Hello, I have a 2001 oldsmobile alero 2 door (2.4 4 banger) which had been sitting for at least 4 months due to a previous issue of it dying while accelerating, almost seeming like a lost of power either due to a bad fuel pump(rn it has no gas gauge), or electrical issue.
I've replaced belt tensioner pulley as it was squeaky, alternator and battery just as a precautions, it's running the engine is smooth and quiet, transmission doesn't jump stutter, shifts great. Power steering is a little stiff, I have it going in to the shop to get checked and as I was testing it yesterday I hit a bump and a loud clang, I saw something fall on to the road.
I got in my other car and drove back around and picked it up and it definitely looks like the end of a spring that rusted and snapped, I'll show a picture when I am home, but I checked the back, the springs seem fine so it must of come from the front, I havent inspected them as I was in a rush for work? And as a bonus question anyone know why it just shut off when it did or have a guess? I'm curious as no one seems to have an idea, we are needing a second car as it's getting difficult with one car and two pepole. Any awnser is greatly appreciated as I'm trying to learn more and more about cars since I don't know to terribly much.

Cars like the Oldsmobile Alero or Saturn SL2, they distinctly stand out for having their headlamp beams come from the very middle of the car, instead of at the furthest edges of the corners. What happened to this niche trend, what other cars did thos, why haven't others done it since?

Would yall spend $2500 on this, claims power steering pump is the only thing wrong with it

L'IA Quantique est en train de révolutionner notre manière de traiter les données et de résoudre des problèmes complexes. En combinant les principes de la mécanique quantique avec les techniques de l'intelligence artificielle, cette technologie promet des capacités de calcul inégalées.

Qu'est-ce que l'IA Quantique ?
 L'IA Quantique utilise des qubits au lieu des bits traditionnels. Les qubits peuvent représenter plusieurs états simultanément, ce qui augmente exponentiellement la puissance de calcul. Cela permet de traiter des données et de résoudre des problèmes à une échelle et à une vitesse impossibles à atteindre avec les méthodes traditionnelles. 
 
Avancées et Applications
 Google Quantum AI est à l'avant-garde de cette révolution. Ils développent des technologies qui pourraient résoudre des problèmes actuellement inabordables pour les ordinateurs classiques. 
 
Matériel et Logiciel
 Google Quantum AI combine matériel et logiciel pour progresser vers un ordinateur quantique entièrement corrigé d'erreurs. Les qubits supraconducteurs, nécessitant des environnements cryogéniques spécifiques, sont au cœur de cette technologie. L'amélioration continue de la qualité des qubits et la mise en œuvre de techniques de correction d'erreurs sont cruciales pour augmenter la capacité de calcul des systèmes quantiques. 
 
Campus Quantum AI
 Le campus de Quantum AI de Google à Santa Barbara est une étape majeure dans cette quête. Il abrite un centre de données quantiques, des laboratoires de recherche en matériel quantique, et des installations de fabrication de processeurs quantiques. Ce campus est destiné à accélérer la mise au point d'ordinateurs quantiques corrigés d'erreurs, capables de s'attaquer à des problèmes complexes dans des domaines tels que l'énergie durable et les découvertes scientifiques. 
 
Progrès en 2021
 En 2021, l'équipe de Google Quantum AI a réalisé des avancées significatives, notamment la démonstration de la suppression exponentielle des erreurs de bit et de phase à l'aide de codes de répétition. Ces progrès sont essentiels pour réduire les erreurs dans les qubits logiques, un pas crucial vers la réalisation d'ordinateurs quantiques fiables et puissants. 
 
Impact Potentiel
 Les applications potentielles de l'IA quantique sont vastes. Dans les sciences des matériaux et la chimie, par exemple, les ordinateurs quantiques peuvent simuler des interactions moléculaires complexes, ouvrant la voie à la conception de nouveaux matériaux et médicaments. En matière d'énergie, ils peuvent optimiser les réactions de fusion et de fission, contribuant ainsi à des solutions énergétiques plus durables. 
 
Défis et Perspectives
 Bien que les promesses de l'IA quantique soient immenses, de nombreux défis restent à surmonter. La correction d'erreurs quantiques est l'un des plus grands obstacles, nécessitant des avancées continues en matière de matériel et de logiciel. Cependant, les progrès réalisés à ce jour par des équipes comme celle de Google Quantum AI sont encourageants et montrent la voie vers une future informatique quantique robuste et applicable à grande échelle. 
 
Conclusion
 L'intelligence artificielle quantique est en train de transformer notre approche du calcul et de la résolution de problèmes complexes. Avec des efforts continus en matière de recherche et développement, et grâce à des infrastructures comme le campus Quantum AI de Google, nous nous rapprochons de la réalisation d'ordinateurs quantiques pratiques et révolutionnaires. Ces avancées promettent d'apporter des solutions innovantes aux défis mondiaux les plus pressants. 
 

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One of my friends has a 2002 Oldsmobile Alero with the 3.4L V6 with 300,000 miles, they say when they step on the gas it doesn't go like it should, I have ideas in my head of what it could be but don't know the best place to start, I do know the air filter is really nasty but beyond that I'm stuck, any help is appreciated.

One of my friends has a 2002 Oldsmobile Alero with the 3.4L V6 with 300,000 miles, they say when they step on the gas it doesn't go like it should, I have ideas in my head of what it could be but don't know the best place to start, I do know the air filter is really nasty but beyond that I'm stuck, any help is appreciated.

