Bonjour a tous, je vous expose la situation sur mon charmant voisin ! J'ai emménagé dans un appartement en colocation l'été dernier, la colocation est avec un bon pote à moi. Les premiers temps se sont passés normalement, mais très vite, nous avons entendu un voisin crier, des choses comme "Venez me chercher bande d'enculés, je vous attends, je vais vous tuer sales petites merdes" et encore d'autres joyeusetés, naturellement j'ai pensé qu'il était au téléphone avec quelqu'un ! Quelques jours après, rebelote, je l'entends hurler sur quelqu'un au téléphone.. jusqu'à là, rien d'anormal me direz vous ?
Mais puisqu'il faisait très chaud l'été dernier, une nuit j'ai dormi la fenetre ouverte, qu'elle bonne surprise j'ai eu quand je me suis fait reveiller par les hurlements de ce fameux voisin, qui était cette fois ci a la fenetre juste en dessous de la mienne, que je pouvais donc entendre de manière parfaitement claire ! "Ça fait des années que vous me harcelez bande de salopards, je vais tous vous tuer, je vais vous découper bande de fumiers ça va très très mal finir pour vous"
Sauf que, cette fois ci, j'entends vraiment très bien, et je dois me rendre a l'évidence, le monsieur n'est pas au téléphone, mais en train de hurler tout seul, ce qui qu'on se le dise n'est pas rassurant..
Tandis que je me fais la douce réflexion que mon voisin est bien atteint, celui ci dit alors "Et toi n°7, t'es la pire des putes, si je te croise dans l'escalier je vais te saigner"
Oh..oh.. C'est moi numéro 7 ! Me suis-je dit alors. Mais pourquoi mon voisin, que je ne connais ni d'Ève ni d'Adam, voudrait il me saigner, alors que je ne le connais absolument pas, pire encore, que je ne l'ai jamais vu ?
Ni une ni deux, je prends mon courage a deux mains. Je ferme la fenetre et appelle mon proprietaire pour lui demander ce que c'est qur ce raffut. Celui ci me reponds que le voisin en question est un vieux monsieur, un peu dérangé, mais qu'il est probablement innofensif, que je devrais aller le voir pour me présenter et dissiper tout malentendu.
Je m'exécute le lendemain matin, et vais rendre visite a ce charmant voisin pour me présenter, a peine ais-je frappé à la porte que celui ci l'ouvre d'un coup sec, il se tenait déjà manifestement juste derrière. La porte désormais ouverte révèle un appartement sale, en désordre, et un monsieur d'environ 60 ans, tout sec, en slip, aux cheveux longs et gras blancs et gras, barbu, qui me regarde d'un regard qui hurle "je suis complètement fou"
Je me présente, lui explique que je l'ai entendu dire qu'il allait saigner le numéro 7, et lui dit que je suis très incommodé puisque c'est moi le numéro 7. S'en suit alors un dialogue sur réaliste, ou celui ci me dit que depuis que je suis arrivé il nous entends hurler, que de toute façon il entends tout, qu'il a entendu quand j'ai dit qu'il "allait payer pour ce qu'il avait fait", et qu'il sait très bien que je fait partis des petits malins qui hurlent son nom dehors dès qu'il a le fenêtre fermées, et qui disparaissent dès qu'il ouvre les fenêtres pour regarder qui est là..
Ouch, mon voisin est très sévèrement atteint, j'essaie pendant longtemps de dissiper le malentendu, de lui dire que je n'ai rien contre lui, que je ne le connais pas, que l'on est tres calme dans l'appartement et qu'il doit vraiment confondre, mais rien n'y fait, il campe sur ses positions ! Je finis donc par prendre congé.
S'en est suivit dans les mois derniers, des hurlements réguliers, avec des "je vais vous v**evous ecarter les csses et vous bidée/je vais tous vous tueje vais vous massacreça va finir en bain de sang/je vais venir chez vous vous égorger.." ect, ect, j'ai contacte plusieurs fois le propriétaire pour qu'il intervienne, mais rien ne change.
Il s'amuse les derniers temps a ouvrir la porte d'un seul coup quand on passe, et à nous fixer sans dire un mot, puis une fois que nous sommes hors de son champs de vision il nous insulte et nous menace, dès que l'on rentre ou sort de chez nous, on l'entend gromeler derrière sa porte, il tambourine parfois sur les murs, parfois il claque sa porte en boucle, c'est très epuisant psychologiquement, et on marche sur la pointe des pieds dans l'escalier, je ne sais pas quoi faire pour que celà cesse, et avec l'augmentation de la fréquence de ses petits happenings surprise, je commence a m'inquieter qu'il mette ses menaces a exécutions!
J'ai pensé à partir bien-sûr, mais étant étudiant je ne roule vraiment pas sur l'or, et ça m'ennuie de devoir quitter mon logement a cause du fou furieux qui vit sous mon plancher.. Je ne veux pas non plus en venir aux mains avec lui, je n'ai pas envie que celà dégénère.
Enfin voilà, c'était mon voisin, et j'espère ne pas le rencontrer armé un couteau dans l'escalier !

