Annonce travesti paris
Kylian Mbappé annonce son départ du Paris Saint-Germain pour rejoindre le Real Madrid en 2024
2024.05.12 10:31 Poutcheki Kylian Mbappé annonce son départ du Paris Saint-Germain pour rejoindre le Real Madrid en 2024
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2024.05.11 11:55 Max-Vador Vendre ou mettre en loc après départ en Suisse?
Bonjour à tous,
Je suis propriétaire de ma RP à Paris avec ma femme. On rembourse 2200€ par mois avec une fin de prêt au 07/25 et 500€ de charges par trimestre et une taxe foncière de 800€.
On déménage en Suisse dans quelques semaines. On sera locataire en Suisse. On se dit qu'on achètera probablement d'ici 3 ans notre RP si la vie nous plaît et qu'on en a les moyens (j'ai pas encore bien compris le fonctionnement de l'achat immo en Suisse mais le prix au m2 est ultra cher).
Si on met en location notre bien parisien le loyer charges comprises serait d'environ 2200-2500€ si j'en crois les annonces pour des biens à peu près similaires. Une vente serait probablement de 750k.
1/ est ce qu'il vaut mieux vendre ou mettre en loc?
2/ à combien s'élèverait les impôts & taxes si on mettait en loc? Sur la vente si j'ai bien compris il n'y en aurait pas comme c'est notre RP même après notre départ.
3/ est ce que le loyer serait pris en compte pour calculer notre capacité d'emprunt ?
4/ si on vend, sur quoi placer pour un rendement sécurisé à court terme comme on s'en servirait pour notre futur achat ? Il me semble qu'en Suisse ne sont pas taxés les plus values contrairement aux intérêts et dividendes.
Merci
submitted by Max-Vador to vosfinances [link] [comments]
Je suis propriétaire de ma RP à Paris avec ma femme. On rembourse 2200€ par mois avec une fin de prêt au 07/25 et 500€ de charges par trimestre et une taxe foncière de 800€.
On déménage en Suisse dans quelques semaines. On sera locataire en Suisse. On se dit qu'on achètera probablement d'ici 3 ans notre RP si la vie nous plaît et qu'on en a les moyens (j'ai pas encore bien compris le fonctionnement de l'achat immo en Suisse mais le prix au m2 est ultra cher).
Si on met en location notre bien parisien le loyer charges comprises serait d'environ 2200-2500€ si j'en crois les annonces pour des biens à peu près similaires. Une vente serait probablement de 750k.
1/ est ce qu'il vaut mieux vendre ou mettre en loc?
2/ à combien s'élèverait les impôts & taxes si on mettait en loc? Sur la vente si j'ai bien compris il n'y en aurait pas comme c'est notre RP même après notre départ.
3/ est ce que le loyer serait pris en compte pour calculer notre capacité d'emprunt ?
4/ si on vend, sur quoi placer pour un rendement sécurisé à court terme comme on s'en servirait pour notre futur achat ? Il me semble qu'en Suisse ne sont pas taxés les plus values contrairement aux intérêts et dividendes.
Merci
2024.05.10 13:24 AluminiumMk1 Le streamer Billy annonce un tournoi de boxe entre plusieurs stars d'internet à La Défense Arena de Paris
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2024.05.08 18:37 Madmanwalling Soit tu l'est soit tu le fais exprès...
 | Je vendais une machine à laver en panne, tambour cassé. Dans la description j'ai bien mentionné "en panne"...🤦 submitted by Madmanwalling to lemauvaiscoin [link] [comments] |
2024.05.07 12:51 Kemoule Le PDG de la SNCF, Jean-Pierre Farandou, sera remplacé après les JO de Paris, annonce le gouvernement
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2024.05.04 00:27 Starlactite Il n'y a que moi que ça dérange le niveau des débats aux européennes ?
Bonsoir à tous.
Pour context, j'ai 22 ans et ce sont mes premières élections européennes. J'ai voté à toutes les élections jusque aujourd'hui et j'ai même été assesseur à certaines d'entre elles. J'ai aussi eu de la chance d'avoir de suivre des cours d'histoire, géographie, géopolitique et autre dans le supérieur.
Je trouve le niveau des débats effarant.
Alors, je ne les ai pas tous regardés, mais je vous donne quelques exemples:
Dans le débat hayer-mmchal. On ouvre directement sur des questions relatives à lecole. Ca parle des politiques et des mesures contre le harcèlement. L'une dit qu'il faut être plus ferme avec les sanctions, l'autre parle des mesures prises par le gouvernement pour limiter les réseaux sociaux. Ensuite ça se chipote.
Je me demande comme un gros con: le rapport aux européennes? L'école relève d'une compétence nationale, cela n'a rien à avec les compétences européennes.
M. Bardella qui annonce qu'il exigera une dissolution si il gagne les européennes : euh oui ok mais ça fait vraiment tâche de se soucier d'un parlement autre que le celui pour lequel vous candidates. Cool l'image que l'on renvoie.
Je me balladais à Paris. Je vois quelqu'un qui distribue des tractes pour Mme Hayer: l'Europe est importante, il faut voter pour l'Europe : elle a en grande partie financé le Grand Paris. Ma réaction: bah euh oui, Hayer Bardella: quelle qualité reconnaîtrez vous à votre opposant? Le culot: celui de raconter de la merde. MAIS OMG. Cela fait vraiment puérile. Je ne sais pas,c'est peut être simplement moi
D'ailleurs, sauriez vous où l'on peut lire les programmes des partis respectifs parce que là je ne peux pas voir plus de 5 minutes de débats télévisé sans "cringe" et fermer immédiatement le débat.
Merci d'avoir lu le rant d'un jeune de 22 ans. Je vous souhaite une excellente soirée
submitted by Starlactite to france [link] [comments]
Pour context, j'ai 22 ans et ce sont mes premières élections européennes. J'ai voté à toutes les élections jusque aujourd'hui et j'ai même été assesseur à certaines d'entre elles. J'ai aussi eu de la chance d'avoir de suivre des cours d'histoire, géographie, géopolitique et autre dans le supérieur.
Je trouve le niveau des débats effarant.
Alors, je ne les ai pas tous regardés, mais je vous donne quelques exemples:
Dans le débat hayer-mmchal. On ouvre directement sur des questions relatives à lecole. Ca parle des politiques et des mesures contre le harcèlement. L'une dit qu'il faut être plus ferme avec les sanctions, l'autre parle des mesures prises par le gouvernement pour limiter les réseaux sociaux. Ensuite ça se chipote.
Je me demande comme un gros con: le rapport aux européennes? L'école relève d'une compétence nationale, cela n'a rien à avec les compétences européennes.
M. Bardella qui annonce qu'il exigera une dissolution si il gagne les européennes : euh oui ok mais ça fait vraiment tâche de se soucier d'un parlement autre que le celui pour lequel vous candidates. Cool l'image que l'on renvoie.
Je me balladais à Paris. Je vois quelqu'un qui distribue des tractes pour Mme Hayer: l'Europe est importante, il faut voter pour l'Europe : elle a en grande partie financé le Grand Paris. Ma réaction: bah euh oui, Hayer Bardella: quelle qualité reconnaîtrez vous à votre opposant? Le culot: celui de raconter de la merde. MAIS OMG. Cela fait vraiment puérile. Je ne sais pas,c'est peut être simplement moi
D'ailleurs, sauriez vous où l'on peut lire les programmes des partis respectifs parce que là je ne peux pas voir plus de 5 minutes de débats télévisé sans "cringe" et fermer immédiatement le débat.
Merci d'avoir lu le rant d'un jeune de 22 ans. Je vous souhaite une excellente soirée
2024.05.03 07:53 FortunateVoid0 Sixteen Concerned Scientists: No Need to Panic About Global Warming
Sixteen Concerned Scientists: No Need to Panic About Global Warming
Editor's Note: The following has been signed by the 16 scientists listed at the end of the article:
A candidate for public office in any contemporary democracy may have to consider what, if anything, to do about "global warming." Candidates should understand that the oft-repeated claim that nearly all scientists demand that something dramatic be done to stop global warming is not true. In fact, a large and growing number of distinguished scientists and engineers do not agree that drastic actions on global warming are needed.
In September, Nobel Prize-winning physicist Ivar Giaever, a supporter of President Obama in the last election, publicly resigned from the American Physical Society (APS) with a letter that begins: "I did not renew [my membership] because I cannot live with the [APS policy] statement: 'The evidence is incontrovertible: Global warming is occurring. If no mitigating actions are taken, significant disruptions in the Earth's physical and ecological systems, social systems, security and human health are likely to occur. We must reduce emissions of greenhouse gases beginning now.' In the APS it is OK to discuss whether the mass of the proton changes over time and how a multi-universe behaves, but the evidence of global warming is incontrovertible?"
In spite of a multidecade international campaign to enforce the message that increasing amounts of the "pollutant" carbon dioxide will destroy civilization, large numbers of scientists, many very prominent, share the opinions of Dr. Giaever. And the number of scientific "heretics" is growing with each passing year. The reason is a collection of stubborn scientific facts.
Perhaps the most inconvenient fact is the lack of global warming for well over 10 years now. This is known to the warming establishment, as one can see from the 2009 "Climategate" email of climate scientist Kevin Trenberth: "The fact is that we can't account for the lack of warming at the moment and it is a travesty that we can't." But the warming is only missing if one believes computer models where so-called feedbacks involving water vapor and clouds greatly amplify the small effect of CO2.
The lack of warming for more than a decade—indeed, the smaller-than-predicted warming over the 22 years since the U.N.'s Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) began issuing projections—suggests that computer models have greatly exaggerated how much warming additional CO2 can cause. Faced with this embarrassment, those promoting alarm have shifted their drumbeat from warming to weather extremes, to enable anything unusual that happens in our chaotic climate to be ascribed to CO2.
The fact is that CO2 is not a pollutant. CO2 is a colorless and odorless gas, exhaled at high concentrations by each of us, and a key component of the biosphere's life cycle. Plants do so much better with more CO2 that greenhouse operators often increase the CO2 concentrations by factors of three or four to get better growth. This is no surprise since plants and animals evolved when CO2 concentrations were about 10 times larger than they are today. Better plant varieties, chemical fertilizers and agricultural management contributed to the great increase in agricultural yields of the past century, but part of the increase almost certainly came from additional CO2 in the atmosphere.
Although the number of publicly dissenting scientists is growing, many young scientists furtively say that while they also have serious doubts about the global-warming message, they are afraid to speak up for fear of not being promoted—or worse. They have good reason to worry. In 2003, Dr. Chris de Freitas, the editor of the journal Climate Research, dared to publish a peer-reviewed article with the politically incorrect (but factually correct) conclusion that the recent warming is not unusual in the context of climate changes over the past thousand years. The international warming establishment quickly mounted a determined campaign to have Dr. de Freitas removed from his editorial job and fired from his university position. Fortunately, Dr. de Freitas was able to keep his university job.
This is not the way science is supposed to work, but we have seen it before—for example, in the frightening period when Trofim Lysenko hijacked biology in the Soviet Union. Soviet biologists who revealed that they believed in genes, which Lysenko maintained were a bourgeois fiction, were fired from their jobs. Many were sent to the gulag and some were condemned to death.
Why is there so much passion about global warming, and why has the issue become so vexing that the American Physical Society, from which Dr. Giaever resigned a few months ago, refused the seemingly reasonable request by many of its members to remove the word "incontrovertible" from its description of a scientific issue? There are several reasons, but a good place to start is the old question "cui bono?" Or the modern update, "Follow the money."
Alarmism over climate is of great benefit to many, providing government funding for academic research and a reason for government bureaucracies to grow. Alarmism also offers an excuse for governments to raise taxes, taxpayer-funded subsidies for businesses that understand how to work the political system, and a lure for big donations to charitable foundations promising to save the planet. Lysenko and his team lived very well, and they fiercely defended their dogma and the privileges it brought them.
Speaking for many scientists and engineers who have looked carefully and independently at the science of climate, we have a message to any candidate for public office: There is no compelling scientific argument for drastic action to "decarbonize" the world's economy. Even if one accepts the inflated climate forecasts of the IPCC, aggressive greenhouse-gas control policies are not justified economically.
A recent study of a wide variety of policy options by Yale economist William Nordhaus showed that nearly the highest benefit-to-cost ratio is achieved for a policy that allows 50 more years of economic growth unimpeded by greenhouse gas controls. This would be especially beneficial to the less-developed parts of the world that would like to share some of the same advantages of material well-being, health and life expectancy that the fully developed parts of the world enjoy now. Many other policy responses would have a negative return on investment. And it is likely that more CO2 and the modest warming that may come with it will be an overall benefit to the planet.
If elected officials feel compelled to "do something" about climate, we recommend supporting the excellent scientists who are increasing our understanding of climate with well-designed instruments on satellites, in the oceans and on land, and in the analysis of observational data. The better we understand climate, the better we can cope with its ever-changing nature, which has complicated human life throughout history. However, much of the huge private and government investment in climate is badly in need of critical review.
Every candidate should support rational measures to protect and improve our environment, but it makes no sense at all to back expensive programs that divert resources from real needs and are based on alarming but untenable claims of "incontrovertible" evidence.
Claude Allegre, former director of the Institute for the Study of the Earth, University of Paris; J. Scott Armstrong, cofounder of the Journal of Forecasting and the International Journal of Forecasting; Jan Breslow, head of the Laboratory of Biochemical Genetics and Metabolism, Rockefeller University; Roger Cohen, fellow, American Physical Society; Edward David, member, National Academy of Engineering and National Academy of Sciences; William Happer, professor of physics, Princeton; Michael Kelly, professor of technology, University of Cambridge, U.K.; William Kininmonth, former head of climate research at the Australian Bureau of Meteorology; Richard Lindzen, professor of atmospheric sciences, MIT; James McGrath, professor of chemistry, Virginia Technical University; Rodney Nichols, former president and CEO of the New York Academy of Sciences; Burt Rutan, aerospace engineer, designer of Voyager and SpaceShipOne; Harrison H. Schmitt, Apollo 17 astronaut and former U.S. senator; Nir Shaviv, professor of astrophysics, Hebrew University, Jerusalem; Henk Tennekes, former director, Royal Dutch Meteorological Service; Antonio Zichichi, president of the World Federation of Scientists, Geneva.
submitted by FortunateVoid0 to conspiracy [link] [comments]
Editor's Note: The following has been signed by the 16 scientists listed at the end of the article:
A candidate for public office in any contemporary democracy may have to consider what, if anything, to do about "global warming." Candidates should understand that the oft-repeated claim that nearly all scientists demand that something dramatic be done to stop global warming is not true. In fact, a large and growing number of distinguished scientists and engineers do not agree that drastic actions on global warming are needed.