Bonsoir à tous,
J'essaie de trouver les mots pour écrire un peu la phase que je traverse actuellement. Ceci est un reddit poubelle, j’ai vraiment essayé de poster avec mon compte perso pour “accepter la crise” mais bon voilà quelque chose me dérange. Et ce qui suit va partir un peu dans tous les sens, j’ai juste besoin de sortir tout ça et j'écris sans vraiment réfléchir car je réalise que je suis en colère mais je ne sais pas pourquoi. Et je pleure de cette colère que je ne comprends pas
J'ai grandi dans les grands ensembles, je suis le modèle parfait de l'intégration que mes profs de ZEP au collège "vendaient" pour nous pousser vers un lycée qui est “normal”. Pour ça, je leur en suis quand même très reconnaissante, c'était en quelque sorte de la discrimination positive disons, et j’ai plus gagné que perdu, même si ma valeur s’est construite dans une sorte de bureaucratie dont je n’avais aucune connaissance.
Enfin bref, du coup, j'ai découvert la culture française très tard dans la vie, notamment le cinéma, en fin de licence. Je me suis rapidement orientée pour travailler dans ce domaine. J'ai atteint mon objectif de travailler dans la production, de monter les grades, de prendre plus de responsabilités, d'avoir plus de visibilité... jusqu'à l’été dernier où ça commence à “ne plus aller”.
Je travaillais pour une ptite boîte, d’apparence sympa, un patron que les autres salariés qualifiaient "d'autiste" (oui). Il était très timide et laxiste. Un salarié a fini en larmes et a fait un malaise devant nos yeux suite au harcèlement qu'il y a eu en interne. On avait un sacré pervers narcissique dans la boîte, mais charisme de dingue, tout le monde l’adore. Je vis une sale année, parce que dès mes premiers jours, je sens qu’il m’aime bien, mais je refuse ses avances, et puis c’est l’enfer pour moi. Il est aussi très bon orchestre de la médiocrité, je n’ai jamais connu une personne aussi odieuse et manipulatrice. Sacré Benoît ! o7 En enfer peut être!
Mon patron a écrit sur Teams à notre stagiaire pour voir si le collègue qui avait fait un malaise allait mieux. A NOTRE STAGIAIRE. Et ce n’était pas une histoire de présence au bureau ou d'indisponibilité hein… on ne sait pas pourquoi, on était tous là.
De mon côté, j'ai subi une humiliation collective de la part de deux prestataires - des mecs qu’on paie en tant que client hein… Dès que mon patron quittait la réunion, ils me faisaient passer un sale quart d'heure et niaient mes compétences et me coupaient la parole, ils reprenaient mes documents et me faisent des commentaires professionnellement insignifiant “alors là tu as utilisé du bleu, moi je préfère le rouge” . Une collègue américaine aussi se mêlait constamment de mes missions, me disant qu’en anglais je ne devais pas dire X à un client, mais plutôt Y, alors que son département et le mien n'avaient rien à voir. Elle gérait la cantine de la boîte, tandis que je travaillais dans la production artistique. Je ne dis pas ça en termes de hiérarchie, mais vraiment, son “bon conseil” c’était 50 remarques par semaine parce que mes R étaient trop français, et mon accent n'était pas à la hauteur. Elle me reprenait pour chaque coquille. J’ai fini par craquer et lui dire que ça fait 9 ans qu’elle est à Paris et qu'elle ne sait toujours pas demander une chouquette à la boulangerie - eh oh ça va ! Ce même patron avait un chouchou bébé, tout le monde savait qu’il était lourd, trèèèèès lourd, avec les femmes, surtout nos stagiaires. Il a fallu qu’une stagiaire viennent casser un ordinateur au bureau avec des captures d’écrans de ce chouchou pour que le patron fasse quelque chose, et oui. Et ce qui est marrant, après licenciement, il l’a quand même aidé à trouver un nouvel emploi dans son “vaste réseau”. #metoo ? haha of course you too!
Un soir, je suis rentrée tard, et j'ai découvert qu’un collègue avait oublié son ordinateur allumé. Par gentillesse, je l'éteins, parce qu’on est écolo dans cette boîte, oui, et je tombe sur Teams où ils parlaient de mes chaussettes, de mon physique, de mes joues... Un chat entier dédié à critiquer mon apparence, des photos prises à mon insu pour rire de moi. Bon je suis consciente d’être une femme belle, je suis pas canon, mais je sais que je plais et que je n’ai rien de repoussant, mais bon lire ces choses a été extrêmement douloureux. J’ai tout extrait pour la procédure judiciaire, mais finalement je n’ai rien fait…. Par contre, j'ai commencé à devenir ce que mon patron qualifiait "d'agressive". Et le jour où il me l'a dit, je me suis tue et je me suis sentie très mal, car dans sa tête, je suis "agressive" simplement parce que je suis une femme avec des sourcils plus noirs et froncés, une voix qui porte un peu plus, et qui refuse de fermer sa gueule. Et puis désillusion ? Je pensais m’échapper aux clichés peut-être, je sais pas ? Ou vraiment il me manque des codes ?
Non non je me remets en question, je me dis que peut-être j'étais vraiment agressive. Mais faut-il vraiment faire du lourd pour être agressive envers quelqu'un ? Je me rends compte que c'est peut-être une différence culturelle. Dans notre monde des grands ensembles HLM, on est entre nous, on ne nous apprend pas la sournoiserie des mots, les mimiques offensantes, la patience face aux mesquineries. Je viens d'un environnement social qui se nourrit de la confrontation, on se construit sur celle-ci, sur un mécontentement exprimé de manière ferme, on s’en fiche de la politesse, tout le monde est cru avec nous de toute façon. Et je commence alors à traverser une crise énorme : mon vécu ne sera jamais à la hauteur des autres, car mon processus de socialisation n'a absolument rien à voir.