Update : elle est bien venue me chercher, angoissait toute seule et voulait regarder une série avec moi, elle m'a demandé des papouilles aux cheveux en me rappelant que j'avais dit que si elle voulait de l'affection elle pouvait demander (je sais exactement laquelle de mes potes a parlé des papouilles). Elle a évidemment mis une série bien sexuelle (un truc sur le bondage), sinon on a passé une super soirée qui a très bien complété la super aprem d'avant sa proposition. J'ai bien insisté pour la rassurer que j'allais pas la foutre a la porte, d'ailleurs deux de nos amies ont été hébergées chez moi donc elle a aucune raison de le penser. On a mis une trace ecrite de notre arrangement : quand elle pourra elle me remboursera 25% de ce qu'elle aura consommé, et pas de paiement en nature ou autre obligation sexuelle, ça l'ai fait rire mais j'ai insisté pour le noter, Et elle a lâché "tant qu'il n'y a pas d'interdiction". Là elle est partie se doucher. Bref je suis complètement paumé et j'ai un peu l'impression de vivre dans un film porno. Et maintenant le problème est complètement retourné dans ma tête, j'ai peur qu'elle essaie de me séduire uniquement par intérêt mais que je finisse par tomber vraiment amoureux (j'avais déjà un crush sur elle avant la proposition je vous vois venir). D'un autre côté tout semble raccord avec sa personnalité et c'est le bordel dans ma tête.

UPDATE 2. Sûrement update final

Bon, elle a insisté pour dormir avec moi, disant qu'elle angoissait toute seule dans le salon. Elle a commencé avec des mains baladeuses, je lui ai dit que finalement je n'étais pas à l'aise à cause de la situation, on en a discuté et c'est de plus en plus complexe (ou simple je sais pas trop). : Moi je ne l'avais jamais vue avant mais elle m'avait vu quand j'amenais nos amies en commun, plus nos amies lui on parlé de moi, donc avant même que je l'héberge elle avant envie de me "pécho". Et quand l'idée est venue sur la table elle a trouvé que c'était une super occasion, le coup de la compensation c'était juste une excuse. Son ancien traitement avait supprimé sa libido et maintenant qu'elle est de retour elle a dit qu'elle comptait bien en profiter. J'étais quand même pas a l'aise donc on a juste dormi ensemble un peu de câlins mais rien sous les habits. Le lendemain on a passé la journée ensemble et c'était super. J'en ai profité pour en parler à mes amies, qui ont confirmé qu'avant cette histoire elle demandait si j'étais celib et avait dit que je l'intéressait, et que ça fait un petit moment qu'elle arrête pas de dire qu'elle a envie de cul. Accessoirement elle a dit qu'elle avait jamais eu se prostituer ou a payer en nature ni aucun autre trauma lié au sexe, et mes amies ont confirmé que c'est la version qu'elles ont aussi. Bref le problème a plus rien a voir avec la question de base, maintenant c'est juste qu'on semble en train de tomber amoureux l'un de l'autre mais il reste pleins de questions sur si c'est une bonne idée ou pas, mais c'est une situation trop personnelle et émotionnelle pour qu'un post Reddit suffise a trancher. On est en train de chercher si quelqu'un d'autre peut l'héberger histoire de rendre la situation moins perturbante et elle a bien rendu clair que dès que je serais plus gêné par la situation "on pourra casser ton lit ce sera plus a moi d'en payer une partie [clin d'oeil coquin]". Pour l'instant on a peut être trouvé un "filet de sécurité" une connaissance (fille) qui est pas trop chaud de l'héberger maintenant mais accepterais de l'héberger si ça se passe mal avec moi, ie c'est toujours moi qui l'héberge mais c'est plus une fatalité. C'est pas l'idéal mais c'est mieux que rien. On attend la réponse. Niveau financier, maintenant que son hospitalisation est terminée son RSA devrait revenir plein pot donc elle aura pas de problèmes a payer le peu que je lui demande et ne va pas s'endetter auprès de moi. Bref la situation est toujours bordélique mais au moins ça s'éloigne de plus en plus de "elle veut baiser juste pour pas être a la rue", le reste c'est une autre question. Là elle prend une douche et a nouveau demandé si je voulais l'accompagner "pour économiser de l'eau". J'espère qu'on va vite trouver une solution parce qu'il faut dire qu'elle est très convaincante et que c'est pas super aisé de la repousser.