In September, Nobel Prize-winning physicist Ivar Giaever, a supporter of President Obama in the last election, publicly resigned from the American Physical Society (APS) with a letter that begins: "I did not renew [my membership] because I cannot live with the [APS policy] statement: 'The evidence is incontrovertible: Global warming is occurring. If no mitigating actions are taken, significant disruptions in the Earth's physical and ecological systems, social systems, security and human health are likely to occur. We must reduce emissions of greenhouse gases beginning now.' In the APS it is OK to discuss whether the mass of the proton changes over time and how a multi-universe behaves, but the evidence of global warming is incontrovertible?"
In spite of a multidecade international campaign to enforce the message that increasing amounts of the "pollutant" carbon dioxide will destroy civilization, large numbers of scientists, many very prominent, share the opinions of Dr. Giaever. And the number of scientific "heretics" is growing with each passing year. The reason is a collection of stubborn scientific facts.
Perhaps the most inconvenient fact is the lack of global warming for well over 10 years now. This is known to the warming establishment, as one can see from the 2009 "Climategate" email of climate scientist Kevin Trenberth: "The fact is that we can't account for the lack of warming at the moment and it is a travesty that we can't." But the warming is only missing if one believes computer models where so-called feedbacks involving water vapor and clouds greatly amplify the small effect of CO2.
The lack of warming for more than a decade—indeed, the smaller-than-predicted warming over the 22 years since the U.N.'s Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) began issuing projections—suggests that computer models have greatly exaggerated how much warming additional CO2 can cause. Faced with this embarrassment, those promoting alarm have shifted their drumbeat from warming to weather extremes, to enable anything unusual that happens in our chaotic climate to be ascribed to CO2.
The fact is that CO2 is not a pollutant. CO2 is a colorless and odorless gas, exhaled at high concentrations by each of us, and a key component of the biosphere's life cycle. Plants do so much better with more CO2 that greenhouse operators often increase the CO2 concentrations by factors of three or four to get better growth. This is no surprise since plants and animals evolved when CO2 concentrations were about 10 times larger than they are today. Better plant varieties, chemical fertilizers and agricultural management contributed to the great increase in agricultural yields of the past century, but part of the increase almost certainly came from additional CO2 in the atmosphere.
Although the number of publicly dissenting scientists is growing, many young scientists furtively say that while they also have serious doubts about the global-warming message, they are afraid to speak up for fear of not being promoted—or worse. They have good reason to worry. In 2003, Dr. Chris de Freitas, the editor of the journal Climate Research, dared to publish a peer-reviewed article with the politically incorrect (but factually correct) conclusion that the recent warming is not unusual in the context of climate changes over the past thousand years. The international warming establishment quickly mounted a determined campaign to have Dr. de Freitas removed from his editorial job and fired from his university position. Fortunately, Dr. de Freitas was able to keep his university job.
This is not the way science is supposed to work, but we have seen it before—for example, in the frightening period when Trofim Lysenko hijacked biology in the Soviet Union. Soviet biologists who revealed that they believed in genes, which Lysenko maintained were a bourgeois fiction, were fired from their jobs. Many were sent to the gulag and some were condemned to death.
Why is there so much passion about global warming, and why has the issue become so vexing that the American Physical Society, from which Dr. Giaever resigned a few months ago, refused the seemingly reasonable request by many of its members to remove the word "incontrovertible" from its description of a scientific issue? There are several reasons, but a good place to start is the old question "cui bono?" Or the modern update, "Follow the money."
Alarmism over climate is of great benefit to many, providing government funding for academic research and a reason for government bureaucracies to grow. Alarmism also offers an excuse for governments to raise taxes, taxpayer-funded subsidies for businesses that understand how to work the political system, and a lure for big donations to charitable foundations promising to save the planet. Lysenko and his team lived very well, and they fiercely defended their dogma and the privileges it brought them.
Speaking for many scientists and engineers who have looked carefully and independently at the science of climate, we have a message to any candidate for public office: There is no compelling scientific argument for drastic action to "decarbonize" the world's economy. Even if one accepts the inflated climate forecasts of the IPCC, aggressive greenhouse-gas control policies are not justified economically.
A recent study of a wide variety of policy options by Yale economist William Nordhaus showed that nearly the highest benefit-to-cost ratio is achieved for a policy that allows 50 more years of economic growth unimpeded by greenhouse gas controls. This would be especially beneficial to the less-developed parts of the world that would like to share some of the same advantages of material well-being, health and life expectancy that the fully developed parts of the world enjoy now. Many other policy responses would have a negative return on investment. And it is likely that more CO2 and the modest warming that may come with it will be an overall benefit to the planet.
If elected officials feel compelled to "do something" about climate, we recommend supporting the excellent scientists who are increasing our understanding of climate with well-designed instruments on satellites, in the oceans and on land, and in the analysis of observational data. The better we understand climate, the better we can cope with its ever-changing nature, which has complicated human life throughout history. However, much of the huge private and government investment in climate is badly in need of critical review.
Every candidate should support rational measures to protect and improve our environment, but it makes no sense at all to back expensive programs that divert resources from real needs and are based on alarming but untenable claims of "incontrovertible" evidence.
Claude Allegre, former director of the Institute for the Study of the Earth, University of Paris; J. Scott Armstrong, cofounder of the Journal of Forecasting and the International Journal of Forecasting; Jan Breslow, head of the Laboratory of Biochemical Genetics and Metabolism, Rockefeller University; Roger Cohen, fellow, American Physical Society; Edward David, member, National Academy of Engineering and National Academy of Sciences; William Happer, professor of physics, Princeton; Michael Kelly, professor of technology, University of Cambridge, U.K.; William Kininmonth, former head of climate research at the Australian Bureau of Meteorology; Richard Lindzen, professor of atmospheric sciences, MIT; James McGrath, professor of chemistry, Virginia Technical University; Rodney Nichols, former president and CEO of the New York Academy of Sciences; Burt Rutan, aerospace engineer, designer of Voyager and SpaceShipOne; Harrison H. Schmitt, Apollo 17 astronaut and former U.S. senator; Nir Shaviv, professor of astrophysics, Hebrew University, Jerusalem; Henk Tennekes, former director, Royal Dutch Meteorological Service; Antonio Zichichi, president of the World Federation of Scientists, Geneva.
2024.05.03 06:35 AndreaNewsHub Guerre à Gaza : Sciences Po annonce la fermeture vendredi de ses principaux locaux à Paris
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2024.04.30 17:05 kalelmotoko Pour les scientifiques de métier ici présent, que pensez vous de Phillippe Guillemant ?
Salut à tous, cela fait quelques temps que j'écoute diverses conférences sur le web et derniérement je suis tombé sur les siennes.
Il semble avoir un background solide, dont voici le résumé par lui même :
____________________________________
Philippe Guillemant est un ingénieur physicien français diplomé de l’Ecole Centrale Paris et de l’Institut de Physique du Globe. Il est Docteur en Physique du Rayonnement et habilité à diriger des recherches. Il exerce son activité au CNRS où il est Ingénieur de Recherche Hors Classe. Spécialiste d’intelligence artificielle, ses travaux ont débouché sur la création de deux entreprises innovantes licenciées par le CNRS: Synapsys et Uratek, qui lui ont valu plusieurs distinctions dont le Cristal du CNRS. Ses brevets et publications portent essentiellement sur des méthodes de traitement de l’information dérivées de la théorie du chaos, qu’il a appliqué à la reconnaissance de formes, à l’analyse des mouvements des yeux et à la caractérisation de l’activité cérébrale EEG (calcul du niveau d’éveil). En complément de son activité technologique, il mène aujourd’hui une recherche beaucoup plus fondamentale en physique de l’information. Recherches qui, en partant du concept de l’indéterminisme macroscopique visent à mettre en évidence les limites du chaos déterministe et à réviser notre conception classique de l’espace-temps. Il est l’auteur de la théorie de la double causalité, un modèle de création de la réalité fondé sur le libre arbitre et présenté dans son livre “La Route du Temps” (Le Temps Présent, 2010). Ce modèle conduit, entre autres choses, à une explication rationnelle de la synchronicité qui débouche sur un véritable « pont » entre la Science et la Spiritualité.
____________________________________
Ingénieur physicien, Centrale, CNRS, distinctions, brevets etc.
Pourtant son discours se rapproche énormément du discours new age et de certain courant de developpement personnel (Peter Sage par exemple).
Ou en gros il identifie le futur des individus à de multiples potentiels préderminés non réalisés (en état quantique) dont la conscience sera le créateur, et dont les émotions au travers des synchronicités seraient le vecteur d'attraction, et surtout de l'observation et donc de l'émergence de ces futurs. Oui je sais, on comprends rien, mais sa théorie est assez simple finalement. Il dit lui même que c'est tiré par les cheveux, mais quelle théorie ne l'est pas.
Ce qu'il faut comprendre dans ces courants c'est qu'ils disent que l'individu à un rapport beaucoup plus profond avec la réalité que ce qu'on pense à l'heure actuelle et que l'individu créé et influence la réalité et donc sa vie à un niveau plus fondamental. D'où le fameux rapport avec le quantique que l'on voit depuis des années.
Alors autant la pseudo science en developpement personnel ou argument marketing c'est usuel, autant être scientifique n'est pas un argument d'autorité ou un vaccin à la dérive (la fameuse maladie des Nobels), et oui Mr Guillemant semble se complaire dans la reconnaissance des sphéres médiatiques alternatives.
Malgré tout, cette personne me semble être intéressante même si elle pousse le bouchon trés loin. Il parle de ses expérimentations avec des boules de billards et de ses calculs de précisions, il cite des personnes reconnues et annonce clairement lorsqu'il prends appui sur de la pseudo science.
J'ai donc 2 questions :
_Phillippe Guillemant est il connu, reconnu, autant comme foldingue que comme personne intégre ou capable dans le milieu scientifique ?
_Si possible, où en sont les recherches à l'heure actuelle sur le quantique et le rapport à notre réalité macroscopique ?
submitted by kalelmotoko to france [link] [comments]
Il semble avoir un background solide, dont voici le résumé par lui même :
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Philippe Guillemant est un ingénieur physicien français diplomé de l’Ecole Centrale Paris et de l’Institut de Physique du Globe. Il est Docteur en Physique du Rayonnement et habilité à diriger des recherches. Il exerce son activité au CNRS où il est Ingénieur de Recherche Hors Classe. Spécialiste d’intelligence artificielle, ses travaux ont débouché sur la création de deux entreprises innovantes licenciées par le CNRS: Synapsys et Uratek, qui lui ont valu plusieurs distinctions dont le Cristal du CNRS. Ses brevets et publications portent essentiellement sur des méthodes de traitement de l’information dérivées de la théorie du chaos, qu’il a appliqué à la reconnaissance de formes, à l’analyse des mouvements des yeux et à la caractérisation de l’activité cérébrale EEG (calcul du niveau d’éveil). En complément de son activité technologique, il mène aujourd’hui une recherche beaucoup plus fondamentale en physique de l’information. Recherches qui, en partant du concept de l’indéterminisme macroscopique visent à mettre en évidence les limites du chaos déterministe et à réviser notre conception classique de l’espace-temps. Il est l’auteur de la théorie de la double causalité, un modèle de création de la réalité fondé sur le libre arbitre et présenté dans son livre “La Route du Temps” (Le Temps Présent, 2010). Ce modèle conduit, entre autres choses, à une explication rationnelle de la synchronicité qui débouche sur un véritable « pont » entre la Science et la Spiritualité.
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Ingénieur physicien, Centrale, CNRS, distinctions, brevets etc.
Pourtant son discours se rapproche énormément du discours new age et de certain courant de developpement personnel (Peter Sage par exemple).
Ou en gros il identifie le futur des individus à de multiples potentiels préderminés non réalisés (en état quantique) dont la conscience sera le créateur, et dont les émotions au travers des synchronicités seraient le vecteur d'attraction, et surtout de l'observation et donc de l'émergence de ces futurs. Oui je sais, on comprends rien, mais sa théorie est assez simple finalement. Il dit lui même que c'est tiré par les cheveux, mais quelle théorie ne l'est pas.
Ce qu'il faut comprendre dans ces courants c'est qu'ils disent que l'individu à un rapport beaucoup plus profond avec la réalité que ce qu'on pense à l'heure actuelle et que l'individu créé et influence la réalité et donc sa vie à un niveau plus fondamental. D'où le fameux rapport avec le quantique que l'on voit depuis des années.
Alors autant la pseudo science en developpement personnel ou argument marketing c'est usuel, autant être scientifique n'est pas un argument d'autorité ou un vaccin à la dérive (la fameuse maladie des Nobels), et oui Mr Guillemant semble se complaire dans la reconnaissance des sphéres médiatiques alternatives.
Malgré tout, cette personne me semble être intéressante même si elle pousse le bouchon trés loin. Il parle de ses expérimentations avec des boules de billards et de ses calculs de précisions, il cite des personnes reconnues et annonce clairement lorsqu'il prends appui sur de la pseudo science.
J'ai donc 2 questions :
_Phillippe Guillemant est il connu, reconnu, autant comme foldingue que comme personne intégre ou capable dans le milieu scientifique ?
_Si possible, où en sont les recherches à l'heure actuelle sur le quantique et le rapport à notre réalité macroscopique ?
