TW : maltraitance (?)
J'ai actuellement 22 ans. Quand j'ai commencé les études sup' et que j'ai dû vivre sans mes parents pour la première fois, ça a été une horreur. J'ai sombré dans une spirale de désespoir où je ne faisais que broyer du noir, et j'en suis arrivée à certains extrêmes que je n'aurai jamais pensé atteindre. Ce qui a été particulièrement difficile, c'est que je ne comprenais pas pourquoi j'allais aussi mal. Je n'avais apparemment aucune raison de ressentir ce mal-être et ce désespoir, et ça me desolait encore plus, je me dégoûtais de moi-même, parce-que tout allait bien : des études qui me plaisaient, des amis, des parents qui m'aimaient et qui payer mes études et mon logement. Au bout d'un an, complètement à bout et à cause de comportements destructeurs, je suis rentrée chez mes parents d'où j'ai continué mes études malgré les trajets (5h par jour), parce-que incapable de vivre seule. J'ai fini par avoir ma licence, et je me suis inscrite dans un master pas loin de chez mes parents, pour ne pas avoir à m'éloigner d'eux.
Avec le temps, et en restant avec ma famille (et les rendez-vous psy), je me suis requinquée. Mais je sentais que quelque chose s'était cassé au fond, qu'il y avait quelque chose qui m'avait marqué pendant mon enfance et que je refusais de m'avouer. Pour le contexte, j'ai vécu une situation un peu traumatique quand j'étais au lycée, que mon cerveau a rapidement effacé. Mais tout m'est revenu en tête de manière aléatoire lors de ma deuxième année d'étude, alors que je ne me souvenais de rien. Et juste avant que les souvenirs ne remontent, j'avais cette impression qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas. C'était la même impression que j'avais quand je repensais à ce désespoir et à cette noirceure de ma première année d'étude.
J'ai vu une psychologue à la fin de ma première année, pendant 1 ou 2 mois (j'ai été obligée par mon médecin de famille, qui m'a dit que c'était ça ou l'hôpital psychiatrique). Je suis assez frileuse des médecins et mes parents étant assez psychobes, j'ai rapidement abandonné quand j'ai vu que j'allais un tout petit peu mieux. Mais le temps a passé et j'ai ressenti le besoin de retourner voir cette psy au début de cette année scolaire, avec une plus grande maturité, et surtout, l'envie d'aller vraiment bien. Parce-que je ressentais toujours ce vide et ce questionnement de "mais qu'est ce qui ne va pas chez moi bordel ?".
Alors avant le premier rendez-vous, j'ai écrit sur une feuille tout ce qui s'est "mal passé" dans la vie, depuis ma naissance. Et je lui ai donné. Pour le contexte, mon père biologique est parti 2 mois après ma naissance, ne s'est pas présenté au tribunal pour avoir ma garde, a complètement effacé ma mère et moi de sa vie, pour revenir avec des messages flippants 18 ans après ; dès que je me sentais pas bien, je me disais que c'était à cause de ça, la peur de l'abandon, etc. Ma mère a passé une partie de mon adolescence à l'hôpital ; ma grand-mère, qui m'a pratiquement élevée, est décédée peu avant mes études sup'. Pour moi, ces raisons étaient les raisons principales de mon bien-être. Mais quand je suis retournée chez la psy pour le deuxième rendez-vous, elle m'a dit ces mots : "Je pense que les professeurs du collège aurait dû appeler les services sociaux pour maltraitance. Ce n'est plus le cas aujourd'hui, mais vous avez de la maltraitance." Et ça, c'était en novembre, et je n'arrive toujours pas à le digérer. Pourtant, ça semble vrai, mais en même temps, je n'arrive pas à me dire que j'ai été maltraitée. Quelque chose me dit que ce n'est pas vrai et me hurle que mes parents sont gentils et que la psy est méchante.
J'ai l'impression que c'est le genre d'histoire qu'on lit chez les autres, et que je trouvais un peu exagérées. J'arrive pas à me dire que c'est moi qui ait vécu ça.
Que toute ma personnalité vienne de cette maltraitance. Que tous mes défauts viennent de là, que toutes mes réactions sont des mécaniques de défense. Je pense que c'est le point final de mon histoire. Je n'arrive pas à concevoir que je ne suis que le produit de la maltraitance de mes parents. J'ai l'impression de n'être personne d'autre que des fêlures et des blessures et de la douleur. Comme si je n'avais aucune personnalité propre, et que tout ce que je pensais aimer, n'étaient en fait que des techniques élaborées quand j'étais jeune pour échapper à un quotidien compliqué. J'ai l'impression d'avoir la maturité d'une adolescente qui n'arrive pas à vivre sans papa et maman. Et je n'arrive pas à partir de chez eux - savoir qu'ils risquent de couper les ponts avec moi est trop difficile à envisager.
J'ai encore besoin de m'exprimer, mais la suite ne sera que ce mes parents m'ont fait, de mon enfance, ce qui peut faire partie de la maltraitance et expliquer qui je suis aujourd'hui. Ce n'est peut-être pas le plus intéressant à lire.

• les cris incessants. Et les coups aussi.
• quand j'étais petite (genre maternelle/début primaire), que je pleurais, mes parents me maintenait la tête sous le jet de la douche, avec de l'eau glacée.
• j'avais peur de monter dans la voiture avec ma mère parce-qu'elle en profitait pour faire des détours de plus en plus longs, pour me hurler dessus pendant que je pleurais, elle roulait vite et n'importe comment, menaçait parfois de sortir de la route pour avoir un accident et qu'on meure toutes les deux.
• elle m'a déposée sur le bord de la route et est partie en voiture, me laissant seule au bord d'un champ. Je devais avoir 8 ans et je ne savais pas où j'étais. Heureusement, elle est revenue me chercher.
• les insultes et humiliations.
• quand j'étais en primaire, je n'avais pas beaucoup d'amis et j'en étais triste. Ma mère me disait toujours "c'est de ta faute, tu n'es pas assez gentille, tu es trop grosse, arrête de pleurer".
• au collège, je suis allée voir mes parents pour leur dire que je me sentais vraiment pas bien (idées noires). Les yeux rivés sur la télé, ils m'ont dit "c'est de ta faute, prend sur toi."
• j'étais bonne élève. J'adorais l'école même si j'avais pas d'amis. Je pouvais lire, dessiner, la maîtresse était gentille avec moi. Elle me félicitait quand je faisais un bon travail. Il n'y avait personne pour me crier dessus ou me frapper.
• très tôt (mes premières souvenirs de ça remontent à la grande section), j'ai commencé à m'inventer des histoires dans ma tête. J'étais amie avec des gens incroyables qui avaient des super-pouvoirs, ils m'aimaient, on partait vivre des aventures. Au début, c'était avant de dormir. Mais plus le temps avançait, plus c'était tout le temps : avant de dormir, en voiture, à table, quand je ne faisais rien de particulier. Pour combler un vide ou pour ne plus entendre mes parents crier.
• pareil, j'ai commencé à lire très tôt. Et je lisqis très vite. J'avalais des tonnes de livres que je ne comprenais même pas. L'idée était de me maintenir occupée, trop occupée pour penser, et je m'imaginais ailleurs. C'était pareil avec le dessin. Je n'ai jamais arrêté de dessiner, toujours pour m'évader. J'ai voulu en faire mon métier, parce-que j'adorais dessiner, depuis ma 6eme je passe 12 heures par jours à dessiner dès que je le pouvais. Mais maintenant que je sais que ça vient de là, je n'arrive pas à me le réapproprier.
• ma mère m'a toujours interdit de cuisiner, de faire le ménage, les tâches ménagères, parce-que j'étais "trop nulle". Avec le recul, j'ai l'impression que c'est plus une technique de manipulation, puisqu'une fois que j'habitais seule, j'avais absolument tout le temps besoin d'elle pour faire quoi que ce soit.
• mes parents ne me font aucun compliment. Ils me rabaissent et m'ont toujours rabaissée. Puis ils me hurlent dessus parce-que je n'ai pas confiance en moi. Et ils me hurlent dessus parce-que je les fais se sentir comme des parents horribles.
• mon beau-père a défoncé la porte de ma chambre à la hache parce-que je ne voulais pas lui parler. Il y a toujours un trou dans ma porte, recouvert de deux planches de bois fines.
• a 12 ans, j'ai fugué. Ma mère me répétait tellement que j'étais horrible, méchante, vilaine, que je devrais trouver une famille qui voudrait bien de moi. Elle me l'a dit tellement de fois qu'au bout d'un moment, je l'ai crue. Et je suis partie pour rejoindre mes grands-parents. Évidement quand les policiers m'ont récupéré, je n'ai rien dit de tout ça.
• ma mère m'a toujours répété que les gens ne m'aimaient pas. Que j'étais tellement horrible que seule ma famille serait capable de m'aimer - et encore. Que les gens faisaient semblant de m.apprécier. Qu'ils parlaient tous dans mon dos. Que j'étais détestable, et méchante, et égoïste. A un tel point que quand des copains de collège/lycée me disait que j'étais gentille, je rigolais et je leur disais que ce n'était pas vrai.
• ma mère a forcé ma cousine, que je considérais comme une de mes amies les plus proches quand j'avais 14 ans, à dire que si elle parlait avec moi, c'est parce-que que je lui parlais, qu'au fond elle m'aimait pas trop, et que je la saoulais. Avec mon regard actuel, je me rend compte que ma cousine, encore plus jeune que moi, était gênée, et que ma mère lui mettait ses mots dans sa bouche. Mais malgré tout, la relation d'amitié qui existait entre nous n'est plus possible aujourd'hui.
• à chaque fois que j'avais des amis, ma mère trouvait toujours un moyen pour me montrer que je n'étais pas faite pour être ami avec, pour mériter cette personne, que la personne parlait dans mon dos et me détestait.
• ma mère nous a enfermé une après-midi entière dans une salle de la maison avec mon frère et ma soeur parce-que des bonbons avaient été mangés sans sa permission et qu'elle ne trouvait pas qui c'était. On n'avait pas d'autre choix que de la laisser nous crier dessus, assis sur une chaise. Elle nous poussait à nous dénoncer entre nouw. J'ai fini par avouer parce-que mon frère et ma soeur pleuraient que ça faisait 3h qu'on était là sans rien faire que de nous faire crier dessus. Je n'avais pas pris ces bonbons mais je me suis fait tapée et elle ne m'a pas parlé pendant quelques temps après.
• ma mère nous a monté les uns contre les autres avec mes frères et ma soeur. Aujourd'hui, on a aucun relation entre nous, si ce n'est de la dénonciation et de la colère. Mes frères sont les parfaits soldats de ma mère et ma soeur a juste envie de se casser et s'en fout de tout le monde. Je suis la plus grande et je n'ai même pas envie d'essayer de réparer tout ça.