Et puis, je ne vous le cache pas, l'argent qu'on vole au CNC et à l'État. Ce patron n’avait aucune compétence mais alors aucune… La boîte était dans un constant flux de survivance, il fallait avoir X financement pour qu’elle survive et je ne sais quoi. Mon cul. L’argent allait dans les voyages pour tous les évènements cinéma du monde entier… Sundance, Berlin, Venise, et puis fiouuuu l'important c'est d'aller à Cannes, de faire son show, de pouvoir dire "roh Cannes est là, pfiou, je suis déjà fatiguée, quelle emmerde !" et si tu n’y vas pas c’est la mort, ta carrière commence à mourir, attention hein, c’est la fin… sauf que tout le monde s’en fout, puis cette boîte, vraiment, les patrons au sommet sont tellement mal vus dans le milieu du cinéma :D c’est pas grave, on y va, il faut se montrer à tout prix, c'est le show, le rush, le moi, le moi, le nous, mais surtout le néant total. Je réalise à Cannes dernier que cela fait 8 ans, l'équivalent de mon expérience dans ce joli monde, que je n'ai pas vu de film, lu de livres, écouté un album, pour en apprécier leur valeur de divertissement, d'apprentissage, de poétique, leur univers en soi, et les laisser guider mon instinct. Non je les consommais uniquement par analyse compétitive et opportunisme. Et un début de crise déjà, tout est insignifiant soudainement, j’écoute de la musique mais ? j’aime ou pas ? Et si j’aime, c’est mon moi-être qui aime ? ou mon-moi stratège qui veut l’imager en production ? Idem pour les livres, les histoires qu’on me raconte en soirée, ou celle que j’entends dans la rue, le train, les restaus…. Vraiment, le mal et le vide en moi, un puit sans fond, une chute qui n’arrive pas… ça dure
En décembre, je suis tombée malade, mais alors... quelle maladie. Je ne pouvais pas traverser ça toute seule. Dans ma tête, j'étais très proche de la mort, et j'ai été rapatriée d'urgence de Paris à la maison de campagne de mes parents. Je faisais du télétravail. Mon patron et son associé me disaient "oui bon, l'important quand on a un arrêt maladie, c'est de nous le dire qu'on puisse prévoir". Bon j’aurai pas du l’envoyer à ma sortie des urgences à 4h32 du matin, mais peut-être à mon entrée à 19h11 la veille, je sais pas hein.. Puis personne ne retient, personne ne comprends que je me sois écroulée dans la rue en rentrant du boulot, et qu'avant de perdre conscience, j'ai réalisé que deux connards me touchaient le corps et je ne pouvais rien faire.. et puis une dame est restée avec moi et m'a tenue la main, elle m'a accompagnée aux urgences, elle m'a emmenée chez moi récupérer des affaires en voiture, que Dieu et tous les univers la bénissent.
J'ai trouvé un nouveau travail, proche de chez mes parents, mais j'ai peur de sortir, de prendre le bus, le tramway, le train, je suis tétanisée quand je suis seule, je tremble assise derrière le chauffeur de bus, aller à la pharmacie, même prendre l'air... c'est dur. Puis, je n'ai plus d'ami(e)s par ici. Je fais des crises, pas des crises d'angoisse, mais des crises de peur de ne pas pouvoir contrôler mon corps. et je me dis, je fais quoi si j’ai un cancer demain? Comment je gère quelque chose comme ça si même une maladie a été si difficile à surmonter? Comment je gère un viol? Oui j’y pense, et j’ai peur. J'ai l'impression que mon corps ne m'appartient plus et qu'il ne veut plus de moi, il m'a lâchée ce soir de décembre et depuis il veut plus que je l'occupe. Et puis j'ai encore mon préavis, je dois encore bosser pour cette boîte de production, même si j'ai accepté mon nouveau poste. Et là, seigneur, je propose à mon patron de recruter mon stagiaire précédent, il est d'accord. Et alors ce stagiaire, tout le monde l'aime, il a eu un accueil des meilleurs, alors que moi ? On m'a traitée comme une merde parce que j’ai refusé les avances d’un ancien. J'essaie de ne pas réduire ça à "c'est parce qu'il a des couilles", mais en vrai de vrai, c'est vraiment parce qu'il a des couilles et que c'est un mec, parce que mon patron annonce son arrivée en visio à l'équipe en disant "les choses seront plus cools avec lui, il y aura moins de réactions et plus d’actions". Et ça fait super mal.
Puis on a reçu un giga financement que j'avais négocié et préparé le dossier, et c'est la dernière semaine de mon préavis, je me mange un giga cadeau et une cérémonie d'adieu tout ça parce que "faut qu'on garde contact comme ça tu peux bosser dessus en freelance". Ah bon ? Et puis je commence mon nouveau travail, le cadre est vraiment... wow. Je le dis après pas mal de temps là, entreprise cocooning, il n'y a pas de police, les gens sont là pour s'aider mutuellement, avancer de manière collective, je sens une gentillesse et une bonté auprès des gens - bon après il y a les personnalités et le tempérament de chacun - mais il n'y a pas ce voile de "mauvais", personne n’est là pour s’impressionner, Yvette parle de son herpès, personne juge, tout le monde est gentille quoi, vraiment, que se passe-t-il ? Je ne me pose pas la question "qui va me nuire aujourd'hui ?"
Et là, il est 10h, c'est mon premier jour hein, premier appel de ce patron de cinéma : ils ont besoin de mon aide. Ok, bon ça passe. Puis un second appel, et ça continue. Bon je lui dis clairement que non.
En parallèle, je me force à prendre le tram pour mon nouveau travail, j'essaie et au bout d'un moment, les tremblements de peur sont partis. J'ai toujours un peu peur, mais mon corps a compris le message : tu n'es pas en danger dans ce tramway. Si je change et c'est le bus, bon ça revient, mais c'est un travail à faire je suppose.
Puis j'ai un bureau à moi, il n'y a pas d'open space, c'est calme. Je suis surprise par la bonté des gens encore, oui vraiment, alors c'est l'effet petite ville peut-être, je ne sais pas, mais je commence à me sentir mieux. Je commence à reprendre goût à la lecture, au temps passé seule, et sans peur - bon je suis encore chez maman papa, reste à trouver un appartement et franchir le cap de la solitude, - mais j’arrive à regarder des séries pour ce qu’elles me procurent aussi. Fin ça peut paraître con, mais regarder quelque chose sans prendre de notes et juste se laisser aller ? Puis il fait beau, je sors du travail, je marche sous le soleil, je rentre et bois une limonade bien fraîche sur mon balcon… Je sais pas hein c’est ma première année sans être à Cannes, et j’ai l’impression que je ne manque rien, je suis soulagée même ? Je me dis que c’est pas plus mal, j’espère que c’est bien le début de ma mort dans le cinéma, et que tout ceci est un deuil ? J’ai juste peur de ne pas pouvoir retrouver le goût et l’affection que je portais à un de mes précieux hobby qui était l’écriture de scénario et la dramaturgie
Bravo a ceux qui ont tout lu... ce post a été écrit après une session de pleurs dans la salle de bain.