Debut du post

Bon, compte jette au loin, pour l'instant il ne s'est rien passé mais je gamberge quand même. J'ai accepté d'héberger l'amie d'amies. Elle a pas de famille, pas de maison, s'est retrouvée à la rue en sortant d'une hospitalisation. C'est peut-être un peu con mais c'est pas la première fois que j'héberge des borderlines et j'ai jamais eu de problèmes, mes potes la connaissent et lui font confiance. L'alternative c'était qu'elle "fasse la pute". Et je crois que cette option lui est resté dans la tête. Parce que c'est pas ce que j'avais en tête quand je lui ai dit "tu me filera une petite compensation a l'occasion", moi je pensait a un peu d'argent pour l'eau/l'elec/la bouffe quand elle aura trouvé un travail. Pas a "du coup tu veux ta compensation maintenant ?" En enlevant son haut avec un regard coquin. Je lui ai expliqué que c'était pas du tout ce que j'avais en tête. Mais Je sais pas si c'était de la comédie mais elle avait l'air d'en avoir envie, pas du tout réticente, c'est elle qui a un peu insisté quand j'ai dit non. Donc je lui ai dit que j'avais aucune intention de la forcer a quoi que ce soit, que j'attends rien de charnel avec elle, mais que si elle a envie de quelque chose, sexuel ou affectueux, la porte de ma chambre est ouverte, mais que moi je ne lui demande rien de tel et que ça doit vraiment être que si elle en a envie, et pas une compensation(le cul ça paye pas les factures, je suis pas Rothschild je vais avoir besoin d'un peu d'aide pour payer ce qu'elle consomme), juste deux adultes qui prennent du bon temps. Et que c'est absolument pas une condition pour rien du tout, que ça ne changera rien du tout a la situation. Elle m'a dit qu'elle allait y réfléchir avec un petit sourire en coin.
Donc là je suis couché et je sais pas du tout si elle va venir ou pas mais je suis partagé entre : Lui dire non parce que je serais un connard de profiter de la situation, a la limite du viol. Accepter parce que j'ai été parfaitement clair qu'il n'y a aucune obligation et que si elle vient c'est qu'elle est consentante et va en profiter aussi.

J’ai joué hier à Scribbl (Pictionary en ligne), pourtant un jeu vraiment basique. Le principe est le même que Pictionary : on dessine et on devine le dessin des autres.
Première erreur : j’ai utilisé mon vrai prénom comme pseudo
Deuxième erreur : j’avais plus de points que les autres
La partie avance et je devine/dessine correctement. Résultat, j’ai + de 2000 points tandis que le deuxième a environ 1000 points.
Je devine correctement un dessin et là, quelqu’un (avec un pseudo super raciste au passage, genre l’un des pires imaginables) dit dans le chat : « genre xxx (mon pseudo approximatif) t’as trouvé ». Je réponds « c’est pas xxx en fait ».
Et là : des avalanches de « pute » de la part de tout le monde. Je me dis que c’est peut-être sans rapport.
Viens l’avant dernière manche, je devine correctement et je me retrouve avec un message « you have been kicked out » 🫠
Donc, au-delà des insultes, ils ont tous voté pour me bannir. Je rappelle que mes seuls torts sont :

• Être une fille
• Avoir plus de points qu’eux

Je pourrais continuer sur mes expériences sur League of Legends, mais je suis choquée de cette expérience sur un jeu aussi simple que Pictionary ?
J’insiste que c’est une game d’un putain de Pictionary : j’imagine pas ce que peuvent supporter les streameuses ou juste toutes les femmes qui ont le malheur d’exister dans l’espace public.
La prochaine fois j’utiliserai un pseudo neutre ou masculin, et ça me rend triste pour cette société.
Est-ce que quelqu’un a déjà eu ce genre d’expérience ?