Je pense que je pourrais encore continuer mais je vais m'arrêter là. Merci à ce sub de m'avoir permis de m'exprimer.

Bonjour !
Je suis nouveau sur Reddit donc j'espère que j'écris au bon endroit !
Avec ma copine nous sommes depuis peu famille d'accueil pour un chiot de 4,5 mois, fraîchement ramené de la Réunion en France par une association où il était déjà en famille d'accueil, il vient d'une portée de 7 de chien errant, il était le plus petit de sa fratrie et a sur le ventre pleins de petites cicatrices d'origine inconnue. C'est un berger Créole mais on voit clairement à la couleur de sa tête qu'il tient du Malinois. Il est arrivé en France il y a 5 jours par avion, a été récupéré par un gars de l'association que nous aidons et a refait pas mal de route dans la journée pour arriver chez nous. A la réunion sa famille d'accueil était une femme qui l'a accueilli lui et trois de ses frères, elle semble ne pas avoir été très présente pour eux et ils avaient un accès permanent à l'extérieur. C'est à peu près tout ce que nous savons sur son passé.
Le chiot vit avec nous depuis 5 jours et il s'est vraiment très vite habitué à la vie en appartement ainsi qu'à nous. Bien sûr de manière générale il fait quelques bêtises et test des limites en mordant les coussins et les tapis pour faire ses dents, mais globalement tout se passe plutôt bien, il est même plutôt propre. Il est proche de nous et semble nous faire confiance, les gens qui nous voient tous les trois ont du mal à croire que cela fait si peu de temps qu'il est avec nous. Tout le monde nous dit qu'il nous adore, qu'il a l'air d'avoir très confiance en nous et qu'il nous a adopté. Le problème c'est son comportement envers ma copine, surtout quand je ne suis pas là :
Déjà il lui mord les mains et les bras (et occasionnelement jambes et même vêtements) plutôt souvent et dans des contextes divers (câlins, balades, etc.) ce qu'il ne fait pas avec moi. Il m'a déjà mordillé les mains sans jamais appuyer fort et arrête vite. Mais là ma copine a des marques et petites cicatrices des morsures sur les mains et les bras donc il doit appuyer vraiment fort, il lui fait mal. Elle a déjà essayé de se retourner pour lui montrer qu'elle ne veut pas jouer, ça le calme seulement souvent que jusqu'à ce qu'elle reprenne sa vie. Elle a aussi essayé de crier des "aïe" quand il mord trop fort mais il n'arrête pas, si elle s'en va souvent il l'a suit et continue à sauter pour lui attraper généralement les mains.
Il écoute aussi beaucoup moins ma copine par exemple sur les "non" quand il fait des bêtises, il est généralement réactif quand je le fais mais quand ma copine le fait il est souvent indifférent.
Il est déjà également passé deux fois derrière ma copine assise et d'après ce qu'elle m'a expliqué il a simulé l'acte sexuel sur son dos.
Les comportements douloureux et de simulation sexuel ont généralement lieu quand je ne suis pas avec eux, soit quand ma copine le promène seul, soit quand ils sont seul à l'appartement, soit quand je suis dans une autre pièce. Pour que le chiot se comporte bien avec elle il faut généralement que je ne sois pas très loin. Il ne montre jamaid aucun signe d'agressivité envers elle, ni visuel ni sonore. Généralement il se comporte comme avec moi, des fois il a même l'air plus excité de la voir.
La situation est très pénible, pesante et frustrante pour ma copine (et pour moi aussi d'ailleurs), surtout que c'est elle qui a voulu prendre ce chiot en famille d'accueil, et sa relation avec le chiot est compliquée. On ne comprend vraiment pas son comportement vis à vis d'elle.
La situation est vraiment pas facile et je veux vraiment le meilleur pour ma copine et pour le chiot alors si vous avez des expériences similaires, des solutions, tips ou autre je suis très preneur.
Désolé du pavé et merci d'avance !

Salut tout le monde ! Petit post pour avoir votre ressentie ou vos anecdotes concernant votre première fois a Basic.
J'en profite pour faire mon RETEX car j'en reviens et j'ai l'impression d'être passé pour le plus gros blaireau de la terre 🥲.
Je m'y pointe avec mon jogging, ma veste et le sac basic fit et viens le moment d'entrée dans la salle, je me trouve au niveau du SAS. Sauf bah je sais pas ou pointer le QR code donc je cherche un peu partout,je vois une borne...et bah non c'est pour payer ton abonnement. Donc j'attends et un mec sort, je lui demande alors comme on passe et la il me montre le tout petit détecteur QR code sur le côté du tourniquet...gros moment de gêne quand tu sais que t'es à la vue de tous et que t'es le seul gros galériens 💀.
J'entre enfin dans la vraie salle et là gros bug (j'étais auparavant dans une petite salle de sport de village)...OU SONT LES VESTIAIRES ?? J'ai vu toute mes habitudes chamboulé du coup je suis là olanté devans l'entré a cherchet l'endroit pour se changer en l'occurrence pour surtout changer mes chaussures de ville. Résultats je trouve rien donc je me dis tant pis c'est pas comme si j'étais en jean, du coup j'explore je vois des machines jamais vu auparavant et viens que je le retrouve au milieu de la salle...seul gus avec le sac sur le dos et la veste...les gens qui te regarde bizarre et toi qui range ta veste dans ton sac parce que t'as abandonné l'idée de trouver des vestiaires.
Je m'installe enfin a une machine et commence mes rep mais l'histoire du sac me chiffonne toujours du coup je demande a mon voisin de machine et il me dit "bah les sacs faut les mettre dans les casiers là bas"...c'est là que je vois TOUT au fond de la salle des casiers pour mettre ses sacs. YES j'ai enfin trouvé ma réponse et là il me dit "par contre faut un cadenas sur toi"........BREF je me dis tant pis et je fais un semblant de séance de 45min puis m'en vais.
En résumé, j'ai l'impression d'être passé pour l'intru de la salle ou le mec chelou, je compte y retourner un mais bordel j'étais mal à l'aise quelque chose de gros.
Du coup après ce roman comme à été votre première fois a vous ? Quelque de similaire a moi ou tranquille ?