Attention long post a venir, mais la première partie va à l'essentiel. En faisant ce post, bien que je vide mon sac au passage, je n’attends pas de compassion car ce n’est qu’un petit obstacle de la vie et ce que j’ai vécu arrive à beaucoup d’autres, je suis simplement à l’écoute des conseils que vous pourrez me donner, afin d’évoluer au mieux dans ma carrière, en vous remerciant d’avance.
Petite introduction sur ma situation :
Après avoir commencé mes études supérieures en santé, j’ai rapidement réalisé que ce domaine n’était pas fait pour moi. Après quelques années, j’ai donc décidé de me reconvertir dans le développement. À l'époque, par manque de lucidité, j’ai choisi de me former en autodidacte plutôt que de retourner à l’université, ce que je regrette aujourd’hui.
Après quelques mois de formation, j’ai effectué quelques missions en freelance pendant 1 an. Cependant, je me suis vite rendu compte qu’il serait difficile d’évoluer professionnellement dans la tech en France sans diplôme. J’ai donc entamé un cursus dans une école en ligne pour obtenir un titre professionnel de concepteur développeur d’applications (bac +3/4) en alternance.
Pendant cette alternance, j’ai travaillé dans deux TPE, et ces expériences furent pour le moins chaotiques. Bien qu’elles m’aient permis de travailler sur des projets intéressants avec des technologies variées, gérer des projets complexes de bout en bout, intégrer de l’IA, concevoir des maquettes, etc., elles ont également apporté leur lot de difficultés, notamment des patrons abusifs.
En échangeant avec mon responsable de promo lors de mon examen, il m’a confié que près de la moitié des élèves de la promotion avaient des employeurs qui les exploitaient sans vergogne ni considération (malgré leur engagement à former correctement les alternants), et cinq d’entre eux sur une promo de trente ont dû quitter leur entreprise pour ces raisons.
Pour ceux qui veulent plus de détails, je décris mes expériences de manière plus détaillée plus bas.
Me voilà quelques mois après la fin de mon contrat, à la recherche d’un emploi dans un nouveau département (73), après que ma copine et moi avons décidé de vivre à la montagne. La situation est délicate pour moi. Je n’ai aucun réseau ici, car c’est très loin de notre ancienne région où nous avons toujours vécu, et nous ne connaissons personne pour le moment. Mais surtout, j’ai un gros problème : lors des deux entretiens que j’ai eus jusqu’à présent, on m’a demandé des références professionnelles. Je me retrouve dans l’embarras, mon sort reposant alors sur des personnes qui ont essayé de profiter de moi. Je ne sais pas vraiment quoi faire. J’hésite à reprendre une autre alternance pour atteindre un bac +5, car j’ai peur d’être pénalisé par mon parcours académique. Bien que l’idée de reprendre des cours ne me dérange pas, j’avoue qu’à 28 ans, je suis peu enthousiaste à l’idée de rester au SMIC pendant deux années supplémentaires.
Quels conseils auriez-vous à me donner pour rebondir après ce genre d’expérience ? Je vis cette situation comme une injustice (bien que conscient du fait que le monde professionnel est injuste), car bien que je sache que j’ai encore beaucoup à apprendre, je pense avoir fait un travail correct compte tenu des conditions dans lesquelles j’ai effectué mon alternance, et je me fais pénaliser par des personnes mal intentionnées et incompétentes.
De plus bien que j’ai appris sur de nombreuses choses, j’ai travaillé dans une environnement oú la qualité du travail effectué n’avait pas d’importance, d’ailleurs personne n’a jamais regardé la qualité du travail qui était rendu. J’ai donc conscience d’avoir des lacunes dans ce domaine (entre autres) et j’ai peur que cela me pénalise dans la recherche d’un nouvel emploi, en ajoutant au fait que cela ne correspond pas à mes valeurs de rendre du travail baclé.