2024.04.29 21:33 MsTellington Tribune + mobilisation pour les droits trans le 5 mai
Hello,
Pour la faire courte, mercredi dernier, environ 150 personnes se sont réunies à Paris (+ quelques personnes en visio) pour réfléchir à des actions contre les propositions de loi de LR et du RN qui veulent interdire les transitions de mineurs (le tout dans un climat délétère pour les personnes trans si vous avez suivi la parution d'un certain livre).
Il en est notamment sorti une tribune, qui appelle à des rassemblements le 5 mai prochain dans de nombreuses villes de France (14h à République pour Paris, 11h au Vieux Port pour Marseille, lieu et horaire à annoncer pour Lyon... retrouvez ici la liste complète des rassemblements, ou ici en version carte (mais elle ne marche pas chez tout le monde apparemment)).
N'hésitez pas à signaler si vous organisez quelque chose qui n'est pas encore dans la liste (vous pouvez écrire à sasha.anxiety sur Instagram, ou si vous n'avez pas Instagram écrivez-moi ici et je transmettrai).
En espérant vous y voir, si vous pouvez :)
submitted by MsTellington to transgenre [link] [comments]
Pour la faire courte, mercredi dernier, environ 150 personnes se sont réunies à Paris (+ quelques personnes en visio) pour réfléchir à des actions contre les propositions de loi de LR et du RN qui veulent interdire les transitions de mineurs (le tout dans un climat délétère pour les personnes trans si vous avez suivi la parution d'un certain livre).
Il en est notamment sorti une tribune, qui appelle à des rassemblements le 5 mai prochain dans de nombreuses villes de France (14h à République pour Paris, 11h au Vieux Port pour Marseille, lieu et horaire à annoncer pour Lyon... retrouvez ici la liste complète des rassemblements, ou ici en version carte (mais elle ne marche pas chez tout le monde apparemment)).
N'hésitez pas à signaler si vous organisez quelque chose qui n'est pas encore dans la liste (vous pouvez écrire à sasha.anxiety sur Instagram, ou si vous n'avez pas Instagram écrivez-moi ici et je transmettrai).
En espérant vous y voir, si vous pouvez :)
2024.04.29 08:01 Tidusneo 9 ans de relation pour finir comme ça ?
9 ans de relation pour finir comme ça ?
Bonjour à toutes et tous,
Je ne sais pas si c'est le bon thread pour en parler mais j'ai besoin de coucher sur papier ce que je vis actuellement.
Pour résumé C c'est ma copine et T c'est moi
Je suis du moins j'étais en relation avec ma copine depuis 9 ans. J'en ai 33 ans elle a eu 30 la semaine dernière, c'est une relation qui était très fusionnelle entre nous
On a vécu des superbes moments (voyages au bout du monde, Japon, USA, Europe, petites attention etc....) bref un couple que je qualifierai de "normal" mais aussi des grandes peines l'année dernière : elle a été diagnostiquée cancer de l'utérus (papillonavirus) ou on a été obligé de lui enlever l'utérus ce qui veut dire pas d'enfant possible.
Alors au moment de l'annonce de ce résultat (Novembre 2022), on ne voulait pas forcément d'enfants mais forcément au moment ou tu es mis devant le fait bah tu hésites. Ça été une grande souffrance pour moi, que j'ai caché car il fallait à tout prix que C aille mieux. J'ai donc redoublé d'effort pour lui faire oublié tout ça (je lui ai fait rencontré en personne sa chanteuse favorite Angèle, l'expo Friends sur Paris alors que l'on est du sud de la France etc...)
Puis à mon tour je suis tombé malade juste après ses 3 opérations pour lui enlever son cancer (Mars 2023) , plusieurs aller retours aux urgences avec des maux de ventre insupportable, pour finir sur une appendicite. Comble du hasard le médecin me dit votre corps a du surement "imiter" (je ne me souviens plus du terme exact) votre copine qui a subit plusieurs cœlioscopies et vous allez à votre tour en subir une.
Courant 2023 nous avions eu la possibilité de récupérer une maison que le père de C avait fait construite pour elle. Il restait certes un peu de crédit pour la terminer mais on réglerait à son pere chaque mois via un virement ce credit qu'il restait. Ici il y a eu une mini dispute, concrètement on vivait ensemble depuis 6 ans déjà sur 2 appartement différents mais ici il fallait sauter le pas d'une maison à nous. Et surtout que nous ne sommes pas mariés/pacsés ou autre donc ce qui veut dire que je n'ai pas de part dans la maison.
J'ai eu une petite réticence par rapport à ça lui disant que j'ai envie de faire des travaux dans cette maison car j'étais censé y vivre moi aussi. On a fini sur un semi accord ou je donnais un peu moins de crédit par mois. Mais en échange la différence qu'il y avait entre ma part et la sienne je l'a mettais de côté pour nous quand le crédit aura été terminée. Afin de soi engager des nouveaux travaux soit nous payer un ou plusieurs nouveaux voyages.
Juillet 2023 arrive et nos vacances ne tournent que autour de notre maison et les travaux à faire : rien de bien lourd à effectuer il fallait juste casser une cloison, et du travail de peinture dans certaines pièces.
Arrive Aout 2023 ou ça y est nous sommes dans notre maison tout content du travail fourni et on commence chacun à prendre nos repères/habitudes dedans.
Puis arrive Octobre 2023.
C parle sur instagram à un garçon que l'on va appelé Y. Comment je le sais ? C'est simple sur mon téléphone j'ai son compte instagram car elle se servait souvent de mon tel pour poster ou autre. Voyant ça je lui demande qui s'est elle me dit que c'est un copain de son groupe de théâtre. Je lui dit du coup que je vais enlever son compte instagram de mon tel car je reçois les notifications et ça fait partie de sa bulle donc je n'ai pas forcément besoin de savoir ce qui se dit non plus.
Et puis arrive fin Octobre 2023, C travaille à un EHPAD et elle avait pour idée d'acheter un casque de réalité virtuelle pour les résidents. Etant informaticien en partie dans mon travail, je lui propose de lui configurer son casque avec son compte META (facebook, insta etc...) dedans. Et la je tombe sur un message qui m'a glacé un peu le sang. Pour la faire courte C sort quelque fois avec ses amies au bar, c'est son moment à elle et je ne veux pas m'imiscer plus car elle en a besoin.
Et donc dans le message Y disait merci pour l'autre soir c'était sympa. C étant à Bordeaux (2h de voiture de chez nous) chez une amie commune, je l'appelle immédiatement. Au début elle réfute mais la connaissant par coeur, je comprends que quelque chose cloche. Elle m'avouera que oui ils se sont parlés plein de fois et qu'il y a eu un échange de baiser à une soirée.
Je tombe de (très) haut cette relation qui était la notre mise à mal par ça. Le lendemain soir elle revient et on en a discuté, forcement la discussion a été houleuse par moment mais s'est terminé sur une réconciliation et une promesse de ne pas lui reparler.
Décembre 2023 je sens que C est différente avec moi, je ne saurais comment l'explquer aujourd'hui encore mais je suis une éponge à émotions l'a concernant : quand elle ne va pas bien je le sais au fond de moi j'ai un poids sur la cage thoracique.
Plusieurs fois je lui demande elle ne me répond jamais. "Mais non tout va bien amour" "Je suis juste fatiguée" etc... Cette situation dure depuis plus de 2 semaines, je n'en dors plus car je le sens. Et puis un soir j'ai fait une ENORME bêtise. J'ai profité de son absence pour ouvrir son mac et regarder ses notes. Et la j'ai vu qu'elle avait encore des conversations avec Y et la dernière datait de la veille.
Du coup rebelote j'attends qu'elle rentre du théâtre en lui redemandant une nouvelle fois ce qui l'a minait. Encore une fois elle refuse de me le dire et la je lui ai dit ce que j'avais fait. J'aurais pu mentir en lui disant un de tes amis au théâtre m'en a parler ou autre mais j'étais TELLEMENT dans le mal d'avoir fait ça que je me suis senti obligé de lui dire.
Et donc nouvelle dispute sur ça, elle me dit qu'elle voulait revoir Y pour mettre un terme à cette relation qui n'était en aucun cas saine et qu'elle ne voulait pas de ça mais elle voulait lui dire face à face. Sachant que pour info Y avait aussi une copine de son côté depuis 3-4 ans.
Dispute une nouvelle fois avec réconciliation le lendemain.
Et jusqu'a il y a fin Mars 2024 notre couple vivait sa vie paisiblement : on avait prévu notre nouveau voyage au Japon pour Octobre 2024 après 1 an sans "vraies vacances" (on partait minimum 2 fois dans l'année mais à cause de la maison + maladie c'était mort)
Mais là pareil je ressens que quelque chose ne va pas. Idem j'essaye de lui tirer les vers du nez rien n'y fait. Je lui annonce donc durant qu'elle était au travail que ce soir il falalit que l'on discute.
S'en est suivi une discussion de 5 heures sur laquelle on s'est dit beaucoup de choses : nos disputes récentes avec Y. Mais aussi le fait qu'elle ne m'aime plus comme avant, pour elle ce n'était plus l'amour avec un grand A. Mais à côté elle reconnait que notre cadre de vie, notre confort de vie, notre vie ensemble avec tout ses petits moment est génial. Et là j'ai senti que l'on était en train de vivre notre première vraie grosse dispute. Les précédentes ont été là certes mais elles ont servis à mettre la poussière sous le tapis en espérant que tout s'arrangera comme c'est le cas d'habitude. Elle m'a ensuite reproché le fait de "trop l'aimer" par moment et qu'elle ne savait plus qui elle était par moment. Je lui ai donc dit afin de raviver cette flamme de faire une pause, je partirais chez mon frère l'espace de 2 semaines pour voir si on allait se manquer mutuellement.
Elle fut un peu surprise par cette annonce car de ses propres mots elle m'a dit "Mais tu avais tout prévu en fait" je lui explique que oui j'avais appelé mon frère avant et que j'allais avoir une grosse discussion avec C et qui si au cas ou ça ne va pas, d'aller dormir chez lui.
Cette pause a été ... comment dire catastrophique. Le soir même on était en train de s'envoyer 300 messages à base de tu me manques etc... Le lendemain matin je suis passé à la maison pour récupérer des affaires de travail et on s'est direct embrassés et plus ... S'en est suivi 2 semaines de messages journaliers avec certains "pavés" écrit du plus profond de mon coeur et du sien. Pour finir il y a 2 semaines sur un de ses messages vient à la maison il faut que l'on parle.
Sentant monter le stress en moins et pensant que ça y est c'était fini entre nous j'y suis allée les jambes très lourdes. Pour au final avoir une conversation très calme et sincère sur nous. Elle m'a dit qu'elle a aimé ce moment ou elle était seule, car elle a redécouvert des choses qu'elle ne pensait pas être capable de faire. Que moi de mon côté je me suis aussi rendu compte qu'en 2023 j'ai voulu trop la protéger et que j'étais surement rester dans ce rôle de protecteur et pas dans mon rôle d'amoureux.
On a eu chacun des mots l'un pour l'autre très doux (mon coeur me dit de rester avec toi etc...) et que l'on se remettait ensemble mais sans se mettre la pression sur une quelconque échéance ou autre et que l'on prend le temps de se retrouver et d'apprendre à revivre cet amour là. Et derrière cette discussion afin de se respecter mutuellement, je lui ai dit écoute on se laisse encore quelques jours chacun de notre côté et je reviens le mercredi 18 Avril
Le mercredi 18 Avril arrive et je reviens à la maison les retrouvailles se passent super bien, et on finit par aller se coucher. Et au moment d'aller se coucher je vois son téléphone qui s'allume et je peux juste voir des messages d'un garçon. Je la regarde en mode sérieux ? Et elle m'explique qu'elle parle depuis notre pause avec un de ses collègues de travail car elle en avait besoin. Mais que je n'avais pas de soucis à me faire car il n'est pas comme Y car physiquement il est "moche" (ses propres termes) et qu'elle ne le connait que du travail.
Faisant du travail sur moi je lui fait comprendre que pas de problèmes elle peut parler avec qui elle veut. Moi même je ne parle essentiellement qu'a des filles n'étant pas à l'aise avec les garçons et ce depuis mon plus jeune âge. Donc pas de soucis je respecte sa bulle.
S'en suit la semaine dernière son anniversaire des 30 ans (samedi 20 Avril) , elle avait prévu de le faire en petit comité (4 de ses copines d'enfances+ mon frère et sa copine) à la maison tranquillement. Forcement pour marquer le coup (et c'était prévu bien avant notre pause) j'avais mis le paquet pour son anniversaire : montage vidéo, beau cadeau, et un cours privé avec son artiste peintre favorite.
Et par dessus ça le lundi juste après je lui ai annoncé que surprise on part dans le nuit de Dimanche à Lundi pour 2 jours quelque part en France pour prendre du temps pour nous. Elle avait toujours voulu voir le mont Saint Michel mais vu que l'on avait 8 heures de route on avait jamais pris le temps d'y aller. C'est ce que j'ai fait on allait passer 2 jours à St Malo + Mont Saint Michel. Elle ne savait pas ou on allait et elle le découvrira le jour même.
On passe honnêtement une semaine géniale son anniversaire à été un succès et nos 2 petits jours ensemble on était agréable.
Samedi 27 Avril C avait acheté à Hema une fleur en liège sur laquelle on peut accrocher, des notes etc...
C'est quelqu'un qui adore les polaroids, sur la soirée elle a fait plein et a aussi la machine qui permet d'en imprimer directement. Elle me dit regarde j'ai imprimé des photos de nous je vais les mettre sur la fleur en liège que je vais accroché à l'entrée. Elle me fait remarqué aussi que le soir de l'anniversaire je n'avais pas rempli son petit carnet ou chacun a mis un mot dedans. Forcément j'y met du mien comme je l'ai toujours fait avec elle pour lui faire 2 pages avec des petits attentions partout. Je lui redonne le cahier elle le lit et sourit en me disant "ça me touche c'est vraiment beau" et repart avec.