Bonjour à vous !
Voilà, alors en fait je suis un joueurs de donjon et dragon très débutant. J'ai déménagé et paf bah je me retrouve tout seul dans mon coin dans une ville peu habité en dehors de l'été. Du coup bon bah je ne trouve pas de table à rejoindre.
J'ai alors un peu fait fonctionner mon esprit, frustré de ne pouvoir jouer, et une idée m'est venu ! Je n'arrive pas à trouver de MJ qui gère une table avec une place, pourquoi ne pas proposer de gérer ma propre partie, trouver des joueurs serait peut être plus simple !
Le truc c'est que je n'y connais pas grand chose.. Alors je le suis dit que faire les choses un peu à ma sauce serait peut être sympa. Je vous présente donc mon idée de petite campagne que je souhaitait proposer. J'aimerais beaucoup avoir des avis de joueur ou maître du jeu plus avisés que moi avant de me lancer à fond dans la rédaction et le développement de mon truc.. Parce que bon des idées j'en ai à la pelle, des bonnes idées peut être moins ! Bref hésitez pas à donner votre avis ou vos suggestions !
Voilà alors l'idée c'est quoi, c'est ça :
-Alors que le soleil n'est encore qu'à peine levé, vous sentez la paille vous chatouiller les narines. Ouvrant les yeux difficilement après une nuit bien trop courte, vous regardez autour de vous et commencer difficilement à vous remémorer votre journée de la veille.
Vous étiez parmi les autres, sûrement le plus beau, à coup sûr le plus athlétique, peut être le plus grand... Et vous avez été sélectionné !
Tout content, vous vous revoyez, fier, bombant la poitrine devant les autres, relevant la tête pour montrer votre supériorité : on en avait choisi un et c'était vous !
Celui qui avait choisi de faire équipe avec vous s'était alors approché. Vous vous étiez alors déconfit. Loin du grand chevalier en armure que vous imaginiez, un jeune gringalet, trois poils de barbes sur les joues, des joues d'enfant, un sac à dos en cuir mal cousu sur le dos et un chapeau de travers sur la tête, s'était approché de vous. Il marchait fièrement, quoiqu'un peu de guingois, droit vers vous.
Attrapant votre licol, il avait déposé une bourse de pièce sur le bureau du maître des enchères et vous avait attiré vers une grange. Vous installant dans la paille, il s'était assis près de vous et vous avais regardé les yeux brillant.
'' Toi, tu vas t'appeler Dargant ! (nom de joueur d'exemple). Tu vas voir, on va vivre un paquet d'aventures tout les deux ! Repose toi bien, on part demain, chercher nos première quêtes.''
Le gamin mal coiffé vous avais tapoté la tête puis était partis se coucher, prêt à rêver de combat héroïques contre des adversaires farfelus. -
Voila donc vous l'aurez deviné, mon idée c'est de faire jouer des animaux aux joueurs. Une monture ou un familier. Chacun des joueurs/animaux serait directement lié à un aventurier au début, des aventurier totalement débutant. Ils pourraient et devraient, par différents moyens ou stratégies, chercher à diriger les quêtes et aventure en influençant le groupe d'aventurier qu'ils accompagnent. Un cheval, monture, pourrait par exemple tout à coup choisir de sortir du chemin pour éviter à son cavalier de se faire attaquer par un archer que lui n'aurait pas vu... Ce genre de chose.
Je ne sais pas du tout si l'idée est bonne. Je vois beaucoup de manière d'exploiter le truc mais je me demande surtout si ça pourrait plaire à des joueurs. J'ai notamment peur le fait de n'être, au mois en apparence, pas le personnage principal de l'histoire puisse en frustrer certain.
Voilà donc et bah je vous remercie de vos avis et opinions ! Je suis également désolé de mon orthographe que je sais bancal... Je ne fait que lire et écrire pourtant les fautes sont partout dans mes textes 😅

Bonjour le sub,
Je ne peux pas nommer ni l'entreprise ni mon rôle, mais je fais partie du groupe qui organise la qualité de vie au travail d'une grande société internationale. Société qui se veut à fond inclusive, décarbonation, etc (vous me direz greenwashing, pinkwashing, si vous voulez, mais profitons-en pour améliorer les conditions de travail, non ?) et qui peine à recruter des jeunes et des femmes. Du coup, il y a de plus en plus d'avantages pour les parents qui ont été mis en place ces dernières années : congé allaitement, congé de naissance pour les 2 parents rallongé (le 2e parent pouvant être une 2e maman), des jours quand on fait de la PMA, aide d'ailleurs pour les démarches, partenariat avec des crèches, remboursement de 50% des frais de garde, jours enfant malade payés à 100% , l'employeur cotise à 100% la prévoyance quand un des parents prends un temps partiel parental, et j'en passe. Et augmentation salariale systématique l'année où on prend un congé mat ou paternité. Bref, pour tout ça, tout le monde était d'accord.
Il y a également des propositions pour les modes de déplacements durables et pour le logement, et on a du télétravail quand c'est possible sur le poste (donc pour les postes en tertiaire), et des aménagements pour les maladies/ handicaps.
Aujourd'hui, CODIR sur les conditions de travail et nouvelle proposition d'OS et de la direction : mise en place d'un congé menstruel (modalité à discuter : 1 à 2 jours par mois, pour les femmes ayant une pathologie reconnue médicalement ou via l'avis médical du médecin du travail, tout cela aurait été vu par la suite une fois que le sujet était engagé). La direction était D'ACCORD. Mais vote des représentants et là, douche froide : presque toutes les femmes présentes sauf 3 ont voté contre. Contre l'idée de réfléchir à la proposition, cash. Les mecs présents ont commencé à poser des questions sur combien de personnes ça concernerait, qu'il faudrait regarder cout/bénéfice, les modalités etc. Donc la personne qui portait le projet dit que justement tout ça pourrait être évalué lors de la prochaine commission et le vote portait sur l'étude de ça. Et on est plusieurs à être tombé de haut quand ces femmes ont dit qu'il en était hors de question, elles ne voulaient même pas en discuter.
Je ne comprends pas leur position. Je n'ai pas pu pour le moment aller discuter avec elle individuellement pour les comprendre et essayer de les convaincre de changer de position, mais je ne vois pas comment on peut être d'emblée contre une proposition avant même qu'elle soit auditée. Et surtout, la fameuse solidarité féminine, elle est où là-dedans ?
Vos avis ?
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Bonjour à tous,
Je faisais beaucoup de musculation jusqu'à mes 20 ans, mais surtout du poids du corps. J'avais tout de même un bon niveau a la fonte, mon max rep était de 90/100k au dvp couché. Je pouvais faire une quarantaine de dips.
Mais j'ai arrêté la muscu et je reprend aujourd'hui 7 ans plus tard ^^
Ca va faire 4 semaines que j'y vais a raison de 3 séances full body.
Mon objectif n'est pas du tout le volume mais la force/puissance. Je cherche un corps fonctionnel avant tout pour mes autres activités. J'aimerais laisser une place importante au poids du corps pour progresser notamment sur les tractions.
Je vous pose donc le programme que je me suis fait, si vous avez n'importe quel remarque à faire allez-y, je suis la pour ca :)
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Lundi :
-Développé couché 5x5 (Force pectoraux) 3 repos
-Tractions 4x max (Dos) 1 repos
-Dips 4x max (Pectoraux) 1 repos
-Curl biceps 3x10 1,30 repos
-Curl Triceps 3x10 1,30 repos
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Mercredi :
-Soulevé de terre 5x5 (Force dos) 3 repos
-Développé haltère 4x10/12 (Pectoraux) 1 repos
-Rowing barre 4x10/12 (Dos) 1 repos
-Curl biceps 3x10 1,30 repos
-Curl triceps 3x10 1,30 repos
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Vendredi :
-Squat 5x5 (Force jambes) 3 repos
-Tractions 4x max (Dos) 1 repos
-Développé militaires 4x 10/12 (Pectoraux/Epaules) 1 repos
-Curl biceps 3x10 1,30 repos
-Curl Triceps 3x10 1,30 repos
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J'ai mis 1 exercice en force par semaine/par groupe musculaire.
Je précise aussi qu'il n'y ni les jambes ni les abdos parce que mon programme est déjà fait de ce coté la mais elles sont bien incluses dans le full body.
Ca vous semble bon ?