Détail de mon parcours en alternance

Première expérience :
Une startup de services gérée par deux ingénieurs non issus du milieu tech.
Dans l’entreprise, il n’y avait aucun employé expérimenté, seulement eux et quatre alternants (dont un qui n’était pas développeur). Nous avions cinq projets en simultané, dont deux avec plusieurs mois de retard. Les patrons ne travaillaient jamais sur les projets, ils étaient toujours en “réunion business” ou au téléphone avec les clients, mais rien de pertinent n’en ressortait.
Nous gérions donc chacun plusieurs projets, débordant largement de nos compétences, sans aucun accompagnement : de la conception au DevOps en passant par les maquettes et le développement.
En termes de management :

1. Pression constante.
   
2. Aucune importance accordée à la qualité du travail rendu : de nombreuses failles de sécurité étaient ignorées malgré mes avertissements répétés, et le code était de mauvaise qualité car il fallait livrer rapidement et qu’ils s’en fichaient que le code ne soit pas maintenable aprés livraison.
   
3. Longues tirades moralisatrices sur le fait que nous ne correspondions pas au "mood" de l’entreprise, sans jamais être en mesure de nous expliquer concrètement ce que nous devions améliorer, malgré nos requêtes allant en ce sens.
   
4. Aucun encadrement.
   
5. Les deux patrons donnaient parfois des indications contradictoires sur certains projets et n’assumaient pas leurs erreurs lorsque le travail, inévitablement, ne correspondait pas à la demande de l’un d’entre eux.
   
6. Mépris total pour les clients : après chaque réunion avec un client, nous faisions un débrief qui consistait principalement à écouter un des deux boss nous expliquer avec un petit sourire à quel point le client était con.
   