Le soir même elle devait aller fêter son anniversaire à nouveau mais avec ... appellons là M. M c'est une très bonne amie à C. Elle se sont connus au lycée et ne se sont jamais vraiment perdue de vue. Mais voilà M est quelqu'un qui ne m'apprécie pas. Au tout début de notre relation dans mon appartement j'avais invité M à venir passer la soirée à la maison. Cette soirée se passe bien jusqu'au moment ou M nous dit mon frère ça ne va pas il faut que je l'appelle. Son frère était avant que je me mette avec C une personne qui voulait sortir avec elle.
Profitant de cette pause durant le film je descends boire et fermer les volets de ma chambre quand j'ai surpris M entrain de parler de moi. Disant que de toute manière je n'étais pas fait pour C et que notre couple ne durera pas. Je n'ai rien dit à l'époque et M était remonté avec nous comme si de rien n'était. Mais depuis ce jour je n'ai aucune confiance en M. Je respecte C car c'est une de ses meilleures amies et je ne vais pas l'empêcher de lui parler.
Il faut aussi savoir que la semaine avant l'anniversaire de C j'avais demandé à tout ses amies qui devait venir + les personnes qui comptaient pour elle de faire une petite vidéo pour lui fêter bon anniversaire. Etant dans du travail sur moi j'ai mis de l'eau dans mon vin et j'ai envoyé un message à M lui expliquant que si elle le souhaitait et que vu qu'elle fait partie intégrante de la vie de C, elle pouvait participer.
Je me suis mangé un gros vu des familles + elle est allée dire à C que je préparais une surprise mais qu'elle ne voulait pas participer et qu'elle allait faire sa soirée de son côté.... Je vous laisse imaginer mon état quand C m'a montré ce message là ...
Du coup je reviens à cette soirée du 27 Avril, elle part à cette soirée et avant elle me dit qu'elle ne sait pas si elle rentrera ou non en fonction de ce qu'elle a bu (j'ai l'habitude et je préfère qu'elle dorme sur place que de risquer à prendre la route)
Elle m'envoie quelques snaps d'elles en soirée chez M et tout se passe bien. Arrive 2h45 ou elle m'annonce qu'elle reste dormir chez M.
Je lui annonce que pas de problèmes et je pars me coucher. Sauf que 40 minutes plus tard j'entend du bruit au niveau de notre garage, je prend un peu peur et j'ouvre a distance les stores. En arrivant je vois 2 personnes qui partent en courant. Pris de peur j'appelle de suite les gendarmes pour leur signaler qu'il y a peut être tentative de cambriolage chez moi. Juste après j'essaye de joindre C pour lui dire. Pas de réponse. J'appelle plein de fois pas de réponses. Du coup j'appelle une de ses amies qui était à la soirée et qui dormait chez M. Elle me répond et je lui demande de me passer C. Elle me dit que C n'est pas là et qu'elle leur avait dit qu'elle rentrait chez nous....
Entre temps C me rappelle je lui demande ou elle est, elle me dit je suis chez M.... Et la je lui dit que non ce n'est pas possible que je viens d'avoir son amie. Gros blanc... Elle me dit j'arrive...
20 minutes après la voilà qui arrive encore un peu sous le choc de ce qui s'était passé sur le cambriolage, je lui explique tout ça. Et puis vient le moment ou je lui demande ou elle était. Et elle me dit qu'elle était chez ce fameux garçon ... Au début elle me ment car elle me dit mais non y'avait une fille aussi avec lui. Sauf que je sais qu'elle me mentait car elle a un tic quand elle ment. Et à force de creuser elle m'avoue qu'elle avait reçu un message de ce gars en fin de soirée et qu'elle a voulu le rejoindre.... Sauf qu'elle a menti envers M et ses amies et aussi envers moi.
Ce moment de discussion a eu lieu ce dimanche 28 avril au matin du coup. Mais je sentais en elle une culpabilité, elle m'a reproché d'avoir été 'trop mielleux' avec elle durant cette semaine mais en même temps ça lui faisait du bien car ça lui rappelait le début de notre relation. Bref il était 7h du matin nuit blanche on était tout les 2 fatigué par ça on s'est dit on en reparlera plus tard et qu'elle a besoin de se reposer car elle devait déjeuner avec M justement
Vient le dimanche soir. Ou la conversation a repris. Mais d'une manière complètement différente. J'ai eu en face de moi une C qui n'était pas elle même. Quelques minutes après j'ai compris que ses """amies"" (M en tête de gondole) c'était mis un peu contre moi en mode mais quitte le, si tu as fait ça c'est que tu voulais t'auto saboter dans ton couple etc..... D'habitude C ne se laisse pas influencer car comme elle le dit si bien, notre couple c'est notre bulle et personne n'a son avis à nous apporter à part nous.
Et donc du coup elle m'annonce qu'elle ne veut plus de moi. Je lui dit mais la conversation que l'on a eu il y a 2 semaines elle ne compte plus ? Elle me dit que non qu'elle n'y arrive pas autant que moi je peux y arriver. Je lui dit que l'on s'était dit que chacun évolue a sa vitesse mais rien à faire. Elle me dit qu'elle a envie de voir ce garçon du travail qui est certes moins "beau" physiquement que moi mais qu'elle a besoin de ça. Elle me dit dans la foulée que ma liste de points positifs et si grande comparé à ce garçon (pourquoi me dire ça ? ) et que notre relation était fusionnelle comme elle en a jamais vécu et qu'elle a peur de ne pas retrouver une relation comme la notre
Elle s'est prise la tête dans les mains plusieurs fois en mode je suis perdue je sais plus quoi faire... Et du coup juste après elle me dit écoute peut être que notre pause n'a pas été bénéfique et qu'il fallait peut être faire une coupure de plusieurs mois pour voir. "Tu es capable de m'attendre" ? Voilà ses mots. ET la j'ai du dire non, je ne veux pas qu'elle me fasse miroiter un faux espoir des mois durant pour qu'au final il ne se passe rien...
Je suis donc parti à 22h12 de la maison et quelques heures après sans faire exprès j'ai allumé la lumière de notre chambre à distance. C'est la lampe principale de la chambre et elle éclaire beaucoup. Je viens de voir qu'elle est toujours allumée ce qui veut dire qu'elle n'a pas dormi à la maison ....
EDIT 1 : Dans tout ça j'ai oublié ceci : durant notre dispute de dimanche, elle m'a parlé de comment on allait faire pour le vol du Japon vu que tout était déjà payé/réservé. Elle me dit dans sa lancée qu'elle ne voir pas d'inconvénients à ce que l'on parte ensemble. Je l'ai regardé en mode bah non désolé. Elle me demande pourquoi ? Je lui dit mais C d'ici Octobre vu que l'on est en train de rompre on va surement refaire notre vie chacun de son côté. Tu crois que notre copain/copine va accepter le fait que l'on parte ensemble, dormir dans le même lit pendant 15 jours sans qu'il ne passe rien ?
Elle a rigolé derrière ça. Et m'a dit qu'elle veut que l'on reste ami et que l'on se parle comme on fait actuellement (????) je n'ai pas su quoi répondre.
Du coup voilà ma rupture. J'écris ici pour avoir peut être un avis ou des conseils je suis moi même perdu. J'ai 33 ans et je viens de revenir chez ma mère que j'avais quitté à mes 19 ans. Je n'arrive toujours pas à y croire et que cela finit comme ça.
Je n'ai plus forcément d'amis car je me suis greffer à ses amies. J'avais une meilleure amie avec qui je partageais tout à l'époque que j'ai ghosté comme une merde car C me prenait tout mon temps disponible et je n'avais plus le temps pour. idem pour l'argent ou mes économies ont fondues à cause des travaux + cancer.
Si vous avez des questions sur certaines choses je répondrais à tout sans filtre car j'ai besoin d'en parler à quelqu'un et si je sais une chose c'est que internet peut être aussi un baume au coeur pour certaines choses.
Merci à vous d'avoir tout lu.
submitted by Tidusneo to besoindeparler [link] [comments]
Bonjour à toutes et tous,
Je ne sais pas si c'est le bon thread pour en parler mais j'ai besoin de coucher sur papier ce que je vis actuellement.
Pour résumé C c'est ma copine et T c'est moi
Je suis du moins j'étais en relation avec ma copine depuis 9 ans. J'en ai 33 ans elle a eu 30 la semaine dernière, c'est une relation qui était très fusionnelle entre nous
On a vécu des superbes moments (voyages au bout du monde, Japon, USA, Europe, petites attention etc....) bref un couple que je qualifierai de "normal" mais aussi des grandes peines l'année dernière : elle a été diagnostiquée cancer de l'utérus (papillonavirus) ou on a été obligé de lui enlever l'utérus ce qui veut dire pas d'enfant possible.
Alors au moment de l'annonce de ce résultat (Novembre 2022), on ne voulait pas forcément d'enfants mais forcément au moment ou tu es mis devant le fait bah tu hésites. Ça été une grande souffrance pour moi, que j'ai caché car il fallait à tout prix que C aille mieux. J'ai donc redoublé d'effort pour lui faire oublié tout ça (je lui ai fait rencontré en personne sa chanteuse favorite Angèle, l'expo Friends sur Paris alors que l'on est du sud de la France etc...)
Puis à mon tour je suis tombé malade juste après ses 3 opérations pour lui enlever son cancer (Mars 2023) , plusieurs aller retours aux urgences avec des maux de ventre insupportable, pour finir sur une appendicite. Comble du hasard le médecin me dit votre corps a du surement "imiter" (je ne me souviens plus du terme exact) votre copine qui a subit plusieurs cœlioscopies et vous allez à votre tour en subir une.
Courant 2023 nous avions eu la possibilité de récupérer une maison que le père de C avait fait construite pour elle. Il restait certes un peu de crédit pour la terminer mais on réglerait à son pere chaque mois via un virement ce credit qu'il restait. Ici il y a eu une mini dispute, concrètement on vivait ensemble depuis 6 ans déjà sur 2 appartement différents mais ici il fallait sauter le pas d'une maison à nous. Et surtout que nous ne sommes pas mariés/pacsés ou autre donc ce qui veut dire que je n'ai pas de part dans la maison.
J'ai eu une petite réticence par rapport à ça lui disant que j'ai envie de faire des travaux dans cette maison car j'étais censé y vivre moi aussi. On a fini sur un semi accord ou je donnais un peu moins de crédit par mois. Mais en échange la différence qu'il y avait entre ma part et la sienne je l'a mettais de côté pour nous quand le crédit aura été terminée. Afin de soi engager des nouveaux travaux soit nous payer un ou plusieurs nouveaux voyages.
Juillet 2023 arrive et nos vacances ne tournent que autour de notre maison et les travaux à faire : rien de bien lourd à effectuer il fallait juste casser une cloison, et du travail de peinture dans certaines pièces.
Arrive Aout 2023 ou ça y est nous sommes dans notre maison tout content du travail fourni et on commence chacun à prendre nos repères/habitudes dedans.
Puis arrive Octobre 2023.
C parle sur instagram à un garçon que l'on va appelé Y. Comment je le sais ? C'est simple sur mon téléphone j'ai son compte instagram car elle se servait souvent de mon tel pour poster ou autre. Voyant ça je lui demande qui s'est elle me dit que c'est un copain de son groupe de théâtre. Je lui dit du coup que je vais enlever son compte instagram de mon tel car je reçois les notifications et ça fait partie de sa bulle donc je n'ai pas forcément besoin de savoir ce qui se dit non plus.
Et puis arrive fin Octobre 2023, C travaille à un EHPAD et elle avait pour idée d'acheter un casque de réalité virtuelle pour les résidents. Etant informaticien en partie dans mon travail, je lui propose de lui configurer son casque avec son compte META (facebook, insta etc...) dedans. Et la je tombe sur un message qui m'a glacé un peu le sang. Pour la faire courte C sort quelque fois avec ses amies au bar, c'est son moment à elle et je ne veux pas m'imiscer plus car elle en a besoin.
Et donc dans le message Y disait merci pour l'autre soir c'était sympa. C étant à Bordeaux (2h de voiture de chez nous) chez une amie commune, je l'appelle immédiatement. Au début elle réfute mais la connaissant par coeur, je comprends que quelque chose cloche. Elle m'avouera que oui ils se sont parlés plein de fois et qu'il y a eu un échange de baiser à une soirée.
Je tombe de (très) haut cette relation qui était la notre mise à mal par ça. Le lendemain soir elle revient et on en a discuté, forcement la discussion a été houleuse par moment mais s'est terminé sur une réconciliation et une promesse de ne pas lui reparler.
Décembre 2023 je sens que C est différente avec moi, je ne saurais comment l'explquer aujourd'hui encore mais je suis une éponge à émotions l'a concernant : quand elle ne va pas bien je le sais au fond de moi j'ai un poids sur la cage thoracique.
Plusieurs fois je lui demande elle ne me répond jamais. "Mais non tout va bien amour" "Je suis juste fatiguée" etc... Cette situation dure depuis plus de 2 semaines, je n'en dors plus car je le sens. Et puis un soir j'ai fait une ENORME bêtise. J'ai profité de son absence pour ouvrir son mac et regarder ses notes. Et la j'ai vu qu'elle avait encore des conversations avec Y et la dernière datait de la veille.
Du coup rebelote j'attends qu'elle rentre du théâtre en lui redemandant une nouvelle fois ce qui l'a minait. Encore une fois elle refuse de me le dire et la je lui ai dit ce que j'avais fait. J'aurais pu mentir en lui disant un de tes amis au théâtre m'en a parler ou autre mais j'étais TELLEMENT dans le mal d'avoir fait ça que je me suis senti obligé de lui dire.
Et donc nouvelle dispute sur ça, elle me dit qu'elle voulait revoir Y pour mettre un terme à cette relation qui n'était en aucun cas saine et qu'elle ne voulait pas de ça mais elle voulait lui dire face à face. Sachant que pour info Y avait aussi une copine de son côté depuis 3-4 ans.
Dispute une nouvelle fois avec réconciliation le lendemain.
Et jusqu'a il y a fin Mars 2024 notre couple vivait sa vie paisiblement : on avait prévu notre nouveau voyage au Japon pour Octobre 2024 après 1 an sans "vraies vacances" (on partait minimum 2 fois dans l'année mais à cause de la maison + maladie c'était mort)
Mais là pareil je ressens que quelque chose ne va pas. Idem j'essaye de lui tirer les vers du nez rien n'y fait. Je lui annonce donc durant qu'elle était au travail que ce soir il falalit que l'on discute.