Cette histoire est celle de mon amie Kam
Suis-je en tort de vouloir divorcer de mon mari qui ne fait rien pour moi et pour notre fille ?
Je m'appelle Kam, j'ai fêter mes 30 ans le mois dernier ! Je suis mariée depuis 3 ans à Julien (30 ans depuis 2 mois) et nous avons une fille, Marie, de 2 ans cette année !
Mon histoire va être longue, j'en suis désolée.
Il y a quelques années en faisant du bénévolat dans une association, j'ai retrouvé Julien, un ancien camarade de classe de collège ! Il ne se souvient absolument pas de moi à l'époque, mais je me rappelais de lui et j'ai entamé la discussion.
À la suite d'une relation très compliquée de mon côté (mon ex était violent physiquement, et j'ai du faire appel à la police plusieurs fois), Julien m'a soutenu et m'a avoué ses sentiments pour moi, nous avons emménagé ensemble dans la foulée ! Depuis tout a été très rapide, on s'est marié, on a eu notre fille, et actuellement je suis sur le point de demander le divorce...
Pour vous présenter mon mari, je dirais que c'est une belle âme avec un passé compliqué... Un enfant qui a grandi avec des parents violents et négligents ! Il raconte souvent quelques passages de son enfance à nos connaissances, des passages qui feraient frémir n'importe qui... Son enfance a eu des répercussions sur lui, je le pense sincèrement en dépression, mais celui-ci refuse de consulter qui que ce soit pour parler de ses envies de mettre fin à ses jours...
Au début de notre relation, c'est peut-être présomptueux de ma part mais je voulais le sauver. Je voyais la personne qu'il était capable d'être, et je pense que je suis tombée amoureuse de celui-ci plutôt que de celui qu'il est actuellement...
Depuis que je suis maman, je n'ai pas eu une seconde à moi. Je suis sans emploi, mère au foyer, je ne dors que très peu, j'allaite, et je m'occupe de l'intégralité de la maison, des papiers administratifs, des courses, de la cuisine, de l'éducation et le bien être de notre princesse. J'ai atteint un niveau de fatigue extrême et pourtant je délègue rarement, par peur de fatiguer mon mari qui lui travail (éboueur) très tôt le matin et rentre généralement le midi complètement lessivé.
J'ai l'impression d'avoir un job 24h/24, 7j/7 avec ma fille et la maison, et il m'arrive quelques fois de demander un peu d'aide à Julien, comme de surveiller la petite le temps que je me douche, de la garder un après-midi pour que je puisse sortir ou juste dormir... À chaque fois que je lui demande de faire sa part de père, il me rétorque qu'il travail, qu'il est bien plus fatigué que moi, que je devrais pas me plaindre, et que lui ne me demande jamais rien donc que je devrais en faire de même...
Depuis que ma fatigue est aussi intense, j'ai commencé à moins cuisiner et donc à moins manger... La raison est simple, si je n'ai pas la force de cuisiner, Julien ne cuisinera pas et ne mangera pas non plus... Cette façon de vivre à plusieurs fois mis en danger mon allaitement, puisque sans nutriment, je ne peux plus produire de lait.
Depuis bientôt 1 an j'essaie de lancer ma micro-entreprise ! J'ai demandé à deux amies de l'aide (une graphiste et une chargée de communication et d'étude) qui sont à fond derrière moi ! Mais je n'ai jamais le temps de me poser pour avancer dans mon projet professionnel... Puisque je n'ai pas obtenu de place en crèche et que Julien refuse de garder notre fille le temps que je travaille un peu mon projet, ou bien alors il me fait culpabiliser de demander quelques heures pour moi... Je n'ai donc toujours pas avancé sur mon projet, j'ai juste l'impression qu'il cherche à me bloquer indéfiniment dans la spirale de la dépendance économique.
Il y a deux mois j'ai organisé pour Julien un anniversaire surprise pour ses 30 ans, j'ai invité nos amis et sa maman ! Je me suis mise à découvert pour lui offrir son gâteau préféré, et j'étais tellement heureuse de le voir sourire... Le mois suivant c'était mon anniversaire, une amie avait proposé à mon mari de m'organiser un pique-nique au bord d'un lac, rien d'extravagant, juste de romantique... Il a refusé sous prétexte que LUI n'aime pas manger dehors... Je ne lui ai rien demandé de plus que de me prêter attention ce jour la, de faire quelque chose de simple que je pourrais apprécier, comme marcher au soleil, manger dehors, boire un verre sur notre terrasse juste nous deux... à la place, il a refusé toutes les idées parce que ça l'ennuyait et à jouer sur son téléphone toute la journée...
Il y a quelques jours maintenant, j'ai découvert ce qui est pour moi la goutte de trop qui fait déborder le vase : il est addict aux jeux mobiles. Il dépense en moyenne 400 euros / mois sur ces jeux... Alors qu'il dit sans arrêt qu'il n'a pas les moyens d'acheter des vêtements ou des jouets à notre fille ! Il y a quelque temps je lui avais demander s'il pouvait acheter un petit bureau à Marie afin qu'elle puisse s'asseoir à la bonne hauteur et surtout correctement pour dessiner... Il m'a engueulé en disant qu'il ne ferait jamais passer la petite avant lui et que c'était inutile comme achat... J'aurais pu accepter un refus, ou même un débat sur la question de l'utilité de ce type de mobilier, mais sa réponse froide, méchante, agressive m'a juste blessée.
C'est assez souvent qu'il refuse de passer du temps avec la petite ou qu'il refuse de lui acheter le strict nécessaire à son bon développement. Le plus malheureux ça reste ses réactions avec elle. Elle n'a que 2 ans, elle ne comprend pas encore tout, elle apprend doucement, mais lui ne fait que s'énerver sur elle... Si elle lui réclame de l'attention et qu'il est sur son portable, il va lui crier dessus...
Pas plus tard que la semaine dernière, une amie a débarqué chez moi à l'improviste pour me proposer de sortir au parc avec elle et ma fille, j'étais ravie de pouvoir laisser l'appartement à Julien afin qu'il dorme un peu plus et surtout sans aucun bruit ! Nous sommes restées 4 bonnes heures dehors avant de rentrer. À mon retour, j'ai demandé à Julien de garder la petite une petite heure occupée afin que je puisse me reposer un peu (depuis quelques mois j'ai le dos extrêmement douloureux et la petite demande beaucoup à être portée), il s'est énervé en disant, devant mon amie, qu'il avait encore la gueule dans le cul et que j'abusais... Mon amie a paniqué et m'a demandé de prendre mes chaussures et la petite, nous sommes ressorties 2h ensemble afin d'éviter une dispute de plus...
Assez souvent j'essaie de communiquer avec lui, de lui exprimer mes ressentis, mes besoins... Ou parfois j'essaie de lui expliquer que notre fille a besoin de son papa, qu'elle a besoin d'une bonne figure paternelle... Il se renferme toujours, refuse toutes les discussions ou me répond agressivement que lui ne me demande pas de changer, alors que je devrais faire de même et ne pas lui demander de faire des efforts pour la survie de notre couple...
Mon histoire est longue et je pourrais citer encore des centaines d'exemples de ses réactions... J'ai bientôt rendez-vous avec une avocate spécialisée en divorce... ai-je tort de vouloir divorcer ? Ai-je vraiment tout essayé pour sauver ma relation ? Était-ce vouer à l'échec dès le départ ? Suis-je méchante de vouloir partir de cette relation alors que je le sais dépressif avec des penchants su*c*da*res ?