7. Démarche frauduleuse : lors d’un audit demandé par un investisseur d’un client, nous avons appris qu’ils facturaient notre travail aux clients à près de 700 € de TJM, même pour des tâches UI/UX que je réalisais par défaut bien que ce ne soit pas mon domaine de compétence, étant le seul à savoir utiliser Figma, tout en prétendant que le travail était effectué par des experts alors que nous étions tous des alternants.
   
8. Nous avons découvert qu’ils critiquaient chacun de nous dans notre dos lors des appels avec les autres membres de l’équipe.
   

Finalement, le torchon a brûlé entre nous lorsqu’un jour, j’ai entendu des insultes à mon égard lors d’une conversation téléphonique en haut-parleur, les murs étant fins (tout le monde dans l'open space à entendu, ajoutant un peu à l'humiliation). Après cet incident, j’ai décidé de quitter l’entreprise et de terminer mon alternance ailleurs, après un an passé dans cette startup.
Deuxième expérience :
Après un mois, je trouve un emploi dans une entreprise 100 % télétravail, mais l’environnement était tout aussi catastrophique.
Résumé rapide :

1. Pressions régulières.
   
2. Trois membres de l’entreprise ont été licenciés en huit mois et deux autres sont partis à cause de l’ambiance toxique (dans une TPE).
   
3. Installation obligatoire de logiciels de surveillance sur le PC, traquant tout : temps passé sur chaque onglet internet, captures d’écran toutes les deux minutes, suivi de l’activité du clavier et de la souris…
   
4. Le patron gérait tout de façon despotique et n’avait aucune compétence technique, malgré le fait que leur activité principale reposait sur leur propre application (par exemple, il ne comprenait pas pourquoi le front n’avançait pas alors que je travaillais sur le back-end, comme spécifié sur Trello).
   
5. Aucune communication : littéralement (Ca parait exagéré, mais c’est litérallement ce qui s’est passé)
   

La fin du contrat a également été mouvementée. La veille de mon départ, le patron m’a donné une mission à finir (en prétendant que cela ne prendrait qu’une demi-journée) qu’il avait déjà assignée à un autre alternant avant de le licencier. La mission n’avait rien à voir avec notre activité principale, et je suppose que c’était du freelance qu’il prenait pour arrondir ses fins de mois, confié aux alternants qui ne lui coutaient presque rien car payés par les aides de l’État. La mission portait sur une technologie que je ne connaissais pas, sans cahier des charges, sans consignes, sans maquette, ni même de GitHub, les fichiers étant envoyés en zip. Évidemment, je n’ai pas eu le temps de terminer en une journée.
Puis vin la semaine de mon examen, qui s’est très bien passée, avec d’excellents retours du jury. La semaine suivante, j’ai commencé à recevoir des mails menaçants me demandant de finir le travail (gratuitement après la fin de mon contrat), prétendant que ce n’était pas professionnel de ma part de ne pas avoir rendu le travail fini (demandé la veille de mon départ, je rappelle). J’ai poliment répondu que mon contrat était terminé et que je ne travaillerai pas gratuitement. Ensuite, il a commencé à harceler mon école en me diffament, affirmant que je n’avais rien rendu au cours des mois passés dans la boite (alors que j’ai réalisé un projet dans sa totalité, tout seul, car l’alternant qui devait bosser dessus avec moi à été viré quelques jours après le début du projet) et que j’avais volé du matériel qu’il m’aurait prétendument prêté (alors que j’avais toujours travaillé sur mon ordinateur personnel et n’avais jamais reçu de matériel). Cette histoire s’est résolue après que l’école ait demandé un appel en ma présence et celle du patron pour régler la situation (il n’a jamais donné suite).
THE END
PS: Merci à ceux qui prendrons la peine de lire ce pavé indigeste

I'm sure we all know of the Lamborghini Diablo using bus taillights and Nissan 300ZX headlights, but referring to the weird ones.
Like the UPS vans that used Oldsmobile Alero headlights.

I've been driving my 2004 Oldsmobile Alero into the dirt for more than 5 years now and she's on her last legs. She was my first car and because I didn't know what I was doing at all I most definitely shaved years off her life simply by being a bad car owner and even if I sink 5k into her I won't get those years back without more problems.
Basically I want something cheap and reliable that I can put the proper amount of love and care into and make last until I'm in the financial position to seriously invest in a 10+ year vehicle, I wanted moderate off road capabilities since I like to camp and explore abandoned mountain roads, but not something so devoted to the offroad brand that I can't still comfortably take it on the freeway. I was floating the idea of a 2001 Subaru Outback or perhaps a 98-05 Tacoma, but I don't know anywhere near enough about cars to even know what to google to find the important info to filter my options. Interior design doesn't matter, don't need any special features or even a functioning sound system, just want 4 wheels and an engine and doors that lock and keep out the rain.
Suggestions?

Bonjour, je ne sais pas si quelqu'un peut m'aider à ce sujet, mais on m'a volé mon téléphone et étant donné que j'étais connecté à Facebook dessus depuis des années j'ai fini par oublier mon mot de passe (je croyais que je le connaissais mais apparemment c'est pas celui là, je dois confondre avec un autre compte ? Je ne sais pas)
​
Du coup Facebook me demande confirmation par code envoyé sur mon téléphone (que le mec qui me l'a pris a du recevoir quelque chose comme 75 fois maintenant), et bien sûr je peux pas résoudre le problème de cette façon là non plus pour des raisons assez évidentes. Je suis à l'étranger pour une longue période (Maroc), et je restais en contact avec ma famille via Facebook mais du coup c'est plus du tout possible et je préférerais pouvoir leur répondre le plus tot possible. Facebook ne me propose pas du tout de vérification par pièce d'identité, je crois que c'est parce que j'ai du emprunter un ordinateur pour essayer d'y avoir accès, il dit qu'il ne "reconnait pas mon navigateur" et me renvoie sans cesse à deux possibilités: mot de passe ou code de vérification via téléphone. Qu'est-ce que je fais ? Je le hacke ? Il y a des sites sérieux de hacking ? Je sais pas trop quoi faire là