S'en est suivi une discussion de 5 heures sur laquelle on s'est dit beaucoup de choses : nos disputes récentes avec Y. Mais aussi le fait qu'elle ne m'aime plus comme avant, pour elle ce n'était plus l'amour avec un grand A. Mais à côté elle reconnait que notre cadre de vie, notre confort de vie, notre vie ensemble avec tout ses petits moment est génial. Et là j'ai senti que l'on était en train de vivre notre première vraie grosse dispute. Les précédentes ont été là certes mais elles ont servis à mettre la poussière sous le tapis en espérant que tout s'arrangera comme c'est le cas d'habitude. Elle m'a ensuite reproché le fait de "trop l'aimer" par moment et qu'elle ne savait plus qui elle était par moment. Je lui ai donc dit afin de raviver cette flamme de faire une pause, je partirais chez mon frère l'espace de 2 semaines pour voir si on allait se manquer mutuellement.
Elle fut un peu surprise par cette annonce car de ses propres mots elle m'a dit "Mais tu avais tout prévu en fait" je lui explique que oui j'avais appelé mon frère avant et que j'allais avoir une grosse discussion avec C et qui si au cas ou ça ne va pas, d'aller dormir chez lui.
Cette pause a été ... comment dire catastrophique. Le soir même on était en train de s'envoyer 300 messages à base de tu me manques etc... Le lendemain matin je suis passé à la maison pour récupérer des affaires de travail et on s'est direct embrassés et plus ... S'en est suivi 2 semaines de messages journaliers avec certains "pavés" écrit du plus profond de mon coeur et du sien. Pour finir il y a 2 semaines sur un de ses messages vient à la maison il faut que l'on parle.
Sentant monter le stress en moins et pensant que ça y est c'était fini entre nous j'y suis allée les jambes très lourdes. Pour au final avoir une conversation très calme et sincère sur nous. Elle m'a dit qu'elle a aimé ce moment ou elle était seule, car elle a redécouvert des choses qu'elle ne pensait pas être capable de faire. Que moi de mon côté je me suis aussi rendu compte qu'en 2023 j'ai voulu trop la protéger et que j'étais surement rester dans ce rôle de protecteur et pas dans mon rôle d'amoureux.
On a eu chacun des mots l'un pour l'autre très doux (mon coeur me dit de rester avec toi etc...) et que l'on se remettait ensemble mais sans se mettre la pression sur une quelconque échéance ou autre et que l'on prend le temps de se retrouver et d'apprendre à revivre cet amour là. Et derrière cette discussion afin de se respecter mutuellement, je lui ai dit écoute on se laisse encore quelques jours chacun de notre côté et je reviens le mercredi 18 Avril
Le mercredi 18 Avril arrive et je reviens à la maison les retrouvailles se passent super bien, et on finit par aller se coucher. Et au moment d'aller se coucher je vois son téléphone qui s'allume et je peux juste voir des messages d'un garçon. Je la regarde en mode sérieux ? Et elle m'explique qu'elle parle depuis notre pause avec un de ses collègues de travail car elle en avait besoin. Mais que je n'avais pas de soucis à me faire car il n'est pas comme Y car physiquement il est "moche" (ses propres termes) et qu'elle ne le connait que du travail.
Faisant du travail sur moi je lui fait comprendre que pas de problèmes elle peut parler avec qui elle veut. Moi même je ne parle essentiellement qu'a des filles n'étant pas à l'aise avec les garçons et ce depuis mon plus jeune âge. Donc pas de soucis je respecte sa bulle.
S'en suit la semaine dernière son anniversaire des 30 ans (samedi 20 Avril) , elle avait prévu de le faire en petit comité (4 de ses copines d'enfances+ mon frère et sa copine) à la maison tranquillement. Forcement pour marquer le coup (et c'était prévu bien avant notre pause) j'avais mis le paquet pour son anniversaire : montage vidéo, beau cadeau, et un cours privé avec son artiste peintre favorite.
Et par dessus ça le lundi juste après je lui ai annoncé que surprise on part dans le nuit de Dimanche à Lundi pour 2 jours quelque part en France pour prendre du temps pour nous. Elle avait toujours voulu voir le mont Saint Michel mais vu que l'on avait 8 heures de route on avait jamais pris le temps d'y aller. C'est ce que j'ai fait on allait passer 2 jours à St Malo + Mont Saint Michel. Elle ne savait pas ou on allait et elle le découvrira le jour même.
On passe honnêtement une semaine géniale son anniversaire à été un succès et nos 2 petits jours ensemble on était agréable.
Samedi 27 Avril C avait acheté à Hema une fleur en liège sur laquelle on peut accrocher, des notes etc...
C'est quelqu'un qui adore les polaroids, sur la soirée elle a fait plein et a aussi la machine qui permet d'en imprimer directement. Elle me dit regarde j'ai imprimé des photos de nous je vais les mettre sur la fleur en liège que je vais accroché à l'entrée. Elle me fait remarqué aussi que le soir de l'anniversaire je n'avais pas rempli son petit carnet ou chacun a mis un mot dedans. Forcément j'y met du mien comme je l'ai toujours fait avec elle pour lui faire 2 pages avec des petits attentions partout. Je lui redonne le cahier elle le lit et sourit en me disant "ça me touche c'est vraiment beau" et repart avec.
Le soir même elle devait aller fêter son anniversaire à nouveau mais avec ... appellons là M. M c'est une très bonne amie à C. Elle se sont connus au lycée et ne se sont jamais vraiment perdue de vue. Mais voilà M est quelqu'un qui ne m'apprécie pas. Au tout début de notre relation dans mon appartement j'avais invité M à venir passer la soirée à la maison. Cette soirée se passe bien jusqu'au moment ou M nous dit mon frère ça ne va pas il faut que je l'appelle. Son frère était avant que je me mette avec C une personne qui voulait sortir avec elle.
Profitant de cette pause durant le film je descends boire et fermer les volets de ma chambre quand j'ai surpris M entrain de parler de moi. Disant que de toute manière je n'étais pas fait pour C et que notre couple ne durera pas. Je n'ai rien dit à l'époque et M était remonté avec nous comme si de rien n'était. Mais depuis ce jour je n'ai aucune confiance en M. Je respecte C car c'est une de ses meilleures amies et je ne vais pas l'empêcher de lui parler.
Il faut aussi savoir que la semaine avant l'anniversaire de C j'avais demandé à tout ses amies qui devait venir + les personnes qui comptaient pour elle de faire une petite vidéo pour lui fêter bon anniversaire. Etant dans du travail sur moi j'ai mis de l'eau dans mon vin et j'ai envoyé un message à M lui expliquant que si elle le souhaitait et que vu qu'elle fait partie intégrante de la vie de C, elle pouvait participer.
Je me suis mangé un gros vu des familles + elle est allée dire à C que je préparais une surprise mais qu'elle ne voulait pas participer et qu'elle allait faire sa soirée de son côté.... Je vous laisse imaginer mon état quand C m'a montré ce message là ...
Du coup je reviens à cette soirée du 27 Avril, elle part à cette soirée et avant elle me dit qu'elle ne sait pas si elle rentrera ou non en fonction de ce qu'elle a bu (j'ai l'habitude et je préfère qu'elle dorme sur place que de risquer à prendre la route)
Elle m'envoie quelques snaps d'elles en soirée chez M et tout se passe bien. Arrive 2h45 ou elle m'annonce qu'elle reste dormir chez M.
Je lui annonce que pas de problèmes et je pars me coucher. Sauf que 40 minutes plus tard j'entend du bruit au niveau de notre garage, je prend un peu peur et j'ouvre a distance les stores. En arrivant je vois 2 personnes qui partent en courant. Pris de peur j'appelle de suite les gendarmes pour leur signaler qu'il y a peut être tentative de cambriolage chez moi. Juste après j'essaye de joindre C pour lui dire. Pas de réponse. J'appelle plein de fois pas de réponses. Du coup j'appelle une de ses amies qui était à la soirée et qui dormait chez M. Elle me répond et je lui demande de me passer C. Elle me dit que C n'est pas là et qu'elle leur avait dit qu'elle rentrait chez nous....
Entre temps C me rappelle je lui demande ou elle est, elle me dit je suis chez M.... Et la je lui dit que non ce n'est pas possible que je viens d'avoir son amie. Gros blanc... Elle me dit j'arrive...
20 minutes après la voilà qui arrive encore un peu sous le choc de ce qui s'était passé sur le cambriolage, je lui explique tout ça. Et puis vient le moment ou je lui demande ou elle était. Et elle me dit qu'elle était chez ce fameux garçon ... Au début elle me ment car elle me dit mais non y'avait une fille aussi avec lui. Sauf que je sais qu'elle me mentait car elle a un tic quand elle ment. Et à force de creuser elle m'avoue qu'elle avait reçu un message de ce gars en fin de soirée et qu'elle a voulu le rejoindre.... Sauf qu'elle a menti envers M et ses amies et aussi envers moi.
Ce moment de discussion a eu lieu ce dimanche 28 avril au matin du coup. Mais je sentais en elle une culpabilité, elle m'a reproché d'avoir été 'trop mielleux' avec elle durant cette semaine mais en même temps ça lui faisait du bien car ça lui rappelait le début de notre relation. Bref il était 7h du matin nuit blanche on était tout les 2 fatigué par ça on s'est dit on en reparlera plus tard et qu'elle a besoin de se reposer car elle devait déjeuner avec M justement
Vient le dimanche soir. Ou la conversation a repris. Mais d'une manière complètement différente. J'ai eu en face de moi une C qui n'était pas elle même. Quelques minutes après j'ai compris que ses """amies"" (M en tête de gondole) c'était mis un peu contre moi en mode mais quitte le, si tu as fait ça c'est que tu voulais t'auto saboter dans ton couple etc..... D'habitude C ne se laisse pas influencer car comme elle le dit si bien, notre couple c'est notre bulle et personne n'a son avis à nous apporter à part nous.
Et donc du coup elle m'annonce qu'elle ne veut plus de moi. Je lui dit mais la conversation que l'on a eu il y a 2 semaines elle ne compte plus ? Elle me dit que non qu'elle n'y arrive pas autant que moi je peux y arriver. Je lui dit que l'on s'était dit que chacun évolue a sa vitesse mais rien à faire. Elle me dit qu'elle a envie de voir ce garçon du travail qui est certes moins "beau" physiquement que moi mais qu'elle a besoin de ça. Elle me dit dans la foulée que ma liste de points positifs et si grande comparé à ce garçon (pourquoi me dire ça ? ) et que notre relation était fusionnelle comme elle en a jamais vécu et qu'elle a peur de ne pas retrouver une relation comme la notre
Elle s'est prise la tête dans les mains plusieurs fois en mode je suis perdue je sais plus quoi faire... Et du coup juste après elle me dit écoute peut être que notre pause n'a pas été bénéfique et qu'il fallait peut être faire une coupure de plusieurs mois pour voir. "Tu es capable de m'attendre" ? Voilà ses mots. ET la j'ai du dire non, je ne veux pas qu'elle me fasse miroiter un faux espoir des mois durant pour qu'au final il ne se passe rien...
Je suis donc parti à 22h12 de la maison et quelques heures après sans faire exprès j'ai allumé la lumière de notre chambre à distance. C'est la lampe principale de la chambre et elle éclaire beaucoup. Je viens de voir qu'elle est toujours allumée ce qui veut dire qu'elle n'a pas dormi à la maison ....
EDIT 1 : Dans tout ça j'ai oublié ceci : durant notre dispute de dimanche, elle m'a parlé de comment on allait faire pour le vol du Japon vu que tout était déjà payé/réservé. Elle me dit dans sa lancée qu'elle ne voir pas d'inconvénients à ce que l'on parte ensemble. Je l'ai regardé en mode bah non désolé. Elle me demande pourquoi ? Je lui dit mais C d'ici Octobre vu que l'on est en train de rompre on va surement refaire notre vie chacun de son côté. Tu crois que notre copain/copine va accepter le fait que l'on parte ensemble, dormir dans le même lit pendant 15 jours sans qu'il ne passe rien ?
Elle a rigolé derrière ça. Et m'a dit qu'elle veut que l'on reste ami et que l'on se parle comme on fait actuellement (????) je n'ai pas su quoi répondre.
Du coup voilà ma rupture. J'écris ici pour avoir peut être un avis ou des conseils je suis moi même perdu. J'ai 33 ans et je viens de revenir chez ma mère que j'avais quitté à mes 19 ans. Je n'arrive toujours pas à y croire et que cela finit comme ça.
Je n'ai plus forcément d'amis car je me suis greffer à ses amies. J'avais une meilleure amie avec qui je partageais tout à l'époque que j'ai ghosté comme une merde car C me prenait tout mon temps disponible et je n'avais plus le temps pour. idem pour l'argent ou mes économies ont fondues à cause des travaux + cancer.
Si vous avez des questions sur certaines choses je répondrais à tout sans filtre car j'ai besoin d'en parler à quelqu'un et si je sais une chose c'est que internet peut être aussi un baume au coeur pour certaines choses.
Merci à vous d'avoir tout lu.
2024.04.28 10:06 kindofblue21 Found at the Musee d’Orsay in Paris - looks like Bertha, George and Ada?