j'ai 17 ans et comme le titre l'indique j'ai l'impression d'échouer ma vie alors que ce n'est que le début.
il y a quelques temps je voulais savoir si la suite de mon parcours était possible après multiples réflexion j'ai toujours le même rêve mais j'ai quand même songé de voir plus large pour plusieurs types de métier. C'est un cauchemar. Je vois un emploie suffisamment intéressant mais il faut faire un type d'étude en particulier, jusque là logique mais en me renseignant énormément je vois que pour certains jobs il faut faire des études totalement différentes, ce que je veut dire c'est que je me renseigné mais aucun des travails que j'ai trouvés correspondait à un quelconque diplômes d'enseignements supérieurs, pour un métier il faut faire tel BTS, pour ce jobs il faut faire quelque chose de différents. C'est un gros bordel, je n'y connais rien dans le monde du travail.
De plus cela fait plusieurs mois que j'ai l'impression d'avoir des symptômes dépressifs (insomnie, tristesse très présente, perte d'intérêts, et j'en passe) donc si on l'ajoute à une perception de l'avenir flou c'est un enfer, je ne sais rien je me retrouve seul, je suis perdu et j'ai envie que tout s'arrêtent par tout les moyens (je ne parle pas forcement de suicide, je n'en ai pas le courage) mais je n'ai personne a qui je peux parler donc je viens ici. Ma famille me rabaissent, mes "amis" me rabaissent, tout le monde autour de moi me rabaissent, je sais qu'il parle tous sur mon dos c'est très énervants personne essaye de me comprendre, c'est tellement extrême qu'on m'a dit qu'une personne dans le lycée qui ne parlait à personne mais VRAIMENT personne me connaissait comme "le modo discord", tout le monde me croit que je suis gay, en sois c'est pas vexant mais ça montre le peu d'intérêt qu'il porte pour moi. Souvent j'ai l'impression de tous les détestés profondément. Le pire c'est que je suis gentil et respectueux avec tous le monde, je passe mon temps à les faire rire mais bons. Une choses est sûre tout le monde me trouve drôle sois via mes blagues ou en se foutant de ma gueule. C'est belle et bien la seule chose que j'apprécie un peu chez moi, mon humour cependant cela ne compense pas le reste de mon corps sur le quelle chaque partie de mon corps c'est faîte dénigré.
Mais cette "dépression" (entre guillemets car jamais diagnostiqué) été déjà présente au collège vers la 4eme avant ça j'été intelligent, très intelligents je men rends compte seulement maintenant que avant toute cette merde je trouvais réponse à des choses sur lesquelles je ne serais répondre maintenant, en primaire j'été le premier de la classe (on été que 6) et je pouvais même sauté une classe (qui été mon rêve à l'époque) que je n'ais pas fait car personne ne le souhaité malgré le fait que j'avais les capacités soi-disant car "c'était le collège j'allais probablement mal le vivre" ou d'autres excuses vraiment connes et surtout c'était la principal raison mon meilleur ami et moi ne pourront plus se voir donc j'ai refusé pour lui, mais au bout de 2 semaines on se parlait quasiment plus je me souvient de la fois ou on a fait un repas entre nous six, la bande de potes originel et on s'est promis de le refaire plusieurs fois, vous vous en doutés si j'en parle c'est que sa n'est plus jamais arrivé. Si vous voulez savoir aujourd'hui on se parle plus car on est trop différent lui préférant picoler, fumer et se droguer alors que moi non. Pour revenir au collège de la 6eme à la 5eme j'ai presque été premier avec des moyennes générales de 17 et 18 mais j'étais considéré comme un kassos, le fait que ma crush m'avait refusé m'a mis un coup au morale et je n'ais pas vraiment réussis à me relever car tout le monde m'ignorait et j'ai plongé dans la solitude c'est vrai à quoi bon vouloir être aimé par les gens qui ne connaissaient que mon nom, c'est la que ça à mal tourner et depuis la 4eme jusqu'en 3eme c'était catastrophique même pire car j'avais des envies suicidaires, en seconde je n'étais pas triste mais pas heureux non plus vivant juste comme le vent m'emporte et maintenant je ne veux plus qu'il y est de demain, ou d'autres jours. Tout ce que j'ai à dire c'est merde, durant ma scolarité j'ai passé mon temps à changer pour être accepté, passé mon temps à enchainé les choix mauvais ou ceux qui été bon à long je décidé de les arrêter
Voila à quoi ce résume ma vie actuellement une personne qui ne se sent pas aimé, voyant aucune perspective d'avenir vivant dans la plus grande des angoisses et en enchainant les mauvais choix de vie. Je pense raté ma vie actuellement toute les personnes que je croise disent qu'il s'agit de mes meilleurs années mais j'en ai pas l'impression et le pire c'est la remarque "moi a votre age je faisait tel chose" et "si vous vous plaignez a cette age qu'est-ce que cela va être à quarante ans" ceux qui disent les 2 dernières reflexions sachez que je vous déteste, vous ne servais à rien les gens ne se sentent pas bien et vous en profités pour vous valorisez, bande de m****.
Je remercie ceux qui me donneront des conseils ou du soutient, ceux qui ont lu même une infimes parties (sachez que j'ai essayé de synthétiser) et une dernière chose je me souviens que quand j'étais petit je me demandé pourquoi les gens mettaient fin à leur jours et maintenant j'ai compris que dans les moments de difficultés on préfère choisir la solutions de facilité.
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Bonjour,
Une connaissance m'a donné un ticket restaurant et je l'ai utilisé en magasin, la caissière à pris mon nom et noté sur le ticket au dos, je me suis rendu compte que c'est illégal ensuite, je risque quelque chose? j'aimerais éviter des tords pour la connaissance, qu'est ce que je risque?
Merci

Salut tout le monde, question bricolage ici.
J'ai eu l'occasion d'obtenir un petit lave vaisselle compact (12 kilos) pour pas cher, j'en ai profité, mais problème : alors que je pensais avoir l'emplacement parfait, j'ai eu un énorme doute et j'ai peur de faire un aménagement dangereux. L'emplacement initial est entre le lavabo (peur de l'humidité) et les plaques (donc peur que le fil d'alimentation se fight avec la plaque).
Je suis une jeune adulte, mon immeuble est pas immense. Sans compter que ma proprio est la reine des pinces, y a un seul emplacement avec évacuation dans tout l'appart et si je lui demande de faire des aménagements pour un second je vais me faire insulter en quatre langues.
J'ai donc testé plusieurs nouveaux emplacements et ils ont tous un risque visible, soit de l'instabilité, soit le poids qui peut casser, soit la taille, soit l'absence d'alimentation ... Du coup, j'ai voulu déplacer le bardas sur le frigo.
Les + : c'est stable (j'ai bien secoué pour tester), le frigo est grand et large (pas immense mais il m'arrive au menton) donc la pyramide des poids est respectée, la taille du lavabo colle sur le haut du frigo, à côté de l'alimentation en eau / électricité et le lavabo pour évacuer, c'est haut donc je me pète pas le dos pour récupérer la vaisselle, la ventilation est sur le côté donc pas de risque de moisi entre le haut du frigo et le bas de la machine
Problème ... j'ai peur que ce soit dangereux sans savoir comment. J'ai peur de tout, mais je ne veux pas non plus avoir payé ce lave vaisselle pour rien.
Donc si un bricoleur passe par là, je ne serais pas contre un petit conseil s'il vous plait.