< < Next Chapter>>
Eric
Eric sat on the hood of his truck and stared up into the night sky. There were times when he felt like he could see forever when he looked up into that inky darkness.
He seemed to recall reading some sort of science bullshit in one of the art room National Geographics back in high school about how he basically was looking out into forever when he stared up, but he wasn’t sure what he thought of any of that.
It didn’t help that the article had been cut in a few critical places because there were pictures of some tribeswoman with her tits out on the other side. Something told him that hadn’t been taken for any sort of artistic collage.
He looked down to the brown bag next to him. Connor over at the liquor store hadn’t said a damn thing when he came in and bought the bottle.
Besides. It was just a little nip. Something to help him through the night if he needed it. He hoped he wouldn’t need it, but it was a full moon tonight.
Right now he was having a battle of wills with the bottle. Seeing how long it would take before he reached out and grabbed it. Took that sip.
“Not tonight, damn it,” he muttered, turning and staring up at the stars again.
It’s not that he felt the urge to drink. Not like his daddy or his granddaddy before him. It wasn’t a need for him like it was for them.
No. It was an escape. He knew from both of them that the demon was there. Lurking deep inside. Only there were also demons out there roaming the world tonight.
He figured he had a pretty damn good reason for drinking on the job tonight, for all that he hadn’t yet. Something that was a way better reason than those old assholes talking about how working at the factory was so damn hard. As though having a guaranteed job like that with a pension waiting for you on retirement was so fucking difficult.
Most of the guys his age who went to that factory probably weren’t going to see any of that. “Well damn both of you,” Eric said to the memory of his dad and granddad.
His radio sprang to life. He grunted, his attention drawn from the stars to more earthly concerns. There were nights when he could see forever, but tonight wasn’t one of those nights for one part of the sky. No. There was a big fat moon hovering up there. Like a big fat pearl hanging amongst all the tiny diamonds all around it.
The calls didn’t always come. Sometimes he could go weeks without hearing anything. But there was always something on a night when the moon hung nice and fat up there.
“We have a report of somebody speeding down Jefferson Boulevard,” Agnes said.
Eric snorted, breathing a sigh of relief. Somebody speeding down Jefferson Boulevard was hardly anything new. It was also something that hardly deserved the sheriff’s attention.
“I’m on it,” Jake said.
Eric sighed in relief and looked over to the bag. Not yet. Not fucking yet. He knew there’d be time enough for that later.
“I don’t know why I even bother,” he muttered.
He turned and stared up at the sky again. Almost dared that moon. Of course he knew better than to dare anything. They were out there. They were always out there.
This whole damn county was their hunting ground, and everyone in it their prey. Even if they were careful about not being too obvious. About not going for locals unless they had a good reason.
He’d dismissed the stories of the Beast back when he was a young man. The same as everyone else. Everybody he went to school with said it was bullshit adults made up because they wanted to keep teenagers from necking and getting pregnant.
He knew better now. He was the dumbass who insisted on running for sheriff and winning. Who learned things he rather would’ve stayed ignorant about. Things that would’ve kept him from running if he knew now what he knew then.
Things that would’ve had him running off to the city like people who went off to college to get fancy degrees. Though if these things were here then he figured they were probably off in the city, too. “Well this whole county can go fuck itself,” he muttered, figuring at least if he was in the city then they’d have a lot more targets to choose from.
Not that they ever targeted him. Not directly. Oh no. They had a nice friendly working relationship. At least they seemed to think they did. Not that they’d ever asked him his opinion on that arrangement. The old sheriff knew. The fat bastard. He’d just chuckled, shook his hand, and thanked Eric for being kind enough to take a load off his mind.
Eric didn’t have any idea what the fuck he was talking about at the time, but he’d learned. Oh he’d learned.
He looked out over the cornfields. Fireflies floated lazily out there. He also kept an eye out for another kind of glow. The telltale sign they were watching.
He knew exactly what he was looking for. He was terrified of finding it. He knew they wouldn’t do a damn thing to him, probably, but that didn’t mean he liked knowing they were out there. He didn’t see the yellow eyes. Not yet.
Sometimes he didn’t see them at all on the night of a full moon, but he knew they were out there. Watching. Making sure he did everything to their liking.
He reached out and touched the bottle in its bag. Just a little touch to reassure himself it was still there. The paper crinkled under his fingers as he thought about taking a drink. Just one drink. To calm his nerves. That’s all it would take, and then…
But no. He pulled his hand away again. He wasn’t going to give into temptation. He wasn’t going to be like those old bastards.
Not this early in the night, at least.
Well?” he finally said to nothing and everything. “Are you bastards out there? What the fuck are you waiting for?”
He listened to the silence. Though it wasn’t a total silence. No, he could hear the bugs chirping all around. Hear the sounds of life. The sounds of things that knew there wasn’t anything to worry about out there.
As long as he heard those sounds he knew he was okay, too. Though of course he knew he was always going to be okay.
They needed him. The bastards.
“Well you can all go fuck yourselves, too,” he muttered to nothing and everything all around him.
“Eric, you out there?”
He squeezed his eyes shut. It never meant anything good when Agnes asked for him by name. He didn’t want to slide off his hood. He was comfortable up here.
But he also knew he had to do it. She wouldn’t be calling him by name if it wasn’t for a good reason. So he slid off the hood and walked around, pulling open the driver’s side door but not popping into the cab.
He felt an itch between his shoulder blades. It reminded him of when he was a little kid going down into the basement in his old house.
He’d been terrified of that place. It was dank and musty. Not at all like the nice finished basements all the people living in Wolfsbane up on the north side of town had.
He’d been surprised the first time he went over to a friend’s house up there and he suggested going down into the basement to play games. He’d been terrified. Basements were dark places full of terror. Not where you went to play your friend’s Atari.
He always had the feeling there was something down there waiting for him at his house. Something lurking in one of the dark rooms off to the side. A place that had apparently been a root cellar once upon a time.
His mom explained it was all from a time before refrigerators. Apparently people had to store their food underground to preserve it back then.
That made sense. The house he grew up in had been built almost a century prior, after all, and it’d been a farmhouse once upon a time. Even if that’s not what it was by the time his parents moved in. He pushed away that itching feeling the same as he always did. The same as he’d learned to do when he was a kid.
He wasn’t going to cower because he knew they were out there, the same as he wasn’t going to cower because of imaginary monsters lurking in the basement.
“This is Eric,” he said, mindful that there were probably more than a few old blue hairs out there listening in and trying to pick out any interesting tidbits to gossip about. Especially on the night of a full moon. “What’s up, Agnes?”
“Just got a call from Carrie Anderson’s parents,” she said. “She had a date tonight with Brad Thomas.” Eric frowned. He didn’t know who Carrie Anderson was. Probably one of the many Andersons who lived in the county. But he did know who Brad Thomas was.
The boy was the quarterback for the football team. Sure it wasn’t like the team was all that good these days, but that didn’t matter. People didn’t care whether the team was good so much as they cared about reliving their glory days.
That sent a pang of regret running through him. Memories of better times. Back when he’d been blissfully ignorant. Back when he could safely assume a couple of kids coming home late were just busy making the next generation of football stars who’d burn bright in high school and go on to not much else after.
While also adding to the teen pregnancy statistics.
“Did they check all the usual spots?” he asked. “I don’t see how a couple of teenagers necking is our business.”
He prayed it wasn’t his business.
“It is when it’s 1AM and neither one of them has come in yet,” she said. “I figured you might want to have a look. Bad weather out there tonight.”
Eric winced. Bad weather out there tonight. He looked up. Barely a hint of clouds and no hint of rain.
Of course she was talking about the moon hanging in the sky. It was a code he’d made up, but he was starting to think he needed a new code since that one made no damn sense on a night like tonight. People listening in on their scanners might figure out they were talking in code.
“I’ll check it out,” he said, sighing.
He had a pretty good idea of exactly where to go. He didn’t know Brad Thomas, but he’d been best friends with Tom who had the unfortunate double name and a habit of busting the lip of anyone who pointed it out.
And he knew exactly where Tom liked to take his dates back in the day.
He figured that was the kind of thing Tom would let slip to his younger brother. All in the name of his younger brother having a good time with his dates, of course.
Tom wasn’t the kind of person to stop and consider whether it would be a good idea to give his brother a guide to adding to the local teen pregnancy rate. God knows Tom had done enough of his own attempts in that department over the years, for all that he miraculously never actually added to it. Eric sighed, wondering what the fuck he was getting into here. Then he popped into his truck and turned to have a final look around.
He’d parked at the edge of the field he liked to go to when he needed to do some thinking that might require the help of a bottle in a paper bag thanks to the full moon. It was nice and out of the way. That also meant if any of them were watching then there was a good chance nobody else would get hurt if they decided to break the truce.
As he looked around one final time he stopped.
He didn’t acknowledge it. That was never a good idea. He’d been bluff charged once, and nearly pissed his pants because it hadn’t looked like a bluff until the last minute. The thing had even taken one of the buttons off his shirt with those claws, which was a pretty clear message.