Was walking through the Musee this week and they stood out-hope you see the resemblance!
submitted by kindofblue21 to thegildedage [link] [comments]
2024.04.28 00:31 miarrial Jacques Derrida et la question de l’histoire
 | Lien submitted by miarrial to Histoire [link] [comments] Notre objectif ici est d’examiner l’enjeu de la pensée de Derrida sur l’histoire. Nous avons choisi l’histoire pour illustrer ces mutations qui ont ébranlé les fondements de la métaphysique rationnelle elle-même [1][1]Nkolo Foé, « Le langage, le texte et l’histoire : À propos des…. Les Lumières du XVIIIe siècle et Hegel, déjà, avaient associé dans un même destin Raison et Histoire, l’histoire ne pouvait échapper aux attaques dirigées contre la métaphysique rationnelle [2][2]Ibid.. Les révisions épistémologiques et méthodologiques proposées ont pour cadre l’empire textuel. Tout au long de notre démarche, nous nous attacherons à montrer comment, à partir du postulat philosophique et méthodologique de l’idéalisme linguistique, Jacques Derrida déconstruit l’histoire en tant que composante essentielle de la métaphysique rationnelle [3][3]Ibid.. Une question essentielle retiendra notre attention, celle du poids du paradigme textuel, le but étant de ne pas perdre de vue les enjeux de cette question sur l’histoire. https://preview.redd.it/x0h0wy55m3xc1.png?width=664&format=png&auto=webp&s=88619f01e8a3ee51033d32921041e3194faa0aef 1 – Jacques Derrida et la question de la présence comme caractéristique de l’histoire2L’une des caractéristiques majeures de la pensée de Derrida est sa rupture avec l’écriture dite phonétique. Au cœur de cette écriture se trouve l’idée de présence. [4][4]Jacques Derrida, De la Grammatologie, Paris, Éditions de… C’est cette présence qui détermine l’histoire. Pour Derrida, « l’histoire et le savoir, istoria et epistémè ont toujours été déterminés […] comme détours en vue de la réappropriation de la présence [5][5]Ibid. ». Il s’agit donc pour Derrida de déconstruire « toutes les déterminations métaphysiques de la vérité [6][6]Ibid. ». Ces déterminations sont « plus ou moins immédiatement inséparables de l’instance du logos ou d’une raison pensée dans la descendance du logos [7][7]Ibid. ». Dans ce logos, « le lien originaire et essentiel à la phonè n’a jamais été rompu [8][8]Ibid. ». Or comme le dit l’auteur De La Grammatologie, « L’essence de la phonè serait immédiatement proche de ce qui dans la “pensée” comme logos a rapport au “sens”, le produit, le reçoit, le dit, le “rassemble” [9][9]Idem, p. 21. ».3Selon Derrida, ce « phonocentrisme se confond avec la détermination historiale du sens de l’être en général comme présence, avec toutes les sous-déterminations qui dépendent de cette forme générale et qui organisent en elle leur système et leur enchaînement historial [10][10]Idem, p. 23. ». 4Derrida, tout comme Heidegger, se détache de cette logique. Derrida illustre cette rupture avec le Dasein. « La différance – ontico-ontologique et son fondement dans le Dasein ne seraient plus “originaire [11][11]Idem, p 38.”, mais on ne pourrait plus l’appeler “origine” ni “fondement”, ces notions appartenant essentiellement à l’histoire de l’onto-théologie [12][12]Ibid. ». C’est pourquoi Derrida, déconstruit l’histoire au sens traditionnel [13][13]Ibid.. Quelle différence y a-t-il entre le concept d’histoire et celui d’historial, compte tenu de l’équivocité qui précède la question. Précisons que depuis la pensée de la différance, c’est le primat ou même la praticabilité d’une distinction entre historialité et historicité (au sens de l’histoire critique ordinaire) qui se trouve déplacée et déstabilisée. Suivons à ce sujet l’analyse que Derrida fait de Dilthey et de Heidegger. 2 – Jacques Derrida : L’histoire et l’historialité5Derrida souligne que, le « mérite de Dilthey [est] de s’élever contre la naturalisation positiviste de la vie de l’esprit [14][14]J. Derrida, L’Écriture et la différence, Paris, Éditions de… ». L’un des objectifs de Dilthey est de rechercher l’objectivité dans les sciences humaines par une toute autre approche : il veut isoler les sciences humaines des sciences physiques en cherchant leurs principes propres. Pour lui, les sciences humaines comme l’histoire, ne s’expliquent pas seulement, il faut aussi les comprendre. Autrement dit, l’histoire repose sur un type de connaissance qui ne culmine pas dans l’explication, mais la compréhension. Explication, signifiant, recherche, et énoncé de « lois causales ». Mais localement, les sciences historiques peuvent aussi expliquer, à leur façon. Qu’en est-il de la position de Husserl vis-à-vis de Dilthey. Derrida rappelle à ce sujet que pour Dilthey, « l’acte de comprendre » qu’il oppose à l’explication et à l’objectivation doit être la voie première de la vie de l’esprit [15][15]Ibid. ». Dilthey se prononce en faveur de l’idée d’un principe de « compréhension » ou de re-compréhension, de « re-vivre [16][16]Ibid. ». Derrida rappelle que, pour Husserl, la prétention de Dilthey à fonder la normativité sur une factualité mieux comprise n’est pas plus légitime [17][17]Idem, p. 238-239.. Bien que plus soucieux de prendre en compte la spécificité des sciences historiques, à commencer par l’histoire elle-même, Dilthey retombe dans les travers de l’historicisme, c’est-à-dire l’irrationalisme, car vouloir fonder les normes sur les faits au lieu de les fonder sur des idéalités.6Cette idée du « revivre » de Dilthey est au cœur de la pensée d’un auteur comme Heidegger. Récusant cette logique, Heidegger pense que faire de l’histoire comme Dilthey en essayant de prendre la place d’un auteur historique pour comprendre un fait, c’est se situer à l’extérieur de la chose. Heidegger parlera ainsi d’un « style extérieur [18][18]Martin Heidegger, Être et temps, traduit par Francois Vezin,… ». Qui « aboutit à un grand point d’interrogation [19][19]Ibid. ». Heidegger veut se débarrasser de l’approche historique et du formalisme de Dilthey pour revenir au « vécu [20][20]Ibid. » et s’intéresse ainsi à l’« histoire non écrite [21][21]Ibid. » de ce vécu [22][22]Josué Delamour Foumane, « Le Problème de l’Histoire dans la…. Le « Dasein s’éloigne de lui-même autant qu’il s’intéresse au passé. C’est plutôt à sa vie, en tant que sujet historial, qu’il s’agit de revenir et non à une histoire qui l’éloigne de l’essentiel [23][23]Ibid. ». C’est plutôt à la vie du Dasein, en tant que sujet historial, qu’il s’agit de revenir. Le Dasein « vit, voilà le noyau de l’historicité [24][24]M. Heidegger, Être et temps, p. 467. ». Le « vivre » (Erleben) en question contient une critique implicite de l’approche husserlienne, qui essaie de reconstituer un homme à partir de l’agencement abstrait de vécus et de leurs enchaînements. Ce geste de réinscription du vécu dans le Dasein va de pair avec la reconduction de l’intentionnalité aux ek-stases du Dasein. 7Dilthey est critiqué pour son retour à l’abstraction, à la psychologie, à la métaphysique et à la science. Au lieu de faire des études historiques, il faut questionner l’historialité du Dasein [25][25]J. Delamour Foumane, « Le Problème de l’Histoire dans la…. Une telle logique a fait dire à Derrida que « les urgences de la vie exigent qu’une réponse pratique s’organise sur le champ de l’existence historique et aille au-devant d’une science absolue [26][26]J. Derrida, L’Écriture et la différence, p. 239. ». On revient à la lecture husserlienne de Dilthey, reconstituée ici par Derrida, en l’occurrence à sa compréhension de la Weltanschauung, et de la distinction entre sagesse et savoir, proposée par Dilthey. L’enjeu de cette discussion chez Husserl est de surmonter le relativisme (et le scepticisme éthique et théorique) qui se cache derrière l’historisme de Dilthey. En d’autres termes, de préserver les droits de la rationalité contre un usage incontrôlé de l’un de ses produits (l’histoire critique positive). 8En effet, « l’histoire des événements, telle qu’elle est racontée par les historiens, nous donne l’impression que tout est clos, qu’on n’y peut plus rien [27][27]J. Delamour Foumane, « Le Problème de l’Histoire dans la… ». Cette impression du définitif est rejetée par Heidegger pour qui le recours à l’histoire, qui se fait sous forme de répétition, doit nous conduire à une réinvention de nous-mêmes [28][28]Ibid.. La répétition en question n’a pas de sens dans la perspective de l’histoire positive (celle-ci ne se réduit pas cependant à l’histoire événementielle). Si l’on se tourne vers l’histoire sociale et économique, il peut y avoir du sens. Il voit dans l’histoire non pas seulement une dimension passéiste, mais aussi et surtout un fondement de nouvelles possibilités. C’est pourquoi il affirme que « l’historialité propre entend l’histoire comme la résurgence du possible et sait bien que la possibilité ne surgit que si l’existence, dans sa présence destinale à l’instant, lui est ouverte dans la répétition absolue [29][29]M. Heidegger, Être et temps, p. 456. ». Une telle perspective donne au terme historial ou historicité tout son sens. Heidegger emploie ce terme pour désigner cette histoire qui se vit et qui ne se raconte pas. Le Dasein ne doit plus être dépossédé de la production de sens pour le recevoir de l’extérieur à partir d’une histoire racontée [30][30]J. Delamour Foumane, « Le Problème de l’Histoire dans la…. Il ne le produira pas à la manière des hommes de science qui se rapportent à la nature extérieure pour y trouver la substance historique [31][31]Ibid.. Mais le Dasein produira le sens historique en existant. Sa vie est historiale dans la mesure où il est un être – jeté ayant pour nature d’être livré à sa Geschichte (que Vezin traduit par « aventure »). 9La véritable histoire à retenir (historialité) lui semble être celle du Dasein en tant qu’il est livré à son aventure dans le monde. Poser la question de l’histoire, c’est donc saisir la temporalité d’un Dasein qui réinvente son monde [32][32]J. Delamour Foumane, « Le Problème de l’Histoire dans la… car, pour Derrida, le Dasein heideggérien est dévoilement [33][33]J. Derrida, L’Écriture et la Différence, p. 131.. Il s’en suit qu’une histoire qui se passerait en dehors de l’existence factuelle du Dasein est chose impossible [34][34]Ibid.. Une telle histoire ne se raconte pas par les dates, les actes héroïques, les événements, elle est vécue sous la forme d’un destin individuel. Pour Derrida, « sans être connaissance, la temporalité de Heidegger est une extase, l’“être hors de soi” [35][35]J. Derrida, L’Écriture et la différence, p. 132. ». Il ajoute plus loin : « non point transcendance de la théorie, mais déjà sortie d’une intériorité vers une extériorité [36][36]Ibid. ». Heidegger récuse donc la conception causale de l’histoire qui tire le présent du passé [37][37]Ibid.. Une telle conception linéaire de l’histoire ne convient pas à la vie telle que la mène le Dasein. C’est ici que la trace prend tout son sens. Dans cette logique par exemple, Derrida souligne que, ce qu’on appelle trace, c’est ce qui ne se laisse pas résumer dans la simplicité d’un présent [38][38]J. Derrida, De la Grammatologie, p. 97.. Dans ce sens, pour Derrida, « si la trace renvoie à un passé absolu, c’est qu’elle nous oblige à penser un passé qu’on ne peut plus comprendre dans la forme de la présence modifiée, comme un présent-passé [39][39]Ibid. ». La logique de la trace dépasse ainsi la logique linéaire du récit historique telle que conçue traditionnellement. Par conséquent, « le passé absolu qui se retient dans la trace ne mérite plus rigoureusement le nom de “passé” [40][40]Ibid. ». Une telle approche fait dire à Derrida que la trace annonce autant qu’elle rappelle la différance : « la différance diffère [41][41]Ibid. ». 3 – La question de la trace : la fin des origines10Derrida reproche à Heidegger l’archéologie qu’il nous prescrit. Celle-ci se limite à une subordination, mieux à une réduction de la métaphysique [42][42]J. Derrida, L’Écriture et la différence, p. 121.. C’est pourquoi, pour sortir de cette logique, Derrida donne à la trace tout son sens. La trace est la marque qui reste de façon évanescente lorsque le fondement a été dilué. Derrida insiste sur le caractère arbitraire, gratuit de la trace en ce qu’elle n’a aucune « attache naturelle » avec quelque signifié que ce soit. Il insiste sur la nécessité de la rupture de cette « attache naturelle [43][43]J. Derrida, De la Grammatologie, p. 68. ». La trace est en effet une institution. On ne peut la penser « sans penser la rétention de la différence dans une structure de renvoi où la différence apparaît comme telle [44][44]Ibid. ». C’est cette différence qui, selon Derrida, permet la « liberté de variation entre les termes pleins », les contenus, les concepts de référence. Derrière la trace instituée, ne se profile ni le « présent transcendantal », ni « une autre origine du monde ». Derrida parle d’une « absence irréductible » du signifié. C’est par cette formule qu’il prétend contester la métaphysique, mais aussi décrire la structure impliquée dans « l’arbitraire du signe » qu’il saisit « en deçà de l’opposition dérivée entre nature et convention, symbole et signe », nature et culture. La caractéristique majeure de la trace est qu’elle ne renvoie pas à une « nature [45][45]Idem, p. 69. ». La trace est « indéfiniment son propre devenir-immotivé [46][46]Ibid. », arbitraire. Selon Derrida, « la trace […] n’est pas plus naturelle que culturelle, pas plus physique que psychique, biologique que spirituelle [47][47]Idem, p. 70. ». La trace est « ce à partir de quoi un devenir-immotivé du signe est possible, et avec lui toutes les oppositions ultérieures entre la physis et son autre ».11Une telle approche ruine toute logique de fondement et d’origine pour laisser place à l’interprétation et à la substitution de trace à trace qui prend la place de la signification. La trace s’attaque aux questions du type : Où ? et quand cela a commencé ? Pour Derrida ces questions sont des « questions d’origine [48][48]Idem, p. 104. » et sont donc liées à l’histoire [49][49]Voir à ce sujet Paul Ricœur in La Mémoire, l’histoire, l’oubli.