Histoire vrai qui, je crois, c'est passé au états-unis. (c'est un ami qui me la racontait et je l'ai un peu romancé)
Dans une ville oubliée par le temps, au cœur d'une forêt dense et sombre, un groupe d'amis passionnés d'exploration urbaine, ou "urbex", s'aventuraient. Ils cherchaient l'adrénaline de découvrir des lieux abandonnés, chargés d'histoire et de mystère. Ce soir-là, ils avaient choisi un ancien hôpital psychiatrique, dont les murs délabrés étaient imprégnés d'histoires sinistres.
Les cinq amis, Emma, Max, Sophie, Lucas et Alex, pénétrèrent dans l'hôpital avec leurs lampes torches pour seule lumière. Les couloirs étaient étroits, les murs écaillés laissaient entrevoir des peintures défraîchies. L'atmosphère était lourde, oppressante, mais l'excitation de l'aventure l'emportait sur leurs craintes.
Alors qu'ils progressaient dans le dédale de couloirs, ils entendirent soudain un bruit étrange, un murmure lointain qui semblait venir de l'obscurité. Ignorant leur instinct de fuir, ils décidèrent de suivre le son, persuadés qu'il devait y avoir une explication rationnelle.
Ils finirent par arriver dans une grande salle abandonnée, où une silhouette sombre se tenait au centre, dos à eux. Méfiants mais intrigués, ils s'approchèrent lentement. La silhouette se retourna brusquement, révélant un visage marqué par la folie et la malveillance.
"Que faites-vous ici ?" demanda-t-elle d'une voix rauque.
Emma, la plus courageuse du groupe, tenta de désamorcer la situation en expliquant leur passion pour l'exploration urbaine. Mais la silhouette ne semblait pas intéressée par leurs explications. Au contraire, elle émanait une aura de danger imminent.
Alors qu'ils tentaient de faire marche arrière, la silhouette se rua vers eux, armée d'un couteau rouillé. La panique s'empara du groupe alors qu'ils couraient à travers les couloirs sombres, cherchant désespérément une issue.
Au fur et à mesure qu'ils avançaient, l'homme les poursuivait sans relâche, comme s'il était possédé par une rage meurtrière. Leurs cris résonnaient dans les couloirs vides, mais personne ne venait à leur secours.
Finalement, épuisés et terrifiés, ils trouvèrent une porte dérobée qui les mena à l'extérieur de l'hôpital. Ils coururent aussi loin que possible, ne s'arrêtant que lorsque leurs jambes ne purent plus les porter.
Le lendemain, ils apprirent que l''homme qui les avait attaqués s'avérait être un ancien patient de l'hôpital, échappé depuis des années et vivant dans les entrailles sombres du bâtiment abandonné. Pour les cinq amis, l'exploration urbaine avait pris une tournure cauchemardesque, leur laissant des cicatrices invisibles qui ne guériraient jamais vraiment.

Bonjour à tous,
J'ai publié ça sur Askfrance et immobilier mais je crois que c'est ce sub qui est le plus pertinent.
Ça fait quelques années que je vis dans mon appart, avec un proprio relativement colérique (2 états : normal, et colère des dieux avec 5 points d'exclamation), mais en passant par agence. De manière générale, je n'ai pas à interagir avec lui et c'est tant mieux.
Après avoir reçu un coup dans le dos de sa part sur des travaux alors que j'ai toujours été conciliant au maximum, j'ai décidé de mieux regarder mon bail et je découvre plusieurs manquements bizarres:

• le logement est noté comme n'étant pas soumis au décret fixant annuellement le montant maximum d'évolution des loyers a la relocation, NI au loyer de référence majoré soumis a arrêté préfectoral...mais n'indique pas pourquoi. Hors, je paie plus que le loyer majoré maximum possible et ce depuis le premier jour.
  
• les informations relatives au dernier locataire restent vides, alors que visiblement l'appartement était occupé, de par la bouche même du propriétaire. C'est même probablement son fils, vu que je reçois encore parfois son courrier ! (Le propriétaire insiste néanmoins que le locataire précédent n'était pas son fils)
  
• à la fin du bail, parmi la liste des annexes qui auraient dûes m'être fournies, se trouve le dossier de diagnostic technique incluant entre autre le DPE et le constat de risque d'exposition au plomb vu que l'immeuble date d'avant 1948, mais il ne m'a jamais été fourni, hors j'ai quand même payé l'établissement du bail.
  

J'ai pu avoir un contact rapide avec l'ADIL qui m'a expliqué que rien de tout ça n'était normal et que je devrais faire recours. J'ai du couper court à l'appel pour d'autres obligations, mais j'aimerais avoir votre opinion ? Est-ce qu'il y en a parmi vous qui sont passés par là avec un proprio ?
En vous remerciant par avance !