He didn’t acknowledge it tonight, but he saw it out there. Saw those two eyes staring at him out of the darkness. Two eyes that glowed yellow.
The thing were staring right at him, because of course it was staring right at him. They were always staring right at him. And there wasn’t a damn thing he could do about it.
He thought about the special gun with the special ammo in his center console. Thought about going for it. But that would only piss them off. Not to mention a pistol wouldn’t have great accuracy at that range, and they were fast. The button incident was proof enough of that.
If he managed to get off one shot, though…
Well. There was probably another one out there he wasn’t seeing. And the last thing he wanted was to get in a fight with more than one of the bastards. He didn’t even want to get in a fight with one of them.
Instead he held up his brown paper bag.
“Here’s to you, motherfuckers,” he said in a quiet voice. Though it’s not like it mattered. He knew they could hear him just fine. Yeah. They could always hear him just fine.
Still. He had a job to do. So he started the truck and made a beeline for the old barn.
As he got to the place he stopped to take a look at the surroundings. He didn’t think he was going to find anything out here, but it didn’t hurt to be cautious. Especially on the night of a full moon.
He turned his spotlight on and played it all around, taking a good long look. He didn’t see anything at first glance, but he knew better than to assume that meant there was nothing out there.
The place didn’t look all that remarkable. Just a run down barn out in the middle of nowhere. One of many rundown barns out in the middle of nowhere that spoke to a time when everybody lived and worked on the family farm.
Only he knew Tom always used to enjoy taking his lady friends out here.
He drove slowly to the other side of the barn, and his breath caught. Because he saw something there that made his heart freeze.
It was an old boat of a car. An Oldsmobile Delta 88. He recognized it all too well, because he’d been in the back of that car plenty of times back before Tom saved up enough money to get his van.
He hadn’t been in that back seat getting with Tom, for all that he was sure it had seen plenty of action.
No, Tom was always happy to drive them around and he’d always been happy to bum a ride out of this place for a night.
Though Matt Arnold, also in their friend group, might’ve been happy to be in the back seat with him.
Eric shook his head and wondered what old Matt was up to. The last he heard the guy went off to San Francisco, though if the news from out there was to be believed then that was the next best thing to a death sentence these days considering Matt’s romantic preferences.
Eric shook his head again and pushed those thoughts away. After all, there were other things around here that were a death sentence as well. A lot faster than that disease out there.
There was something wrong with the car. It looked like somebody had taken a can opener and gone to town on the rear quarter panel, but in five evenly spaced gouges.
The car was rusted out in places and had seen better days, but this damage was definitely new. The window was broken on the passenger side. And he could see red splattered against the inside and on the hood. Fuck.
“What the fuck are you assholes doing out here?” he muttered, staring at the car and not wanting to go any closer.
Not because he didn’t want to see what was in there. That was something he was used to by now. No, it was because if he didn’t look then it wasn’t real. He wouldn’t have to deal with it. Except someone had to deal with it, and that someone was him.
He was tempted to call it in first, but he wanted to have a look around before causing a fuss. Wanted to make sure this was exactly what he thought it was.
He did pause to reach into the center console and pull out the special pistol with the special ammo, though. Hopefully if they were watching they wouldn’t see him doing it, or they wouldn’t realize the significance.
Either way, if they’d killed locals then that meant something was different tonight. Maybe that change would extend to one of them trying to take out the long arm of the law. Maybe it was a rogue. He didn’t know enough about how they operated to know how that worked.
He did know he wanted something that might be able to take them out if they decided to get frisky, for all that there was also a defeated part of the back of his mind that whispered nothing he could do would matter.
No. The only job left to him was to tally up the butcher’s bill and inform the families.
He stepped forward, shining his flashlight through the windshield. He had to put a hand over his mouth to keep from losing everything he’d eaten earlier when he started his breakfast at dinnertime.
Susie down at the diner was always more than happy to accommodate him with a late breakfast of hashbrowns, eggs, and bacon. Even if it wasn’t a twenty-four hour breakfast kind of establishment. He managed to get his retching under control before losing that breakfast. Barely. Maybe he was used to this, but that didn’t make it any easier.
He shone his flashlight around as he wondered what the hell had happened here tonight.
He turned away from the girl. Presumably that was Carrie. Her parents weren’t ever going to see her coming home again. They weren’t even going to get to see her in the casket with the condition she was in.
There was still the question of Brad, though. He didn’t think he was going to find the kid. Not in one piece. Not considering the condition his girlfriend was in.
Or maybe that wasn’t his girlfriend. He seemed to recall hearing through the small town rumor mill that he was dating…
No. He wasn’t going to think about that right now. If that was the case then it might start to explain why the kid got killed. Stupid, crossing that family.
But neither of them deserved this. Maybe Brad was being an idiot in the grand tradition of horny teenage guys throughout the history of history, but nobody Deserve death because they were making stupid decisions thanks to all their blood pumping to the wrong brain.
He played his flashlight across the barn, not sure what to expect. He almost hoped he wouldn’t find anything, but he knew that wouldn’t be the case. It was never that easy.
He turned back to his truck. He knew the bottle was still in there. It would be so easy to take a drink. He didn’t, though. He needed to stay frosty for this one.
That was a phrase he’d picked up watching that stupid movie about those aliens back in high school, but if ever there was a situation where he needed to stay frosty, this was it. He just hoped he didn’t wind up like those poor bastards who didn’t end up staying frosty enough to survive to the end of the movie.
Life wasn’t a movie, but it sure as shit felt like he was in the middle of a horror flick right now. Maybe like that guy who didn’t stay off the moors. Or the one where the lady from E.T. found more than she bargained for at a nature retreat.
He turned his attention to the barn. Again he had that feeling. That itching between his shoulder blades. Only this time around that itching turned to something else.
It was the overwhelming feeling that if he went into that barn it would be the end of his life. That the truce didn’t matter. His body started to shake, but he clamped down on that shit.
He wasn’t going to run away, damn it. He wasn’t going to let them win.
So he took control and stepped inside, playing his flashlight all across the place. The headlights from the Delta 88 were still illuminating the barn, creating weird shadows that looked like something out of a nightmare.
It didn’t help that he found Brad Thomas. Again he felt the urge to lose his breakfast, and again he pushed down on that urge almost as quickly as it appeared.
He wasn’t going to let them win, damn it.
A few minutes later he stumbled back out. He looked around again, his eyes scanning the cornfield until…
Sure enough. There they were. A pair of glowing eyes. No. Two pairs of glowing eyes. Staring at him from the darkness. From well over the corn. Which wasn’t any great accomplishment this time of year, but at their full height they would still be well above the corn even when it was at its tallest.
And as summer moved into fall he knew they’d be able to walk through the corn unseen. People worried about running into monsters in the dark and scary forest. They never thought about running into them in a man-made forest laid out in neat rows.
That feeling of dread was overwhelming now. The sense there was something off about this. Something deeply wrong. Something that was different from any dealings he’d had with them in the past.
And then, just like that, the feeling was gone. The glowing eyes winked out, and they were gone, too. He shook his head to clear it, wondering what the fuck that was all about. Then he walked over to the truck and picked up his radio.
“Agnes?”
“Yeah, Eric?”
He thought about what he was about to say, and then realized there was no getting around it. No way to make this sound any better. No way to get around the people who might be listening in.
He’d heard some of the old guys in the office talking about the good old days when people couldn’t listen in on the police band with mass-produced scanners. He wished that was still the case today.
He sighed, wondering how he’d come to this point even as he could trace every misstep that’d seemed like the right thing to do at the time that led him to this moment.
“We’re going to need a whole crew out here tonight, Agnes. Start waking people up. It looks like we’ve got ourselves a situation.”
That would be enough for anyone who listened in regularly to know exactly what he was talking about, but there was nothing for it.
There was a situation. Maybe they’d assume it was a situation that involved another outsider. Or just a run-of-the-mill car accident.
But the old timers who’d lived here their whole lives? They’d know exactly what a situation meant, and as soon as it got out who’d been taken this time…
Well. Shit was going to hit the fan and get flung all over the place, and he was standing right underneath it while it was being flung around.
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I'm moving to California and bringing my car with me. Because my catalytic converter was previously stolen, I had it replaced. I know the replaced catalytic converter is not compliant in California and the car will probably fail a smog test in California. How much would it cost to replace it with a complaint catalytic converter? The car only has 80 K miles on it and it still drives great. I'm trying to decide it I should just get rid of the car or just fix it to make it complaint with California smog laws.

Anyone around E 17th avenue with info on a suspect breaking into a silver Oldsmobile alero with bags and tape over the window please aid me in my search of the scumbag. I understand bags arnt gonna keep someone out, but it did for about 2 weeks not a drop of water in my car until dipshit shoved his hands through, left pretty much everything of value, but broke my car. Any help would be appreciated .