De niste timp, unu-doi ani, a inceput berea neagra sa fie rarisima. Acu mai dai de un Bucur neagra care mai merita poate un Kozel sau Silva/Ursus care's pleava.. dar foarte rar altceva minus raioanele de specialitati si importuri. Si nuciodata toate la acelasi magazin, maxim 1-2 selectii.
Dar am fost la cinema recent si a fost reclama cu "sa incerci mixul", si arata sa combini Kozel blonda cu Kozel neagra... what the fuck. Pute a "scapam de stocuri de bere neagra".
Chiar asa nu se mai bea la noi berea neagra sau e ceva legat de producție/lege/costuri?

Ça fait maintenant 9ans que je suis en dépression Chroniqie oi mon état change du tout au tout. Mais là je suis tellement fatiguée d'exister, j'aimerai juste que ma vie s'arrête aussi facilement. Hier j'ai avalé 350mg de prazepam et 400 de Prozac (dose létale soit disant) Je ne sais même pas ce qui ma poussé à le faire pourquoi jen suis arrivée là et surtout comment m'en sortir J'ai les phrases clichés de tous mes proches "t'as des amis, ta de la famille, t'es jolie, T'AS TOUT POUR ÊTRE HEUREUSE" mais je le suis pas et c'est ça qui me tue le plus. Puis quoi qu'il arrive personne n'arrive à capter le moindre centième de ma vie, j'ai eu le coeur tellement brisé que je ne pourrais plus jamais aimé, l'amour dévient de la souffrance, j'dois faire la pute pour avoir de la thunes que je v is dépenser dans les seuls trucs qui me font encore "du bien" : la drogue. Et le pire dans tout ça c'est que même cette dernière chose me soule, j'en ai marre d'avoir mal au nez, une concentration de merde et passer pour la camée de services auprès de mes proches parce que Ah oui pour taper dedans ils sont chauds mais quand il s'agit de mettre un billet ça l'est moins
Avant je ne voulais être heureuse que pour mon entourage, maintenant je n'ai qu'une hâte c'est que tout mon entourage me déteste et enfin je n'aurai plus de remords. Je leur fait assez de mal comme Et le pire c'est même pas que j'ai envie d'aller mieux, comme dans l titré j'ai perdu cette flamme de vie qui est à l'intérieur de chacun de nous. La mienne on me l'a éteinte et j'ai rajouté un bon seau d eau pour qu'elle ne se rallume plus. J'ai tout essayé pour aller mieux, mais je n'y arrive pas et même en prenant une dose létale j'ai pas réussi à mourir. J'arrive à rien, rien ne m'est destiné, j'ai perdu tout espoir. Tout ce qui me tient en vie, c'est savoir que je vais mourir
Merci d'avoir Lu jusqu'au bout et mzrci à xette commu ça fait du bien de pouvoir se livrer comme à soit même