(C'est une histoire que j'ai écrite je voudrai savoir si j'ai un talent j'ai 15 ans et c'est ma première histoire ma passion c'est d'être romancier )
Je m'éveillai, gisant sur le sol de mon appartement. Dans un geste désespéré, je pris quelques Valium, des benzodiazépines, et d'autres antihistaminiques hypnotiques pour m'endormir. En me levant, des douleurs lancinantes dans le dos me rappelèrent la nuit précédente.
Cherchant du réconfort, je me dirigeai vers la chambre de ma fille, prénommée Marie en hommage à ma femme défunte. En pénétrant dans la pièce silencieuse, je murmurai, "Je suis désolé pour mon comportement d'hier soir. Je n'aurais pas dû agir ainsi." Ma fille, endormie, répondit doucement, "Je te pardonne, papa. Tu resteras toujours celui que j'aime."
Tandis que je tentais de rassembler les fragments de ma vie, mon téléphone sonna brusquement. Un collègue journaliste, ignorant mes habitudes médicamenteuses, m'informa que je devais me rendre dans un asile psychiatrique abandonné pour une mission. Sans discuter, je rassemblai mes affaires, prêt à affronter ce défi inattendu, tout en cachant soigneusement le fardeau que je portais.
J'arrivai à l'asile, les portes fermées et barricadées. Après avoir vainement cherché une solution, je retournai vers la porte principale. Une femme aux cheveux blonds, vêtue d'un haut rose et d'une mini-jupe, se tenait là. M'approchant d'elle, je demandai, "Bonjour madame, pourriez-vous me dire ce que vous faites ici ?"
Elle répondit, "Je suis là pour rendre visite à quelqu'un." Intrigué, je poursuivis la conversation en demandant son prénom. Elle se présenta comme Maria et me demanda à son tour mon prénom. Épuisé, je peinais presque à me souvenir, mais finalement, mon nom, James, me revint en mémoire. Toutefois, je restais méfiant envers elle, trouvant étrange qu'une femme ait un rendez-vous dans un lieu pareil. Sa ressemblance frappante avec ma défunte femme, Marie, me perturbait, faisant naître en moi des pensées confuses. Je commençais à croire que c'était peut-être elle, ressuscitée d'une manière étrange.
Maria repéra un trou dans le mur attirant mon attention. J'explorais l'asile avec Maria, prenant des photos dans un lieu clairement abandonné. En fouillant, je découvris des documents évoquant des patients devenus plus que ce qu'ils étaient, certains se frappant la tête contre les portes. Continuant mes recherches, je m'attachais de plus en plus à Maria et apprenais davantage sur elle. Elle rendait visite à son frère, mais n'avait pas encore révélé la raison de sa présence. À un moment, Maria disparut. Je la cherchai partout, criant en vain pour la retrouver. En explorant les chambres d'isolement, je tombai sur un patient encore en vie, mais sa peau était marquée de rides profondes, crispée, avec de longues cernes et des seringues plantées dans les bras. C'était étrange, car l'asile avait été abandonné en 1953 selon les documents, et ces patients ne pouvaient survivre 13 ans sans boire ni manger dans cet état. En me retournant, je constatai qu'il y en avait d'autres en liberté. Courant à toute vitesse, je me barricadai avant de retrouver Maria. Mais je la confondis avec Marie, je lui dis, "Oh Maria, c'est toi... Je te croyais... Pardon... Je suis content de te voir vivante..." Maria répliqua, "Content !? Quoi 'content' !? Tu n'as pas l'air si content de me voir. J'ai manqué de me faire tuer ! Tu aurais pu venir à mon secours, non ? Tu ne penses qu'à ta femme morte ! Je n'ai jamais eu si peur de ma vie ! Je ne compte pas pour toi, pas vrai ?"
Je tentai de m'expliquer, "Si je..." Maria s'approcha de moi pour prendre dans mes bras et dit, "Alors reste avec moi ! Ne me laisse plus ! Tu dois t'occuper de moi." La tension entre nous s'apaisa un peu, mais je sentais que nos retrouvailles étaient entrelacées avec des émotions complexes et des questions non résolues.
Alors que nous cherchions la salle des rencontres, évitant les patients dégénérés, nous trouvâmes la salle, mais son frère était introuvable. M'adressant à Maria, je lui dis d'un ton préoccupé, "Maria, où est ton frère ? Il n'est pas là. Nous devrions partir, j'ai collecté suffisamment de photos et d'informations. Viens." Maria s'assit en silence, son regard fixé sur l'endroit où son frère aurait dû être. Abandonnant ma frustration, je décidai de partir, mais une lueur dans la pièce attira mon attention. M'y approchant, je découvris un coffre complexe avec des inscriptions de nombres ensanglantés sur les murs. Un code tapé au hasard s'avéra être le bon. Une clé tomba du plafond. Je la ramassai, l'insérai dans le coffre, qui s'ouvrit, révélant une cassette audio. Je la pris et partis à la recherche d'un lecteur.
Ayant trouvé un lecteur, j'insérai la cassette et vis deux hommes discuter. Le docteur dit, "Bonjour James." "Bonjour, Doc." Puis il demanda, "Alors, comment vous sentez-vous aujourd'hui ?" Il répondis, "Euh, anxieux." Le docteur répliqua, "Anxiété ?" "Eh bien, impatient de rentrer à la maison, de revoir ma femme et ma petite fille."
Il continua, "J'espère que vous ne prendrez plus de Stilnox ou de Valium. Vous n'en avez plus besoin." Il s'exprima, "Si, j'en ai besoin, et puis vos pratiques ne m'ont pas du tout aidé. Ça fait deux jours que je n'arrive plus à dormir, et vous allez payer pour ce que vous m'avez fait." La scène changea brusquement. Dans une étrange distorsion de la réalité, je me vis brandissant une seringue remplie de somnifères. Un rictus dément déformait mon visage alors que j'approchais la seringue du docteur, injectant le liquide dans sa veine. C'était comme si une force incontrôlable me poussait à commettre cet acte impensable. La vision terrifiante se dissipa aussi soudainement qu'elle était apparue, me laissant perplexe et secoué par ce cauchemar éveillé.
Ce n'était pas moi. C'était impossible. Perturbé, je tentai de quitter la pièce, mais la porte était fermée. La frustration m'envahit, me poussant à me fracasser la tête contre la porte, impuissant face à ce cauchemar qui semblait devenir réalité. Je me réveillai brusquement chez moi.
Dans mon appartement, une joie indescriptible m'envahissait alors que je m'apprêtais à voir ma fille. Cependant, à mon arrivée, elle pleurait, mais son chagrin était dirigé vers mon propre cadavre étendu au sol. La réalisation brutale frappa : j'étais mort. Les médicaments que j'avais pris m'avaient emporté. C'était impossible, je m'étais toujours cru vivant.
Tentant de fuir cette sombre vérité, je sortis de l'appartement, mais une chute dans un trou noir et sans fin me réveilla brusquement au sol. Je me hâtai vers la chambre de ma fille pour trouver du réconfort, mais ma présence la réveilla en sursaut. Je m'excusai, "Bonjour Marie, excuse-moi de t'avoir réveillée. Rendors-toi, il n'est pas encore l'heure d'aller à l'école."
Soudain, mon téléphone retentit brusquement. En décrochant, la voix de Maria se fit entendre, "James... je suis ta valium." La réalité et le rêve semblaient se mélanger dans un tourbillon déconcertant, laissant des réponses floues à mes questions tourmentées. Suis-je devenu fou ? Ma vie était-elle un mensonge ? Ai-je une vie réelle ? Suis-je vraiment James ?
Ces interrogations tournaient dans ma tête comme des pensées droguées, une rechute dans un abîme de confusion. Les frontières entre le réel et l'imaginaire se dissolvaient, créant un tableau psychédélique de doutes et d'hallucinations. La voix de Maria persistait, m'invitant à plonger plus profondément dans l'abîme.
Étais-je prisonnier d'une réalité déformée ou étais-je simplement en proie à une intoxication mentale, une rechute dans l'obscurité de ma propre psychose ? Perdu entre l'éveil et le rêve, entre la vie et la mort, je me confrontais à l'inconnu hallucinatoire de ma propre existence, cherchant désespérément des réponses dans les méandres tourmentés de ma conscience altérée.

(c'est un repost car j'aimerais en parler un peu plus et aussi parce qu'il y a eu de nouvelles choses qui ce sont passées qu'un ami m'a raconté lors de son anniversaire)
Bonjour, j'avais déjà fait quelques post a propos d'une fille avec qui je suis tombé follement amoureux mais ca na pas été réciproque, vous pouvez aller voir mes autres postes pour comprendre l'histoire.
Aujourd'hui je voulais vous parler de ce qui c'est passé ce mardi , depuis maintenant quelque semaines/mois tout va bien dans ma vie , en peux de temps j'ai déménagé , eu un nouveau boulot qui me plaît, et je me suis beaucoup rapproché de mes amis etc... , bref tout allait Super bien , je ne pensais pratiquement plus a cette fille que l'on appellera toujours J , je commence même à me rapprocher d'une autre fille avec laquelle la relation est mille fois plus saine.
Sauf que mardi , en allant chercher un colis a coté de chez moi , je suis comme par hasard tomber sur J qui travaillait là-bas (j'habite dans une très grande ville et elle n'habite pas a côté non plus donc c'est vraiment improbable), je ne savais pas du tout qu'elle travaillait la bas, lorsque je l'ai vue j'étais vraiment choqué je ne savais pas comment réagir après tout ce qui c'était passé, j'ai préféré faire l'indifférent et de simplement la traiter froidement sans lui parler plus que ça a par , bonjour merci au revoir, j'ai senti que elle aussi était gêné par la situation mais elle cherchait un peu a me parler, lorsque j'ai récupéré mon colis par une de c'est collègue, malgré qu'il y avait d'autres clients elle a pris le temps de revenir vers moi au guichet, j'ai préféré simplement partir en lui tournant le dos et en lui disant "bonne anniversaire en avance quand même" car son anniversaire ce déroule samedi.
Et Ducoup le problème dans l'histoire c'est que depuis ce jour je ne repense que a elle , le fait de savoir qu'elle travaille si près de chez moi et de mon boulot etc ma raviver énormément de souvenirs, et le pire c'est que je n'arrive pas a lui en vouloir, genre j'ai juste envie de lui reparler malgré tout ce qu'elle m'a fait, je pensais avoir réussi a l'avoir oublié un peu mais au vue de ma réaction au fond de moi je me rends compte que c'est Loin d'être le cas Je vous rassure je ne veux pas reprendre contact avec elle malgré que c'est ce que je voudrais au fond de moi je sais que c'est la pire chose a faire
Merci d'avoir lu mon post , n'hésitez pas a me parler de ce que vous en pensez ça pourrait peut-être m'aider

Bonjour, je ne sais pas si je suis sur le bon sub (redirigez moi ci nécessaire) mais voila mon problème :
Nous avons recu avec ma femme un cheque de la part de ses grands parents qui était au bénéficiaire : "monsieur et madame XXXX"
Le cheque a été refusé je suppose que c'est parce que nous n'avions pas de compte commun et que le compte sur lequel je déposait le cheque était seulement à mon nom.
Ma question : est-ce que je peux redéposer ce même cheque qui nous a été renvoyé par la banque (maintenant que nous avons un compte commun) ? Sachant qu'il y a les information banquaires de mon compte perso au dos que je devrais raturer pour mettre les nouvelles.
Ou le plus simple est-il de demander un nouveau cheque et bruler le précédant ?
Désolé si mes formulation ne sont pas clairs, je suis vraiment nul en maitrise de la langue française ^^