…. Or, « qu’il n’y ait pas d’origine, c’est-à-dire d’origine simple ; que les questions d’origine transportent avec elle une métaphysique de la présence, c’est ce qu’une méditation de la trace devrait […] nous apprendre [50][50]Idem, p. 109. ». Prenons un exemple. Où et quand peuvent ouvrir à des questions empiriques [51][51]Idem, p. 110. ? On peut donc s’interroger : quels sont les lieux et les moments déterminés des premiers phénomènes d’écriture, dans l’histoire et dans le monde [52][52]Ibid. ? Pour répondre à ces questions, nous devons nous appuyer sur l’enquête et la recherche des faits. Une telle perspective donne tout son sens à l’histoire traditionnelle – celle qu’ont pratiquée tous les archéologues, épigraphistes et préhistoriens qui ont interrogé les écritures dans le monde [53][53]Ibid.. Soulignons que pour Derrida, « la question d’origine se confond d’abord avec la question d’essence [54][54]Ibid. ». Derrida pense que cette question « présuppose une question onto-phénoménologique [55][55]Ibid. ». On doit en effet savoir ce que c’est que l’écriture, pour pouvoir se demander, en sachant de quoi on parle et de quoi il est question, où et quand commence l’écriture. Qu’est-ce que l’écriture ? À quoi se reconnait-elle ? Quelle certitude d’essence doit guider l’enquête empirique [56][56]Ibid. ? Notons qu’elle doit la guider en droit, car il y a une nécessité de fait à ce que l’enquête empirique féconde par précipitation la réflexion sur l’essence [57][57]Ibid.. Celle-ci doit opérer sur des exemples et l’on pourrait montrer en quoi cette impossibilité de commencer par le commencement de droit, tel qu’il est assigné par la logique de la réflexion transcendantale, renvoie à l’origine de la trace, c’est-à-dire à la racine de l’écriture [58][58]Ibid.. On peut conclure que la pensée de la trace ne peut pas être soumise à la question onto-phénoménologique de l’essence [59][59]Ibid.. La trace n’est rien, elle n’est pas un étant, elle excède la question « qu’est-ce que ? » (question liée à l’essence) et la rend possible. Une telle logique donne à la déconstruction tout son sens. 4 – Jacques Derrida et le paradigme textuel : réduction de l’histoire à « une parade de signifiants »12La déconstruction de Jacques Derrida tire ses racines d’une version radicalement relativisée de la linguistique structuraliste de Ferdinand de Saussure. Pour ce dernier, les mots sont comme des signifiants dont la signification découle non pas d’une relation directe avec les choses qu’elles signifient mais d’une relation entre eux, faisant partie d’un système ordonné de signes [60][60]Carole Edwards, « Réalité ou fiction ? L’Histoire à l’épreuve…. Néanmoins, « à l’inverse de Derrida, Saussure n’a jamais prétendu que la réalité était la simple construction du langage [61][61]Ibid. Selon Derrida, « Le logocentrisme structure tout comme un… ». Cette logique constructiviste est au cœur du langage. Dans la perspective postmoderne, l’impérialisme langagier justifie le textualisme [62][62]N. Foé, « La transition postmoderne et le paradigme culturel…. Le néo-pragmatisme par exemple annonce l’avènement d’une nouvelle ère où les théories scientifiques elles-mêmes et leurs discours « seront traitées exactement comme d’autres textes […] librement interprétées, construites ou déconstruites [63][63]Hollinger R, Depew D., cités par Gilbert Hottois, Philosophies… ». Dans ce sens, mettre fin à l’historiographique postmoderne signifie d’abord appréhender l’histoire comme simple représentation, récit, narration, totalement désinvestie de tout pouvoir de dire la vérité [64][64]N. Foé, « La transition postmoderne et le paradigme culturel…. Tel est l’objectif de la Nouvelle histoire. La Nouvelle histoire consiste à remettre « en question l’histoire [65][65]Chakrabarty Dipesh, cité par Nira Wickramasinghe, « L’histoire… » et par conséquent les faits. Mamadou Diouf rappelle que cette logique « conteste de manière radicale le principe généalogique et la règle de la preuve et des faits – au bénéfice de l’autonomie du texte, qui propose des significations polymorphes et invite à des lectures multiples [66][66]Nira Wickramasinghe, « L’histoire en dehors de la nation », in… ». Soulignons que la philosophie de Jacques Derrida a été décisive en proposant un « principe de narration qui substitue la fiction aux faits [67][67]Ibid. ». À ce sujet, l’étude de Carole Edwards « conteste le postulat fondamental de l’historiographie postmoderne qui, s’appuyant sur l’argument des jeux de langage et la réduction de la réalité au texte, invite à substituer la fiction à tout savoir factuel et répertorié [68][68]N. Foé, « La transition postmoderne et le paradigme culturel… ». Pour réaliser ses objectifs, la théorie de la déconstruction radicalise le rejet par la linguistique moderne de la relation entre les mots et les choses [69][69]Willard Van Orman Quine, Le Mot et la chose, traduit de…. La déconstruction derridienne « rejette l’éventualité d’une relation entre réalité et langage et, plus précisément, les mots et les symboles qui le constituent [70][70]C. Edwards, « Réalité ou fiction ? L’histoire à l’épreuve du… ». Telle est la logique qui définit la philosophie postmoderne. Carole Edwards souligne l’influence que des auteurs comme Roland Barthes, Paul de Man, Michel Foucault, Jacques Derrida, etc., ont exercé sur le développement de l’historiographie postmoderne. Puisant « sa principale idée du texte référentiel de la théorie littéraire moderne et de la philosophie », c’est notamment la déconstruction qui a permis de subvertir « la distinction perpétuée par l’historiographie moderne entre les événements objectifs et les interprétations subjectives des historiens [71][71]C. Edwards, « Réalité ou fiction ? L’histoire à l’épreuve du… ». La déconstruction « remplace les personnages historiques, les auteurs, leur pensée originelle, leurs actions par le texte, le discours et les significations imposées par les historiens [72][72]Ibid. ». Pour Carole Edwards, Roland Barthes souligne qu’il n’existe pas de passé objectif et indépendant relaté par les historiens [73][73]Ibid.. En revanche, « il n’existe qu’un vide que les écrits historiques cherchent à combler [74][74]Ibid. ». Il ajoute que « les méthodes de recherche qui visent à explorer les sources primaires créent simplement un effet de mirage de la réalité ». L’histoire est selon la linguistique postmoderne « une parade de signifiants qui se font passer pour une collecte de faits [75][75]Ibid. Lire Roland Barthes, « Death of the author », in… » et dont l’objectivité n’est guère plus qu’« une illusion référentielle ». Derrida affirme dans ce sens « qu’il n’y a rien hors du texte [76][76]J. Derrida, De la Grammatologie, p. 232. ». Des penseurs de cette tendance ne reconnaissent que l’existence d’un vide que les écrits historiques se chargent de combler. Ces penseurs soutiennent que les méthodes de recherche versées dans l’exploration des sources primaires s’illusionnent puisqu’elles se contentent de créer un effet de mirage de la réalité que le chercheur croit étudier [77][77]N. Foé, « La transition postmoderne et le paradigme culturel…. Ainsi la linguistique postmoderne réduit-elle l’histoire à une simple inscription, à une banale « parade de signifiants qui se font passer pour une collecte de faits », contribuant ainsi à créer une grosse « illusion référentielle [78][78]C. Edwards, « Réalité ou fiction ? L’histoire à l’épreuve du… ». Ces remarques concernent directement Derrida, car note Carole Edwards, « si un texte contient un sens différent à chaque fois qu’il est lu, alors il ne peut y avoir de lecture objective et factuelle de l’auteur, y compris dans la consultation des documents. En outre, aucune signification objective et correcte ne peut être tirée des documents historiques si les historiens qui lisent les documents sont ceux-là mêmes qui commentent et donc doivent varier les significations de manière impartiale et égale [79][79]Idem, p. 489. ».Conclusion13Dans les sciences de l’homme et de la société, il arrive que les questions épistémologiques et méthodologiques soulèvent à leur tour des questions idéologiques et politiques profondes [80][80]N. Foé, « La transition postmoderne et le paradigme culturel…. Or dans le cas qui nous préoccupe ici, il se trouve que les théories de la société fondées sur le paradigme du langage [et du texte] étaient censées rompre avec les théorisations inspirées du paradigme de la production développé par Marx [81][81]Claude Morilhat, Empire du langage ou impérialisme langagier ?,…. Le double paradigme du langage et du texte nous fait insister sur le sens de la répudiation de l’histoire en tant que science de l’intelligibilité du passé et le choix de l’herméneutique et de la sémiotique [82][82]N. Foé, « La transition postmoderne et le paradigme culturel…. En affirmant qu’il « n’y a rien hors du texte [83][83]J. Derrida, De la Grammatologie, p. 232. », Jacques Derrida voulait simplement montrer que rien ne peut exister en dehors du texte même. Pour lui, le langage n’a aucune signification inhérente ou prédéterminée, aucun signifié transcendantal qui puisse donner au langage sa signification [84][84]C. Edwards, « Réalité ou fiction ? L’histoire à l’épreuve du…. Par conséquent, il n’y a aucune relation entre langage et réalité objective puisque seules les relations entre signifiants donnent un sens au langage [85][85]Cette question est au cœur du Cratyle de Platon. Hermogéne et…. Notons que ce sens se transforme à chaque fois qu’un mot est utilisé. Il en résulte alors « un jeu infini de significations », ou « un sens infini dans le langage [86][86]Ibid. ». Précisons que cette différence dans le langage requiert que le texte soit lu de plusieurs manières. Par conséquent, le lecteur est celui qui donne à ce texte sa signification et qui l’oriente. C’est pourquoi, on peut envisager autant de lectures possibles que de lecteurs [87][87]Ibid.. Pour Derrida, un texte contient un sens différent à chaque fois qu’il est lu. Dès lors, il ne peut y avoir de lecture objective et factuelle de l’auteur, y compris dans la consultation des documents historiques [88][88]Idem, p. 489.. Ces documents deviennent arbitraires et non pas de référence [89][89]Ibid.. Derrida n’hésite pas à condamner ceux qui croient à un processus rationnel dont le but est de découvrir des significations réelles et objectives communiquées par des auteurs qui exhibent l’illusion du logocentrisme [90][90]J. Derrida, La Vérité en peinture, Paris, Éditions Flammarion,…. Tel est l’enjeu de la déconstruction. Ainsi la déconstruction « remplace les personnages historiques, les auteurs, leur pensée originelle, leurs actions par le texte, le discours et les significations imposées par les historiens [91][91]C. Edwards, « Réalité ou fiction ? L’histoire à l’épreuve du… ». Une telle orientation historique est au cœur de la Nouvelle histoire et de l’École des Annales. |
2024.04.27 10:27 romain34230 Samsung prévoit un grand événement de lancement cet été, le 10 juillet, pour sa nouvelle gamme de dispositifs Galaxy.
 | Selon SamMobile, cet événement se tiendra à Paris, en avance de quelques semaines par rapport à l'année dernière pour éviter le début des Jeux Olympiques de 2024. On attend le lancement du Galaxy Ring, de nouveaux modèles pliables, une montre Galaxy Watch 7, de nouvelles tablettes, et potentiellement le premier ordinateur portable de Samsung avec un processeur Snapdragon. Des annonces officielles sont attendues fin mai. submitted by romain34230 to actutech [link] [comments] https://preview.redd.it/p8qscn5sfzwc1.png?width=512&format=png&auto=webp&s=f7b6d837164783e566515340a4b7aac92657e01f |
2024.04.26 23:25 DesBen PGW 2024 – La Paris Games Week s’annonce pour fin octobre
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2024.04.26 17:51 Utingui Nos jeunes à l'honneur dans L'Équipe
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2024.04.25 11:24 DesBen PGW 2024 – La Paris Games Week s’annonce pour fin octobre
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2024.04.25 10:30 Clara_Bonnet__ EDF signe un contrat d'approvisionnement avec GravitHy
Innovante et pionnière, GravitHy est en train de développer la première usine de production DRI/HBI (Direct Réduction Iron / Hot Briquetted Iron) à faible émission de gaz sur le territoire français.
Localisée à Fos-sur-Mer, elle permettra de produire de l’acier par réduction directe d’hydrogène, obtenu grâce à une électricité à faible émission de carbone, issue du parc nucléaire d’EDF.
Un défi important pour le producteur d’énergie, qui se prépare à appliquer les nouvelles normes qui régiront son activité à compter du 1ᵉʳ janvier 2025. La fin de l’accès régulé à l’électricité nucléaire historique (ARENH) s’apprête également à transformer le marché de l’énergie.
Pensés pour répondre à ce type de besoins, les contrats d’allocation de production nucléaire sont définis par EDF comme des textes de partenariat industriel “permettant de mettre à disposition d’entreprises électro-intensives une quote-part de la puissance du parc nucléaire en exploitation, pour une durée de plus de 10 ans, moyennant un partage de ces coûts et des risques sur les volumes effectivement produits par ce parc.”
La signature d’une lettre d’intention avec EDF permettra donc à la start-up de garantir le volume d’électricité requis pour le développement de son projet. Les prix pratiqués seront proportionnels à la production nucléaire : plus les quantités d’électricité seront importantes, plus le prix sera bas.
Marc Benayoun a néanmoins expliqué au Figaro qu’il ne s’agissait pas de faire du profit : “Avec ces contrats de partenariat, nous ne réalisons pas de marge et nous passons directement les coûts de production auxquels viennent s’ajouter les coûts de transport et les taxes, au client.”
Pour contrebalancer les montants engagés, l’entreprise procure à EDF une avance en tête : il s’agit d’une participation aux investissements passés et aux coûts futurs de démantèlement du parc nucléaire.
Dans un communiqué de presse, EDF indique ainsi que l’usine de GravitHy “incarnera l’avenir du fer décarboné sur la façade méditerranéenne et sera la première d’une série.”
Ce partenariat rappelle l’engagement grandissant d’EDF envers la transition énergétique. Un projet qui pourrait être soutenu par une start-up comme GravitHy : “Notre mission de décarbonation de l’industrie sidérurgique est intrinsèquement liée à l’approvisionnement en électricité verte et bas carbone, en quantité suffisante et à un prix compétitif. Nous nous félicitons de cette étape majeure avec EDF, qui vient conforter encore davantage la mise en œuvre de notre première usine de fer de réduction directe à Fos-sur-Mer.”, indique José Noldin, le directeur général de la start-up, au Figaro.
