genere non mi è mai capitata, e poi perché me lo stava chiedendo non il mio amico, ma il papà del mio amico. Lui mi dice che il sabato me lo avrebbe ridati (ossia ieri) e se potevo farli questo enorme piacere in quanto ero l’unico che potevo aiutarlo. Ora io adesso, non so esattamente quali problemi abbia potuto avere, so che nell’ultimo periodo il tabacchino non stava navigando in acque serene, ma non da arrivare a chiedere 2.000 all’amico di suo figlio. Non voglio allungarla tanto, lui mi dice che gli sarebbero serviti entro la sera stessa. Vado via, rimango in macchina per un paio d’ore, ero titubante su cosa fare, ma alla fine decido di mandarglieli in quanto è una persona che conosco da tanto e il mio cuore mi diceva di aiutarlo. Ora non so se ho fatto la scelta giusta o sbagliata, ma siamo a domenica ed ovviamente ancora non si è fatto sentire. Mi sta iniziando a venire un senso di angoscia e nausea perché ho paura di averli persi. Il papà mi ha fatto giurare di non dire nulla ai figli, e io sto portando avanti questa promessa, anche se con non poca difficoltà. So che probabilmente vi potrà sembrare una cifra irrisoria, ma sono soldi guadagnati con il lavoro e messi da parte. Cosa e come devo comportarmi ora? Devo mandargli un messaggio? Mi devo presentare ogni giorno al tabacchino? Io non sono un tipo che vuole litigare, non vorrei neanche che si andasse a perdere il rapporto fantastico che abbiamo. Ma ora mi sento leggermente fuori luogo e in colpa di aver fatto questa cosa.

Bonjour à tous,
De formation mathématques, Je suis employé en tant que DataScientist (10ans d'xp dans le domaine) dans une PME au sein d'une équipe de 3 DataScientists. Nos responsables hiérarchiques n'ont aucune compétences dans ce domaine.
De part ce manque de connaissance on me demande régulièrement d'effectuer des tâches qui ne relèvent pas de mes attributions et/ou de mon domaine de compétence tel que divers développement fonctionnels. Lorsque j'essaye d'expliquer que je suis "sympa" de le faire, ma hiérarchie prend un ton autoritaire en m'expliquant que je n'ai pas le choix.
Ainsi, lorsque demande à ces derniers quels sont leurs critères pour définir si oui ou non, une mission m'incombe je me trouve face à un mur et leur explique (en caricaturant) que je serais étonné qu'ils me demandent de nettoyer les toilettes.
En plus du climat tendu, cela commence à avoir des répercussions concrètes sur ma rémunération variable, en effet on m'attribue des objectifs que je perçois aussi comme débordant de mes attributions (en gros pour m'imposer à faire ce qu'on me demande au dessus, dev fonctionnelles, productions temporaires, data engineering) en m'expliquant que je n'ai pas mon mot à dire concernant ces dits objectifs
Mes attributions sont définis dans mon contrat de travail de la manière suivante

Comme stipulé dans le préambule du présent contrat, les fonctions confiées à OP sont par nature évolutives. Au jour de son engagement, le salarié exercera les fonctions de Data Scientist, ses attributions seront notamment les suivantes :
Etudier et développer de nouveaux algorithmes en lien avec la stratégie de développement de l'entreprise, apporter sa contribution et son expertise sur les nouveaux projets digitaux et technologiques l'entreprise.
Contribuer à la création de nouvelles offres.
Prendre en charge toutes les phases d’un projet de Data Science. Depuis le recueil du besoin qu’il soit interne ou auprès d’un client jusqu’à l’implémentation. Rédiger des propositions commerciales, des rapports d’étude, ou à choisir un mode de restitution de ses résultats.

Je me demande quels sont mes recours svp, j'ai proposé à mon employeur un avenant au contrat si ils considèrent que ma fonction se doit d'évoluer mais ce dernier refuse catégoriquement.
Aussi je me questionne sur la qualification "évolutive" prononcée dans le contrat de travail, est elle précisément là pour ce sujet?
PS: Lorsque j'ai integré l'entreprise il y a 2 ans, cela devait être sous le couvert d'un responsable hierarchique datascientist malheureusement décédé entre temps, nous avons donc subi une réorganisation menant à ces discussions. Je suis las de démissioner car j'ai le sentiment que les échanges et promesses conduites lors du processus d'embauche ne sont pas respectées.