Bonjour
Je poste ici car j’en ai réellement besoin je ne sais pas trop par ou commencer mais j’ai tellement besoin d’avoir un exutoire
J’ai 24 ans, et quelque chose ne tourne sans doute pas rond chez moi
Je suis malvoyante, en situation de handicap et cet élément est important car ça aura naturellement eu une influence sur ma vie
Avant tout, j’ai eu une enfance très heureuse, tout dégringole à l’entrée en cinquième ou j’ai été harcelée quotidiennement, insultée, pas d’amis, et ce jusqu’à ma rentrée en première littéraire ou j’ai pu me faire des potes (les autres marginaux gothiques et metalleux du lycée vous savez)
Il en résulte qu’à 24 ans, j’ai encore des soucis au niveau de la sociabilité, je suis plutôt renfermée, j’apprécie la solitude, j’ai une attitude un peu nihiliste et misanthrope, mais je ne pense pas être malheureuse. Je suis en couple avec un homme de 29 ans
Je touche l’AAH, je pourrais travailler mais j’ai arrêté mes études, il en résulte que… je ne fais pas grand chose de mes journées, je suis seule, il faudrait que je reprenne mes études
J’ai un peu de mal à me faire des amis et à garder contact, j’ai l’impression d’être un peu en décalage avec les autres
Ma relation avec mon mec est conflictuelle, je pleure souvent, il heurte souvent ma sensibilité involontairement, je l’aime mais je suis pas très heureuse il y a beaucoup de frustrations et j’ai beaucoup d’attentes envers lui. Il pense que j’en attends trop et ça lui met la pression. Notre relation a beaucoup de hauts et de bas mais on reste ensemble
Ma relation avec ma mère est plutôt toxique, c’est quelqu’un de surprotecteur et d’étouffant mais à la fois exigeante et je sens qu’elle me traite différemment de mon frère et ma sœur, qu’elle traite en adulte, j’ai beaucoup de frustration liée à la relation avec ma mère
J’ai eu quelques soucis assez graves, d’ordre personnel
Mon entourage me qualifie de sensible, susceptible, que je suis emportée, un vrai volcan, je sais que je suis d’un naturel angoissé, hypocondriaque aussi
Jusqu’à il y a peu j’étais modératrice d’un serveur Discord lié à jeuxxvidéo.com, je passais beaucoup de temps à le gérer, on était 70 personnes dessus, ce serveur est dédié aux rencontres amicales ou plus entre les personnes du forum blabla 18-25 ans, Onche, avenoel… des sites peu recommandables je vous l’accorde mais j’étais heureuse de voir que mon serveur a servi à faire que des personnes se rencontrent et je sais qu’il a aidé des gens, j’étais une modératrice très stricte et je me suis mis des gens à dos, j’ai déjà banni des gens un peu gratuitement sur un coup de tête parce qu’ils me soûlaient, ce serveur a enchaîné beaucoup de dramas qui m’ont énormément fait de peine, j’ai eu des réactions un peu particulières, j’ai eu tendance à beaucoup fuir et partir du serveur quand quelque chose me déplaisait ou qu’une situation était stressante
Ce serveur me faisait beaucoup de mal car être modératrice c’est trop lourd pour moi et je suis partie de ce Discord pour de bon, des anciennes personnes qui sont revenus dessus suite à une exclusion me traitent de bipolaire, de folle. Depuis que je sais ça jee sens extrêmement mal et en lisant les symptômes de la bipolarité j’ai l’impression de me reconnaître un peu pareil pour le trouble borderline
Voilà, j’ai l’impression d’avoir un pete au casque, ayant toujours fonctionné un peu différemment des autres, avec mon côté extrêmement sensible et facilement angoissée, on dit que je manque de légèreté et que je devrais lâcher prise et moins réfléchir… le fait que j’aime être seule et que je peux rester longtemps sans voir des humains… que je sois mal à l’aise en société, le fait que je traverse beaucoup d’épisodes de pleurs avec mon mec et qu’on s’engueule toutes les deux semaines
Depuis que j’ai lu qu’on me traitait de bipolaire ça m’obsède ouais… et je me sens terriblement mal, je m’imagine déjà sous cachetons, vie ruinée, chez le psychiatre
Quelque chose cloche chez moi ?

Hello reddit
J'ai commencé un contrat pro dans un supermarché fin mars, (hôtesse de caisse)
Au début ça allait pas mal mais plusieurs problèmes sont survenus récemment :

• gros TMS aux mains, j'ai super mal aux poignets, doigts..
• gros mal de dos (j'ai une scoliose de base)
• énormes douleurs aux genoux (je me suis fait opérer du droit l'année dernière et depuis j'ai toujours eu mal mais la douleur s'est amplifiée depuis que j'ai commencé le travail.. j'avais quelques douleurs au gauche de temps en temps mais depuis plusieurs semaines les douleurs s'amplifient également et surtout depuis ce week-end.
• j'ai énormément mal aux pieds aussi...

Psychologiquement, ça ne va pas non plus, j'ai déjà d'énormes horaires et je trouve à peine le temps de me reposer, les supérieurs et la directrice n'en parlont pas... je suis donc tout le temps stressée, d'autant plus qu'actuellement j'ai une infection urinaire donc j'ai constamment besoin d'aller aux toilettes et ça les embête bien. On me demande souvent de faire des heures sup alors qu'ils savent que je suis en plein emménagement donc mon temps libre y est consacré.
C'est la vie au travail me direz-vous... or, j'aimerai faire un arrêt maladie le temps que je retrouve la force dans mes muscles/articulations... je souffre énormément et ça m'empêche d'effectuer correctement mon travail..
Puis-je donc faire un arrêt maladie pour tout ça et si oui, serais-je payée ?
Désolée pour le pavé, merci d'avance aux personnes bienveillantes qui me répondront !

Salut à tous,
Je (m32) travaille à l'étranger, dans l'union européenne.
Mon père vient souvent me rappeler que je n'ai aucun actif, et en plus de m'agacer, ça me fait peur pour l'avenir. Mon père est médecin de profession, il a suffisamment bien mené sa barque pour que l'argent ne soit pas un problème, il a pu acheter et revendre des appartements au fil de ses déméngaements successifs dans la même région, et ses revenus ont été suffisants pour ne pas s'intéresser à d'autre choses que l'immobilier.
Par contre me concernant, j'ai grandi avec ma mère qui n'avait pas d'emploi et qui percevait l'AAH, ainsi que d'autres aides sociales. Ma mère est décédée laissant derrière elle la maison de ma grand-mère, que j'ai vendue avec ma soeur. C'est super d'avoir de quoi "voir venir" mais pour l'instant: c'est de l'argent qui dort et qui va fatalement se déprécier au fil de l'inflation.
J'en suis au point où tout ce que je sais faire c'est gagner et dépenser mon salaire, peut-être mettre une fraction de côté chaue trimestre. Le salaire est OK, je me fais un beau train de vie, pour quelqu'un qui vit seul seul: sorties, restaus, vacances. J'ai toujours très peu confiance en moi concernant ma capacité à garder mon job longtemps, donc je ne me mets pas de crédit immobilier sur le dos, 10 ans, 20 ans, parce que qu'est-ce qui m'arrive si je deviens insolvable du jour au lendemain. En plus, il y a la question du transfert de mes fonds de la France vers mon pays d'accueil... J'y comprends rien et je ne veux pas me faire arnaquer par un notaire ou un interprère peu scrupuleux.
Je voudrais vraiment commencer à y voir clair, ne serait-ce que pour faire des placements intéressants et peut-être enfin me décider à acheter une propriété, quitte à faire comme mon père et la revendre/louer si je dois déménager à nouveau. Tiens un autre de mes défauts c'est que je ne saurais pas vendre quoique ce soit.
Quel a été votre parcours pour devenir plus éduqué à ces choses???
D'avance, merci,

Bonjour,
Je me suis bouché une oreille en sortant de la douche. En mettant un doigt dans mon oreille pour me rincer, j'ai créé un effet ventouse au moment où je l'ai enlevé, ce qui a déclenché une douleur vive et un bouchon complet de mon oreille.
Je ressentais cette douleur très vive à chaque fois que je créais une pression d'air dans les oreilles (en soufflant par le nez bouché, petit rot interne,...).
Je suis donc allé consulter un médecin qui a pu m'enlever le bouchon de l'oreille ce qui a fortement atténué la douleur. Il m'a très rapidement ausculté l'oreille et m'a dit qu'il n'avait rien remarqué d'anormal.
Cependant, maintenant quand je souffle par mon nez en le bouchant, de l'air sort par mon oreille en question, je peux même siffler de l'oreille.
Quelqu'un saurait il me dire si c'est normal comme comportement?
Merci!