L’acier produit par la firme pourrait également permettre de construire des éoliennes, et rendre le marché photovoltaïque plus vert. Le Gouvernement a ainsi apporté son soutien à l’entreprise en février 2024, grâce au plan France 2030, félicitant l’ambition du projet.
Marc Benayoun a expliqué au Figaro : “Les projets comme ceux de GravitHy ont une importance centrale pour la transition énergétique, notamment dans l’industrie métallurgique, source de 8 % des émissions mondiales de CO2 $. Il témoigne de l’ambition d’EDF d’accompagner ses clients électro-intensifs en proposant des solutions adaptées et lui permet de stabiliser ses revenus en engageant ses partenaires dans la durée dans une logique de partage des risques et des coûts du parc nucléaire.”
Une déclaration qui signale la possibilité de nouveaux contrats, dans un contexte de refonte du fonctionnement d’EDF.
Pour l’heure, 100 térawhattheures de la production nucléaire du groupe sont revendus 42 euros le mégawhatteure aux fournisseurs alternatifs tels que Eni, Engie, mais à compter de 2025 l’ARENH disparaîtra laissant place à un nouveau dispositif, plus complexe.
Le prix moyen de l’électricité du parc historique nucléaire d’EDF avoisinera alors les 70 euros sur quinze ans : un changement qui encourage déjà les firmes electro-intensives à se rapprocher d’EDF, signalant un tournant en faveur de l’industrie. Cette nouvelle réglementation devrait aussi impacter les consommateurs.
Les trois CAPN signés par EDF à ce jour répondent à la transformation à venir du marché de l’énergie, raffermissant les liens du groupe aux firmes françaises. La signature d’accords commerciaux pensés sur le long terme donne aux entreprises une prévision fiable des coûts de leur approvisionnement en électricité, ainsi qu’une sécurité accrue d’accès à l’énergie.
ArcelorMittal, acteur de la sidérurgie, a été le premier à signer : il a été suivi par une firme dont l’identité n’est pas encore connue, et par GravitHy. Le nom de TotalEnergies a aussi été évoqué : les besoins en électricité du groupe grandissent avec son activité industrielle, et un partenariat d’ampleur pourrait voir le jour.
De plus petites firmes pourraient également signer des CAPN à l’avenir, signalant l’intensification de l’activité d’EDF avec les entreprises. Un présage d’accélération pour l’industrie française.
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EDF a annoncé la signature avec Gravithy d’une lettre d’intention qui devrait mener à la conclusion d’un contrat d’allocation de production nucléaire (CAPN). Ce CAPN permettra à la start-up, orientée depuis juillet 2022 vers le développement de fer bas carbone, d’assurer une partie de l’approvisionnement en électricité de sa future usine de Fos-sur-Mer.Pari risqué pour EDF. C’est à l’aube d’une réforme du marché des énergies que le groupe annonce la signature de son troisième contrat d’allocation de production avec GravitHy, une start-up spécialisée dans la production de fer bas carbone.
Innovante et pionnière, GravitHy est en train de développer la première usine de production DRI/HBI (Direct Réduction Iron / Hot Briquetted Iron) à faible émission de gaz sur le territoire français.
Localisée à Fos-sur-Mer, elle permettra de produire de l’acier par réduction directe d’hydrogène, obtenu grâce à une électricité à faible émission de carbone, issue du parc nucléaire d’EDF.
Un défi important pour le producteur d’énergie, qui se prépare à appliquer les nouvelles normes qui régiront son activité à compter du 1ᵉʳ janvier 2025. La fin de l’accès régulé à l’électricité nucléaire historique (ARENH) s’apprête également à transformer le marché de l’énergie.
Les contrats d’allocation de production nucléaire
La conclusion d’un CAPN sécuriserait l’accès de GravitHy à une partie de ses besoins en électricité. Les électrolyseurs nécessaires au développement de l’hydrogène utilisé pour produire l’acier requièrent en effet des quantités massives d’énergie. Marc Benayoun, directeur exécutif du groupe EDF indique ainsi au Figaro : “Quand les activités de GravitHy tourneront à pleine puissance, ce sera un des plus gros clients d’électricité en France.”Pensés pour répondre à ce type de besoins, les contrats d’allocation de production nucléaire sont définis par EDF comme des textes de partenariat industriel “permettant de mettre à disposition d’entreprises électro-intensives une quote-part de la puissance du parc nucléaire en exploitation, pour une durée de plus de 10 ans, moyennant un partage de ces coûts et des risques sur les volumes effectivement produits par ce parc.”
La signature d’une lettre d’intention avec EDF permettra donc à la start-up de garantir le volume d’électricité requis pour le développement de son projet. Les prix pratiqués seront proportionnels à la production nucléaire : plus les quantités d’électricité seront importantes, plus le prix sera bas.
Marc Benayoun a néanmoins expliqué au Figaro qu’il ne s’agissait pas de faire du profit : “Avec ces contrats de partenariat, nous ne réalisons pas de marge et nous passons directement les coûts de production auxquels viennent s’ajouter les coûts de transport et les taxes, au client.”
Pour contrebalancer les montants engagés, l’entreprise procure à EDF une avance en tête : il s’agit d’une participation aux investissements passés et aux coûts futurs de démantèlement du parc nucléaire.
Des projets bas carbone
Le partenariat entre EDF et GravitHy s’inscrit dans un projet de décarbonation commun aux deux entités. L’objectif de la start-up est d’atteindre une réduction de 90 % de l’empreinte CO2 du fer nécessaire à la production d’acier. Le marché de l’acier décarboné connaît en effet une importante croissance, poussée par les sidérurgistes qui souhaitent produire de l’acier vert, et par les clients de l’industrie des transports ou de la construction en quête de composants bas carbone.Dans un communiqué de presse, EDF indique ainsi que l’usine de GravitHy “incarnera l’avenir du fer décarboné sur la façade méditerranéenne et sera la première d’une série.”
Ce partenariat rappelle l’engagement grandissant d’EDF envers la transition énergétique. Un projet qui pourrait être soutenu par une start-up comme GravitHy : “Notre mission de décarbonation de l’industrie sidérurgique est intrinsèquement liée à l’approvisionnement en électricité verte et bas carbone, en quantité suffisante et à un prix compétitif. Nous nous félicitons de cette étape majeure avec EDF, qui vient conforter encore davantage la mise en œuvre de notre première usine de fer de réduction directe à Fos-sur-Mer.”, indique José Noldin, le directeur général de la start-up, au Figaro.
L’acier produit par la firme pourrait également permettre de construire des éoliennes, et rendre le marché photovoltaïque plus vert. Le Gouvernement a ainsi apporté son soutien à l’entreprise en février 2024, grâce au plan France 2030, félicitant l’ambition du projet.
Marc Benayoun a expliqué au Figaro : “Les projets comme ceux de GravitHy ont une importance centrale pour la transition énergétique, notamment dans l’industrie métallurgique, source de 8 % des émissions mondiales de CO2 $. Il témoigne de l’ambition d’EDF d’accompagner ses clients électro-intensifs en proposant des solutions adaptées et lui permet de stabiliser ses revenus en engageant ses partenaires dans la durée dans une logique de partage des risques et des coûts du parc nucléaire.”
Une déclaration qui signale la possibilité de nouveaux contrats, dans un contexte de refonte du fonctionnement d’EDF.
Une ébauche de l’avenir de l’électricité en France
Moment charnière pour EDF et le gouvernement. Les projets de réforme et la fin de l’ARENH transforment profondément le marché de l’énergie : pour proposer des prix compétitifs, EDF s’accordait jusqu’à aujourd’hui au tarif ARENH.Pour l’heure, 100 térawhattheures de la production nucléaire du groupe sont revendus 42 euros le mégawhatteure aux fournisseurs alternatifs tels que Eni, Engie, mais à compter de 2025 l’ARENH disparaîtra laissant place à un nouveau dispositif, plus complexe.
Le prix moyen de l’électricité du parc historique nucléaire d’EDF avoisinera alors les 70 euros sur quinze ans : un changement qui encourage déjà les firmes electro-intensives à se rapprocher d’EDF, signalant un tournant en faveur de l’industrie. Cette nouvelle réglementation devrait aussi impacter les consommateurs.
Les trois CAPN signés par EDF à ce jour répondent à la transformation à venir du marché de l’énergie, raffermissant les liens du groupe aux firmes françaises. La signature d’accords commerciaux pensés sur le long terme donne aux entreprises une prévision fiable des coûts de leur approvisionnement en électricité, ainsi qu’une sécurité accrue d’accès à l’énergie.
ArcelorMittal, acteur de la sidérurgie, a été le premier à signer : il a été suivi par une firme dont l’identité n’est pas encore connue, et par GravitHy. Le nom de TotalEnergies a aussi été évoqué : les besoins en électricité du groupe grandissent avec son activité industrielle, et un partenariat d’ampleur pourrait voir le jour.
De plus petites firmes pourraient également signer des CAPN à l’avenir, signalant l’intensification de l’activité d’EDF avec les entreprises. Un présage d’accélération pour l’industrie française.
2024.04.25 03:24 StructureTiny9509 My husband bought a box of WWII letters off of eBay. It included a few newspapers and this is one of them.
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2024.04.24 11:16 Poutcheki Gérald Darmanin annonce une collaboration franco-marocaine pour la CAN 2025 et les Jeux Olympiques de Paris 2024
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2024.04.23 17:54 Significant_Luck_985 Charges locatives mal calculées ? Quoi faire ?
Bonjour à tous,
Je suis locataire à Boulogne Billancourt depuis avril 2023, et je viens de recevoir la régularisation annuelle des charges locatives, dans laquelle on nous demande de payer 735 € pour la période d'avril-décembre 2023, ce que je trouve étonnant.
J'habite avec mon compagnon dans un apartement de 47m2 (gardien, parking, ascenseur, chauffage collectif et eau chaude inclus) et nous payons 155 €/mois de charges locatives (ce qui était écrit dans le bail quoi). Mais apparemment cela n'a pas suffit, car dans la régularisation que nous venons de recevoir, les charges totales récupérables ont été de 2894 € pour toute l'année 2023 (soit 2038 € pour la période d'avril à décembre 2023) ce qui veut dire que nous devons 736 € à l'agence (!!!). Par la même occasion ils nous annoncent que notre provision de charges sera de 240 € /mois à partir de mai 2024.
Je me suis renseignée autour de moi, et ces chiffres me semblent vraiment hors de prix. Est-ce qu'il y peut y avoir une erreur ? J'ai lu que la moyenne de prix pour les charges locatives à Boulogne Billancourt c'est de 42 € par m2, ce qui ferait 164 €/mois pour notre surface. On est très très loin des 240 €/mois demandés par l'agence... Et surtout, c'est très loin du prix du loyer que nous avons signé l'année dernière... Si les charges locatives sont effectivement aussi élevées, ils auraient dû nous donner un prix plus réaliste du loyer... (il y avait un autre couple avant nous pendant des années, du coup j'imagine que la provision de charges était cohérente...)
En comparison, quand nous étions sur Paris nos charges étaient de 110 € dans un studio (ascenseur, chauffage collectif et eau chaude inclus, pas de gardien) et chaque année l'agence nous rendait un peu d'argent car on avait payé en trop.... Mais c'était autour de 50 -100 € de différence sur l'année, pas plus.
Je souhaite savoir si on a recours avant de payer ? Que peut-on faire en tant que locataires pour pas se faire avoir comme ça ?
Merci de vos conseils et désolée pour mon français car ce n'est pas ma langue maternelle. Merci à vous !!!
submitted by Significant_Luck_985 to conseiljuridique [link] [comments]
Je suis locataire à Boulogne Billancourt depuis avril 2023, et je viens de recevoir la régularisation annuelle des charges locatives, dans laquelle on nous demande de payer 735 € pour la période d'avril-décembre 2023, ce que je trouve étonnant.
J'habite avec mon compagnon dans un apartement de 47m2 (gardien, parking, ascenseur, chauffage collectif et eau chaude inclus) et nous payons 155 €/mois de charges locatives (ce qui était écrit dans le bail quoi). Mais apparemment cela n'a pas suffit, car dans la régularisation que nous venons de recevoir, les charges totales récupérables ont été de 2894 € pour toute l'année 2023 (soit 2038 € pour la période d'avril à décembre 2023) ce qui veut dire que nous devons 736 € à l'agence (!!!). Par la même occasion ils nous annoncent que notre provision de charges sera de 240 € /mois à partir de mai 2024.
Je me suis renseignée autour de moi, et ces chiffres me semblent vraiment hors de prix. Est-ce qu'il y peut y avoir une erreur ? J'ai lu que la moyenne de prix pour les charges locatives à Boulogne Billancourt c'est de 42 € par m2, ce qui ferait 164 €/mois pour notre surface. On est très très loin des 240 €/mois demandés par l'agence... Et surtout, c'est très loin du prix du loyer que nous avons signé l'année dernière... Si les charges locatives sont effectivement aussi élevées, ils auraient dû nous donner un prix plus réaliste du loyer... (il y avait un autre couple avant nous pendant des années, du coup j'imagine que la provision de charges était cohérente...)
En comparison, quand nous étions sur Paris nos charges étaient de 110 € dans un studio (ascenseur, chauffage collectif et eau chaude inclus, pas de gardien) et chaque année l'agence nous rendait un peu d'argent car on avait payé en trop.... Mais c'était autour de 50 -100 € de différence sur l'année, pas plus.
Je souhaite savoir si on a recours avant de payer ? Que peut-on faire en tant que locataires pour pas se faire avoir comme ça ?
Merci de vos conseils et désolée pour mon français car ce n'est pas ma langue maternelle. Merci à vous !!!
2024.04.23 17:11 HTHILUXPREDICT121 La version 9 de notre DApp est officiellement lancée ....Aujourd'hui 23 avril 2024 nous sommes heureux de vous annoncer que la version de notre DApp est maintenant en ligne #121metadex #Web3Gaming #paris-décentralisés #liberté #blockchain #crypto-monnaies
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