Lo so la retorica è sempre che se cerchi di fare ciò che ami e di cui hai passione per lavoro probabilmente andrà male.
Perchè? Perché le passioni non sono lavoro, e il proprio atteggiamento mentale è differente.
Allora sono costretto a una tetra vita dove la mia autorealizzazione la posso avere solo nelle ore "hobby" e un terzo della mia vita a sopravvivere economicamente con un lavoro che non mi appaga? Forse
Ma la frase giusta, secondo me, non è solo il.banale "fai della tua passione una professione"
Ma direi "Individua le competenze che ami coltivare, trova il settore che ti appassiona, STUDIALO, ANALIZZALO e RENDILO MONETIZZABILE.
Troppa gente sogna e basta e troppa gente è disillusa e basta.
Il mio esempio personale: lavoro come libero professionista in un settore dove a sentire il 90% dei miei colleghi riesci ad arrivare se va bene a 1400-1500. Io tra botte di culo (studiate), spirito imprenditoriale, NESSUNO ALLE SPALLE, e tante tante idee su questo obiettivo,ne tiro fuori 3500 al mese lavorando tipo 27h.
Non mollare i tuoi sogni! Piuttosto concentrati sul piano per raggiungerli (ammesso che ciò che fai per passione lo puoi e vuoi fare davvero per lavoro!)
Secondo me i due poli di prospettiva (trova un lavoro / cerca di lavorare.con le tue passioni) sono entrambi sbagliati.
È la via di mezzo che autorealizza.
Siete d'accordo? Esperienze simili?
Motiviamoli un po' sti ciòvani!

Esistono al mondo persone decisamente molto loquaci, con le quali magari abbiamo una relazione stretta e che quindi non possiamo evitare di frequentare giornalmente che hanno un difetto: quando sono nel pieno del loro orgasmo verbale, se non le guardi costantemente negli occhi, dimostrando continua ed indiscussa attenzione, sai che prima o poi arriverà una leggera toccata sulla spalla come per dire “ascolta, ora arriva la parte interessante!”. Purtroppo, tali soggetti hanno un altro difetto: riempiono il loro eloquio di tante premesse e subordinate che il tuo livello di attenzione cade immediatamente e ogni tanto lo sguardo vaga ma non è che comunque non li si sta ad ascoltare… Ovviamente non gli si può dire nulla: ne nascerebbero reazioni offese, mutismi se non veri e propri litigi. Ma quel leggero tocco, almeno per me, è decisamente irritante. Vi è capitato?

De la marmotte! Elle marine en ce moment même au frigo et je déguste ça demain midi. Pas dure à chasser du tout, elle se présentait sur mon terrain quotidiennement. J'ai juste eu à attendre un bon 2 heures sur mon perron, bein tranquille.
Je suis quand même fier mais je ne vais pas mentir, ça m'a carrément levé le coeur. Tuer de un et dépecevider de deux, mais je me suis juré que cette bête ne serait pas morte pour rien.
J'ai vraiment hésité avant de tirer et ultimement d'enlever la vie mais je me suis aussi dit que c'était nuisible à creuser des trous partout et rendre la tâche de la tonte de la pelouse aussi difficile.
J'ai des sentiments très mitigés entre la fierté et le dégoût. Appelez-moi sensible et ridicule mais j'ai réellement dit «Merci pour ta vie, merci pour ta viande» et je compte le faire pour chaque animal abbattu. C'est mon but ultime en chassant, continuer de manger la viande que j'aime tant de la manière la plus éthique que je connaisse.
Elle n'a pas souffert, un bon tir en pleine tête et elle est morte sur le coup, donc il y a au moins ça.
Note à moi-même et aux autres chasseurs débutants, un bon couteau long, mince et bien aiguisé est absolument nécessaire pour un travail de boucherie efficace et facile.
Bref, je ne pense pas arrêter pour autant mais ça m'a quand même fait mal. Avez-vous eu des sentiments similaires quand vous avez abattu votre premier animal?