Salut tout le monde, je viens vers vous suite à mon licenciement pour faute grave. Je vous explique la situation. J’étais au travail (je suis agent qualifié/remplaçant de chef d'équipe) un employé reçoit une prime pour remplacer un autre collègue (plus âgés) a la conduite d'engin. A plusieurs reprises il a refusé de remplacer. Ce jour là, je lui ai dis que s’il ne voulait pas remplacer notre collègue j’irai dire au directeur de lui retirer la prime alors et de me la donner (j'ai remplacer la personne a plusieurs reprise). Quelques minutes plus tard, le collègue qui ne voulait pas remplacer me convoque dans le bureau du directeur. Il me dit devant lui « si toi tu fais la pute ici, pas moi » je lui ai demandé de répéter ce qu’il venait de dire voyant aucune réaction du directeur. Il a alors répété, Je me suis énervé et je lui ai dis que si il me disait sa encore une fois je l'emmènerais dehors et qu'on allait se frapper.
J’étais énervé qu’il me manque de respect devant le directeur et qu’en plus celui-ci quand je lui demande si c’est normal que mon collègue me dise ça, le directeur me répond « oui. Euuuuuuuh non ». Quelques minutes plus tard je suis rappeler dans le bureau du directeur, j’ai rendu ma radio et j’ai dis « allez tous vous faire foutre». J’ai tapé dans une machine sous le coup de l’énervement et j’ai terminé ma journée de travail. Le lendemain je suis retournée au travail, j’ai fais ma journée habituelle et vers la fin de la journée j’ai été convoqué. Je m’étais excuser en début de journée parce que je savais que j’aurai pas dû m’énerver mais le manque de respect devant un directeur qui cautionne ça, c’était un peu trop pour moi. Lors de cette convocation, le directeur ainsi qu’un plus grand directeur étaient dans le bureau. Ils me disent que je suis dangereux pour mes collègues et que je suis mis à pied et convoqué plus tard.
Je suis dans cette société depuis 6ans, ils ont racheté mon ancienne entreprise il y a deux ans mais avec l’ancienneté ça fait 6 ans. Je n’ai jamais eu aucun problème avec des collègues, vraiment rien du tout. Lors de la convocation, on reparle des faits et ils me disent qu’ils me donnent une réponse sous 48h. Le directeur me parle de menace de mort, Je n’ai jamais menacé de mort mon collègue, j’ai juste dis que j’allais le frapper à car il m'as manquer de respect deux fois de suite. Chose que je n’ai même pas faite, je leur demande de quoi ils parlent parce qu’honnêtement moi même je sais que j’ai rien dis. J’aurai dis selon lui « je vais te buter » à mon collègue, hors que je ne l’ai pas dis, je ne parle même pas comme ça, ça ne fait même pas partie de mon vocabulaire. J'ai expliquer ma version des faits et le grand directeur a barré devant moi les menaces de mort sur son papier en laissant uniquement menace. Il faut savoir que pendant un mois j’ai contacté les délégués de mon travail, sur une dizaine uniquement 1 m’a répondu une seule fois en disant qu’il sera là à la convocation. Je lui ai envoyé un sms 2 jours avant pour être sûr qu’il doit la le jour-J. Seulement, depuis la convocation, il ne répond plus, j’ai envoyé plusieurs sms, j’ai appelé plusieurs fois, laissé des messages sur son répondeur, Il ne m’a plus jamais répondu.
J’ai eu un retour 3 semaines et demi après. Licenciement pour faute grave avec menace de mort. Sur le coup, évidemment j’appelle le délégué, il me répond en disant qu’il allait me donner le numéro d’un autre. Il ne m’a pas envoyé le numéro, je l’ai relancé par sms, par appel, je n’ai jamais eu le numéro, en 1 mois il m’a répondu 3 fois. Je me suis rendu au syndicat parce que je voulais attaquer mon travail en justice, au prud’hommes. Seulement, à la suite de mon rendez vous, ils me disent que j’ai peu de chance de gagner. Que si les délégués ne répondent pas, c’est qu’ils sont sûrement du côté de l’entreprise. (Il y a eu plusieurs faits similaire au mien…) ils m’ont dis que je devais prouver ne pas avoir fait de menaces de mort. Prouver quelque chose que je n’ai pas fais ??? Et que les directeurs sont capable de demander des attestations contre moi auprès des délégués malgré qu’ils ont retirer la menace de mort devant eux... Le collègue avec qui j’ai eu le différent, a un frère qui travaille avec nous. Je le connais depuis 6 ans et j’ai vraiment une relation de confiance avec lui. Il est dans une position délicate.. Il a demandé à son frère si je l’avais menacer de mort, il lui a répondu que non…. Seulement là je suis bloqué, j’ai reçu mon licenciement, mon solde de tout compte de 37€ et on me dit que si je lance une procédure j’ai 70% de chance de perdre. La procédure coûte entre 800€ avec le syndicat à 1800€ avec une avocate. En sachant que j’ai perdu mon travail, je ne peux pas me permettre de telles sommes si j’ai 70% de chance de perdre. Je ne sais pas comment prouver que je n’ai pas dis une chose, ce que je dois faire en sachant que le délégue ne répond pas pour me faire une attestation… et que du coup si les deux directeurs, les délégués et mon collègue font une attestation contre moi, même si tout est faux, ça aura plus d’impact que moi… Je n’ai vraiment menacé personne de mort, vraiment c’est pas mon style et là je suis bloqué… Si quelqu’un a connu une situation similaire, si vous avez des conseils, je suis preneur. Merci.